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Ukraine-Marioupol : la femme enceinte dont la photo a fait le tour du monde est morte

mars 14, 2022
Une femme est évacuée sur une civière par des hommes au milieu de décombres.

Femme enceinte blessée et évacuée de l’hôpital pédiatrique de Marioupol. Photo: La Presse Canadienne/AP/Evgeniy Malolekta

L’air hagard, une femme enceinte est étendue sur une civière pour être évacuée des ruines encore fumantes d’un hôpital pédiatrique : ce portrait a choqué la planète la semaine dernière, levant le voile sur la cruauté des bombardements russes sur l’Ukraine.

Cinq jours après le bombardement de l’hôpital pour enfants de Marioupol, le décès de cette femme a été confirmé à l’Associated Press par les autorités ukrainiennes.

Elle avait été évacuée d’urgence vers un autre hôpital, mais ses blessures étaient trop importantes. Après 30 minutes de réanimation, son décès a été constaté, a témoigné un médecin ukrainien, qui a aussi affirmé avoir tenté de donner naissance à son bébé par césarienne, mais il était déjà mort.

Plusieurs bombes ont été lâchées sur cet hôpital mercredi dernier, faisant au moins 3 morts, un bilan qui vient donc de s’alourdir.

Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, avait qualifié ce bombardement de crime de guerre. Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, avait de son côté justifié l’attaque en soutenant que des nationalistes ukrainiens avaient trouvé refuge dans l’hôpital et qu’il n’abritaient plus de femmes enceintes.

Des justifications qui ont, comme la photo de l’Associated Press, provoqué l’indignation à travers le monde.

Immenses souffrances

Marioupol, ville portuaire du sud-est de l’Ukraine, est complètement assiégée par les troupes russes depuis plusieurs jours. La situation humanitaire y est qualifiée de critique par les autorités, qui estiment qu’au moins 2187 personnes y sont mortes depuis le début de l’offensive.

Les occupants frappent cyniquement et délibérément des bâtiments résidentiels, des zones densément peuplées, détruisent des hôpitaux pour enfants et des infrastructures urbaines, a indiqué la mairie de Marioupol dimanche sur Telegram.

La ville, située entre la Crimée et le Donbass, est plongée dans une situation quasi désespérée, manquant de vivres et privée d’eau, de gaz, d’électricité et de communications, a fait savoir vendredi Médecins sans frontières.

Le Comité international de la Croix-Rouge a déclaré que les souffrances à Marioupol étaient tout simplement immenses et que des centaines de milliers de personnes étaient confrontées à des pénuries extrêmes de nourriture, d’eau et de médicaments.

« Des cadavres, de civils et de combattants, restent piégés sous les décombres ou gisent à l’air libre, là où ils sont tombés. »— Une citation de  Extrait d’un communiqué de la Croix-Rouge

Plusieurs tentatives d’acheminer de l’aide humanitaire vers la ville ont échoué ces derniers jours. Un convoi accompagné par des prêtres orthodoxes avec 100 tonnes d’eau, de nourriture et de médicaments n’a pu atteindre la ville dimanche.

Des couloirs humanitaires ont aussi été établis à plusieurs reprises pour tenter de permettre aux centaines de milliers de citoyens pris au piège de sortir de la ville, mais ces tentatives ont été infructueuses étant donné le non-respect du cessez-le-feu.

L’évacuation des civils de Marioupol, une ville de 430 000 habitants en temps de paix, devrait être abordée lors de la ronde de pourparlers qui se déroule lundi entre Kiev et Moscou.

Le conseil de ville a par ailleurs affirmé lundi que 160 voitures privées étaient arrivées à sortir de la municipalité pour se diriger vers Berdiansk, une ville portuaire occupée par les Russes, située à 80 kilomètres à l’ouest.

Radio-Canada avec les informations de Agence France-Presse et Reuters

Un handicapé, sa femme enceinte et leur fille morts dans un raid à Gaza

mai 19, 2021
Un handicape, sa femme enceinte et leur fille morts dans un raid a Gaza
Un handicapé, sa femme enceinte et leur fille morts dans un raid à Gaza© AFP/SAID KHATIB

Eyad Saleha, un Palestinien en fauteuil roulant, Amani, sa femme enceinte, et Nagham, leur fille de trois ans, ont péri dans un raid israélien mercredi dans la bande de Gaza, selon les autorité locales, devenant les dernières victimes de l’escalade entre le Hamas et Israël.

Agé de 33 ans, Eyad Saleha attendait de casser la croûte en fin de journée lorsqu’un missile a frappé la maison familiale de Deir al-Balah, dans le centre du territoire palestinien, réduisant en morceaux l’arche du salon où les pièces déchiquetées d’un vélo rouge gisent au milieu des décombres.

Dans le réfrigérateur, une fine couche de poussière grise recouvre un bol de tomates fraîches après la frappe.

L’armée israélienne pilonne la bande de Gaza depuis que le mouvement islamiste Hamas, au pouvoir à Gaza, a lancé le 10 mai des salves de roquettes en soutien aux centaines de Palestiniens blessés dans des heurts avec la police israélienne à Jérusalem-Est.

Selon un bilan du ministère de la Santé à Gaza, au moins 227 Palestiniens ont été tués dans les frappes israéliennes, incluant 64 enfants, depuis le 10 mai.

L’armée israélienne affirme que de nombreux combattants du Hamas font partie des victimes tout en reconnaissant des « dommages collatéraux ». En Israël, les autorités chiffrent à 12 le nombre de morts, dont un enfant de six ans, dans les tirs de roquettes palestiniens.

Mercredi, la frappe a fendu la résidence familiale des Saleha, en bord de mer, à Deir al-Balah, détruisant les trois pièces et fauchant trois vies, celles d’Eyad, de son épouse Amani et de leur fille Nagham, selon le ministère local de la Santé.

« Mais qu’est-ce que mon frère a fait ? Il ne faisait que passer (ses jours) dans son fauteuil roulant », a dit à l’AFP Omar Saleha, affirmant que son frère, en chaise roulante depuis 14 ans, n’était pas un combattant.

« Qu’est-ce que sa fille a fait ? Et sa femme ? Il se préparait à manger », a-t-il ajouté, disant qu’il était avec des voisins au moment de la « frappe aérienne israélienne ».

Contactée par l’AFP au sujet de cette frappe, l’armée israélienne n’a pas réagi dans l’immédiat. Mais elle estime que des Palestiniens de Gaza ont perdu la vie dans des tirs de roquettes palestiniens tombées dans l’enclave.

« Tuer des innocents, chez eux, et même le foetus dans le ventre de sa mère est un crime », a déclaré un responsable au ministère de la Santé à Gaza, Youssef Abou al-Rich.

Oum Eyad, la mère d’Eyad, n’était pas à la maison familiale quand la frappe a décimé la famille. Elle s’était réfugiée chez son frère dont la maison était, selon elle, plus sûre.

Eyad, a dit la mère, « priait pour un retour au calme et il est mort en attendant l’arrivée d’un nouveau-né ».

par Le Point avec AFP

Une employée enceinte de dépanneur agressée à Trois-Rivières

mars 23, 2021

Un individu qui refusait de porter le masque s’en serait pris à une commis de dépanneur enceinte à Trois-Rivières.

Archives

© Josée Ducharme/Radio-Canada Archives

L’incident s’est produit dimanche. Les policiers de Trois-Rivières ont reçu un appel vers 11 h 05 concernant un événement dans un dépanneur Couche-Tard de la ville.

L’agente aux relations communautaires et relations publiques à la police de Trois-Rivières, Michèle Loranger, a raconté au micro de Toujours le matin que «des clients du dépanneur auraient demandé à un individu qui ne portait pas de masque d’en mettre un ou de sortir du commerce.»

L’homme aurait refusé d’obtempérer et s’en serait alors pris à l’employée du dépanneur, qu’il aurait poussé et frappé avant de prendre la fuite.

L’individu aurait aussi brisé un panneau de Plexiglas et une vitre dans un autre commerce pendant sa fuite.

Les policiers l’ont localisé peu de temps après dans le secteur de la rue des Cyprès.

L’individu, qui était connu des policiers et semblait désorienté au moment des faits, a été arrêté. Il a comparu lundi matin pour des chefs de vol qualifié, voies de fait et méfait. Il a été transféré à l’établissement de détention de Trois-Rivières.

L’employée de dépanneur attaquée se serait pour sa part rendue à l’hôpital suivant les événements pour faire des vérifications concernant sa santé, a rapporté la porte-parole de la police de Trois-Rivières.

Avec CBC/Radio-Canada

France/Agression d’une femme enceinte : quatre hommes condamnés pour enlèvement et violences

février 12, 2021

Les quatre agresseurs souhaitaient se venger du petit ami de la jeune femme qui, jaloux, avait attaqué l’un des leurs.

C’est une histoire de vengeance et de jalousie. Quatre hommes ont été condamnés mardi 9 février par le tribunal correctionnel d’Évry pour avoir frappé, enlevé puis abandonné une femme enceinte de 5 mois sur un parking d’une zone industrielle du Coudray-Montceaux, dans l’Essonne, le 5 janvier dernier. Sans doudoune, sans chaussures, sans chaussettes, sans téléphone et vêtue d’un t-shirt, la jeune femme avait réussi à revenir à pied à Mennecy, où elle habite. Prise en charge par un automobiliste alors qu’elle faisait du stop, elle a été ramenée saine et sauve chez un ami.

Les trois agresseurs écopent, pour «violences aggravées», de «18 mois de prison dont 8 mois avec sursis probatoire de 2 ans, avec obligation de travail, d’indemniser la victime et interdiction d’entrer en contact avec elle», indique le parquet au Figaro, précisant que leur peine de 8 mois de prison ferme a été immédiatement aménagée dans un établissement de semi-liberté. Le quatrième, le conducteur de la camionnette, qui n’a pas participé aux violences, s’est vu attribuer un an de prison avec sursis probatoire de 2 ans, et devra également indemniser la partie civile pour «enlèvement et séquestration». Son véhicule, avec lequel les faits ont été commis, a été confisqué.

Le petit ami jaloux

Lorsque Antoine* annonce à Émilie* qu’il l’a trompée, et qu’Émilie, outrée et piquée dans son orgueil, lui répond qu’elle aussi, elle ne pensait pas que cet aveu pourrait avoir des conséquences aussi désastreuses. Antoine veut un nom. «Herman», lui lance-t-elle. Ni une ni deux, Antoine se précipite en direction du domicile qu’il croit être celui dudit Herman. Mais c’est un certain Mathis, d’après Le Parisien, qui lui ouvre la porte, et qui se présente comme faisant partie du groupe d’amis d’Herman. Antoine le roue de coups et, une scie à la main, lui scie les tendons. Admis à l’hôpital, Mathis apprend par la suite que les violences qu’il a subies étaient dues à ce qu’avait déclaré Émilie. Il lui donne rendez-vous vendredi 5 janvier à 22 heures pour avoir des explications.

La jeune femme décide de s’y rendre. Alors qu’elle se dirige vers le lieu de rendez-vous, elle est enlevée dans une camionnette et rouée de coups de pied et de poings. «Je leur ai dit que j’étais enceinte. Ils m’ont dit qu’ils s’en foutaient et m’ont mis un coup de poing dans le ventre. Alors qu’au début, c’était dans la tête», témoigne la jeune femme, citée dans Le Parisien . Elle est alors déshabillée et abandonnée sur le parking d’un entrepôt.

Les agresseurs nient les faits

Les quatre hommes assurent que la jeune femme serait montée de son propre chef dans le véhicule, et qu’ils ne savaient pas qu’elle était enceinte. Minimisant les faits et déclarant que cette dernière les aurait insultés, les agresseurs assurent qu’ils n’auraient donné «que deux gifles» à la future mère qui était pourtant criblée de bleus.

D’après les ravisseurs, il s’agirait de violences perpétrées par le petit ami. «La jeune femme a eu 7 jours d’incapacité de travail, elle portait les traces de ces violences , qui ont été constatées par un médecin, sur tout le corps», explique au Figaro la procureure d’Évry Caroline Nisand, soulignant l’incohérence des propos des prévenus qui «s’accusaient les uns les autres». Lors de l’audience, les trois agresseurs ont présenté leurs excuses à la victime, se disant «rassurés que son enfant aille bien». Une autre procédure a été ouverte pour juger l’agression du petit ami sur le jeune Mathis.

Avec Le Figaro par Margaux d’Adhémar

Congo: Une femme accouche en pleine rue à Brazzaville!

août 29, 2014

Les habitants de la zone Texaco-La-Tsiémé, un quartier de Ouenzé, le cinquième arrondissement de Brazzaville, se sont réveillés, jeudi 28 août 2014, sur une nouvelle étonnante, faisant état d’une femme ayant accouché, en pleine rue, sur l’avenue de l’Intendance, entre les rues Kikouimba et Moussana.

Selon des témoins, la femme enceinte n’avait pas pressenti les douleurs de l’enfantement, en se réveillant. En tout cas, elle ne se doutait pas que son bébé viendrait au monde ce jour-là. Une foule de curieux s’est formée autour d’elle. C’est en se rendant au petit marché du quartier, vers 7h00, qu’elle a senti de violentes contractions et, subitement, elle a accouché. Des femmes passant par-là l’ont aidée et alerté les agents du commissariat de police de quartier, situé dans la rue Kikouimba. Elle a été transportée dans un hôpital, pour une meilleure prise en charge.

Lasemaineafricaine.net

Les pieds « tatoués » de Kim Kardashian

mai 6, 2013

La it-girl poste une photo de ses petons gonflés

Les pieds "tatoués" de Kim Kardashian

 
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La grossesse a son lot de petits désagréments. Et pour Kim Kardashian, enceinte de six mois, cela se traduit par des jambes gonflées. A tel point qu’elle dévoile via Instagram un cliché des stigmates de ses chaussures couture. Car mode ou maternité, Kim ne choisit pas: elle veut les deux… et assume.

Kim Kardashian est adepte des sites de micro-blogging et autres façons 2.0. de rester en contact avec ses milliers de fans – hystériques et nombreux. Entre des clichés nostalgiques de sa silhouette de sylphide pré-grossesse et des images où elle dévoile son ventre ballon, K.K. offre au passage aux curieux de la Toile un cliché inattendu: une photo de ses pieds ficelés dans de somptueuses sandales Givenchy, dont l’un garde les marques de la chaussure. «Pieds gonflés ou un nouveau tatouage Givenchy?», s’est amusée la future maman.

Car derrière sa pédicure impeccable et son choix de souliers so chic se cache bien une jeune femme enceinte de son premier enfant, subissant les incontournables effets secondaires de la maternité. Un micro-drame tourné à la dérision par l’intéressée, qui nous a montrés depuis le début de sa grossesse son désir de ne rien changer à ses habitudes mode. Car oui, Kim K. est une fashionista, une modeuse aguerrie qui dit non aux jeans de grossesse et aux chaussures confortables et privilégie jusqu’au bout les jupes crayons en cuir. Kim détourne les diktats et repousse les limites de son état. Peu importe que ses pieds affichent un effet saucissonné après son passage sur tapis rouge. 

Sur les images suivantes de son compte Instagram, on la découvre à nouveau radieuse, moulée dans une robe qui laisse peu de place à l’imagination, aux côtés de son beau Kanye West. «Un dîner avec mon amour», souligne-t-elle. Et peu importe que ses pieds doublent de volume, la belle est juchée sur des escarpins à talons vertigineux.

Kim Kardashian le prouve une nouvelle fois: pour elle, seul le style compte. 

 Gala.fr par Pauline Gallard

Une Américaine accouche après une course de 42 km

octobre 12, 2011

Amber Miller a donné naissance à une fille dimanche, sept heures après avoir couru le marathon de Chicago.

«C’était le jour le plus long de ma vie». Amber Miller, une Américaine, âgée de 27 ans, a donné naissance dimanche à une fille prénommée June après avoir fini le marathon de Chicago, rapportait lundi le Daily Herald .

Alors qu’elle était enceinte de 9 mois, Amber a bouclé le parcours de 42 km en 6h25 minutes. «Quelques minutes après l’arrivée, les contractions étaient plus fortes qu’à l’habitude et j’ai compris ce qu’il se passait. Quand elles sont devenues régulières, on a pris un sandwich et on est parti à l’hôpital», a précisé cette coureuse expérimentée qui participait à son huitième marathon.

Sept heures plus tard, son bébé, d’un poids de 3,5 kilos, venait au monde. «Nous sommes ravis mais très fatigués», a déclaré Amber en précisant que sa petite fille se portait bien.

Une autorisation médicale pour courir

C’est en février dernier que la jeune femme et son mari se sont inscrits pour participer à cette course, deux jours seulement avant qu’Amber n’apprenne qu’elle était enceinte. «Pendant tout ce temps je n’étais pas déterminée à courir», a précisé la jeune femme au Daily Herald. «J’étais enceinte mais comme j’avais payé j’ai couru», a-t-elle ajouté pour justifier sa participation à l’épreuve.

Une décision à laquelle son médecin ne s’était pas opposé. La coureuse avait, en effet, obtenu une autorisation médicale pour participer au marathon. Seule condition : alterner entre marche et course à pied.

«Dans ce cas précis, le bébé d’Amber ne courait pas de risque puisque sa grossesse était à son terme», analyse Philippe Descamps, chef de service gynécologie-obstétrique au CHU d’Angers. «Mais les femmes enceintes ne doivent pas pratiquer ce type d’activités sportives qui, en entraînant des vibrations, peut provoquer des contractions», ajoute-t-il. De son côté, Amber Miller, encouragée par le public pendant la course, a déclaré avoir seulement souffert de quelques ampoules aux pieds.

Lefigaro.fr par Audrey Pelé