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Mort du chef de cabinet d’Assimi Goïta : le GSIM revendique l’embuscade

avril 22, 2023

Quatre personnes, dont deux militaires ont été tués au cours de l’attaque survenue le 18 avril près de la frontière entre la Mauritanie et le Mali. Affilié à Al-Qaïda, le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans s’est aussi dit responsable d’une autre embuscade, au cours de laquelle sept militaires ont été tués.

Le chef de la junte malienne et président de la transition, le colonel Assimi Goïta. © AP/SIPA.

Le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM, ou JNIM selon l’acronyme arabe), affilié à Al-Qaïda, a revendiqué l’embuscade meurtrière qui a coûté la vie le 18 avril au chef de cabinet du colonel Assimi Goïta, président de la transition au Mali, selon son communiqué relayé le 21 avril par SITE Intelligence Group, un organisme spécialisé dans l’étude des groupes extrémistes.

Deux otages ont également été faits au cours de l’attaque, survenue près de la frontière mauritanienne, indique le GSIM dans son communiqué. Il s’agirait vraisemblablement du chauffeur Kissima Keïta, qui n’a pas réapparu, et du chef d’un village voisin, Sidy Mohamed Ould Lamba, également introuvable.

La délégation « des œuvres sociales du président » était venue inspecter des forages de puits pour les populations locales à proximité de la ville de Nara, non loin de la forêt du Wagadou, connue pour abriter des bases jihadistes. Un responsable administratif dans la région a affirmé que « la mission n’avait pas une escorte adéquate ».

Dans un communiqué diffusé le 20 avril, la présidence bukinabè avait confirmé la mort de l’adjudant Oumar Traoré, dit Douglass, et du sergent-chef Mohamed Sangaré, agent de sécurité. Alassane Diallo, chauffeur, et Moussa Touré, opérateur du forage, figurent aussi parmi les victimes.

Une autre embuscade revendiquée

Outre cette embuscade, le GSIM a également affirmé en avoir mené une autre le 19 avril, tuant sept soldats dans une attaque entre Sokolo et Farabougou, dans le centre du Mali, indiquant que trois de ses combattants ont alors été tués, selon SITE. L’armée malienne n’a pas confirmé l’incident.

L’an passé, ce groupe terroriste avait revendiqué l’attaque suicide visant Kati, cœur de l’appareil militaire malien, aux portes de Bamako. Cette attaque avait tué au moins un soldat malien, fait six blessés dont un civil, tandis que sept assaillants avaient été « neutralisés » et huit autres arrêtés. Le GSIM s’était dit par la suite capable d’intervenir à Bamako « de jour comme de nuit ».

Un mois après cette annonce, à la fin d’août 2022, les services de sécurité burkinabè étaient parvenus à éliminer un chef local de l’organisation terroriste, Sadou Dicko au cours d’une offensive à l’est du pays. Originaire de Mourdeni, il avait débuté ses activités terroristes en 2019.

Par Jeune Afrique (avec AFP)

Nigeria: 7 soldats tués dans une embuscade tendue par des djihadistes

septembre 27, 2019

 

Au moins sept soldats nigérians ont été tués dans l’attaque de leur convoi par des djihadistes dans l’Etat de Borno, dans le nord-est du Nigeria, a annoncé vendredi 27 septembre un haut responsable militaire.

Des combattants de l’Etat islamique en Afrique de l’Ouest (ISWAP) ont attaqué mercredi à l’arme lourde et à l’aide de grenades un convoi militaire aux alentours de la ville de Gubio (nord-est), entraînant une bataille féroce entre les djihadistes et les soldats, a rapporté l’officier sous couvert de l’anonymat. «Nous avons perdu sept soldats lorsque nos hommes ont été touchés par un RPG» (lance-roquettes), a déclaré cette même source. Une autre source militaire a confirmé l’incident sans donner de bilan.

Dès jeudi, l’ISWAP avait revendiqué l’attaque, affirmant avoir tué 14 soldats et en avoir capturé deux autres, selon les informations de SITE, groupe de surveillance international des activités djihadistes, ce qui a été démenti par les sources militaires. Les insurgés ont également déclaré avoir saisi des armes et des munitions ainsi qu’un camion militaire dans l’attaque. Depuis juillet 2018, l’ISWAP intensifie ses attaques contre les bases militaires du Nord-Est et a fait des dizaines voire des centaines de morts au sein des armées régionales, et accumule un important arsenal de guerre. En 10 ans, le conflit a fait près de 35.000 morts, et plus de 2 millions de déplacés ne peuvent toujours pas regagner leur foyer.

Par Le Figaro.fr avec AFP

Mozambique: 16 personnes tuées dans une embuscade attribuée à des islamistes

mai 31, 2019

 

Seize personnes ont été tuées dans une embuscade tendue par des islamistes présumés mardi sur une route du nord du Mozambique, l’attaque la plus meurtrière commise par ce groupe qui sème la terreur depuis 2017, a appris l’AFP de sources locales.

«Huit personnes ont été tuées dans le véhicule et sept autres ont été tuées sur place alors qu’elles tentaient de s’enfuir», a déclaré vendredi un enseignant qui a perdu un collègue dans l’attaque. Une autre personne a succombé à ses blessures mercredi. Le bilan a été confirmé par un responsable local sous couvert d’anonymat.

Publiée par Le Figaro.fr avec AFP

Mali: six morts dans une embuscade visant le président de la Haute cour de justice

novembre 1, 2017

 

Des soldats maliens dans la région de Mopti, dans le centre du pays, en 2012. © Francois Rihouay/AP/SIPA

Le convoi du député Abdrahamane Niang, président de la Haute cour de justice, a été la cible d’une embuscade mardi dans la région de Mopti, dans le centre du pays. Son chauffeur ainsi que cinq soldats ont été tués.

Le convoi a été ciblé mardi alors qu’il se trouvait entre les localités de Dia et de Diaffarabé, dans la région de Mopti (centre), selon une source militaire malienne citée par l’AFP. « Le député [Abdrahamane Niang] est sain et sauf, ainsi que son épouse et ses deux gardes du corps. Mais son chauffeur civil a été tué par les jihadistes », a précisé une source policière locale, interrogée depuis Bamako. Cinq militaires maliens, qui allaient porter assistance au député, ont été tués lorsque leur véhicule a sauté sur une mine.

Abdrahamane Niang, député de la région de Mopti, est également le président de la Haute cour de justice, une instance crée en mars 2014 dont la mission est de juger les chefs d’États et ministres soupçonnés de haute trahison ou de crimes au cours de leurs mandats. Sa création avait à l’origine en ligne de mire l’ancien président malien, Amadou Toumani Touré,  renversé par un coup d’État le 22 mars 2012 et actuellement réfugié au Sénégal.

Nouvelle aide financière pour le G5 Sahel

Cette attaque est intervenue alors que les États-Unis ont annoncé, mardi, l’attribution d’une aide financière de 60 millions de dollars aux pays du G5 Sahel (Mali, Niger, Mauritanie, Burkina Faso, Tchad) en vue de la création d’une force conjointe de lutte antiterroriste.

Mardi, également, le président malien Ibrahim Boubacar Keïta a été reçu à l’Élysée par son homologue français. Emmanuel Macron a alors affirmé que « le succès de la force conjointe était une obligation collective » et s’est félicité de « quelques avancées symboliques notables depuis les combats cet été » dans le processus de paix au Mali.

Jeuneafrique.com avec AFP

Mali: au moins six morts dans une embuscade d’islamistes près de Tombouctou

octobre 13, 2015

Bamako – Au moins six personnes ont été tuées mardi dans la région de Tombouctou, dans le nord du Mali, dans une embuscades attribuée à des islamistes, ont indiqué à l’AFP des sources de sécurité et administrative maliennes.

Au moins six civils sont morts, brûlés ou tués par balle, après une double attaque organisée par les islamistes dans une localité proche de Gossi (sud-est de Tombouctou), a indiqué la source administrative.

L’information a été confirmée par la source de sécurité malienne qui a évoqué six civils tués. De son côté, une source de sécurité au sein de la Mission de l’ONU au Mali (Minusma) a fait état de plus de six morts, sans donner davantage de précisions.

Les islamistes ont d’abord posé une mine. Un véhicule civil a sauté sur la mine. Après l’explosion, deux autres véhicules civils qui venaient par l’arrière ont été accidentés et les islamistes sont sortis de leur cachette pour tirer sur les civils, a déclaré la source de sécurité malienne.

Derrière les trois véhicules, arrivaient trois camions citernes travaillant pour le compte de la Minusma qui ont été incendiés par les mêmes islamistes, a ajouté cette source.

Joint par l’AFP depuis Bamako, un habitant de la région a confirmé cette attaque, précisant qu’elle avait été perpétrée dans le village de Tassgilat.

Il a indiqué avoir vu des corps brûlés. Les islamistes ont aussi tué des gens. J’ai vu le feu. Les militaires maliens sont venus mais les terroristes étaient déjà partis, a-t-il poursuivi.

Une source de sécurité au sein de la Minusma a affirmé qu’il y a eu plus de six morts et que six véhicules ont été incendiés ou endommagés dans l’attaque. C’est très probablement notre convoi qui était visé, et les terroristes ont élaboré un plan pour y parvenir, a-t-elle estimé.

Le 9 octobre, trois civils ont été tués dans la région de Mopti (centre), à la lisière du vaste Nord, dans une attaque également attribuée à des islamistes, selon des sources de sécurité et administrative malienne.

Longtemps concentrées dans le nord du Mali, les attaques jihadistes se sont étendues depuis le début de l’année vers le centre du pays, puis à partir de juin au Sud, aux frontières avec la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso.

Le nord du Mali était tombé en mars-avril 2012 sous la coupe de groupes jihadistes liés à Al-Qaïda après la déroute de l’armée face à la rébellion à dominante touareg, d’abord alliée à ces groupes qui l’ont ensuite évincée.

Les groupes jihadistes y ont été dispersés et en ont été en grande partie chassés à la suite du lancement en janvier 2013, à l’initiative de la France, d’une intervention militaire internationale qui se poursuit actuellement.

Mais des zones entières échappent encore au contrôle des forces maliennes et étrangères, malgré la signature en mai-juin d’un accord de paix entre le gouvernement et la rébellion.

Romandie.com avec(©AFP / 13 octobre 2015 17h54)

Burundi : le chef d’état-major de l’armée réchappe d’une embuscade qui a fait sept morts à Bujumbura

septembre 11, 2015

Les tentatives d’assassinats ciblés se poursuivent au Burundi. Ce vendredi, c’est le chef d’état-major du pays qui a été visé par une attaque dont il a pu réchapper. Sept personnes ont en revanche été tuées.

Le numéro 1 de l’armée burundaise, le général Prime Niyongabo, a réchappé vendredi d’une embuscade contre son convoi à Bujumbura, au cours de laquelle sept personnes ont été tuées, ont annoncé des sources policières.

« Il y a eu un attentat contre le chef d’état-major de l’armée, heureusement il n’a rien eu, mais deux des assaillants ont été tués et un troisième capturé », a déclaré  le directeur-général adjoint de la police burundaise, le général Godefroid Bizimana. « Nous sommes en train de traquer le reste du commando », a-t-il poursuivi.

Un haut-gradé de la police a précisé que quatre militaires de son escorte avaient également péri ainsi qu’une policière. Selon ce haut-gradé, les assaillants, vêtus de tenues militaires, circulaient dans un véhicule de l’armée depuis lequel ils ont ouvert le feu sur le véhicule du général Niyongabo et sur celui de son escorte.

Une attaque « minutieusement préparée »

« L’attaque était minutieusement préparée, elle a été soudaine et violente. Quatre des gardes du corps du chef d’état-major ont été tués sur le champ, et lui-même n’a dû son salut qu’au fait que son chauffeur a dépassé un bus transportant des policiers, empêchant les assaillants de le rattraper », a expliqué ce haut-gradé ayant requis l’anonymat.

Le général Nyongabo est considéré comme un dur du régime burundais. Il a notamment contribué à la mise en échec de la tentative de coup d’État militaire des 13 et 14 mai derniers au Burundi.

Un autre homme-clé de l’appareil sécuritaire burundais et artisan de l’écrasement du putsch, le général Adolphe Nshimirimana, ancien chef du Service national des Renseignements (SNR) considéré comme le bras droit du président Pierre Nkurunziza, a péri dans une embuscade similaire – tendue par des hommes en uniforme militaire lourdement armés – début août.

Jeuneafrique.com

Nigeria: le chef de l’armée échappe à une embuscade de Boko Haram

août 23, 2015

Abuja – Le chef de l’armée nigériane, le général Tukur Buratai, a échappé indemne à une embuscade des islamistes de Boko Haram dans le nord-est du Nigeria, a affirmé dimanche le porte-parole de l’armée Sani Usman.

Nommé en juillet dernier, le général Buratai visitait samedi un contingent de l’armée à Faljari, à 45 km de Maiduguri, capitale de l’État de Borno, lorsque son convoi a été attaqué. Lors de la fusillade qui a suivi, dix militants islamistes et un soldat nigérian ont été tués, a ajouté le porte-parole.

Les terroristes ont essuyé une écrasante puissance de feu des soldats au cours de laquelle 10 d’entre eux sont morts. Nos troupes ont capturés cinq terroristes, a affirmé l’officier.

Malheureusement, nous avons perdu un soldat lors de l’affrontement, tandis qu’un officier et quatre soldats ont été blessés par balles, a-t-il ajouté.

L’attaque de samedi intervient au lendemain de la mort de deux soldats victimes de l’explosion d’une mine près de Dikwa, une ville reprise aux jihadistes en juillet.

Boko Haram a intensifié ses attaques dans l’État de Borno et dans deux autres États voisins du nord-est depuis que le nouveau président Muhammadu Buhari a pris ses fonctions fin mai.

Cette nouvelle vague de violence a coûté la vie à plus de 1.000 personnes et mis en échec les efforts lancés depuis le début de l’année par les armées du Nigéria, du Tchad, du Cameroun et du Niger qui s’efforcent de contrer Boko Haram.

Une Force d’intervention conjointe multinationale (MNJTF) de 8.700 hommes regroupant Nigeria, Niger, Tchad, Cameroun et Bénin, doit être déployée incessamment dans le nord-est du Nigeria et aux confins des frontières du Cameroun et du Tchad.

L’insurrection de Boko Haram a fait plus de 15.000 morts depuis 2009.

Romandie.com avec(©AFP / 23 août 2015 13h55)

Afghanistan: 22 policiers tués dans une embuscade des talibans

octobre 13, 2014

Mazar-i-Sharif (Afghanistan) – Vingt-deux policiers afghans ont été tués lundi dans une embuscade des talibans dans la province de Sar-e-Pul (nord de l’Afghanistan), ont indiqué à l’AFP des responsables locaux, qui font état de 23 morts chez les talibans.

Ils sont tombés dans une embuscade sur le chemin entre les secteurs de Laghman et Alaf Safid. 22 policiers ont été tués, huit ont été blessés et sept ont été fait prisonniers, a dit à l’AFP le gouverneur de la province Abdul Jabar Haqbin.

Les policiers tués dans l’embuscade faisaient partie d’un renfort envoyé pour aider leurs collègues en difficulté.

L’attaque a eu lieu vers 13H00 locales (08H30 GMT) lorsqu’un groupe de talibans en surnombre a attaqué les policiers. Environ 10 véhicules de police ont été incendiés au cours de l’incident, a dit le gouverneur.

Ils ont appelé les forces étrangères (Isaf) pour demander un soutien aérien, mais il est arrivé très tard, a-t-il ajouté. Selon lui, 23 talibans ont également été tués au cours d’un échange de tirs qui s’est déroulé sur plusieurs heures.

Kazim Kenhan, un porte-parole de la police de la province a confirmé l’embuscade.

Les représentants des talibans n’étaient pas joignables immédiatement pour commenter.

La saison des combats, qui touche à sa fin en Afghanistan avec l’arrivée de l’automne, a été particulièrement meurtrière cette année avec de violents combats notamment dans les provinces de Helmand (sud), Kunduz (nord) ou encore dans le Logar, tout près de Kaboul.

Ce nouvel incident intervient à quelques semaines seulement du retrait du gros des forces de l’Otan en Afghanistan (Isaf) qui aura lieu en décembre.

En 2015, à la suite de la signature d’un accord de sécurité entre l’Afghanistan d’une part et les Etats-Unis et l’Otan d’autre part, quelque 12.500 soldats étrangers devraient rester sur place.

Mais la hantise des autorités afghanes reste le manque de couverture aérienne, une fois le contingent de l’Otan réduit, pour protéger les forces gouvernementales de ce type d’attaque.

Romandie.com avec(©AFP / 13 octobre 2014 14h57)

Algérie : quatorze militaires tués à la suite d’une embuscade en Kabylie

avril 20, 2014

Quatorze militaires algériens ont été tués à la suite d’une embuscade survenue dans la nuit de samedi à dimanche en Kabylie, région montagneuse à l’est d’Alger, a-t-on annoncé de source sécuritaire.

Onze soldats sont morts sur le coup et trois autres, grièvement atteints, ont succombé à leurs blessures, selon cette source citée par l’agence APS.

Un convoi de l’Armée nationale populaire (ANP), qui revenait d’une opération de sécurisation du scrutin présidentiel de jeudi, a été surpris par un +important+ groupe terroriste qui lui a tendu une embuscade, au lieu-dit la Carrière, dans la commune d’Iboudrarène, au pied du massif du Djurdjura, selon la même source. Le président Abdelaziz Bouteflika a été réélu par 81,53% des voix pour un 4e mandat à l’issue de ce scrutin.

Une opération de recherche a été immédiatement déclenchée par l’ANP pour retrouver les assaillants, a ajouté cette source.

Une autre source sécuritaire a indiqué à l’AFP qu’une dizaine d’autres militaires auraient été blessés et que des renforts ont été acheminés sur les lieux.

Embuscade

L’embuscade a eu lieu sur le site d’une carrière d’extraction de sable, sur une route départementale, en épingle à cheveux, qui mène vers la station climatique de Tikjda.

La Kabylie, région montagneuse et boisée à une centaine de km à l’est d’Alger, reste un théâtre d’opérations d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) qui mène des attaques contre les forces de sécurité.

Un communiqué du ministère de la Défense publié dimanche a souligné que l’axe Boumerdès-Tizi-Ouzou-Bouira (en Kabylie) demeure la zone où l’activité antiterroriste a enregistré les résultats les plus probants, durant le premier trimestre 2014.

Vingt et un terroristes, terme désignant les islamistes armés, ont été éliminés par les éléments de l’ANP dans cette zone relevant de la 1ère Région militaire, a indiqué le texte.

Au total, ce sont 37 terroristes qui ont été tués par l’ANP durant cette période et sur l’ensemble du territoire.

Des dizaines d’armes de guerre, des lance-roquettes, des roquettes, des obus, des grenades artisanales et des missiles air sol ont été récupérés par l’armée.

Jeuneafrique.com avec AFP