France: Une enseignante menacée après avoir révélé que le Père Noël n’existait pas

Des mamans n’ont pas aimé que l’enseignante d’une classe de CE2-CM1 affirme que chacun est libre de croire ou non au Père Noël, selon « La Provence ».

Le Père Noël va, les semaines passant, de plus en plus devenir un sujet central dans bon nombre de foyers. À Aubord, dans le Gard, la question risque de devenir épineuse. L’institutrice d’une classe de CE2 et CM1 a préféré répondre à ses élèves que chacun était libre de croire ou non en l’existence du vieil homme en rouge. Un positionnement qui a provoqué la colère de plusieurs parents d’élèves, selon La Provence. Quatre d’entre eux ont insulté l’enseignante sur la conversation WhatsApp de la classe. Deux mamans ont même menacé l’institutrice, âgée de 57 ans.

Une plainte déposée par l’enseignante

Informée de ces messages, l’enseignante a décidé de porter plainte pour « menaces envers un agent chargé d’une mission de service public », « harcèlement » et « outrage ». Les deux mères de famille ont écopé d’un rappel à la loi. L’une des mamans a répliqué avec une autre plainte, pour violences elle, contre l’institutrice. Cette dernière aurait saisi un enfant par le poignet. 

L’affaire remonte au début du mois d’octobre. Depuis, l’enseignante a été placée en arrêt maladie. Celle qui est au sein de l’Éducation nationale depuis 36 ans avait été affectée dans cette école depuis septembre seulement.

Par Le Point

Une enseignante meurt poignardée dans un collège de Leeds

Une enseignante a été poignardée à mort lundi dans un collège de Leeds, dans le nord de l’Angleterre, a annoncé la police. Un élève de 15 ans a été arrêté.

L’enseignante travaillait dans un collège catholique, un établissement de près d’un millier d’élèves âgés de 11 à 16 ans. Selon la presse, elle était âgée de 61 ans et enseignait l’espagnol. Elle a été transportée à l’hôpital où elle a succombé à ses blessures.

Un adolescent de 15 ans, élève du collège, a été arrêté et placé en détention, a indiqué la police sans fournir davantage de détails.

L’établissement a continué à fonctionner normalement après les faits, selon les forces de l’ordre qui ont assuré que les circonstances du drame faisaient l’objet d’une « enquête minutieuse ».

Des élèves ont commencé dans l’après-midi à déposer des fleurs devant la porte d’entrée de l’établissement. « A une enseignante qui nous était chère. Nous sommes tous attristés », indiquait un message.

Romandie.com