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Congo-Satanisme au Trésor Public : des inspecteurs et contrôleurs qui chauffent en millions pipent les pénis des DG dans leurs bureaux

mars 12, 2022
 Satanisme au Trésor Public : des inspecteurs et contrôleurs qui chauffent en millions pipent les pénis des DG dans leurs bureaux

C’est une indiscrétion interne au Trésor Public du Congo qui a fait cette révélation suite aux représailles liées à son refus de s’adonner à ses pratiques. Les Dg des services de cet établissement lui auraient proposé de fermer les yeux sur son probable enrichissement via les magouilles s’il acceptait de leur faire la fellation trois fois dans la semaine. Au Trésor Public, nombreux sont ces inspecteurs et contrôleurs avec un salaire connu de tous, mais qui vivent comme des millionnaires. La direction ferme les yeux sur des deals de recouvrement et sorties d’argent au Trésor Public.

Au Congo pour devenir facilement riche sur le dos de l’État, il faut soit être un voleur, soit se soumettre aux caprices sexuelles de la hiérarchie. C’est ce qui se passe au Trésor Public où s’est fortifiée une mafia satanique fermant totalement les yeux sur les magouilles de ses membres.

Dans la ville de Brazzaville, tout le monde peut remarquer comment certains inspecteurs et contrôleurs du Trésor Public mènent une vie ostentatoire et d’autres non. Comment un simple inspecteur avec un salaire autour d’un million Cfa peut-il être propriétaire de plusieurs biens immobiliers d’une valeur dépassant largement ses revenus ?

Ces nouveaux riches du Trésor Public s’adonnent tout simplement à des pratiques sataniques qui consistent à satisfaire les appétits sexuels de leur hiérarchie. On rapporte que ces chefs obligent ces inspecteurs et contrôleurs à leur pratiquer des fellations trois fois dans la semaine. Ils doivent aussi avaler leur sperme et en retour, ils peuvent réaliser tous leurs rêves d’enrichissement.

Ces inspecteurs et contrôleurs du Trésor Public, une fois ayant reçu le feu vert des supérieurs se livrent à une prédation sans pitié des fonds publics à travers des méthodes bien ficelées. Des factures de complaisances sont soumises à cet établissement qui décaisse des millions qui atterrissent directement dans les poches de ces esclaves sexuels.

«Un inspecteur peut facilement chaque mois sortir du Trésor Public grâce aux fausses factures plus de 100 millions cfa » affirme une source. Ces mêmes contrôleurs et inspecteurs avec la bénédiction de leurs supérieurs gardent avec eux les fonds que reversent certaines régies financières et institutions. Aussi, la direction leur créé des missions à l’étranger ou à l’intérieur du pays avec des frais de rêves. Par exemple, pour une mission de une semaine à Pointe-Noire, un inspecteur et contrôleur se retrouve avec des frais de 3 millions cfa.

« N’enviez pas ces gens dans vos quartiers avec tous leurs biens immobiliers ou voitures ! Sucer le pénis d’un autre homme et avaler son sperme est une abomination et c’est comme ça qu’ils ont tous ces millions » conseille une source du Trésor Public.

Avec Lecongolais.fr

France: Les époux Fillon se sont « enrichis de manière illicite », estime l’accusation en appel

novembre 29, 2021
Les epoux Fillon se sont "enrichis de maniere illicite", estime l'accusation en appel
Les époux Fillon se sont « enrichis de manière illicite », estime l’accusation en appel© AFP/Archives/Thomas COEX

L’affaire des soupçons d’emplois fictifs de Penelope Fillon est celle de « personnes (qui) se sont enrichies de manière illicite », a estimé lundi l’accusation au procès en appel de François Fillon, de son épouse et de son ex-suppléant Marc Joulaud.

L’avocat général Yves Micolet a débuté son réquisitoire peu après 13h30 en défendant l’enquête du Parquet national financier (PNF) puis l’instruction menées en pleine campagne présidentielle en 2017 face aux critiques de la défense de l’ancien Premier ministre.

« Faire le procès du PNF est un leurre pour essayer de masquer la gravité des faits par les prévenus », a assené le magistrat. « Il n’y a pas eu d’immixtion illégale de la justice dans l’élection présidentielle (ni) d’atteinte à la séparation des pouvoirs ».

Là où la défense a dénoncé une ouverture d’enquête précipitée et téléguidée en janvier 2017 après la parution d’une série d’articles dans Le Canard enchaîné, le parquet général a fait valoir que le PNF était compétent pour se saisir du dossier et qu' »il y avait manifestement la possibilité de réaliser dans (les) trois mois » avant l’élection « des investigations » sur la réalité du travail de Mme Fillon.

Ecartant l’idée d’un « procès hors norme », Yves Micolet a estimé qu’en-dehors du statut d’ancien Premier ministre du principal prévenu et de l’Assemblée nationale et du Sénat comme victimes, il s’agissait d' »un dossier tout à fait classique de nos chambres financières, un dossier dans lequel des personnes se sont enrichies de façon illicite ».

« La question » est celle « de l’effectivité du travail » des assistants parlementaires qui sont « payés par les deniers publics », a-t-il rappelé.

Les trois prévenus, condamnés en première instance, sont rejugés depuis le 15 novembre pour détournement de fonds publics, complicité ou recel de cette infraction notamment, concernant trois contrats d’embauche de Penelope Fillon comme assistante parlementaire entre 1998 et 2013. Rémunération totale: plus de 612.000 euros nets.

A la barre de la cour d’appel, ils ont répété l’un après l’autre que Penelope Fillon avait accompli un réel travail en tant que « collaboratrice de terrain » dans la circonscription de la Sarthe où M. Fillon avait été élu député.

Quelques « erreurs »

Les prévenus ont assuré que la discrète Franco-Galloise entretenait le « lien de confiance » avec les habitants en participant à des manifestations locales, en gérant le courrier qui arrivait chez eux ou en préparant des « mémos ».

S’il en reste si peu de traces, c’est qu’il s’agissait d’un travail surtout « oral », ont-ils soutenu.

Très peu de personnes savaient que Penelope Fillon était assistante parlementaire ? Le couple avait décidé de mettre en avant son statut d’épouse, gage de plus de proximité, ont-ils affirmé, ne reconnaissant que quelques « erreurs » d’organisation ou de communication.

Dans ce dossier, les époux Fillon sont aussi mis en cause pour l’emploi de leurs deux aînés comme collaborateurs de leur père sénateur entre 2005 et 2007 (46.000 euros nets) et pour le contrat de « conseillère littéraire » de Penelope Fillon, en 2012 et 2013, à la Revue des deux mondes, propriété de Marc Ladreit de Lacharrière (135.000 euros bruts).

Là aussi, ils se défendent d’avoir enfreint la loi.

François Fillon est enfin poursuivi pour avoir omis de déclarer un prêt de 50.000 euros de M. Ladreit de Lacharrière à la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP) – le parquet général a d’ores et déjà annoncé qu’il ne remettrait pas en cause sa relaxe sur ce point en première instance.

Dans son jugement, le 29 juin 2020, le tribunal correctionnel avait presque intégralement suivi le réquisitoire du parquet national financier (PNF).

L’ancien locataire de Matignon, 67 ans aujourd’hui, avait été condamné à cinq ans d’emprisonnement dont deux ferme, 375.000 euros d’amende et dix ans d’inéligibilité.

Penelope Fillon, 66 ans, s’était vu infliger trois ans de prison avec sursis, 375.000 euros d’amende et deux ans d’inéligibilité et M. Joulaud, 54 ans, trois ans avec sursis, 20.000 euros d’amende avec sursis et 5 ans d’inéligibilité.

Par Le Point avec AFP

Teodoro Nguema Obiang Mangue sous le coup de sanctions britanniques pour corruption

juillet 22, 2021
Teodorín Obiang, le 30 septembre 2015 au siège des Nations Unies (image d’illustration).

Le fils du président équato-guinéen, et vice-président du pays, est sous l’objet de sanctions édictées jeudi par le gouvernement britannique.

Ces sanctions, qui prévoient un gel des avoirs et des interdictions d’entrée au Royaume-Uni, ont été prises dans le cadre d’un régime de sanctions anticorruption qui avait déjà permis de punir en avril 22 individus de six pays différents, dont la Russie. « Les mesures que nous avons prises aujourd’hui ciblent des individus qui se sont enrichis aux dépens de leurs citoyens », a déclaré le ministre britannique des Affaires étrangères, Dominic Raab, dans un communiqué.

Parmi les personnes ciblées figure Teodorin Obiang Mangue, vice-président de Guinée équatoriale et fils du président, notamment pour le « détournement de fonds publics » et des pots-de-vin lui ayant permis de financer un train de vie somptueux. Il aurait consacré plus de 500 millions de dollars à l’acquisition de résidences de luxe à travers le monde, d’un jet privé, de voitures et d’objets de collection liés au chanteur Michael Jackson.

Système indépendant de sanctions

En février 2020, il avait été condamné en appel en France à trois ans de prison avec sursis, 30 millions d’euros d’amendes et des confiscations. Nawfal Hammadi al-Sultan, l’ancien gouverneur de la province irakienne de Ninive, dont le chef-lieu est Mossoul, est lui visé pour avoir détourné des fonds publics destinés à la reconstruction.

Avec eux l’homme d’affaires zimbabwéen Kudakwashe Regimond Tagwirei, dont les agissements de sa société Sakunda Holdings ont contribué à la dévaluation de la monnaie et la hausse des prix de biens essentiels au Zimbabwe. Les hommes d’affaires colombiens Alex Nain Saab Moran et Alvaro Enrique Pulido Vargas se voient eux reprocher d’avoir détourné à leur profit des programmes publics au Venezuela en matière de logement et d’aide alimentaire.

Après être sorti de l’Union européenne, le Royaume-Uni, important centre financier international, avait adopté en 2020 un nouveau système indépendant de sanctions visant les auteurs de violations des droits humains, complété ultérieurement par un volet s’attaquant à la corruption

 Par Jeune Afrique avec AFP

Sénégal: la Cour suprême confirme la condamnation de Karim Wade pour enrichissement illicite

août 20, 2015

Dakar – La Cour suprême du Sénégal a confirmé jeudi la condamnation en mars de l’ancien ministre sénégalais Karim Wade à six ans de prison pour enrichissement illicite, après avoir rejeté les pourvois en cassation introduits par ses avocats, a constaté un journaliste de l’AFP.

La Cour suprême rejette les pourvois de Karim Wade contre l’arrêt du 23 mars prononcé par la Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI, juridiction spéciale), a déclaré le président de l’audience, Abdourahmane Diouf.

Karim Wade, fils de l’ancien président sénégalais (2000-2012), Abdoulaye Wade, a été condamné en mars à six ans de prison et à plus de 210 millions d’euros d’amende par la CREI.

Les arguments de la défense de Karim Wade pour casser le verdict du 23 mars, liés notamment à l’impartialité de la CREI, sa composition irrégulière, le privilège de juridiction en raison de sa qualité d’ancien ministre de M. Wade, ont été jugés non fondés par la Cour suprême.

L’arrêt de la Cour suprême a été rendu en l’absence de Karim Wade et ses avocats qui avaient boycotté l’audience ouverte le 6 août pour l’examen de leurs pourvois en annulation, expliquant ainsi protester contre la violation de leurs droits.

Karim Wade était accusé d’avoir illégalement acquis 178 millions d’euros par le biais de montages complexes lorsqu’il était conseiller puis ministre de son père, ce qu’il nie.

Son patrimoine comprend, selon l’accusation, des sociétés au Sénégal et à l’étranger, des comptes bancaires, des propriétés immobilières et des voitures.

Il est un des responsables du Parti démocratique sénégalais (PDS, opposition), formation créée et toujours dirigée par son père.

Le PDS, après avoir épuisé toutes les voies (judiciaires), va utiliser des voies politiques pour régler une question éminemment politique, a déclaré à la presse son-porte-parole, Babacar Gaye, à l’issue de l’audience de jeudi.

Deux jours avant l’annonce du verdict du 23 mars, Karim Wade avait été désigné candidat à la prochaine présidentielle par le PDS. Sa condamnation ne le déchoit pas de ses droits civiques, selon le ministère sénégalais de la Justice.

Son père, Abdoulaye Wade, a toujours dénoncé un procès politique visant à l’écarter de la présidentielle qui doit se tenir en 2017 ou en 2019, en fonction d’une réforme visant à réduire à cinq ans le mandat du président actuel Macky Sall.

Romandie.com avec(©AFP / 20 août 2015 14h57)

Sénégal: Karim Wade condamné à six ans de prison ferme pour enrichissement illicite

mars 23, 2015

Dakar – L’ex-ministre sénégalais Karim Wade, fils de l’ancien président Abdoulaye Wade, a été condamné lundi à six ans de prison ferme et plus de 210 millions d’euros d’amende pour enrichissement illicite.

Karim Wade a été reconnu coupable du délit d’enrichissement illicite et condamné à six ans de prison ferme et plus de 138 milliards de FCFA d’amende, selon la décision lue par le président de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI), une juridiction spéciale.

Le chef d’accusation de corruption n’a en revanche pas été retenu contre Karim Wade, qui a été désigné samedi par son parti candidat à la prochaine présidentielle.

Le parquet avait requis le 17 février contre l’ancien puissant ministre sept ans de prison ferme, plus de 380 millions d’euros d’amende, une privation de droits civiques et une confiscation de ses biens.

L’annonce du verdict par le président, Henri Grégoire Diop, a été interrompue par les hurlements des dizaines de partisans de Karim Wade présents à l’audience, dont beaucoup ont fondu en larmes, couvrant la fin de la lecture de la décision.

Karim Wade, 46 ans, en détention préventive depuis avril 2013, principal prévenu de ce procès qui s’est ouvert le 31 juillet 2014, où il comparaissait avec une dizaine de complices présumés, était absent de l’audience lundi.

Selon plusieurs avocats interrogés par l’AFP, il pourrait se pourvoir en cassation devant la Cour suprême.

Depuis le matin, le palais de justice était placé sous forte surveillance, avec des policiers et gendarmes déployés dans l’enceinte et autour du site, selon des journalistes de l’AFP.

L’ancien chef de l’Etat Abdoulaye Wade, bientôt 89 ans, qui n’a assisté à aucune audience, s’est rendu lundi matin au palais, accueilli par des vivats de militants et sympathisants de sa formation, le Parti démocratique sénégalais (PDS).

Karim Wade était accusé d’avoir illégalement acquis 178 millions d’euros par le biais de montages financiers complexes du temps où il était conseiller puis ministre de son père, ce qu’il nie.

Son patrimoine comprend, selon l’accusation, des sociétés au Sénégal et l’étranger, des comptes bancaires, des propriétés immobilières et des voitures.

Romandie.com avec(©AFP / 23 mars 2015 13h43)