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Espagne : un Congolais reçoit 168.000 euros dans son compte par erreur et disparaît

février 28, 2022
 Espagne : un Congolais reçoit 168.000 euros dans son compte par erreur et disparaît

Il est activement recherché par la police sur recommandation de sa banque. Il lui est reproché de ne pas avoir réagi après réception par erreur de la banque, d’un virement de 168.000 euros dans son compte.

Porté disparu après avoir vidé son compte bancaire, les faits se sont déroulés en Espagne où la banque BBVA accuse son client Congolais de ne pas avoir signalé un transfert par erreur de 168000 euros et d’avoir retiré une grande partie de cet argent avant de disparaître. Selon nos confrères du site Kebanacamera.com, l’accusé a retiré pendant une semaine dans différentes agences de la banque BBVA plus de 150.000 euros et opéré différents transferts bancaires à des comptes en France.

La même source informe qu’il a pu retirer 165000 euros au total. Comme si cela ne suffisait pas, avec les 3000 euros restants, il a fait divers achats et passer des jours dans un grand hôtel avec ses amis.

Pour l’heure, l’accusé est injoignable au téléphone. C’est pourquoi, la banque a déposé une plainte à la police, qui s’est présentée à son domicile. Mais contre toute attente, ses deux amis d’origine africaine aussi, qui partageaient l’appartement avec lui, expliquent n’avoir pas eu de ses nouvelles depuis une dizaine de jours.

Le Congolais a quitté l’Espagne pour la France par train pour ne pas laisser des traces. C’est depuis Paris, qu’il s’est envolé pour son pays. Il s’agit selon ses compatriotes d’une chance qui n’arrive qu’une fois dans la vie. « On est venu ici se chercher, et le frère a trouvé sa part » commente Abdil, Ivoirien relayé du fugitif.

Ce dernier aurait bien voulu être à la place de l’accusé. Pour l’heure, c’est un délit qui mérite d’être puni selon la police. Par contre ses compatriotes attribuent cette erreur de la banque à la chance divine. « Que ma banque fasse aussi la même erreur avec moi » a prié un Malien.

Le Congolais vivait en Espagne depuis cinq ans et était au chômage comme bon nombre de ses compatriotes. Il s’était lancé dans le business de convoyeur des véhicules à destination du Maroc.

Avec Lecongolais.fr

Canada: Une fillette de 3 ans de Brandon reçoit par erreur le vaccin contre la COVID-19

décembre 3, 2021
Jenna Bardarson et sa fille Dali.

Plus d’une semaine après cet incident, la mère de la petite Dali n’a toujours pas pu obtenir de réponse sur l’impact que le vaccin pourrait avoir sur la santé de sa fille. Photo : Gracieuseté de Jenna Bardarson

Une fillette de trois ans de Brandon, au Manitoba, et sa mère ont reçu par erreur le vaccin contre la COVID-19 alors qu’elles avaient pris rendez-vous pour le vaccin contre la grippe, le 24 novembre.

Au lieu de nous administrer le vaccin contre la grippe, on nous a donné chacune la dose adulte du vaccin [Comirnaty de Pfizer-BioNTech], raconte la mère de la petite Dali, Jenna Bardarson.

Pourtant la mère et son enfant ne sont pas admissibles à recevoir ce vaccin.

Dali et tout enfant de moins de 5 ans ne sont admissibles à aucun des vaccins contre la COVID-19 disponibles actuellement. 

Santé Canada a approuvé, le 19 novembre, la version pédiatrique du vaccin Comirnaty de Pfizer BioNTech, qui est de 10 microgrammes au lieu des 30 microgrammes de la dose adulte.

Mme Bardarson, quant à elle, est déjà doublement vaccinée et ne pourra recevoir sa troisième dose qu’au mois de janvier.  

Elle s’est sentie sous le choc lorsqu’un professionnel de la santé lui a dit qu’une erreur s’était produite.

Je m’inquiétais pour ma fille, car nous commencions à avoir des effets secondaires et autres choses. Je ressentais de la colère et je voulais parler à quelqu’un, relate Mme Bardarson.

Elle mentionne que quelques jours après avoir été vaccinée, les deux ont eu de la fièvre et des maux de tête. Sa fille a même eu des vomissements.

Plus d’une semaine après cet incident, Jenna Bardarson n’a toujours pas pu obtenir de réponse sur l’impact que les vaccins pourraient avoir sur sa santé ou celle de sa fille.

Mme Bardarson ne veut pas que son expérience dissuade d’autres personnes de se faire vacciner, mais elle les encourage à poser des questions et à s’assurer que le bon vaccin est administré.

Elle comprend que les travailleurs de la santé puissent être fatigués et surchargés de travail en raison de la pandémie notamment, mais elle affirme que des erreurs comme celle-ci sont dangereuses.

Dans un courriel envoyé à CBC, le ministère de la Santé et des Aînés du Manitoba a reconnu qu’une femme et un enfant de trois ans ont reçu par erreur une dose pour adulte du vaccin Comirnaty de Pfizer-BioNTech, et indique avoir enquêté sur l’incident.

De telles erreurs médicales sont rares, mais elles se produisent, est-il écrit.

Le ministère de la Santé affirme que le parent a été informé de l’erreur et a reçu des informations sur les risques, qui dans ce cas étaient faibles.

Le ministère a également indiqué que le personnel de l’Office régional de la santé de Prairie Mountain avait contacté Mme Bardarson pour discuter avec elle et lui fournir une mise à jour de l’enquête.

Un suivi a eu lieu avec la personne chargée de la vaccination et, étant donné qu’elle a immédiatement reconnu l’erreur et l’a signalée à un superviseur, aucune autre mesure corrective n’a été prise, explique Santé Manitoba.

Jenna Bardarson espère que de nouvelles mesures seront mises en place pour s’assurer qu’une situation du genre n’arrive à aucune autre personne.

Santé Manitoba dit dans son courriel qu’une révision des processus existants a été faite afin d’apporter des ajustements qui permettraient d’éviter qu’une erreur similaire ne se produise à l’avenir.

Avec Radio-Canada

Le dernier morceau du frigo

mai 10, 2021

Étudiant, quand passe les jours

Et approche la fin du mois

Commence le compte-à-rebours

De la précarité de ma pauvre vie

Dès lors, je réduis les repas

Pour ne pas faire de faux-pas

Dans la gestion de ma ration

Loin des parents de la nation

Dans cette vie estudiantine

Où la bourse est mesquine

Je n’ai pas droit à l’erreur

Pour tomber dans le malheur

Bernard NKOUNKOU

Plainte d’un couple français d’origine camerounaise pour incinération par erreur de leur bébé mort

mars 2, 2018


Un couple français d’origine camerounaise a porté plainte à la suite de l’incinération par erreur à Marseille (sud-est de la France) de leur bébé mort à l’âge de huit mois à l’hôpital, selon leur avocat.

Le couple avait réglé avec une entreprise funéraire les obsèques de leur sixième enfant, mort dans la nuit du 23 au 24 février dans un hôpital de Marseille des suites d’une pathologie cardiaque.

Alors que le couple s’apprêtait, mercredi, à enterrer au cimetière leur fils prénommé Moïse, des responsables de l’hôpital les ont informés que le corps avait par erreur été incinéré le matin même, a raconté leur avocat Me Prosper Abega.

Dans un courrier adressé mercredi aux parents et dont l’AFP a eu connaissance, le directeur du groupe hospitalier a confirmé qu’ »un échange de corps (avait) eu lieu entre leur enfant et un autre enfant au sein des locaux de la chambre mortuaire de l’hôpital ».

Me Abega a précisé que, selon la culture de ce couple français d’origine camerounaise, « le corps doit retourner à la terre, l’incinération est inconcevable. Ils auraient souffert comme tous les parents face à la perte d’un enfant, mais face à cette seconde mort, leur souffrance est irréparable ».

Les parents ont porté plainte pour « atteinte à l’intégrité d’un cadavre ».

Dans son courrier, le directeur de l’hôpital précise qu’il a ordonné une enquête administrative « visant à déterminer les circonstances de ce malheureux événement ».

Dans un communiqué, les autorités hospitalières de Marseille déplorent « un dysfonctionnement majeur dans les opérations funéraires » et évoquent « une défaillance dans l’application des protocoles d’identitovigilance par les différentes personnes » chargées des « procédures de vérification ».

« L’hôpital explique aux parents qu’il s’agit d’une confusion entre un prématuré et un bébé de huit mois, tous deux porteurs d’un bracelet. Il était donc facile de distinguer les deux », a réagi Me Abega.

Sacer-infos.com avec AFP