Posts Tagged ‘Fashion Week’

Esprit de la fête, es-tu là ?

juillet 2, 2021

L’été sera-t-il festif ? Les marques s’y préparent : de la Fashion Week aux festivals, du luxe à la Villa Scheppes, la fête est une forme de soft power.

La fete : un esprit cultive. Ici a la Villa Schweppes.
La fête : un esprit cultivé. Ici à la Villa Schweppes.

Les vicissitudes des temps ont conduit les uns et les autres à plus de vigilance. Quand bien même le pass sanitaire a permis la reprise de nombre d’activités culturelles, des moments ont été annulés, des festivals ont dû être reportés, à l’instar du rendez-vous musical prisé de Calvi On the Rocks.

Une interrogation donc subsiste : l’esprit de la fête est-il mort ? Sans doute pas. Après toute période de crise, de la Révolution aux traumatismes des grandes guerres, on a festoyé, dansé et bu : des bals des Merveilleux et Incroyables – où pour entrer, il fallait prouver qu’on avait eu au moins un membre de sa famille décapité – aux Années folles, du Bœuf sur le toit aux petits bals de la Libération, les Français ont toujours répondu au drame en s’étourdissant.

Affirmer sa puissance par la fête

En 2021, même schéma. Ici et ailleurs, les initiatives se multiplient pour garder vivant l’esprit de convivialité. Et les marques de comprendre l’intérêt de perpétuer cet esprit. C’est vrai des grands noms du luxe, qui ont fait des Fashion Weeks des occasions de redonner du sens à leurs griffes, en osant la rencontre et le spectaculaire : Dior par exemple aura en trois semaines défilé en « présentiel » à Athènes, avec sa Cruise au stade olympique antique, mais aussi deux fois à Paris – avec l’Homme de Kim Jones présenté à l’ombre du dôme des Invalides – et la Couture de Maria Grazia Chiuri le 5 juillet. Et si les présentations de mode masculine furent essentiellement numériques, la Semaine de la couture, s’ouvrant le 5 juillet, permet aux uns et aux autres de revenir sur le devant de la scène, de prouver ses capacités créatives et organisationnelles : Dior, Chanel, Armani ou encore Valentino affirmeront ainsi leur puissance.

la villa Schweppes, un concept nomade© DR

Même constat du côté des événements culturels donnant lieu à des démonstrations de soft power. Comme le luxe s’associe avec les arts plastiques, certains acteurs de la grande consommation flirtent ouvertement avec les festivals – occasions étymologiquement festives… Cas d’école, Villa Schweppes. Villa Schweppes ? Une marque en soi issue d’une autre marque puissante, Schweppes – un nom propre devenu commun, rappelez-vous de « What

did you expect ? ». Ce concept festif apparaît à Cannes, lors du festival du film, alors que les grandes fêtes des années Canal s’essoufflent. L’idée ? Parier sur la convivialité portée par les valeurs de marque de la maison mère pour créer un lieu-événement synonyme de fête – et non pas simplement de consommation de tonic, quand bien même l’imaginaire de la bulle est associé à celui de la joie. La Villa Schweppes, elle-même nomade, du palais des festivals au voilier Club Med II, via le cap D’Antibes et Juan-Les-Pins, devient ainsi à partir de 2007 et pendant plus de dix ans l’une des escales des festivaliers.

De Cannes à Calvi

L’astuce ? Ne pas tomber dans la nostalgie de la « boîte de nuit » – qui a déjà un peu de plomb dans l’aile à l’époque –, et ne pas sombrer dans l’élitisme fermé du club privé – un créneau déjà pris sur la Croisette en période de festival –, mais opter pour un lieu ouvert à tous – toujours cette volonté d’inscrire l’événement dans les « brand values », comme on dit en marketing. Refuser en quelque sorte l’excluant au profit de l’exclusivité d’une programmation musicale de pointe : bien avant leur gloire, Orelsan ou Clara Luciani en furent dans des performances « en live ».

Cela fonctionne tant que le concept s’exporte sur d’autres lieux, lors d’autres événements culturels, comme à L’Alpe d’Huez, au moment du Festival de comédie. Et donc à Calvi depuis dix ans et la première édition du festival. L’édition 2021 étant reportée à 2022, la marque aurait pu ne pas s’installer en Corse. Finalement, elle tiendra sa propre martingale le temps d’un week-end – du 2 au 4 juillet –, en investissant la cité calvaise avec une programmation électro entre plage et coucher de soleil, Sitta Abellas et Yuksek – si vous ne connaissez pas, vous pourrez tout de même entrer – sur réservation, protocole sanitaire oblige. L’illustration en tous les cas que les marques puissantes peuvent être plus fortes que les crises qu’elles traversent.

Par le Point avec Gilles Denis

Fashion week de Londres : Tina Lobondi, la beauté Congo

février 26, 2017

tina lobondi

Tina Lobondi présentait sa collection automne-hiver 2017 dans le cadre de la fashion week de Londres, vendredi 17 février. Un défilé visant à récolter des fonds pour son association ESIMBI, qui œuvre auprès des enfants au Congo.

C’est dans l’enceinte du prestigieux hôtel One Whitehall Place logé dans le très chic quartier de Soho, que s’est tenu le défilé de la créatrice congolaise née à Kinshasa, Tina Lobondi. Installée à Londres depuis 10 ans, cette designeuse diplômée en stylisme et en modélisme au London College of Fashion a profité de la fashion week de Londres pour créer un événement off. Et sensibiliser le public aux actions pédagogiques qu’elle mène au Congo avec ESIMBI.

Une styliste qui valorise la création au Congo

Une association qui œuvre pour l’éducation à la création et à la culture auprès des enfants défavorisés, soutenue par l’actrice britanno-zimbabwéenne : Thandie Newton. « J’ai toujours admiré cette femme que j’ai découverte dans la série Urgences, lors des épisodes tournés au Congo où elle officie en tant que médecin dans un orphelinat. Malgré la fiction, j’ai vite été inspirée par cette femme. La voir auprès des enfants m’a en quelque sorte convaincue de rejoindre une cause avec un message positif ayant un plus grand impact que le simple fait de confectionner des vêtements ».

Raison pour laquelle la jeune femme utilise aujourd’hui son nom et sa marque pour promouvoir ce travail qu’elle réalise auprès des 230 enfants inscrits au programme de l’année 2017 dans quatre écoles basées au Congo. «Je veux que les gens ce soir voient l’intérêt qu’il y a à investir dans l’éducation des filles comme des garçons. Avec ESIMBI, on a mis en place un calendrier rythmé par des worshops, des interventions d’artistes locaux et autres projets éducatifs. J’aimerais que les Congolais réalisent la valeur de notre pays, insiste la créatrice. Donner de la valeur à quelque chose ne passe pas seulement par l’argent. Il faut donner de la valeur à notre culture, à notre patrimoine ».

La diaspora congolaise à l’honneur sur le catwalk

Le Congo, que la styliste a dû quitter à l’âge de huit ans à cause de la guerre civile, reste au cœur de son travail. En backstage, au Churchill’s Bar où les make-up artists s’attellent à sublimer les mannequins à grand renfort de «smokey eye, de lèvres glossy et de joues vitaminées », précise l’une des maquilleuses avec un enthousiasme typiquement british, la beauté congolaise est à l’honneur. Parmi les models, Miss Congo UK 2016, Lucrèce Kibeti, ou encore la sylphide Carine Nguz, fraîchement débarquée de Kinshasa il y a six mois. «L’une de mes tantes avait acheté une robe Tina Lobondi, je suis ensuite très vite rentrée en contact avec Tina. Cela s’est fait simplement. Et maintenant, me voilà. », nous explique la jeune fille qui vient de signer avec l’agence de mannequins First Model Managment à Londres, dans un Anglais parfait.

tina lobondi
Into The Chic

Nous sommes à moins de 40mn du lancement des festivités. Et l’atmosphère s’électrise. Les fers à lisser en surchauffe y sont sans doute pour quelque chose, mais l’excitation est bel et bien palpable. La pression aussi. Reste encore à finaliser les gift bags pour les VIP, à orner la peau des mannequins de tattoos éphémères, à finaliser les tresses épi des models, à dresser le banquet de cupcakes et autres mignardises, campé derrière les rangées de chaises installées pour le public de fashionistas et modeurs qui a joué le jeu à coups de robes de cocktail, de talons de douze et de costumes sapologiques.

Le Congo défilera la tête haute ce soir-là, dans la victorienne River’s Room aux côtés de l’Angleterre.

«Je veux promouvoir les mannequins congolais parce que je sais qu’on a énormément de potentiel. La diaspora nigériane et sud-africaine est très solidaire, et je souhaite apporter ce même professionnalisme à Londres, avec le Congo », confie la styliste tout en se faisant farder les joues par une professionnelle. Néanmoins, Tina Lobondi est consciente d’être seule aux commandes de ce projet. Malgré une équipe «formidable » qui soutient ses initiatives, elle sait que la marche sera longue avant d’être en mesure de créer un vrai partenariat entre le Royaume-Uni et le Congo.

tina lobondi
Alessia Frances Camuoio

Un mariage afro-britannique

«Quand je m’adresse à différents interlocuteurs au Congo, il faut que j’explique que le fait d’être designer, ce n’est pas seulement faire un vêtement. Mais c’est réaliser des collections, être en mesure de proposer des modèles de différentes tailles capables d’être vendus en magasins ou en ligne. En Afrique, il y a des problèmes de connectivité ou d’électricité, mais il faut que l’on soit en mesure d’aller vers le faire ensemble », analyse celle qui souhaiterait travailler avec le British Council pour concrétiser ses actions pour le Congo. Si Tina Lobondi reconnaît avoir eu la chance d’acquérir rapidement une petite notoriété, elle a dû aussi s’adapter au marché de la mode international, économiser et faire des sacrifices pour proposer de vraies collections, et exister dans l’industrie de la mode outre-manche.

Six mois seulement après son arrivée, en 2006, elle participe au gala caritatif Princess Diana Award, et parvient à vendre l’une de ses robes pour 1000 livres. Là, la créatrice en herbe réalise le potentiel de ce qui deviendra, 4 ans plus tard, le label Tina Lonbondi. Mais c’est au British Soap Award, la même année, qu’elle retient l’attention en habillant deux stars du petit écran britannique, les actrices de l’une des séries les plus populaires en Angleterre : Eastenders.

La chanteuse béninoise Angélique Kidjo, Lianne La Havas, et bien sûr Thandie Newton… les personnalités se bousculent ensuite au portillon pour porter ses créations convoquant les pagnes africains. Aujourd’hui, on sent la styliste directement inspirée par sa ville d’accueil, sans pour autant faire l’impasse sur son héritage culturel. Si le mariage britano-congolais sera présent ce soir-là, tant côté public que côté mannequins, le métissage le sera tout autant sur le catwalk.

Alessia Frances Camuoio

Indigo et jaune rappelant les couleurs du drapeau congolais, imprimés conçus par l’artiste en collaboration avec une graphiste, mêlés au chic british : pour sa nouvelle collection automne-hiver 2017 présentée en avant première à l’occasion du coup d’envoi de la fashion week, la styliste s’est affranchie de l’évident et surexposé imprimé wax pour aller côtoyer la simplicité. Volute de soie, fluidité, longueurs aériennes, lignes sensuelles et tailles marquées…

tina lobondi
Alessia Frances Camuoio

«Je mets un point d’honneur à apporter de la féminité à mes créations et je souhaite que le public voit le caractère intemporel de mes pièces ».

On entend les premières bribes de «Show Me The Way » de feu Papa Wemba, le roi de la rumba congolaise, le show peut commencer. Puis se refermer sur la nuit londonienne, illuminée par la grande roue surplombant la Tamise, magique en cette fashion week…

Jeuneafrique.com

Etats-Unis: Rihanna styliste, adoubée à New York

février 13, 2016

rihanna-naomi

Rihanna et Naomi Campbell

 

La chan­teuse réin­vente le sports­wear pour sa première collec­tion

Rihanna présen­tait cette semaine son tout premier défilé de prêt-à-porter, à New York, dans le cadre de la Fashion Week. La Barba­dienne signe une collec­tion mini­ma­liste en parte­na­riat avec la marque Puma. Débuts réus­sis pour celle qui souhaite bous­cu­ler tous les codes.

Rihanna n’en finit plus de faire parler d’elle. La chan­teuse, véri­table phéno­mène, ajoute chaque jour une nouvelle corde à son arc, et trans­forme tout ce qu’elle touche en or, quand ce n’est pas en platine!

En effet, celle qui est s’est déjà lancé dans le beauty busi­ness, a publié une photo cette semaine, où l’on la voit poser avec un disque de platine de son dernier album, Anti, à côté d’un autre cadre symbo­li­sant 100 millions de titres vendus dans sa carrière. Un record selon RIAA Gold & Plati­num, qui récom­pense les meilleurs morceaux des artistes.

Mais la chan­teuse ne s’arrête pas là. Le même jour, elle présen­tait une collec­tion évène­ment de prêt-à-porter. En parte­na­riat avec la marque alle­mande Puma, elle a présenté sa première collec­tion lors d’un défilé, à la Fashion Week de New York. Un show très attendu depuis le succès d’un premier modèle de chaus­sures, lancé en septembre, qui avait fait sensa­tion. La « Cree­per », décli­nai­son de la célèbre « Suede » de Puma, avec semelle compen­sée, s’était arra­chée en quelques heures. Alors tous les regards étaient braqués sur les vête­ments dessi­nés par celle qui est la nouvelle direc­trice de la créa­tion de la ligne femme de Puma.

Bapti­sée « Fenty x Puma », la ligne de sports­wear est une décli­nai­son entière en noir et blanc. Le podium, composé d’arbres sans feuilles, accueille les mannequins, hommes et femmes, vêtus de sweat­shirts XXL, ou à l’opposé de petits hauts très courts. Cuir, coton, résille… Rihanna styliste s’est essayée à tout un tas de matières pour restrans­crire ses envies vesti­men­taires. Cette collec­tion a déjà été adopté par Naomi Camp­bell, Jeremy Scott, et les soeurs Hadid, qui défi­laient hier soir.

Jamais mieux servie que par elle-même, Riri est venue saluer ses amis et futurs clients habillée d’une de ses créa­tions.  Le défilé était visible sur la page Face­book de la chan­teuse, qui n’a pour l’occa­sion pas chanté une note de musique. L’évène­ment a été vu plus de 700 000 fois en deux jours… là aussi, un possible record.

Gala.fr par Martin Choteau

Kim Karda­shian, la blonde platine de Yeezy

février 12, 2016

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Les petits plats dans les grands pour le défilé de Kanye West

Hier soir, Kanye West a mobi­lisé 18 000 personnes au Madi­son Square Garden pour son défilé. Forcé­ment, Kim Karda­shian était au cœur des atten­tions avec sa cheve­lure platine.

C’est l’évè­ne­ment de ce début de Fashion Week à New York. Ce jeudi 11 février, Kanye West présen­tait sa troi­sième collec­tion, Yeezy, en colla­bo­ra­tion avec Adidas Origi­nals. Bien entendu, l’une des appa­ri­tions les plus atten­dues, pour ne pas dire la plus atten­due, était celle de son épouse Kim Karda­shian. Et, elle n’a pas déçu.

Habillée dans une tenue exclu­sive créée par Olivier Rousteing, le direc­teur artis­tique de Balmain, en colla­bo­ra­tion avec Kanye West, la star de télé­réa­lité est arri­vée avec une perruque blonde platine. Une arme qu’elle n’hé­site jamais à dégai­ner lors des grand-messes de la mode, comme à la Fashion Week de Paris. Cheve­lure ultra­lisse, blon­deur d’inspi­ra­tion Mary­lin Monroe, pour une tenue – forcé­ment – triple bling. Elle s’est drapée dans un long manteau en four­rure blanche, sous lequel on devine une robe nude aux allures twen­ties, large­ment décol­le­tée. Quand le swing des années folles rencontrent l’ex­tra­va­gance de la décen­nie Karda­shian…

Fidèle à elle-même, Kim Karda­shian a joué la carte vamp avec un make-up entre natu­rel et dark : oeil char­bon­neux, lèvres couleur chair et joues roses. Accom­pa­gnée de toutes les femmes de sa famille, Cait­lyn Jenner comprise, la mère de North West a encore su capter toute l’at­ten­tion.

https://www.instagram.com/p/BBqszW-uS2t/embed/captioned/?v=6

Gala.fr

Kim Karda­shian violem­ment agres­sée à Paris

septembre 26, 2014

Un fou à ses pieds

Kim Karda­shian, qui séjourne à Paris le temps de la fashion week, s’est fait agres­ser hier par un déséqui­li­bré, alors qu’elle se rendait à un défilé.

Kanye West et Kim Karda­shian, en grands fans de mode, assistent aux fashion week à travers le monde tel un tour­ne­sol suivant la course du soleil. Le couple réside donc actuel­le­ment à Paris et ne manque aucun des défi­lés. Hier, le couple star, accom­pa­gné de belle-maman Kris Jenner, mais sans North cette fois, s’est rendu au show Balmain. Mais alors que Kim Karda­shian sortait de sa voiture, un déséqui­li­bré s’est litté­ra­le­ment jeté sur elle.

Sur une vidéo visible sur le site de TMZ, on peut voir Kim Karda­shian sortir du véhi­cule entou­rée d’une nuée de photo­graphes quand soudai­ne­ment, un homme se jette sur ses jambes. Désé­qui­li­brée, Kim tombe et est rattra­pée in extre­mis par un de ses gardes du corps. On note que le service de sécu­rité se jette sur l’agres­seur et a visi­ble­ment du mal à le faire lâcher prise malgré l’aide de Kris Jenner, qui n’hé­site pas à bour­rer de coups de pieds l’agres­seur de sa fille.

Ce dernier est un habi­tué de ce type d’actes, puisqu’il s’agit de Vita­lii Sediuk, le fou furieux des tapis rouges. L’Ukrai­nien de 25 ans s’en est déjà pris à nombre de person­na­li­tés telles que America Ferrara, BradPitt ou encore WillSmith.

Selon TMZ, trau­ma­ti­sés par cette attaque, Kim et Kanye ont engagé deux équipes de gardes du corps supplé­men­taires, et ils seront armés ! Ces hommes de main auront pour mission de former un cercle humain de protec­tion tout autour des West-Karda­shian. Les parents de North ne se dépla­ce­ront égale­ment plus qu’en véhi­cule blin­dé… Ces mesures de protec­tion extrêmes les accom­pa­gne­ront tout le reste de leur séjour pari­sien.

Voici.fr par Karine Hernandez

PHOTOS Kim Kardashian et Kendall font leur show à Paris pour la fashion week

juillet 10, 2014

Les sœurs Kardhasian à Paris.

Les sœurs Kardashian à Paris.

Plus canons que les tops !

Quand les sœurs Kardashian débarquent à Paris, la capitale retient son souffle. Changements de tenues toutes les heures, décolleté super sexy et mini robes, elles savent assurer l’ambiance…

A l’origine, lors des différentes fashion week, le spectacle est sur les podiums. Certes, les stars qui assistent aux défilés sont très photographiées mais rien n’est censé éclipser la beauté des tenues qui sont présentées. Depuis que les sœurs Kardashian ont fait leur entrée dans le monde médiatique, l’ordre des choses est un peu bouleversé.

Les stars de la fashion week, désormais, ce sont elles ! Les défilés, ce sont elles qui les font en changeant trois fois de tenues par jour. Tenues qui seront quasiment plus commentées et disséquées dans les magazines que les merveilles haute couture des créateurs.

Kim Kardashian est venue à Paris rejoindre sa petite sœur Kendall, qui a défilé pour Chanel. L’occasion pour les deux stars de la téléréalité de passer du temps ensemble et de faire le show !

Kim a dégainé sa spéciale : nous sortir un décolleté incendiaire pour le défilé Valentino tandis que Kendall a accroché tous les regards avec une mini robe kaki hyper sexy qui mettait parfaitement en valeur ses jambes longilignes.

Défilés, soirées, cocktails…les sœurs ont enchaîné et ont même trouvé le temps du faire du shopping dans les enseignes les plus prestigieuses de la capitale. Remplir le dressing, dans leur cas, c’est un métier…

Voici.fr par P.S.B.

Charlène s’échappe de Monaco pour la Fashion Week

octobre 10, 2011

Fashion escapade

Charlène a profité des défilés de la Fashion Week à Paris pour fuir un peu ses obligations monégasques. C’est une jeune femme radieuse qui est venue assister en solo au défilé de la marque Akris.

Charlène, qui a toujours été fidèle aux créations de la maison suisse dirigée par Albert Kriemel, était au premier rang pour applaudir la collection Printemps-Été 2011/2012.

Loin du protocole, la princesse en a profité pour papoter avec la grande Anna Wintour entre deux passages de mannequins. En bonne fashionista, elle avait pris soin de respecter la règle d’or des défilés : toujours porter une création de la marque que l’on vient voir. Charlène était ravissante dans sa robe Akris couleur bronze qu’elle avait pris soin d’assortir d’escarpins dorés.

La princesse est très proche d’Albert Kriemel, on se souvient que c’est lui qu’elle avait choisi pour l’habiller lors du mariage de Kate Middleton et de William. Des rumeurs allaient même jusqu’à évoquer une collaboration entre la jeune femme et le créateur. Rumeurs vite balayées par la princesse comme elle l’explique au Telegraph : « Non, mais je sais ce que j’aime. Et si je parle à Albert [Kriemel] de certaines choses, il les adapte pour moi ».

Un seul regret pour Charlène qui a chaleureusement applaudi le défilé : elle ne pourra pas acheter les modèles les plus sexy ! Comme elle le confie à la rédactrice mode du Telegraph : « Il y a un certain protocole et, évidemment, je ne peux pas trop en montrer. Monaco est une principauté catholique ».

L’échappée aura été de courte durée.

Voici.fr par P.S.B