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Congo-Brazzaville/Scandale : un jeune étudiant tabasse un responsable de la SNPC qui lui a demandé ses fesses pour un stage

novembre 7, 2022
 Scandale : un jeune étudiant tabasse un responsable de la SNPC qui lui a demandé ses fesses pour un stage

A la recherche d’un stage payant à la société nationale de pétrole du Congo, un jeune étudiant de 23 ans a été l’objet d’une proposition indécente d’un responsable de la dite entreprise. Selon ce responsable la condition principale pour se voir accorder un stage pour le jeune était de se faire sauter l’anus par lui. Ecœuré de l’entendre, le jeune n’a pas réfléchi deux fois avant de s’en prendre violemment au responsable poussant à l’intervention des autres employés.

Malgré la situation difficile que vit le Congo et ses populations, il y a des jeunes qui n’entendent pas se lancer dans la dépravation des mœurs pour obtenir un bénéfice professionnel ou financier?

Étudiant en économie à l’université Marien Ngouabi, Armel N était à la recherche d’un stage payant dans les sociétés de Brazzaville. Un ami lui a conseillé d’aller vers un responsable à la SNPC qui pouvait l’aider à obtenir gain de cause. Après plusieurs coups de fil passés, il a enfin obtenu un rendez-vous à la direction de cette société au centre-ville.

Mais une fois en face de celui qui était appelé à lui facilité l’obtention d’un stage payant, le jeune étudiant a été écœuré de s’enquérir des conditions à remplir pour en bénéficier. Après des belles creuses paroles dans lesquelles il citait les exemples des personnes qu’il aurait aidé à décrocher un stage et même un emploi à la SNPC, il a demandé au jeune de consentir à avoir des relations homosexuelles avec lui.

Pour lui, cette condition à remplir était normale et que beaucoup d’employés qui roulent carrosse dans les rues de Brazzaville sont passés par là et le ciel n’est pas tombé. Le jeune étudiant a été emporté par la rage et s’est balancé sur le responsable qu’il a commencé à tabasser.

Les cris de détresse du responsable ont poussé d’autres employés à venir à son secours. Détenu par la police, le jeune étudiant a relaté les faits avec une telle colère que le chef de l’intervention l’a relâché au bout de quelques minutes. « Donc, c’est que vous exigez aux enfants des gens ici pour un stage ? » s’est étonné le policier.

Avec Le Congolais.fr

Sénégal: un étudiant gabonais recherché à Dakar pour le viol d’un jeune garçon de 14 ans

août 6, 2022
 Sénégal: un étudiant gabonais recherché à Dakar pour le viol d’un jeune garçon de 14 ans.

Gahile Mboumba Mboumba, un compatriote, la vingtaine révolue qui est recherché par les autorités judiciaires de Dakar pour le viol sur un jeune garçon de 14 ans. Selon des sources concordantes, le présumé violeur pédophile aurait été ramené à Libreville pour éviter de répondre de ses actes.

Les faits se seraient passés le dimanche 31 juillet dernier à Dakar au Sénégal. Envoyé par ses parents pour poursuivre ses études, Gahile Mboumba Mboumba se serait livré à des jeux de séduction sur les réseaux sociaux. Il aurait créé des faux profils en se faisant passer pour une femme et aurait à l’aide de subterfuge convaincu son interlocuteur âgé de 14 ans de lui envoyer des « nudes ». Une fois les photos compromettantes en sa possession, il aurait menacé le jeune garçon.

Voulant éviter que ses photos ne soient diffusées sur internet, la victime aurait accepté de rencontrer Gahile Mboumba Mboumba à son domicile. Une fois sur place, l’étudiant aurait convaincu le jeune garçon de 14 ans d’avoir des rapports sexuels avec lui afin d’effacer les photos. Une demande que l’adolescent aurait fini par accepter. Une fois sa libido assouvie, il aurait laissé partir la victime.

De retour chez lui, la victime aurait tout raconté à ses parents. Ces derniers remontés auraient débarqué au domicile de de Gahile Mboumba Mboumba. Ils ne l’auraient pas trouvé mais plutôt son colocataire, L.D.O.O. Ce dernier va être pris à partie par les proches du jeune garçon de 14 ans. Lesquels l’auraient roué de coups et cassé sa paire de lunettes. Il n’aurait eu la vie sauve que grâce à l’intervention de gendarmes passant par là.

Les parents de Gahile Mboumba Mboumba ont été mis au courant de la situation, ces derniers se seraient lavés les mains indiquant que leur fils devait répondre de ses actes. Une plainte a été déposée à l’encontre du présumé violeur pédophile, qui ne serait pas à sa première tentative. Une source proche de l’ambassade du Gabon au Sénégal a indiqué que malgré les mesures prises pour intercepter le suspect, il serait parvenu à rentrer au Gabon avec l’aide de ses proches.》

Avec Le Congolais.fr

RDC : tensions à Kinshasa après la mort d’un étudiant lors d’une bavure policière

juillet 26, 2021
Des policiers déployés dans les rues de Kinshasa en janvier 2019 (illustration).

Honoré Shama Kwete, un étudiant de l’Université de Kinshasa, a été tué samedi par un policier à la suite d’un contrôle qui a mal tourné. Deux jours après le drame, la tension est montée d’un cran ce lundi à Kinshasa.

La tension était forte ce lundi au sein du campus de l’Université de Kinshasa (Unikin), où plusieurs étudiants se sont rassemblés pour protester contre la mort de leur camarade Honoré Shama Kwete, tué le 24 juillet après une bavure policière. Des affrontements avec les forces de l’ordre, qui ont usé de gaz lacrymogènes pour repousser les manifestants, ont eu lieu dans la matinée du 26 juillet sur le site de l’Unikin.

Le jour du drame, Honoré Shama Kwete, qui suivait un cursus à la faculté des lettres à l’Université de Kinshasa, était, avec un groupe d’étudiants, en train de réaliser un film dans le cadre de travaux pratiques en comédie. « Nous étions en plein tournage quand un policier est arrivé et a demandé de l’argent. Nous lui avons donné 3 000 francs congolais et il est parti », explique Rachel Malonda, l’une des camarades de classe de la victime, dans un enregistrement audio que Jeune Afrique s’est procuré.

« Quinze minutes après, le même policier est revenu avec ses collègues et, cette fois-ci, ils ont commencé à récupérer notre matériel avant d’arrêter l’assistant qui surveillait le tournage. Nous nous sommes décidés à aller aider notre camarade. Arrivée sur place, la police nous a sommé de quitter l’endroit en nous disant que, sinon, ils allaient tirer sur nous. Face à notre résistance, ils ont tiré une balle au sol et deux autres sur notre camarade, qui est décédé sur place », poursuit l’étudiante.

Policier en fuite

Dans un communiqué rendu public le 25 juillet, la police congolaise écarte de son côté l’hypothèse d’une tentative de corruption de la part des agents impliqués dans le contrôle. « Les éléments de la police ont exigé du groupe de brandir un document légal autorisant le tournage. Ne l’ayant pas, l’assistant ou l’enseignant qui encadrait les étudiants dans ce travail a été emmené par les policiers, ce qui a provoqué la colère des étudiants qui, en exigeant la libération de leur encadreur, se sont mis à lancer des projectiles sur les policiers », explique le communiqué signé du chef de la police de Kinshasa, le général Sylvano Kasongo.

Selon ce dernier, la mort du jeune étudiant aurait été accidentel. « C’est alors en voulant tirer une balle de sommation par terre, par imprudence selon les collègues du policier, que l’étudiant Honoré Shama Kwete sera atteint au ventre et mourra sur place », poursuit le communiqué de la police. Une version que conteste donc les étudiants.

Toujours selon la police, l’agent à l’origine de la bavure, employé dans un sous-commissariat de quartier, serait actuellement en fuite. Plusieurs de ses collègues présents au moment du contrôle ont été arrêtés.

Avec Jeune Afrique

Le dernier morceau du frigo

mai 10, 2021

Étudiant, quand passe les jours

Et approche la fin du mois

Commence le compte-à-rebours

De la précarité de ma pauvre vie

Dès lors, je réduis les repas

Pour ne pas faire de faux-pas

Dans la gestion de ma ration

Loin des parents de la nation

Dans cette vie estudiantine

Où la bourse est mesquine

Je n’ai pas droit à l’erreur

Pour tomber dans le malheur

Bernard NKOUNKOU

Un Belge de neuf ans va devenir le plus jeune diplômé universitaire du monde

novembre 16, 2019

Laurent Simons va battre un record. Agé de seulement neuf ans, le Belge va obtenir son diplôme d’ingénieur électricien de l’université de technologie d’Eindhoven à la fin du mois de décembre et devenir le plus jeune diplômé universitaire de l’histoire. Comme le rapporte Sud Presse, le garçon, doté d’un QI de 145, va ainsi devancer l’Américain Michael Kearney, diplômé en anthropologie à l’âge de 10 ans dans l’Alabama, en 1994.

Laurent Simons a terminé son cursus complet pour devenir ingénieur électricien en à peine un an et demi.

Le Belge, qui parle quatre langues (anglais, allemand, français et néerlandais) est désormais pisté par les plus prestigieuses universités du monde. L’enfant de neuf ans souhaiterait vivre en Californie « car il fait beau là-bas », mais ses parents privilégient Oxford.

Le Soir.be par Th. A.

Québec/Être parent et étudiant : une conciliation pas toujours évidente

septembre 1, 2019
Être parent et étudiant est de plus en plus courant au Québec. À l’Université Laval, c’est le cas de 1 étudiant sur 5.

Ann-Alexandre Gauthier est étudiante au doctorat. Son fils Victor, âgé de 4 ans et demi, entre au programme de prématernelle à la garderie. Cette maman de 27 ans est tombée enceinte au moment de son baccalauréat.

Elle a poursuivi ses études pendant toute sa grossesse et, heureux hasard, elle a accouché pendant la semaine de relâche scolaire.

Donc j’ai eu quatre jours de congé. Après ça, j’ai recommencé à temps plein, se remémore-t-elle.

Ann-Alexandre Gauthier, 27 ans et son fils Victor, 4 ans.

Ann-Alexandre Gauthier, 27 ans et son fils Victor, 4 ans.
 

Les étudiantes enceintes n’ont pas de congé parental, comparativement aux femmes qui sont sur le marché du travail.

Selon l’Association des parents-étudiants de l’Université Laval (APÉTUL), la conciliation famille, étude et travail demeure un défi au Québec, d’abord sur le plan financier.

On est maman à temps plein. Il n’y a pas de maman à temps partiel ou de papa à temps partiel, illustre la présidente de l’association, Ndeye Dieynaba Ndiag.

Quand on parle de conciliation, ça implique aussi de faire face par exemple à une certaine précarité financière, ajoute-t-elle.

En plus d’étudier, Ann-Alexandre Gauthier travaille aussi à temps partiel à l’université. Elle ne regrette pas son choix, mais elle reconnaît qu’il faut beaucoup de discipline.

J’ai appris à aimer ça et à vivre avec ça. Mais c’est sûr que c’est très exigeant et qu’il faut être quelqu’un de très, très organisé.

Ann-Alexandre Gauthier,

L’Université Laval met en place à compter de cet automne de meilleures conditions pour les parents-étudiants, en leur donnant par exemple accès à des bourses d’études. Une politique qui est saluée par l’APÉTUL, qui souhaiterait par ailleurs un effort semblable du côté du gouvernement provincial.

Il y a toujours des démarches à faire pour que les pensions alimentaires ne soient plus reconnues comme un revenu dans le calcul de l’aide financière pour les parents-étudiants, explique la présidente de l’APÉTUL.

Être parent et étudiant comporte son lot de difficultés, mais aussi certains avantages, selon Ann-Alexandre Gauthier. Par exemple, il est facile de transmettre le goût pour les études à son enfant.

Maman, est-ce que je peux faire mes devoirs comme toi,? J’aime ça! », »text »: »Il me dit souvent : « Maman, est-ce que je peux faire mes devoirs comme toi,? J’aime ça! » »}} » lang= »fr »>Il me dit souvent : « Maman, est-ce que je peux faire mes devoirs comme toi? J’aime ça! », lance la mère de 27 ans, en référence à son petit Victor.

CBC/Radio-Canada d‘après les informations de Nicole Germain

Un étudiant de Sciences-Po Rennes convoqué devant la justice sur fond de harcèlement

juin 5, 2019

 

Un étudiant de Sciences-Po Rennes comparaîtra devant le tribunal correctionnel de Rennes pour «dénonciation calomnieuse» envers un autre étudiant, qui avait fait une tentative de suicide, a-t-on appris ce mercredi auprès du parquet. Le prévenu, âgé de 20 ans et qui nie les faits, avait été placé une première fois en garde à vue le 23 mai pour «harcèlement moral et dénonciation calomnieuse».

Il a été de nouveau entendu ce mardi en garde à vue par les enquêteurs et déféré devant le parquet avant d’être placé sous contrôle judiciaire dans l’attente de son procès, prévu le 14 novembre, a précisé le procureur de la République de Rennes, Philippe Astruc, confirmant une information de Ouest-France.

Une enquête avait été ouverte après la tentative de suicide d’un autre étudiant en mars qui avait fait l’objet d’une campagne de harcèlement. Cette campagne, sous forme d’affiches d’un collectif, placardées près de l’Institut d’études politiques, dans la rue où il habite, l’accusait d’être un «violeur».

Par Le Figaro.fr avec AFP

Congo-Maroc: un assassinat crapuleux commis sur un compatriote

mai 23, 2018

 

Maroc : voici l’assassin qui a tué John le guelois (étudiant Congolais 🇨🇬) à Casablanca. L’assassin s’appelle MOUNGOUNGA Romard alias Khazam Général. L’ambassadeur du Congo au Maroc était au courant des agressions, des meurtres, des viols, vols, des intimidations que semaient cette bande.

Les Congolais résidants au Maroc sont tous complices, ils vivaient au quotidien ces dérives et non jamais alertés les autorités Marocaines en charge de la sécurité de même que les autorités Congolaises sur place à Brazzaville étaient au courant depuis plusieurs années.

 

Photo de BrazzaNews.
MOUNGOUNGA Romard alias Khazam Général, l’assassin

L’ambassadeur du Congo au Maroc 🇲🇦 complice des crimes entre les Congolais🇨🇬.

Tous les Congolais vivant au Maroc étaient informés de la violence, des agressions, des meurtres, des viols que commettaient les soit disant « Les robots » envers leur propre compatriote.

On le surnommait John le guelois, étudiant Congolais au Maroc il a été tué froidement par un groupe des jeunes congolais « Les Robots » qui sèment la terreur auprès des étudiants au Maroc 🇲🇦 .

Comme à l’accoutumée, c’est silence radio auprès de congolais depuis que les « Les Robots » ont tué John le guelois de peur de représailles de la dite gang appelé les Robots.
John à été jeté du 5ème étage et à succombé à ses blessures.

Un commentateur répondant au pseudonyme de Rol Banda dit que : « Voilà pourquoi vivre dans un milieu où vit un grand nombre de la communauté congolaise ne m’a jamais intéressé. Le milieu congolais n’apporte que des ennuis ».

Actuellement, ils aiment exceller même dans la sorcellerie pour empêcher les autres d’évoluer, empoisonnant leur existence par des associations occultes et de menées intempestives que n’osent pas dénoncer les soi-disant leaders d’opinions de la diaspora qui veulent qu’on les soutiennent dans leurs démarches du combat politique.

Un autre commentateur au petit nom de Loulou Boud dit : « Des grands papas qui humilient notre beau pays. Que la justice Marocaine, puisse bien les juger. Qu’il les juge en tant que « noir » pour que la peine soit lourde. Que le juge soit un juge raciste, un juge qui déteste les noirs. Pour une fois je serai d accord que les marocains soient racistes envers eux.

 

Photo de BrazzaNews.
John le guelois, étudiant Congolais assassiné, au Maroc
Avec Brazzanews.fr

Un étudiant abat ses parents sur le campus d’une université américaine

mars 3, 2018

Chicago – Un étudiant de 19 ans a abattu ses parents vendredi matin sur le campus de l’université de Central Michigan dans le nord des Etats-Unis, avant d’être finalement arrêté dans la soirée, a annoncé l’université.

La police avait commencé par faire état dans la matinée de coups de feu tirés dans le bâtiment « Campbell Hall » de cette université située dans la ville de Mount Pleasant, entre Chicago et Detroit.

L’université a ensuite identifié les victimes comme étant les parents du suspect, James Eric Davis. Ils résidaient dans la banlieue de Chicago.

« Les personnes décédées ne sont pas des étudiants », avait précisé dans un premier temps Central Michigan University dans un communiqué, indiquant que la police estimait que les faits pouvaient avoir « pour origine une situation familiale ».

La nuit précédant la fusillade, le suspect avait été conduit à l’hôpital après « une overdose ou une mauvaise réaction après une prise de drogues », a expliqué le porte-parole de la police du campus lors d’une conférence de presse.

Les lieux ont été placés en confinement pendant plusieurs heures, pendant que la police cherchait le jeune homme de 19 ans, qui a finalement été repéré et arrêté sans incident dans la soirée. Quelque 18.000 étudiants fréquentent le campus principal de Central Michigan University.

On ignorait dans un premier temps comment l’étudiant s’était procuré l’arme qu’il a utilisée. La législation du Michigan permet d’avoir une arme sur soi à condition qu’elle ne soit pas visible, mais l’Université interdisait tout port d’arme sur son campus.

Les fusillades sont fréquentes aux Etats-Unis, où il y a autant d’armes à feu en circulation que d’habitants.

Le débat sur la législation entourant le droit constitutionnel d’être armé dans ce pays a été relancé par les jeunes rescapés de la tuerie ayant coûté la vie à 17 personnes le 14 février dans le lycée Marjory Stoneman Douglas en Floride.

Ce dernier massacre s’est ajouté à la longue liste des fusillades survenues en milieu scolaire, après notamment celle de Newtown où ont péri 26 personnes dans une école primaire en 2012, ou celle de Virginia Tech sur le campus d’une université de l’est du pays, qui avait fait 32 morts en 2007.

Romandie.com avec(©AFP / 03 mars 2018 07h40)                                            

Congo: Le général Ndenguet menace de tuer un étudiant syndicaliste

juillet 14, 2017