Posts Tagged ‘Étudiante’

#JusticePourDina : noyade accidentelle ou « assassinat » d’une étudiante gabonaise en Turquie ?

mars 31, 2023

Le décès, en Turquie, d’une jeune femme originaire du Gabon émeut les réseaux sociaux, qui appellent à la mobilisation et réclament justice.

– © Damien Glez

« Noyée », « noire », « assassinée ». Voilà les tristes mots clés qui circulent sur les réseaux sociaux et dans la presse depuis la confirmation de la mort de Jeannah Danys Dinabongho Ibouanga, étudiante gabonaise de 18 ans, par son université turque et son ambassade.

« Noyée », car le corps de celle que l’on surnommait « Dina » a été retrouvé, le 25 mars dernier, dans la rivière de Filyos, près d’une voie ferrée, à proximité de l’Université de Karabük, où elle étudiait le génie mécanique. « Noire », ainsi que le soulignent certains posts, comme ce tweet d’une autre étudiante : « Elle était noire. Elle était l’espoir de sa famille, elle aimait la vie et n’avait pas prévu de la laisser aussi vite. »

« Assassinat »

« Mais pourquoi commencer forcément par “noire” ? » et « Pourquoi en faire forcément une histoire raciste ? » répond un autre internaute qui semble partager cette même couleur de peau. Surgit alors le troisième mot clé. Si le procureur de Karabük précise qu’il n’y avait « aucun signe d’agression sexuelle » sur le corps, qu’aucune « blessure par arme blanche ou par balle n’a été détectée », qu’il n’y a pas eu de « décès avant d’entrer dans le ruisseau » et qu’il s’agirait d’un « incident mortel […] par noyade », le ministère gabonais des Affaires étrangères, lui, a fait part dans un communiqué de sa « consternation et de sa vive préoccupation » après « l’assassinat » de la jeune femme.

L’étudiante aurait exprimé le souhait de s’inscrire à l’Université de Sakarya. Selon un message vocal qui lui est attribué, il y aurait moins de « racisme là-bas ». Une autopsie devrait être effectuée.

L’émotion s’est répandue comme une traînée de poudre. Le hashtag #JusticepourDina a engendré une manifestation, dans l’enceinte de l’établissement de la victime, et charrié des appels à sit-in devant les représentations diplomatiques turques, notamment à Libreville. Dans la presse, les hommages se font plus emphatiques. Le coordinateur général de l’Observatoire chrétien pour la paix (OCP), par exemple, considère sur gabonmailinfos.com qu’au-delà du décès de Dina, « c’est l’expression de la jeunesse intellectuelle gabonaise qui se meurt ».

Diplomatiquement offensive sur le continent, la Turquie de Recep Tayyip Erdogan présente l’éducation comme son axe principal de coopération avec l’Afrique. Elle accueille de plus en plus d’étudiants du continent – leur nombre a augmenté de 50 % en trois ans –, avec des bourses d’études pour la majorité d’entre eux.

Avec Jeune Jeune Afrique

Damien Glez

Par Damien Glez

Dessinateur et éditorialiste franco-burkinabè.

France-Étudiante disparue à Brest: un corps calciné retrouvé, le principal suspect décédé

février 9, 2023
Etudiante disparue a Brest: un corps calcine retrouve, le principal suspect decede
Étudiante disparue à Brest: un corps calciné retrouvé, le principal suspect décédé© AFP/FRED TANNEAU

Un corps calciné a été retrouvé jeudi dans le Finistère, une dizaine de jours après la disparition d’Héléna Cluyou le 29 janvier à Brest et le principal suspect est mort à l’hôpital, a appris l’AFP de sources proches de l’enquête.

Le corps, qui doit encore être identifié, a été découvert par la Police judiciaire sur la presqu’île de Crozon, où des enquêteurs menaient jeudi des recherches, ont ajouté ces sources.

Le suspect, un Brestois de 36 ans, qui était dans le coma, est mort jeudi après-midi, ont également indiqué ces sources.

La semaine dernière, il avait tenté de mettre fin à ses jours à deux reprises, après avoir confié à des proches « avoir commis une bêtise, que sa vie était finie » et que « c’était un accident », selon le parquet.

Son véhicule avait été retrouvé incendié la semaine dernière, sans que l’on retrouve de corps à l’intérieur.

Héléna Cluyou, jeune élève infirmière qui aurait dû fêter ses 21 ans le 1er février, n’a plus donné signe de vie depuis dimanche 29 janvier à 05H20 du matin, à sa sortie du One Club, une discothèque du port de Brest.

Selon des informations de presse, le téléphone du suspect aurait notamment borné à Pont-de-Buis, entre Brest et Quimper.

Avec Le Point avec AFP

France: Une étudiante poignardée à l’université Paris Cité, le suspect interpellé

janvier 25, 2023

Une jeune femme a été poignardée en plein campus ce mercredi. Son état serait stabilisé. Un homme de 25 ans a quant à lui été interpellé.

Une agression au couteau a eu lieu au sein de l'universite Paris Cite (photo d'illustration).
Une agression au couteau a eu lieu au sein de l’université Paris Cité (photo d’illustration).© Bruno LEVESQUE / MAXPPP / IP3 PRESS/MAXPPP

Une étudiante a été poignardée ce mercredi à l’arme blanche dans des locaux de l’université Paris Cité, située rue des Saints-Pères dans le 6e arrondissement de Paris. Grièvement blessée, la victime de 31 ans a été transportée à l’hôpital avec un pronostic vital engagé. Le suspect a quant à lui été interpellé peu de temps après avoir pris la fuite, à hauteur de la gare Vanves-Malakoff, selon une source proche du dossier. Il est désormais en garde à vue.

Il est aux alentours de midi quand la jeune femme se fait poignarder alors qu’elle sort de l’ascenseur, au septième étage du campus universitaire. Le suspect aurait ensuite pris la fuite et emprunté la ligne 4 du métro parisien en direction de Bagneux. Grâce aux images de vidéosurveillance, la police des transports parvient à affiner le signalement du suspect, vêtu d’une parka verte avec une capuche à fourrure et un pantalon beige maculé de sang. Sur les images, on peut aussi voir le suspect déposer un objet dans une poubelle située sur le quai de la station Saint-Germain-des-Prés, dans laquelle sera retrouvé un couteau.

L’état de la victime stabilisé

Un individu de 25 ans sera finalement interpellé par la police ferroviaire à hauteur de Vanves-Malakoff. Blessé aux mains, il a été conduit à l’hôpital et placé en garde à vue. Le parquet de Paris a confirmé qu’une enquête pour tentative d’homicide volontaire avait été ouverte et confiée au 3e district de la police judiciaire. L’état de la victime, lui, se serait « stabilisé », selon une source proche du dossier au Point.

Sur Twitter, l’université a confirmé le drame survenu et indiqué que tout l’établissement se trouvait « sous le choc ». Une cellule d’urgence médico-psychologique du Samu de Paris a été dépêchée sur place.

Avec Le Point par Valentine Arama

Congo-Tchiali : un apprenti mécanicien enceinte la fille étudiante de son maître

janvier 20, 2023
 Tchiali : un apprenti mécanicien enceinte la fille étudiante de son maître

Un jeune garçon de 21 ans, venu apprendre la mécanique n’a pas mieux trouver que d’enceinter la fille de son maître qui est une étudiante en deuxième année à l’université.

Le père de la fille a demandé à son élève de ne plus venir et que leur contrat a pris fin à cause de son comportement malsain. Il ne pouvait jamais s’imaginer que sa fille chérie, brillante dans les études pouvait s’intéresser à un garçon qui a quitté tôt le banc de l’école.

Le maître mécanicien en symbiose avec les parents de son élève – à Tchiali (Pointe-Noire), a pris la décision de mettre terme à cette grossesse. Il s’avère que c’est la fille qui aurait des avances à l’apprenti mécanicien de son père qui est son genre d’homme. Le garage se trouvant dans la même parcelle, les deux amoureux se mettaient à l’aise parfois dans les toilettes et dans sa chambre quand son père s’absentait un moment.

Avec Le Congolais.fr

Pays-Bas : menacée, la princesse héritière Amalia ne sort que pour aller à l’université

octobre 13, 2022

La princesse Amalia (à gauche) et le roi Willem-Alexander saluent sur le balcon du palais Noordeinde à La Haye, le 20 septembre 2022. KOEN VAN WEEL / AFP

Âgée de 18 ans, la jeune femme fait l’objet de menaces qui laissent entendre une tentative d’enlèvement ou d’attentat.

La princesse héritière néerlandaise Amalia, 18 ans, est obligée d’habiter chez ses parents au lieu de son logement d’étudiante à Amsterdam en raison de menaces, et ne sort que pour aller à l’université, a fait savoir jeudi 13 octobre la famille royale.

Les mesures de sécurité autour de la princesse ont récemment été considérablement renforcées car les autorités craignent une tentative d’enlèvement ou d’attentat. La situation est «vraiment très difficile», a déclaré le roi Willem-Alexander lors d’une conférence de presse en visite d’État en Suède.

Des menaces qui ont «d’énormes conséquences»

Selon la reine Maxima, les menaces entourant la princesse – qui est en première année d’un bachelor en politique, psychologie, droit et économie (PPLE) – ont «d’énormes conséquences» sur sa vie. «Elle n’a pas quitté la maison. Cela veut dire qu’elle ne vit pas à Amsterdam, qu’elle ne peut pas vraiment sortir. Les conséquences sont très difficiles pour elle», a déclaré la reine, visiblement émue. «Ce n’est pas une vie étudiante pour elle», a ajouté le couple royal, qui vit à La Haye. Le premier ministre Mark Rutte a qualifié la situation de «terrible» et s’est dit «très inquiet», a rapporté la télévision publique néerlandaise NOS. «Je vous garantis que nos services de sécurité travaillent dur jour et nuit pour assurer sa sécurité», a déclaré sur Twitter la ministre de la Justice et de la Sécurité, Dilan Yesilgöz-Zegerius.

Le quotidien populaire néerlandais De Telegraaf avait rapporté en septembre que la sécurité avait été renforcée autour de la princesse en raison de menaces du milieu du crime qui visaient également le Premier ministre.

Par Le Figaro avec AFP

Congo-Sénégal: Programme des obsèques de Lotaly Moilet froidement assassinée par un sujet guinéen à Dakar

juin 15, 2021

Photo de BrazzaNews.

Avec Brazzanews

Sénégal: Assassinat de Mollet Lotaly, étudiante congolaise inscrite en Master1 à l’ESP de Dakar

mai 20, 2021

Mollet Lotaly, étudiante congolaise inscrite en Master1 à l’ESP de Dakar, a été froidement tuée dans la nuit du 19 mais à Grand Yoff.

Photo de BrazzaNews.

Mollet Lotaly, étudiante congolaise inscrit en Master1 à l’ESP de Dakar, a été froidement tuée dans la nuit du 19 mais à Grand Yoff. Le crime commis devant son immeuble, la jeune dame rentrait de son travail, lorsque ses agresseurs l’ont pris pour cible. Elle a été assenée d’une bouteille en verre au cou, qui a causé une hémorragie.

Baignant dans son sang, elle a agonisé pendant de longues minutes, en attente d’une ambulance pour la secourir. Mollet Lotaly n’a pas survécu à ses blessures, l’ambulance est arrivée trop tard. Une nouvelle accablante pour la communauté des étudiants congolais vivant au Sénégal, pour les proches et la famille de l’étudiante assassinée.

Les étudiants congolais du Sénégal dénoncent l’insécurité dans les quartiers de Dakar. Joint au téléphone ce matin, les responsables de l’association des congolais vivant au Sénégal lancent un appel aux autorités sénégalaises sur les actes criminels que subissent la plupart des étrangers à Dakar, vol par effraction, agressions meurtrière, et d’autres discriminations.

Avec Brazzanews

Congo-Diaspora: Décès de l’étudiante Colombe N’Dala

mars 14, 2020

 

La communauté congolaise vivant en Côte d’Ivoire vous annonce le décès d’une étudiante N’DALA COLOMBE, décès survenu le jeudi 12 Mars, à Abidjan, suite d’un accident de circulation de voiture.

La veillée mortuaire se tient à Koumassi non loin de la station pangolin.

N’DALA COLOMBE, étudiante boursière, envoyée par l’État congolais en Côte d’Ivoire promotion 2014, était en Master 2 génie civil.

 

Photo de BrazzaNews.
Repose en paix et courage à toute la famille !
Avec Brazzanews

Un célèbre historien russe avoue avoir tué une ancienne étudiante

novembre 10, 2019

 

Oleg Sokolov, spécialiste de Napoléon, intervenait dans l’école fondée par l’ancienne députée d’extrême droite Marion Maréchal.

L’histoire est à frémir. Tôt samedi matin 9 novembre, les secours ont repêché un homme tombé dans le canal de la Moïka, au centre de Saint-Pétersbourg. Dans son sac à dos, on a retrouvé deux bras de femme, sectionnés au niveau des coudes, et un pistolet d’alarme. Lorsque la police s’est rendu à son appartement, non loin de là, elle a découvert le corps décapité d’une jeune femme.

Le meurtrier présumé, qui serait tombé à l’eau alors qu’en état d’ivresse il tentait de faire disparaître les restes de sa victime, n’est autre qu’un historien internationalement reconnu, Oleg Sokolov, 63 ans, spécialiste de Napoléon et professeur de la chaire d’histoire moderne à l’université de Saint-Pétersbourg. Ce parfait francophone, décoré de la Légion d’honneur en 2003, est aussi le fondateur d’une association organisant des reconstitutions des grandes batailles napoléoniennes en Russie, – en costumes avec des milliers de figurants-, comme celle de Borodino (1812).

Selon les médias russes, le corps décapité serait celui d’Anastasia Echtchenko, 24 ans, l’une de ses anciennes étudiantes avec lequel il entretenait une liaison. Oleg Sokolov aurait avoué à la police l’avoir tué, deux jours plus tôt, avec un fusil à canon scié, à la suite d’une dispute.

«Il se prenait pour Napoléon»

Le fait divers a largement été « couvert » par la presse russe qui a publié des photos du couple en tenue d’époque, lui en maréchal d’empire, elle en robe à crinoline. D’autres clichés le représentent menant la charge à la tête d’un régiment de cavaliers de hussards… Divers témoignages composent le portrait d’un homme à la personnalité quelque peu inquiétante, voire mégalomaniaque, et parfois brutale.

« Il se prenait vraiment pour Napoléon, au point qu’il se faisait appeler « Sire » ou « Majesté », écrit le journal Novaya Gazeta. En 2018, Oleg Sokolov s’était vu accusé de plagiat pour l’un de ses derniers ouvrages. Interrogé à ce propos par un étudiant lors d’un cours en amphithéâtre, Sokolov avait fait brutalement expulser l’impétrant par des nervis, comme le montre une séquence visible sur YouTube. Blanchi par la justice en première instance dans cette affaire de plagiat, l’historien se disait néanmoins lui-même objet de menaces.

Plus grave, en 2008, Oleg Sokolov aurait tenté d’étrangler une jeune femme, après avoir voulu lui appliquer un fer à repasser sur le visage, selon le journal Moskovski Komsomolets. L’universitaire aurait toutefois réussi à échapper aux poursuites pénales.

Respecté pour ses travaux, auteurs d’innombrables livres et articles, conseiller historique pour des films et documentaires, Oleg Sokolov était aussi membre du conseil scientifique de l’Institut de sciences sociales, économiques et politiques (Issep), l’« université » fondée par Marion Maréchal à Lyon.

«Nous apprenons avec horreur par la presse le crime atroce dont se serait rendu coupable Oleg Sokolov. Etant professeur de la chaire d’histoire moderne à l’université de Saint-Pétersbourg, intervenu comme directeur d’études invité à l’Ecole pratique des hautes études à la Sorbonne, décoré de la Légion d’honneur française, nous n’imaginions pas qu’il puisse commettre cet acte odieux», expliquait samedi dans un communiqué l’Issep.

À Saint-Pétersbourg, Oleg Sokolov, hospitalisé pour hypothermie, a été placé en garde à vue et l’enquête se poursuivait dimanche. Selon le site 47news.ru, l’éminent professeur aurait indiqué lors de son premier interrogatoire avoir envisagé de se suicider après son crime, dans son uniforme de Napoléon, sur le site de la forteresse Pierre-et-Paul, devant les touristes.

Par Le Figaro.fr par Alain Barluet, correspondant à Moscou

Tunisie-Congo: Assassinat d’une étudiante

janvier 12, 2018
Une étudiante Congolaise à été égorgée hier en Tunisie par un taximan tunisien. Nous vous communiquerons plus d’information dans les brefs délais.

 

Photo de BrazzaNews.
Avec Brazzanews.fr