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Canada-Québec: Un nombre record d’étudiants au Cégep de Drummondville

août 22, 2022
Des étudiants devant l'entrée du Cégep de Drummondville à la rentrée.

Les cours débutent le 22 août au Cégep de Drummondville, avec un nombre record d’étudiants pour la session d’automne (archives). Photo : Photo Fournie/Cégep de Granby

C’est jour de rentrée ce lundi pour un peu plus de 3000 étudiants au Cégep de Drummondville. Il s’agit d’un record pour l’institution.

Le Cégep de Drummondville attribue ce succès à une meilleure communication avec les potentiels étudiants de la région et à son recrutement à l’international.

Le Cégep a déployé des efforts pour recruter des étudiants à l’étranger en vue de cette nouvelle année scolaire, affirme le directeur général du Cégep de Drummondville, Pierre Leblanc. Une mission a notamment été menée en France.

On commence à voir des résultats et ça va continuer, on va développer beaucoup l’international, a-t-il déclaré en entrevue à l’émission Toujours le matin.

Le Cégep a aussi mis une attention particulière à bien informer les gens qui proviennent de son bassin naturel d’étudiants. Environ 82 % de nos étudiants viennent de la MRC de Drummondville, a affirmé lundi le directeur général du Cégep de Drummondville, Pierre Leblanc.

Le Cégep de Drummondville accueille précisément 3048 étudiants pour la session d’automne 2022, ce qui représente 25 personnes de plus que l’an dernier. Près de la moitié d’entre eux se trouvent dans le secteur technique, 40 % dans le secteur préuniversitaire et 10,4 % en Tremplin DEC. Ce lundi, environ 1000 personnes font leur entrée au Cégep en première session d’un programme.

Des mesures pour contrer la pénurie de logements

Comme plusieurs autres villes du Québec, Drummondville est frappée par le manque de logements. Au printemps dernier, on voyait les choses venir, on se disait qu’on allait frapper un mur, donc on a fait preuve de créativité, d’originalité, a expliqué Pierre Leblanc au micro de Marie-Claude Julien.

Le Cégep a conclu des ententes avec des propriétaires et fait appel à la population. On a demandé à des familles si elles étaient intéressées à louer des chambres pour les étudiants et ça a aidé énormément, dit-il.

Autre nouveauté cette année, le Cégep a mis sur pied un bazar pour aider les étudiants. Ils peuvent y acheter des meubles, de la vaisselle ou des vêtements usagers en échange de contributions volontaires.

Ça a répondu à un besoin très important, affirme le directeur général du Cégep. Le bazar se termine mercredi

Radio-Canada avec Marilyn Marceau

Canada-Québec: L’industrie du mariage est plus que florissante en 2022

juin 11, 2022
Deux mains de mariés dont l'une met une bague à l'autre.

De nombreuses cérémonies de mariage ont été reportées depuis 2020. Photo : Shutterstock/ Kirlyv

Après deux ans de pandémie, de nombreux mariages pourront être enfin célébrés cet été. Les entreprises offrant des services font des affaires d’or, mais sont aussi débordées. Pour la majorité, il est impossible de prendre de nouvelles réservations avant 2023.

Pour plusieurs futurs mariés et membres de leur cortège, repousser la date du mariage a eu pour conséquence que les vêtements ne font plus. Si bien que les ateliers de couture sont submergés. Chez Aiguille et bouton d’or, à Drummondville, la propriétaire, Caroline Lemieux, raconte que plusieurs clients arrivent désespérés, mais que des solutions existent.

Quand c’est une fermeture dans le dos, on est capable de tout découdre ça, d’aller poser un lacet [à la place], donne-t-elle en exemple. Mais si le vêtement est devenu réellement trop petit, il faudra le refaire en entier et souvent, ça ne vaut pas tant la peine. Caroline Lemieux suggère de ne pas s’y prendre à la dernière minute parce que, en ce moment, les retouches occupent l’agenda pratiquement jusqu’au mois d’août.

Une allée menant jusqu'à l'autel de mariage.

L’industrie du mariage connaît une saison chargée. Photo : Istock

Pas de nouvelles réservations avant 2023

Les carnets de commandes débordent du côté des fleuristes. L’entreprise Il était une fleur, à Trois-Rivières, doit refuser des mariages pour la première fois de son histoire. Elle ne peut plus offrir de services pour les futurs mariés d’ici le mois d’octobre et, déjà, elle a commencé à prendre des réservations pour l’année 2023.

Cette situation prévaut également chez les hôteliers, qui affichent complet pour 2022. À l’auberge Le baluchon, à Saint-Paulin, la directrice des ventes de groupes, Caroline Lemire, raconte qu’on y célèbre deux mariages chaque fin de semaine depuis le mois d’avril et que la saison se prolonge jusqu’à la fin du mois d’octobre.

L’inflation vient toutefois influer sur le budget des futurs époux, même si leur mariage est réservé depuis trois ans. Le prix du menu a été révisé depuis ce temps. La directrice souligne que les clients demeurent compréhensifs et qu’elle parvient à trouver un terrain d’entente. C’est certain que l’établissement en absorbe une partie et le client aussi.

Comme l’auberge travaille beaucoup avec les produits locaux, elle parvient à maintenir des tarifs intéressants, puisqu’ils sont moins soumis à la valeur marchande internationale et que les frais de transport sont moins élevés.

Radio-Canada avec les informations de Pascale Langlois

Canada: Commémorations des victimes de la COVID-19 en Mauricie et au Centre-du-Québec

mars 10, 2021

Des cérémonies auront lieu le jeudi 11 mars dans la région pour souligner la Journée de commémoration nationale en mémoire des victimes de la COVID-19.

516 personnes sont décédés de la COVID-19 en Mauricie et au Centre-du-Québec.

© Yoann Dénécé/Radio-Canada 516 personnes sont décédés de la COVID-19 en Mauricie et au Centre-du-Québec.

Cérémonie à l’hôtel de ville de Shawinigan

Le conseil municipal de Shawinigan tiendra une courte cérémonie en mémoire des victimes de la COVID-19.

Le public est invité à se rendre à 12 h 30 devant l’hôtel de ville, jeudi. Le port du couvre-visage est demandé.

«Les familles et les proches des victimes sont tout particulièrement invitées à y participer», indique la Ville par voie de communiqué.

Les conseillers municipaux souhaitent aussi saisir l’occasion pour rendre hommage «à toutes celles et ceux qui, de près ou de loin, ont conjugué leurs efforts pour lutter contre cette pandémie».

Minute de silence à Drummondville et Nicolet

Les élus de Drummondville ont prévu tenir une minute de silence devant l’hôtel de ville à 13 h le 11 mars. Ils invitent le public à se joindre à eux.

À Nicolet, les citoyens sont conviés à une cérémonie des roses qui aura lieu à 12 h 50 devant l’oeuvre CovidArt dans le parc Marguerite-d’Youville.

Les villes de Bécancour et de Trois-Rivières mettront quant à elles leurs drapeaux en berne.

Commémorations religieuses

Les églises du diocèse de Trois-Rivières et du reste du Québec feront sonner leurs cloches à 13 h 02 le jeudi 11 mars.

Le sanctuaire Notre-Dame-du-Cap, dans le secteur Cap-de-la-Madeleine ouvrira ses portes de 10 h 30 à 18 h et les gens sont invités à déposer des fleurs ou une rose blanche à la basilique. Un organiste sera sur place pour accompagner les gens qui iront se recueillir.

À Shawinigan, la paroisse regroupée Notre-Dame-de-la-Joie dévoilera quant à elle une plaque en souvenir des personnes décédées de la Covid-19, à 13 h 15, à la croix du Calvaire au coin de la 105e avenue et de la 125e rue dans le secteur Shawinigan-Sud.

Une cérémonie se tiendra aussi à l’église Saint-Paul dans le secteur Grand-Mère entre 12 h 30 et 13 h 30. Les clochers et les églises du secteur de Shawinigan-Sud seront aussi illuminés entre 19 h et 19 h 30.

Avec CBC/Radio-Canada

Canada-Québec: Trois-Rivières et Drummondville près de leur capacité pour les patients COVID

décembre 6, 2020

Trois-Rivières et Drummondville sont près du maximum de leur capacité pour le nombre de patients hospitalisés pour la COVID-19. La capacité maximale combinée des deux hôpitaux est de 56 lits pour les patients qui ont contracté cette maladie.

L'urgence du Centre hospitaliser affilié universitaire régional de Trois-RIvières.© Jean-François Fortier/Radio-Canada L’urgence du Centre hospitaliser affilié universitaire régional de Trois-Rivières.

Actuellement, 48 des 56 lits en hospitalisation régulière sont occupés.

Il reste quatre lits aux soins intensifs sur une capacité de 12.

Le Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux de la Mauricie-et-du-Centre-du-Québec (CIUSSS MCQ) a d’ailleurs déjà entamé le délestage de plusieurs activités. Les chirurgies non urgentes sont reportées.

Par ailleurs, la Mauricie et le Centre-du-Québec recensent 70 nouveaux cas de COVID-19 samedi. La région sanitaire compte aussi trois décès supplémentaires.

Les trois personnes ayant succombé à la maladie étaient toutes des résidentes de résidences privées pour aînés.

Deux nouvelles écoles ont enregistré pour la première fois des cas de COVID-19, soit l’école Saint-Pie-X et l’école Saint-François-d’Assise.

Pendant ce temps, la province enregistre 2031 nouvelles infections et près de 50 décès viennent alourdir le bilan.

 Avec CBC/Radio-Canada

Canada-Québec: Le port du masque obligatoire dès la maternelle au Collège Saint-Bernard

août 10, 2020
Le Collège Saint-Bernard de Drummondville
© Jean-François Dumas/Radio-Canada Le Collège Saint-Bernard de Drummondville
Le Collège Saint-Bernard de Drummondville n’a pas attendu le plan révisé de Québec avant de trancher : tous ses élèves, de la maternelle à la cinquième secondaire, devront porter un masque lors du retour à l’école.

À l’instar des mesures adoptées et présentées lundi par le ministre de l’Éducation Jean-François Roberge, les élèves et le personnel du Collège Saint-Bernard devront porter leur masque dans les déplacements et dans les aires communes. Ils n’auront pas à le porter en classe.

La direction de l’établissement a pris cette décision au printemps dernier. «C’était dans la liste de matériel scolaire, qui a été envoyée à la fin juin», a expliqué le directeur général du Collège, Dominique Guévin, au micro de Facteur matinal.

L’école privée de Drummondville avait déjà adopté le port du masque obligatoire lors de la rentrée provisoire des élèves de niveau primaire au printemps dernier.

«Le port du masque était presque marginal quand il est devenu obligatoire au Collège», a rappelé Dominique Guévin.

«Les jeunes se sont super bien adaptés», a-t-il assuré. Pour les tout-petits de la maternelle, l’établissement avait mis les parents dans le coup pour valider l’application des mesures sanitaires comme le lavage des mains et la manipulation du masque.

La rentrée de septembre se fera donc de la même manière, à la différence que les élèves de niveau secondaire seront eux aussi de retour en classe et dans les corridors.

Le Collège Saint-Bernard a même choisi d’imposer le port du masque dans le transport scolaire, pour être conséquent avec l’obligation du port du masque dans le transport en commun. «On va aller au-delà», a expliqué le directeur de l’école privée.

 

Avec CBC/Radio-Canada