Posts Tagged ‘Domicile’

Congo: Des ossements humains découverts au domicile de l’ancien maire de Pointe-Noire Jean François Kando

novembre 5, 2022

Encore un scandale de plus impliquant l’ancien maire de la ville de Pointe-Noire, Jean François Kando, qualifié du plus pire jamais passé à la tête de la mairie. Des témoignages parlent d’une découverte macabre dans sa résidence privée suite aux dénonciations anonymes. Des ossements humains enterrés dans sa cour et ont été retrouvés.

On soupçonne son féticheur d’avoir vendu la mèche juste après la chute de son client de la tête du conseil municipal de la ville de Pointe-Noire. Ce féticheur reprocherait à Jean François Kando d’être un mauvais payeur et de n’avoir jamais considéré son travail.

Ces ossements humains proviendraient des cadavres abandonnés à la morgue de Pointe-Noire et qui ont servi au féticheur de fortifier le pouvoir mystique de Jean François Kando, qui se croyait éternel à la mairie de la ville.

Depuis toujours un trafic des ossements humains a été dénoncé par les employés de la morgue de Pointe-Noire. Le sort de l’ancien maire de Pointe-Noire a été scellé depuis Brazzaville à cause de son incompétence et surtout son enrichissement illicite a une vitesse irréversible. Jean François Kando, adoubé par ses fétiches chantait partout être le protégé des Mbochis d’Oyo.

Sa chute a créé un choc dans l’entourage de Jean François Kando et le dit féticheur a été traité de tous les noms d’où la colère l’ayant poussé à faire ces révélations contre son ancien client. Tous ces ossements n’ont pas empêché son départ néanmoins et Dieu reste l’unique protection sur terre.

Avec Sacer-infos par Stany Frank

Congo/Brazzaville-Insécurité: braquage spectaculaire chez le célèbre journaliste congolais Joseph Bitala-Bitemo

août 19, 2022

Joseph Bitala-Bitemo, journaliste et écrivain congolais, a été surpris dans son domicile par des malfrats armés dans la nuit de mardi à mercredi à Brazzaville. Après avoir tenu en respect tout le monde, ils sont repartis avec un important butin, a-t-on appris auprès d’une source proche de la victime.

Tandis que certains neutralisaient tout le monde, les autres se chargeaient de passer la maison au peigne fin et la vider de son précieux contenu.

Au bout de l’opération qui a duré plusieurs minutes, les malfrats vont emporter une importante somme d’argent, un million de FCFA.

Mais en attendant que les résultats de l’enquête permettent de faire la lumière sur ce braquage, tout porte à croire que les malfrats n’ont pas choisi leur cible fortuitement.

Sorti sain et sauf de ce braquage, Joseph Bitala-Bitemo est hanté depuis par la peur et l’angoisse.

Annoncée à grands renforts médiatiques, l’opération « Uppercut » visant à sécuriser la ville de Brazzaville de toutes incivilités et actes de banditisme, n’aurait pas eu un réel impact, aux dires des populations qui continuent de subir les assauts des bandits et autres malfrats.

Par Jack de MAÏSSA avec Les Echos du Congo-Brazza

Tchad : ce que les autorités reprochent à l’opposant Yaya Dillo Djerou

mars 1, 2021
L’ancien chef rebelle tchadien Yaya Dillo Djerou à N’Djamena, le 10 novembre 2007.

Le domicile de Yaya Diallo Djerou était encore encerclé par les forces de l’ordre tchadiennes le matin du lundi 1er mars. Une tentative d’arrestation de l’opposant y a fait au moins deux morts la veille. 

Selon les autorités tchadiennes, au moins deux personnes ont été tuées et cinq autres blessées dimanche 28 janvier à N’Djamena, dans des échanges de tirs au cours d’une tentative d’interpellation au domicile de l’opposant et ancien ministre Yaya Dillo Djerou.

« Il y a eu deux morts et cinq blessés dont trois parmi les forces de l’ordre, a indiqué Chérif Mahamat Zene, porte-parole du gouvernement. Les forces de défense et de sécurité […] ayant essuyé des tirs d’armes », elles « n’ont pas eu d’autre choix que de riposter ».

« Le gouvernement condamne avec la dernière énergie cette rébellion armée au cœur de la capitale, qui n’est qu’une tentative de déstabilisation des institutions de l’État fomentée de longue date », a accusé le porte-parole.

Confrontation avec Hinda Déby Itno…

« Ils viennent de tuer ma mère et plusieurs de mes parents », a quant à lui affirmé Yaya Dillo Djerou, qui s’est déclaré candidat à l’élection présidentielle du 11 avril. « Un blindé a enfoncé ma porte principale. La lutte pour la justice doit continuer pour sauver notre pays. […] Mes chers compatriotes, levons-nous ! » a-t-il ajouté dimanche 28 février dans la soirée.

Yaya Dillo Djerou est sous le coup de deux mandats d’arrêt à la suite d’une plainte déposée en mai 2020 par la première dame, Hinda Déby Itno, et sa fondation Grand Cœur pour diffamation et injures. L’opposant avait dénoncé sur les réseaux sociaux une convention signée entre Grand Cœur et le gouvernement dans le cadre de la lutte contre l’épidémie de coronavirus.

Ancien ministre des Mines et de l’Énergie et ex-conseiller à la présidence de la République, il avait parlé de « conflit d’intérêts » à propos de cet accord dans une vidéo qui était par la suite devenue virale. Selon Dillo Djerou, la fondation s’attribue de façon abusive les prérogatives de certains ministères, notamment dans les secteurs de la santé et de l’éducation.

… et candidature à la présidentielle

À la suite de cette plainte, l’ancien conseiller du président avait été suspendu, le 11 mai 2020, de ses fonctions de représentant tchadien à la Commission économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac) pour « manque de neutralité et violation du droit de réserve ». Sous la pression de N’Djamena, et notamment de la vice-présidente de la Commission, Fatima Haram Acyl, sœur d’Hinda Déby Itno, il en avait été licencié le 6 juillet.

Selon nos informations, plusieurs convocations ont été émises depuis mai 2020 par la justice tchadienne pour entendre Yaya Dillo Djerou, lequel ne s’est pas présenté, mettant en avant jusque début juillet l’immunité que lui conférait son rôle au sein de la Cemac.

La police a aussi tenté de se présenter à son domicile à au moins deux reprises, mais a rebroussé chemin face aux partisans présents sur les lieux.

INTERROGÉ EN PLACE PUBLIQUE DEVANT UNE FOULE DE SPECTATEURS FILMANT LA SCÈNE

L’ancien ministre a toutefois été entendu début juillet par des agents de la police judiciaire, lors d’un séjour privé dans son village d’Iriba, dans la province de Wadi Fira (frontalière avec le Soudan). Une scène étonnante puisque l’ancien rebelle du Socle pour le changement, l’unité et la démocratie (Scud), rallié en 2007 à Idriss Déby Itno, y a été interrogé en place publique devant une foule de spectateurs filmant la scène.

« De la barbarie pure et simple », selon Saleh Kebzabo

Le 26 février, Yaya Dillo Djerou avait déposé son dossier de candidature pour la présidentielle du 11 avril prochain, lors de laquelle le président Idriss Déby Itno briguera un sixième mandat. Il avait été désigné mi-février par le Parti socialiste sans frontières (PSF), à l’issue d’un congrès extraordinaire organisé sur le thème « L’heure du changement a sonné ».

Ce 1er mars, Saleh Kebzabo, autre opposant ayant déclaré sa candidature à la magistrature suprême, a annoncé suspendre sa participation au processus électoral. Il a qualifié les événements au domicile de Yaya Dillo Djerou de « barbarie pure et simple » de la part de « dirigeants indignes ». Succès Masra, autre prétendant ayant déposé son dossier de candidature pour la présidentielle, a réclamé la démission d’Idriss Déby Itno.

Avec Jeune Afrique par Mathieu Olivier

Coronavirus-France : au moins 9000 personnes seraient mortes à domicile

avril 27, 2020

«Cela montre qu’il existe une mortalité cachée du coronavirus», estime le premier syndicat de médecins généralistes.

Le docteur Jérôme Ponton loirs d'une intervention à Winkel, dans le Haut-Rhin.
Le docteur Jérôme Ponton loirs d’une intervention à Winkel, dans le Haut-Rhin. SEBASTIEN BOZON / AFP

Jacques Battistoni, président du syndicat de médecins généralistes MG France, indique lundi 27 avril dans Ouest France que près de 9000 personnes seraient mortes chez elles du coronavirus. «Ce nombre ne nous surprend pas», dit-il. «Cela montre qu’il existe une mortalité cachée du coronavirus», ajoute le médecin, précisant que la donnée doit encore être confirmée.

Depuis le début de l’épidémie, le directeur général de la Santé Jérôme Salomon fait chaque soir un point sur la mortalité. Officiellement, plus de 22.000 personnes sont mortes du covid-19 en France : environ 14.000 à l’hôpital et 8000 dans les Ehpad et établissements médico-sociaux. Mais le bilan devrait en réalité être beaucoup plus lourd, ces chiffres ne prenant pas en compte les victimes mortes à leur domicile.

Chaque année, la majorité des décès (59%) surviennent en hôpital ou clinique, 14% en maisons de retraite, selon l’Insee. Mais plus d’un quart surviennent aussi à domicile (26%). En France, le nombre de décès enregistrés entre le 1er mars et le 13 avril est supérieur à celui enregistré sur les mêmes périodes en 2019 ou 2018 : 93.839 contre 75.100 en 2019 et 83.108 en 2018, selon des données encore provisoires.

Décès oubliés

 

Pour SOS Médecins, spécialisé dans les consultations à domicile et surtout présent en zone urbaine, «le cap des 50% d’augmentation des décès à domicile en France est passé»: en deux semaines, entre le 22 mars et le 5 avril, la fédération de médecins a enregistré 253 décès à domicile, soit 54% de plus que l’an dernier sur la même période. «On peut raisonnablement penser qu’une majeure partie est liée à l’épidémie de covid-19», estime le président de SOS Médecins Pierre-Henry Juan. «Il faudrait une autopsie, mais on n’en fait pas, sauf quand il y a un problème médico-légal», explique-t-il. «Et comme la cause du décès à domicile est difficile à établir scientifiquement parce qu’on ne teste pas le patient, on ne mesure pas cette surmortalité».

«Dans les départements fortement touchés par l’épidémie, on observe un nombre de décès en nette progression par rapport à 2019», jusqu’à deux fois supérieur en mars, a expliqué à l’AFP Sylvie Le Minez, cheffe des études démographiques et sociales de l’Insee.

«Dans quelques semaines, on va ouvrir des portes et on pourrait bien découvrir que des gens qui ne répondaient plus sont morts chez eux», craint l’épidémiologiste Emmanuel Baron, directeur d’Epicentre, centre de recherche de Médecins sans frontières. Selon le spécialiste, les «décès oubliés» sont inhérents à toute épidémie.

Il faudra attendre une étude scientifique et démographique complète, qui prendra sans doute de longs mois, avant d’avoir des chiffres se rapprochant de la réalité, sur les décès imputables à l’épidémie de covid-19.

Par Le Figaro

Congo: Le coup tordu de Sassou Nguesso contre André Okombi Salissa [Vidéo]

novembre 21, 2016

 

Depuis qu’il a décidé de mettre son fils Chrsitel Sassou Nguesso au pouvoir en 2021, le cobra royal a juré mettre tous les opposants hors d’état de nuire. Comme en 1997 quand il a mis Koukébéné, Nguila Moungounga, Lissouba, Bikinkita et compagnies hors jeu (30 ans d’emprisonnement ferme), Sassou Nguesso pense aujourd’hui rééditer l’exploit ; celui de mettre les leaders de la nouvelle génération hors course. C’est dans ce cadre qu’il a manigancé en compagnie de certains comploteurs de Mpila ce faux coup d’état. Trouvez des armes dans un appartement qui a été perquisitionné mille fois relève du paranormal, pas de la justice.

Affaire à suivre.!!

Gabon : le domicile de l’opposant Jean Ping attaqué par 200 jeunes

janvier 13, 2015

Le domicile de Jean Ping a été attaqué par des jeunes lundi 12 janvier
Le domicile de Jean Ping a été attaqué par des jeunes lundi 12 janvier © Olivier Morin/AFP

Le domicile à Libreville de Jean Ping, l’un des principaux opposants gabonais, a été attaqué lundi par une bande de plus de 200 jeunes.

« Vers 8h30, une bande de 200 jeunes, des loubards du régime, sont venus nous agresser à coups de cailloux, ils ont allumé un feu et cassé les vitres », a expliqué à l’AFP Jean Ping, qui a accusé la gendarmerie de ne pas être intervenue.

Alain-Claude Bilié Bi Nzé, le porte-parole de la présidence gabonaise, confirme à Jeune Afrique que « 200 à 300 jeunes se sont bien rendus devant le domicile de Jean Ping », le lundi 12 décembre.

« Nous avons alerté des militants qui ont livré bataille et nous avons pu prendre certains d’entre eux », a raconté à l’AFP Jean Ping, qui affirme avoir retenu une quinzaine de ces jeunes chez lui.

Ces derniers ont été déshabillés et mis en caleçons par les militants avant d’être remis à la police judiciaire qui s’est rendue sur place.

Selon Jean Ping ils « ont été payés 5 000 francs CFA chacun » (7,5 euros) pour attaquer sa maison. « Cela en dit long sur le comportement d’un État-voyou », a-t-il déclaré, expliquant avoir pu interroger ses agresseurs. Des accusations réfutées formellement par Alain-Claude Bilié Bi Nzé.

Situation politique tendue depuis plusieurs mois

Ancien président de la commission de l’Union africaine (UA), Jean Ping était un proche de l’ancien président Omar Bongo, mais il est passé dans l’opposition depuis l’avènement de son fils Ali Bongo Ondimba.

Ces événements interviennent dans un contexte politique particulièrement tendu depuis plusieurs mois. Le 20 décembre, une manifestation interdite de l’opposition, qui réclame le départ du président Ali Bongo Ondimba, avait donné lieu à de violents heurts entre opposants et forces de l’ordre.

Le bilan officiel de la manifestation fait état d’un mort, alors que l’opposition en compte six. Des chiffres impossibles à vérifier de source indépendante.

Les procès des personnes arrêtées, une centaine, ont commencé la semaine dernière et se poursuivent cette semaine.

Jeuneafrique.com par Tiphaine Le Liboux

Mali: le domicile de l’ex président malien Konaré attaqué, un assaillant tué

avril 5, 2014

Mali: le domicile de l'ex président malien Konaré attaqué, un assaillant tué © AFP

Mali: le domicile de l’ex président malien Konaré attaqué, un assaillant tué © AFP

La résidence privée de l’ancien président malien Alpha Oumar Konaré a été attaquée dans la nuit de vendredi à samedi à Bamako par une dizaine d’assaillants, dont l’un a été tué, ont déclaré samedi des responsables de la sécurité et la famille.

M. Konaré, président du Mali de 1992 à 2002, était absent de son domicile situé à la sortie est de Bamako, mais son épouse, l?historienne Adame Ba Konaré, était présente avec notamment ses petits-enfants. Ils sont tous hors de danger, selon un membre de la famille.

« Dans la nuit de vendredi à samedi, plus de dix personnes en civil, ont coupé l’électricité dans le secteur, escaladé les murs et tiré à l’intérieur de la résidence de M. Konaré », a expliqué à l’AFP un élément de la garde officielle mise la disposition de l’ancien président qui, depuis son départ volontaire du pouvoir évite de commenter l’actualité politique malienne.

« Pour le moment, on ne connaît pas les auteurs et les commanditaires. Mais ils voulaient aussi tuer. Nous avons riposté en légitime défense, c’est à ce moment qu’un des assaillants a été tué », a ajouté la même source.

« Tout est allé vite. La lumière a été coupée dans la résidence, on a entendu des coups de feu et la garde de la résidence a riposté », a-t-on expliqué.

La gendarmerie malienne a retrouvé sur l’assaillant tué « au moins un téléphone portable », a appris l’AFP de source officielle.

« Les enquêtes se poursuivent. Nous savons déjà que les assaillants ont attaqué les lieux en constituant un groupe qui est arrivé côté nord de la résidence, un autre groupe est arrivé côté fleuve Niger », a confirmé une source proche de la gendarmerie nationale.

Un haut responsable de la gendarmerie a ajouté que les enquêteurs privilégiaient la piste d’une bande armée spécialisée dans le vol de fil électrique.

« Ils ont plongé le secteur pour procéder à un vol de fils électrique », a-t-il dit.

Jeuneafrique.com

L’Egypte prendra des dispositions fermes contre les auteurs de l’attentat

septembre 5, 2013

LE CAIRE – Le gouvernement intérimaire en Egypte a promis jeudi de frapper d’une main de fer quiconque menacerait la sécurité nationale, quelques heures après que le ministre de l’Intérieur a réchappé d’un attentat au Caire.

Cet acte criminel, a indiqué le cabinet, n’empêchera pas le gouvernement de faire face au terrorisme avec force et détermination et de frapper d’une main de fer quiconque menace la sécurité nationale. Et ce, jusqu’au retour de la stabilité dans le pays, en proie à des violences depuis la destitution du président islamiste Mohamed Morsi par l’armée le 3 juillet.

Jeudi vers 08H30 GMT, une bombe a explosé au passage du convoi de Mohammed Ibrahim à proximité de son domicile au Caire. Deux heures plus tard, il est apparu à la télévision d’Etat, dénonçant une lâche tentative d’assassinat menée à l’aide d’une bombe qui a explosé à distance et détruit quatre voitures du convoi, faisant de nombreux blessés parmi les gardes l’escortant.

Faisant référence à la dispersion sanglante de rassemblements pro-Morsi le 14 août, il a déclaré: j’avais prévenu avec la dispersion (des manifestants retranchés NDLR) sur les places Rabaa al-Adawiya et Nahda qu’il y aurait une vague de terrorisme, c’était prévisible.

La police, sous les ordres de M. Ibrahim, avait été en première ligne dans cette opération qui avait tourné au bain de sang et fait des centaines de morts parmi les manifestants le 14 août.

Un haut responsable du ministère de l’Intérieur a affirmé à l’AFP sous le couvert de l’anonymat qu’une voiture piégée avait explosé au passage du convoi de M. Ibrahim à proximité de son domicile dans le faubourg de Nasr City.

Mais un communiqué officiel du ministère a évoqué une bombe.

Un journaliste de l’AFP a vu sur place une voiture entièrement détruite ainsi que la devanture d’un magasin et des véhicules soufflés.

Dix officiers de police ont été blessés dans l’attentat visant le ministre de l’Intérieur, selon des responsables des services de sécurité. Un haut responsable du ministère a affirmé à l’AFP que l’un des policiers avait perdu une jambe dans l’explosion.

L’agence officielle Mena a indiqué que les routes menant au ministère en centre-ville avaient aussitôt été bloquées par la police.

Il s’agit du premier attentat à la voiture piégée au Caire depuis de longues années.

La destitution et l’arrestation de M. Morsi par l’armée le 3 juillet ont déclenché un engrenage de violence qui a fait plus d’un millier de morts à travers l’Egypte, en grande majorité des manifestants islamistes. Dans le même temps, les attaques contre les forces de l’ordre se sont multipliées dans la péninsule instable du Sinaï principalement mais aussi dans d’autres villes du plus peuplé des pays arabes.

Romandie.com avec (©AFP / 05 septembre 2013 14h47)

Suisse: Décès d’une jeune femme agressée par son père à Lachen (SZ)

juillet 31, 2013

Une jeune femme de 22 ans agressée par son père lundi matin à Lachen (SZ) est décédée le lendemain peu après 20h00 à l’hôpital universitaire de Zurich. Le père, un Italien âgé de 53 ans, est en détention préventive.

Le père a tenté de tuer sa fille dans le domicile familial en présence de plusieurs membres de la famille, a indiqué le Ministère public schwyzois. Les secours ont réanimé la jeune femme qui a été héliportée dans un état critique à l’hôpital universitaire à Zurich. Le père a été arrêté sur le lieu du drame.

Romandie.com avec (ats / 31.07.2013 14h35)

France: CEREMONIE – Le défilé du 14 juillet, ouvert par les troupes maliennes, a commencé dimanche peu après 10h…

juillet 14, 2013

Des huées et des sifflets se sont élevés dimanche matin au passage de François Hollande qui, avant le défilé du 14 Juillet, descendait les Champs-Elysées où des opposants au mariage homosexuel étaient présent.

Le mouvement de la Manif pour Tous avait diffusé dans la semaine un communiqué, précisant qu’il n’appelait à aucune action «par respect pour l’armée française». Mais les plus résolus des opposants s’étaient donné rendez-vous sur Twitter.

Avant le défilé, entre 9 et 10 h, au niveau du Grand Palais, une quinzaine d’entre eux arborant des drapeaux ou des bracelets roses de la Manif pour tous avaient été interpellés pour des contrôles d’identité. «Quoi, on n’a pas le droit de ne pas être d’accord? On n’est pas obligé d’applaudir», a rétorqué à des personnes favorables au mariage homosexuel une opposante à la loi Taubira.

Une banderole déployée
Plusieurs personnes portant les sweat-shirts du mouvement avaient fait le déplacement. Un drapeau a également été vu flottant en haut des Champs-Elysées, près de la place de l’Etoile. D’autres manifestants avaient toutefois dit qu’ils étaient venus sans les signes distinctifs visibles du mouvement d’opposition au mariage homosexuel, pour passer inapercus.

Six personnes placées derrière une barrière ont ainsi déployé une banderole sur laquelle étaient dessinés un homme, une femme et des enfants se tenant la main, imitant le logo de la Manif pour Tous, ont rapporté plusieurs témoins.

Depuis l’entrée en vigueur de la loi sur le mariage homosexuel, les plus résolus de ses opposants continuent de mener des actions qui se veulent spectaculaires. Sur Twitter, le Printemps français (@nelachonsrien), une nébuleuse d’opposants, a diffusé samedi une photographie montrant un lâcher de poules devant le domicile parisien de François Hollande.

Le Mali à l’honneur
Le défilé du 14 juillet, ouvert par les troupes maliennes, a commencé dimanche peu après 10h sur l’avenue des Champs Elysées, sous un soleil radieux et en présence d’une foule dense. Le président François Hollande a pris place à 10H00 à bord d’un véhicule de commandement. Il a passé en revue les troupes depuis l’Arc de Triomphe avant de descendre les Champs Elysées, escorté par les cavaliers de la Garde Républicaine, donnant ainsi le coup d’envoi du défilé.

Une soixantaine de soldats maliens défilent aux côtés de militaires français dont les unités ont été engagées au Mali. Un détachement de la Minusma, la force de l’ONU à forte composante africaine qui a pris ses fonctions début juillet au Mali, défile également.

Une économie de l’ordre de 10% à 15% par rapport à l’année dernière
Une centaine de jeunes en service civique devait aussi participer à ce grand rendez-vous républicain, une première depuis la création de ce service en 2010. Un détachement croate, dont le pays est l’invité d’honneur de ce défilé, deux semaines après son entrée dans l’Union européenne, est aussi prévu.

Sur le thème «Une armée d’avant-garde, fière de son passé», 4.800 hommes et femmes au total défileront sur les Champs-Elysées. Environ 265 véhicules – soit 35% de moins qu’en 2012 – participeront au défilé motorisé et 58 avions et 35 hélicoptères – 12% de moins – au défilé aérien.

Un format resserré qui devrait se traduire par une économie de l’ordre de 10% à 15% par rapport à l’année dernière, selon le gouverneur militaire de Paris, le général Hervé Charpentier. «Comme tous nos concitoyens, nous faisons attention à nos dépenses», a-t-il souligné lors du point de presse de la défense.

AFP