Posts Tagged ‘facture’

France: Quand les ex-chefs d’État se serrent (un peu) la ceinture

novembre 23, 2022

Les moyens mis à la disposition de François Hollande et Nicolas Sarkozy ont été divisés par deux. Une tendance qui touche d’autres personnalités politiques.

Francois Hollande au balcon des bureaux mis a sa disposition par l'Etat, rue de Rivoli, a Paris.
François Hollande au balcon des bureaux mis à sa disposition par l’État, rue de Rivoli, à Paris.© JOEL SAGET / AFP / JOEL SAGET/AFP

Philæ peut continuer à s’ébrouer dans les fauteuils en cuir noir qui meublent l’immense bureau de son maître, François Hollande. Le labrador noir a bénéficié des largesses de l’ex-chef de l’État. Le chien et son maître auraient dû, en effet, quitter ce bel endroit avec vue sur le jardin du Palais-Royal parce que le loyer n’est plus payé intégralement par la République. Mais François Hollande en a décidé autrement. Depuis octobre, il règle sur ses deniers personnels la part que l’État ne prend plus en charge, soit en gros la moitié de la facture.

Le « président normal » a décidé, alors qu’il était encore à l’Élysée, qu’il serait un ex-président normal. Il a donc fait adopter une règle qui réduit de moitié les moyens mis à la disposition des anciens chefs de l’État cinq ans après la fin de leur mandat. S’ils conservent une voiture de fonction, difficilement divisible, ils n’ont plus que quatre personnes pour les épauler, contre huit jusqu’alors.

Des arrangements

François Hollande collabore ainsi avec un directeur de cabinet, une cheffe de cabinet, une attachée de presse et un cuisinier. L’ex-chef de l’État bénéficie aussi, comme toute personnalité considérée comme sensible, d’un service de protection 24 heures sur 24. La division par deux des effectifs s’accompagne, évidemment, d’une réduction équivalente de la surface des bureaux offerts par la République. François Hollande en a donc décidé autrement. Plutôt que d’emménager dans des locaux plus réduits, il trouve un arrangement avec la République : il reste rue de Rivoli en réglant la quote-part que l’État ne prend plus en charge.

Nicolas Sarkozy a fait le même choix. L’ex-chef de l’État a quitté l’Élysée il y a dix ans ; la règle de réduction des moyens s’impose donc, mais avec un décalage dans le temps : il l’applique depuis octobre 2021, cinq ans après l’entrée en vigueur du texte. À cette date, les effectifs qui épaulent Nicolas Sarkozy ont été réduits à quatre personnes, plus Michel Gaudin qui assure la fonction de directeur de cabinet de manière bénévole (préfet, il est à la retraite). Afin de rester dans les bureaux de la rue de Miromesnil, quelque 300 mètres carrés devenus une adresse courue des personnalités politiques de droite, Nicolas Sarkozy règle lui-même la moitié du loyer.

Sobriété pour tout le monde

La générosité de la République s’est aussi amoindrie pour d’autres personnalités. C’est le cas des ex-Premiers ministres. En septembre 2019, un décret pris par Édouard Philippe, alors locataire de Matignon, met un peu d’ordre dans une pratique édictée sous Lionel Jospin, une vingtaine d’années plus tôt. Le texte limite désormais la prise en charge des anciens Premiers ministres à dix ans après la fin de leurs fonctions, et au plus tard à 67 ans. Le texte n’étant pas rétroactif, l’État n’a pas, par principe, coupé les vivres à Laurent Fabius (à Matignon jusqu’en 1986), Édith Cresson (1991-1992) ou même à Alain Juppé (1995-1997). Selon l’article 3 du décret de 2019, les ex-Premiers ministres, au moment de sa publication, bénéficient des moyens pendant dix ans, c’est-à-dire jusqu’en 2029.

La première des aides est un secrétariat, sauf si le récipiendaire occupe, comme Laurent Fabius à la tête du Conseil constitutionnel, une fonction publique, ou un mandat parlementaire. Sous les mêmes conditions, tous les prédécesseurs d’Élisabeth Borne disposent d’un véhicule de fonction avec un garde du corps dont les dépenses sont prises en charge par l’État. Jean Castex, nommé il y a quelques semaines patron de la RATP, une entreprise publique, n’en bénéficie donc pas : il voyage en métro.

Une autre catégorie de personnalités dispose d’un service de protection. Il s’agit des anciens ministres de l’Intérieur, considérés comme des personnalités sensibles, à l’instar de certains magistrats ou personnalités politiques (Ségolène Royal avait eu droit à un garde du corps, avec voiture, plusieurs mois après la présidentielle de 2007). Mais tous les anciens locataires de la Place Beauvau — et ils sont nombreux, certains n’étant restés en place que quelques mois — ne bénéficient pas d’un service de protection. « Il n’y a pas de texte réglementant cette disposition, explique René Dosière, ancien député PS et président de l’Observatoire de l’éthique publique. Il s’agit plutôt d’une coutume. » Certains anciens occupants de Beauvau, comme Bernard Cazeneuve (qui fut aussi à Matignon), préfèrent ainsi s’en passer. D’ailleurs, qui irait encore chercher des noises à Pierre Joxe, ministre de l’Intérieur au siècle dernier, jusqu’en 1991 ?

Avec Le Point par Michel Revol

Funérailles d’Elizabeth II : une facture… royale

septembre 19, 2022

Les obsèques de la reine devraient être beaucoup plus coûteuses que celles de Diana et de la Queen Mum. Une facture à la charge du contribuable britannique.

Avec l'inflation et la magnificence des ceremonies prevues, la somme devrait facilement franchir la barre de 10 millions de livres, soit plus de 11 millions d'euros...
Avec l’inflation et la magnificence des cérémonies prévues, la somme devrait facilement franchir la barre de 10 millions de livres, soit plus de 11 millions d’euros…© JEFF SPICER / POOL / AFP

Les obsèques d’Elizabeth II ne vont pas seulement battre des records d’audience et de prestige : la facture des cérémonies s’annonce d’ores et déjà très salée pour les contribuables, même si le gouvernement n’a donné pour l’instant aucun chiffre officiel. Les experts rappellent que les funérailles de Diana, en 1997, ont coûté environ 3,5 millions de livres, tandis que celles de la Queen Mum, la mère d’Elizabeth, s’élevaient à 5 millions de livres au printemps 2002, rappelle le New York Times. Avec l’inflation et la magnificence des cérémonies prévues, la somme devrait facilement franchir la barre de dix millions de livres, soit plus de 11 millions d’euros, certains évoquant même une facture au-delà des 20 millions…

Il faut dire que les adieux à la reine se sont étalés sur plus d’une semaine en suivant un protocole particulièrement lourd, qui a mobilisé nombre de participants, gardes, régiments, officiels, forces de l’ordre… Les cérémonies se sont multipliées avec une procession dans les rues vers la cathédrale l’Édimbourg, une première exposition du cercueil en Écosse, un retour en corbillard vers Londres avec traversée de la capitale, une deuxième veillée sur cinq jours à Westminster Hall puis des funérailles royales proprement dites, avec 2 000 invités prestigieux comprenant les chefs d’État et le gratin des têtes couronnées du monde… C’est d’ailleurs le poste sécurité qui devrait coûter le plus cher au final : 10 000 agents déployés, dont 2 000 policiers venus d’Écosse et d’Irlande pour renforcer les équipes londoniennes, plus de 1 000 soldats, des drones et des hélicoptères mobilisés ainsi que des unités spéciales antiterroristes, qui travaillent en lien avec le MI5, le service de renseignement en charge de la sécurité intérieure.

Impact sur le PIB

Pour se donner une idée de l’ampleur des coûts, la sécurité des noces de William et Kate en plein Londres en 2011 avait atteint plus de 6 millions de livres, soit plus de 7 millions d’euros, d’où la somme de 10 millions avancée pour la facture des obsèques de la reine, uniquement sur le poste sécuritaire. Mais la facture la plus impressionnante reste sans conteste celle provoquée par la mise en place d’un jour férié ce lundi 19 septembre pour les funérailles d’État. La baisse d’activité des commerces, la fermeture de la Bourse, le ralentissement de l’économie, tout cela en pleine période d’inflation (plus de 10 % au Royaume-Uni), auront un impact négatif sur le PIB, sans doute de 0,2 % sur le mois de septembre, comme ce fut le cas pour le jubilé de platine en juin dernier, selon un expert du cabinet de prévisions Pantheon Macroeconomics cité par Le Monde – des pertes qui se chiffrent en centaines de millions de livres. Les économistes redoutent également un effet négatif sur le moral des ménages qui pourrait impacter la consommation à court terme.

Mais la monarchie britannique a montré qu’elle avait aussi de la ressource et était capable de fortement dynamiser l’économie sur la longueur… Les funérailles royales ont également drainé une foule considérable à Londres, autant de personnes qui se déplacent, se logent et consomment. Les ventes de souvenirs pourraient dépasser les 70 millions d’euros en marge des cérémonies. Et le quotidien Le Monde rappelle que les grands événements royaux ont toujours participé au rayonnement du pays et au business intérieur : les Windsor seraient ainsi à l’origine de 600 millions d’euros de revenus sur les 20 milliards brassés chaque année par le secteur du tourisme… À ce rythme-là, Elizabeth II laisse un bilan comptable remarquable avec plus de 40 milliards générés pendant soixante-dix ans de règne. Cela vaut bien quelques sacrifices…

Avec Le Point par Marc Fourny

Chine: déjà dissoute, une Église devra aussi payer 150.000 euros

septembre 26, 2018

Le pasteur Jin Mingri, fondateur de l’Eglise de Sion, à Pékin le 12 septembre 2018 / © AFP/Archives / FRED DUFOUR

Une Eglise protestante basée à Pékin et dissoute début septembre par les autorités vient de recevoir une douloureuse facture: elle devra payer 1,2 million de yuans (150.000 euros) de loyers impayés et de frais liés à l’expulsion.

« L’Eglise de Sion » était l’une des plus importantes organisations chrétiennes « non-officielles » de Chine, c’est-à-dire qui opérait en dehors du contrôle de l’Etat. Sa fermeture est intervenue dans un contexte d’encadrement croissant des pratiques religieuses.

Elle occupait un immense appartement de plus de 2.000 mètres carrés dans un immeuble de bureaux du nord de Pékin. Le local avait été évacué le 9 septembre en présence de nombreux policiers.

Et la municipalité exige désormais le paiement de 37 jours de loyers impayés, pour un montant de 800.000 yuans (100.000 euros), selon une facture adressée à l’Eglise et consultée par l’AFP.

A cela s’ajoute: 148.000 yuans pour séjour prolongé après expiration du contrat de location qui s’achevait en août ; 114.000 yuans pour le coût du déménagement, qui a mobilisé 66 véhicules et 18 personnes ; ou encore 90.000 yuans pour trois mois de stockage des biens qui se trouvaient dans le local.

Le fondateur de l’Eglise de Sion, le pasteur Jin Mingri, a confirmé à l’AFP avoir reçu la facture, mais estime « impossible » de payer la somme demandée.

« Non seulement ils n’ont pas négocié avec nous avant de déménager nos affaires. Mais il n’y a aucune raison d’exiger de nous le paiement de ces frais de déménagement exorbitants », estime-t-il.

L’Eglise de Sion affirme que jusqu’à 1.600 fidèles assistaient à ses services hebdomadaires. Selon les autorités pékinoises, l’organisation religieuse a été dissoute car elle n’était pas enregistrée.

La Chine compte cinq associations étatiques auxquelles doivent s’affilier les organisations de confessions religieuses reconnues: protestantisme, catholicisme, bouddhisme, taoïsme et islam. L’objectif est notamment d’éviter toute influence politique ou venant de l’étranger.

Tout culte existant en dehors de ces structures est jugé illégal. Les petites Eglises évangéliques protestantes non déclarées, dont les membres se réunissent dans des appartements ou des lieux publics, ont cependant fleuri ces dernières années.

Mais les soucis de « l’Eglise de Sion » ont commencé en février 2018 avec l’introduction d’une nouvelle loi encadrant plus sévèrement les pratiques religieuses en Chine.

Jin Mingri faisait également partie d’un groupe de 200 pasteurs d’Eglises non-officielles à avoir signé une pétition. Celle-ci dénonçait « l’agression et l’obstruction » de l’Etat depuis l’application des nouvelles règles, dont des démontages de croix chrétiennes.

Romandie.com avec(©AFP / (26 septembre 2018 14h35)

Brexit: sans accord commercial, le Royaume-Uni refusera de payer à l’UE la facture

juillet 22, 2018

Londres – Le Royaume-Uni ne paiera la facture du divorce avec l’Union européenne qu’à la condition qu’un accord commercial soit trouvé, a déclaré le nouveau ministre britannique du Brexit, Dominic Raab, dans une interview publiée dimanche dans le Sunday Telegraph.

L’eurosceptique Dominic Raab, qui a remplacé le 9 juillet David Davis, après la démission de celui-ci, a affirmé qu’une « certaine conditionnalité entre les deux » était nécessaire.

« L’article 50 (du traité de Lisbonne, sur le processus de sortie de l’UE) exige (…) qu’il y ait un futur accord-cadre pour la relation que nous aurons (avec l’UE) à l’avenir, donc les deux sont liés », a déclaré M. Raab au Sunday Telegraph.

« Vous ne pouvez pas avoir d’un côté une partie remplissant toutes les conditions et de l’autre une partie qui ne les remplit pas, ou qui va doucement, ou qui ne s’engage pas », a ajouté le ministre.

Jusqu’à présent, le gouvernement britannique a envoyé des messages contradictoires concernant le règlement financier du Brexit dans le cadre d’un accord sur les modalités de sortie du Royaume-Uni de l’UE à compter de fin mars 2019.

La Première ministre britannique, Theresa May a accepté en décembre un accord financier d’un montant total de 35 à 39 milliards de livres sterling (39-44 milliards d’euros) qui, selon les ministres, dépendait de l’établissement des futures relations commerciales.

Cet accord avait rapidement été remis en cause par des membres du gouvernement.

Le ministre des Finances, Philip Hammond, partisan d’une rupture « douce » avec l’UE avait cependant considéré comme « inconcevable » le fait que Londres n’honore pas ses engagements financiers même en l’absence d’accord commercial, soulignant que ce n’était pas « pas un scénario crédible ».

Le Royaume-Uni doit quitter l’UE fin mars 2019, et les deux parties sont censées parvenir à un accord de divorce d’ici la fin octobre afin d’organiser la séparation, jeter les bases de leur relation future et donner le temps au Parlement européen et aux Parlements nationaux de ratifier le texte.

Dominic Raab a rencontré pour la première fois cette semaine Michel Barnier, le négociateur en chef de l’UE et y retournera jeudi pour de nouvelles discussions. « Si l’énergie que nous mettons dans ces négociations, l’ambition et le pragmatisme sont réciproques, nous obtiendrons un accord en octobre », a déclaré M. Raab à la BBC dimanche. Il a ajouté qu’il serait « franchement irrationnel » pour l’UE d’opter pour « le pire des scénarios », celui d’une absence d’accord à l’issue des négociations.

Londres comme Bruxelles disent vouloir aboutir à un accord mais tous deux se préparent à l’éventualité d’un échec des négociations.

Les Européens s’inquiètent de l’enlisement des discussions et des remises en cause constantes en interne de la stratégie de Theresa May. Selon un sondage publié par le Sunday Times, seuls 12% des Britanniques interrogés pensent que le « plan de Chequers » de Theresa May sur la future relation commerciale du Royaume-Uni avec l’UE après le Brexit serait « bien » pour le pays.

Romandie.com avec(©AFP / 22 juillet 2018 10h43)                                                        

Trump aurait présenté une facture de USD 375 milliards à Angela Merkel

mars 27, 2017

LONDRES – Selon un article publié aujourd’hui dans le journal anglais « The Times », Donald Trump aurait profité de la récente visite d’Angela Merkel à Washington pour lui adresser une facture de USD 375 milliards au titre d’un présumé financement excédentaire de l’OTAN par les Etats-Unis.

Cette facture serait basée sur la période 2002-2014, pendant laquelle tous les membres de l’OTAN auraient dû consacrer 2% de leur PIB aux dépenses militaires.

Selon un ministre allemand cité dans l’article : « Le concept d’une telle demande est d’intimider l’autre partie mais la Chancelière l’a pris calmement et ne répondra pas à de telles provocations ».

Durant sa campagne présidentielle, Donald Trump a souvent critiqué les pays européens pour leur manque de participation financière au budget de l’OTAN.

(Romandie.com, le 27 mars 2017)

Nabila, femme actuelle et séduisante

février 25, 2013

Nabila, femme actuelle, de tendance moderne, aux appâts séduisants et mordants, après le tremplin de son rendez-vous de la saison de Télé-réalité 5, elle a également inauguré sur NRJ12 sa propre série intitulée: Allô Nabilla, ma famille en Californie (sans son père). Cette émission se poursuivra en été et est déjà très attendue par de nombreux télé-spectateurs qui découvriront d’autres styles du talent de la bimbo. Elle a réussi un passage remarqué sur le tapis rouge au Festival de Cannes.

http://www.programme-tv.net/news/tv/54076-nabilla-gerard-louvin-bisou-video/#xtor=EPR-30

Actrice étincellante, belle comme un ange, elle qui avait pour marraine Kim Kardashian de la Télé-réalité américaine, après avoir fait école et compris les leçons du succès; la présentation du premier épisode de sa famille n’a pas suffit qu’une suite est programmée dans cette collection comme un fruit mûr à déguster. Elle vous invite à venir la découvrir dans un agenda riche d’épisodes délicieux et savoureux, à plusieurs facettes et recettes, qui demanderont aux yeux de ne pas vaciller, pour ne pas perdre la moindre action de bonne facture.

Nabilla au top de la boulette des bêtises les plus chères

Nabilla une ascension admirable sur NRJ12

Ayant effectué moult passages sur la plage de Miami, en Floride, avant le tournage et l’assemblage de plusieurs séries en Californie, Nabila a toujours une agilité de belle gazelle des plages. Son teint de confiture des dattes mûres domine, par la présence de son rayon lumineux, la nudité de l’immensité de l’océan qui admire le rebondissement alerte  de ses pas d’un corps svelte, rythmant le mouvement de ses bras mannequin.

Nabilla, gazelle des plages !

Nabilla, gazelle des plages !

La Télé-réalité a l’honneur et le bonheur de vous présenter en quotidienne actuellement Nabilla pas en famille, non plus en « Caméra cachée », mais comme chroniqueuse dans Touche pas à mon poste, sur D8, animée par Cyril Hanouna. Elle est donc amenée à donner son avis sur des choses de la vie que projette parfois NRJ 12, Pièges de stars. Un programme pour lequel elle a été contac­tée, car elle est devenue l’incarnation de la téléréalité en France.
http://www.programme-tv.net/news/tele-realite/44829-nabilla-marre-donner-image-formatee-pour-la-france/#xtor=EPR-30

Bernard NKOUNKOU

Lu: 4.121 fois