Posts Tagged ‘Femme’

Congo-Mikalou: un député et un colonel ne bandent plus depuis qu’ils sont sorti avec la femme d’un Téké

mai 22, 2023
 Mikalou: un député et un colonel ne bandent plus depuis qu’ils sont sorti avec la femme d’un Téké

Le Téké de Djambala qui est cadre dans les régies financières doutait de son épouse et l’aurait piégé traditionnellement pour punir tous les hommes qui le feraient la main noire. Bingo pour lui ! Un député de Brazzaville, un cadre évoluant aux impôts et un colonel de la gendarmerie sont tombés dans son piège et ne bandent plus après avoir eu des rapports sexuels avec son épouse.

L’infidélité a tellement gagné les cœurs des hommes et femmes des Congolais qu’il est désormais très difficile de croiser une personne fidèle. Les églises de réveil qui reçoivent tous les jours des milliers fidèles ne parviennent pas encore à leur imposer la crainte de Dieu et du mal. Même au sein des églises, il y a la dépravation des mœurs.

Un homme originaire de Djambala dans les Plateaux et qui est agent dans les régies financières a eu la malchance d’avoir épousé une femme claire au physique époustouflant qui attire tous les hommes infidèles. Se référant à l’adage qui dit que l’homme prudent voit le mal de loin, le Téké a eu recours à la magie noire pour piéger le sexe de son épouse.

Et trois hommes bordels de la ville de Brazzaville sont tombés dans son piège après avoir réussi à mettre l’éprouve la fidélité de son épouse. Ces trois hommes sont devenus impuissants et leur pénis ne se lèvent plus.

L’homme Congolais peut tout admettre sauf perdre sa virilité et on peut le voir avec ces trois hommes qui ont perdu le goût de la vie. Après avoir parcouru des églises et des féticheurs, il leur a été recommandé de se rapprocher du Téké pour solliciter son indulgence.

Sans tergiverser, le Téké a posé ses conditions dont l’une ne fait pas l’unanimité auprès des trois coupables. Il exige aussi coucher avec leurs épouses respectives pour résoudre leur impuissance.

Avec Le Congolais.fr

Congo-Brazzaville: Ray, ce garçon de 17 ans emprisonné qui assurait 4 coups à la femme d’un colonel de la police

avril 11, 2023
 Ray, ce garçon de 17 ans emprisonné qui assurait 4 coups à la femme d’un colonel de la police

Depuis deux semaines, Ray, âgé de 17 ans croupit dans les geôles du commissariat de Ouenzé après avoir été embarqué de force devant ses parents à leur domicile sis sur l’avenue des Chars. Un colonel de la police lui reproche d’être l’amant de son épouse à laquelle il assurait 4 coups à chaque rapport sexuel. Le colonel souffrant d’une faiblesse sexuelle ne pouvait satisfaire son épouse.

Les parents de Ray qui cherchent à rencontrer le général King Obami Itou ne comprennent pas comment cet officier cocu de la police peut-il s’en prendre à leur fils et pardonner son épouse. Il est évident pour eux que c’est un détournement de mineur de la part de l’épouse du colonel qui est majeure( 36ans).

Dans son audition, Ray a déclaré n’avoir jamais dragué la femme du colonel. Il a été plutôt approché par une sœur du quartier qui l’aurait proposé d’être le petit pompier de sa copine qui n’est entre autre que la femme du dit colonel.

Les performances de Ray circulaient entre les filles du quartier d’où son choix pour donner du plaisir à la femme du colonel qui en manquait. En bon policier, le colonel a réussi à mettre la main sur Ray qu’il a fait enfermer.

Mais l’audition de Ray a mis à nu le désastre sexuel dans le foyer du dit colonel et principale cause de l’infidélité de son épouse. Il en ressort que le colonel est impuissant souffrant d’une faiblesse sexuelle aiguë. Son épouse qui serait une assoiffée sexuelle se serait vu obligée de se rabattre auprès de Ray pour assurer son plaisir.

Au poste de police, l’incarcération de Ray ne plaît à personne et n’est maintenu en cellule qu’à cause des injonctions du colonel qui s’est senti humilié par ce mineur.

Avec Le Congolais.fr

Canada: Un nouveau corps de femme retrouvé dans un dépotoir à Winnipeg

avril 4, 2023
Des barrières et une voiture de police bloquent l'entrée au dépotoir du chemin Brady, le 4 avril 2023.

Des barrières et une voiture de police bloquent l’entrée au dépotoir du chemin Brady mardi après-midi. Photo: Radio-Canada/Megan Goddard

Le corps d’une femme originaire de la Première Nation de Lac Saint-Martin a été découvert dans le dépotoir du chemin Brady, situé juste au sud du périphérique de Winnipeg, a annoncé mardi la police de la capitale manitobaine.

Les policiers ont identifié la victime comme étant Linda Mary Beardy, âgée de 33 ans qui vivait depuis un certain temps à Winnipeg.

Les policiers ne font pas de lien entre cette mort et les victimes d’un tueur en série présumé, dont les restes se trouveraient dans le dépotoir Prairie Green, situé au nord de Winnipeg.

Une mort suspecte qui n’est pas considérée comme un meurtre

Le corps de la victime a été retrouvé lundi vers 15 h par des employés du dépotoir Brady. Le service de police pense qu’il est arrivé sur le site quelques heures avant sa découverte et qu’il aurait été déposé par un camion poubelle de la ville.

Le crédit revient aux employés de la décharge qui ont identifié que le corps était là, a souligné l’inspecteur Shawn Pike, de la police de Winnipeg.

La décharge du chemin Brady est fermée et aucune information n’est disponible quant à sa réouverture.

Pour le moment, cette mort est qualifiée de suspecte par la police, qui ne la considère pas encore comme un meurtre. Par ailleurs, elle ne connait pas les circonstances exactes du décès : on ne pense pas que ça fasse des mois, mais on ne peut pas déterminer le moment ni les causes précis, a expliqué l’inspecteur.

Shawn Pike a laissé beaucoup de questions sans réponse, précisant que l’enquête était en cours. La police n’est pas allée dans le détail du profil de la victime. Elle dit ne pas savoir non plus si d’autres victimes sont liées à cette affaire.

Je peux confirmer, à cet instant, qu’aucune information ne suggère qu’il y a d’autres victimes ou que cette enquête est reliée avec des incidents précédents, a-t-il ajouté. Je veux exprimer nos sincères condoléances, a tenu à déclarer Shawn Pike.

Il s’agit du deuxième corps retrouvé dans un dépotoir de Winnipeg. En juin dernier, les restes de Rebecca Contois, une femme autochtone de 24 ans, avaient été retrouvés dans le dépotoir du chemin Brady.

« Une nouvelle épouvantable »

Le chef de la Première Nation de Sandy Bay, Trevor Prince, s’est montré ému par la nouvelle.

Il explique que les enfants de Linda Beardy sont originaires de sa Première Nation.

C’est une nouvelle épouvantable. Je veux juste exprimer mes très sincères condoléances […] à tous ceux qui connaissaient Linda.

Le chef de la Première Nation a du mal à comprendre le choix de la police de ne pas classer cette affaire comme un homicide. Il espère que des fouilles approfondies seront lancées dans la décharge.

Trevor Prince a annoncé la tenue d’une veillée durant laquelle une équipe mobile d’intervention pourra  soutenir les personnes touchées par la mort de Linda Beardy. Un feu sacré sera allumé à cette occasion par l’Organisation des chefs du Sud du Manitoba (SCO).

Le Grand Chef de SCO, Jerry Daniels, ainsi que l’ensemble de l’organisation ont exprimé leur profonde tristesse et se disent solidaires avec la famille et les proches de Linda Beardy.

Le cabinet du ministre des Relations Couronne-Autochtones, Marc Miller, a également réagi. Il se dit horrifié par la nouvelle. Cette vie perdue représente une peur avec laquelle les femmes, les filles et les personnes 2SLGBTQI+ autochtones vivent au quotidien, regrette-t-il.

Le maire de Winnipeg, Scott Gillingham , présent à la décharge du chemin Brady, s’est dit lui aussi secoué par la situation. Nous ne pouvons pas rester insensibles à ces tragédies, a-t-il confié.

Pour obtenir une aide émotionnelle immédiate, composez le 1-844-413-6649. Il s’agit d’une ligne d’appel d’urgence nationale sans frais, accessible 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, qui offre du soutien à toute personne ayant besoin d’une aide émotionnelle concernant les femmes et les filles autochtones disparues ou assassinées.

Avec Radio-Canada par Thibault Jourdan et Victor Lhoest

Congo-Brazzaville: un diacre collé à la femme de son pasteur dans un hôtel à Djiri

mars 29, 2023

 

Selon le pasteur cocu, c’est le saint esprit qui a confondu son diacre dont l’ambition de lui ravir l’église ne se cachait plus. Coucher avec la femme du pasteur était l’une des recommandations du féticheur dans son rêve de lui ravir l’église. Ils ont été découverts dans un hôtel de Djiri dans la banlieue nord de Brazzaville après leurs appels au secours. Le pénis du diacre est resté coincé dans le sexe de la femme du pasteur.

Les églises de réveil ne cesse de réserver des surprises depuis leur explosion dans la société congolaise. Responsables en grande partie de la destruction du tissu social et familial, les pasteurs évangéliques sont aussi souvent victimes de leur propre turpitude à l’instar du pasteur Jacques de cette église de Djiri, victime de la main noire de son propre diacre.

Le diacre et l’épouse du pasteur sont restés collés dans un hôtel alors qu’ils maintenaient des relations sexuelles. Selon les premiers témoignages ; le diacre enviait le poste du pasteur et tenait à tout prix à le remplacer. Et pour ce faire, lui, homme de Dieu s’est rapproché d’un féticheur qui lui a donné une ligne de conduite pour la réussite totale de son coup d’État.L’une des recommandations du féticheur était celle de sortir avec l’épouse du pasteur afin de l’anéantir spirituellement. Le diacre s’est investi à fond pour séduire l’épouse du pasteur profitant de leur proximité divine. Dans leurs échanges, Maman pasteur a confié au diacre ne pas être satisfaite sexuellement dans sa vie de couple. Que le pasteur souffrait non seulement d’une éjaculation précoce, mais aussi de la faiblesse sexuelle. 

Les deux infidèles ont entamé une relation amoureuse avant que parait-il selon le pasteur que l’esprit saint ne lui en avertisse. Le pasteur, dans un jeûne de trois jours aurait demandé à son Dieu de confondre son diacre et sa femme. Les deux ont été surpris collés dans un hôtel de Djiri et il a fallu l’intervention du pasteur pour les séparer. Il a ainsi déjoué le coup d’État de son diacre et sauvé son poste de pasteur principale au sein de l’église.

Avec Le Congolais.fr

France/Femme démembrée aux Buttes-Chaumont : son mari incarcéré pour meurtre

février 25, 2023

L’homme avait signalé la disparition de sa femme, mais les enquêteurs avaient rapidement constaté des incohérences dans ses déclarations.

Le mari de la femme dont le corps a ete decoupe et cache a differents endroits du parc des Buttes-Chaumont, a Paris, a avoue l'avoir tuee.
Le mari de la femme dont le corps a été découpé et caché à différents endroits du parc des Buttes-Chaumont, à Paris, a avoué l’avoir tuée. © CHRISTOPHE ARCHAMBAULT / AFP

L’homme a avoué les faits. Suspecté d’avoir tué, découpé le corps de sa femme, puis d’avoir dissimulé les morceaux de son cadavre dans le parc des Buttes-Chaumont, le mari d’Assia M. B. est passé aux aveux hier, vendredi 24 février. Mis en examen pour « meurtre sur conjoint », il a été incarcéré ce samedi 25 février.

Le 13 février, un sac plastique contenant le bassin et les cuisses d’Assia M. B. avait été retrouvé sous un tas de déchets verts par des agents municipaux des parcs et jardins des Buttes-Chaumont, dans le 19e arrondissement de Paris. Le lendemain, d’autres restes de la quadragénaire, dont la tête, avaient été retrouvés par les enquêteurs. L’enquête s’est rapidement portée vers le mari, dont les déclarations, jugées incohérentes, avaient éveillé les soupçons des policiers.

Il avait signalé la disparition de son épouse à la police le 6 février, alors qu’il l’avait évoquée le 31 janvier sur les réseaux sociaux. Et les enquêteurs « se sont aperçus qu’il ne s’était pas rendu dans certains lieux de la capitale pour chercher son épouse, comme il l’avait affirmé dans un premier temps », selon BFMTV.

Par Jeanne Le Borgne pour Le Point

France: en lune de miel à Paris, elle refuse de repartir au Congo avec son époux

janvier 2, 2023

Ce nouveau riche de la république a cru épater sa deuxième épouse en l’offrant un séjour en France pour célébrer leur lune de miel. Il va rentrer seul au Congo suite au refus catégorique de son épouse de rentrer à Brazzaville assumer son rôle de deuxième bureau. Pour la femme, il n’est pas question qu’elle retourne dans un pays à la dérive où rien ne marche. Elle a assisté impuissante au décès de son petit frère au CHU de Brazzaville venu se faire opérer d’appendicite.

Luc E, un cadre du Trésor Public ne pouvait s’imaginer que Nadège allait lui jouer un sale tour après leur pompeux mariage à Brazzaville. Celle qui était pendant un an sa maîtresse, a exigé être honorée et surtout passer sa lune de miel hors du pays. Alors que ses amis lui ont conseillé Dubaï ou Istanbul, le nouveau riche a choisit la capitale française pour la circonstance.

Aujourd’hui, Luc se souvient des doutes émis par sa première femme et mère de ses trois enfants sur la sincérité de Nadège. Incapable de s’opposer à ce mariage, elle s’est juste contentée de conseiller son époux et d’assumer la réalité.

Après le mariage, Luc E obtient un visa de France pour son couple et réserve un hôtel 5 étoiles parisien pour leur lune de miel. Il ignorait juste que sa deuxième épouse avait un autre plan conçu avec sa famille.

Une fois en France, elle a fait comprendre à son époux sa décision de ne plus rentrer au Congo et de vivre désormais en Europe. Paniqué, Luc a tenté en vain de ramener à la raison sa deuxième femme qui est restée ferme sur sa décision. Pour elle, leur couple pouvait bien continuer ensemble, malgré la distance et que Luc pouvait de temps en temps venir la rendre visite en France.

Mais, Luc, soupçonne son épouse de rester en France pour se remettre en couple avec son ex dont le voyage a été la cause principale de leur séparation.

Avec Sacer-infos par Stany Frank

Congo-Ouenzé : un muana ver­nis en­ceinte la femme et fille d’un com­man­dant de la po­lice

décembre 23, 2022

Très ap­pré­cié dans cette par­celle où il se ren­dait une fois dans la se­maine pour of­frir ses ser­vices de ma­nu­cure et pé­di­cure aux filles et leur mère, Fran­cis, un jeune muana ver­nis a fini par lais­ser ses traces en mode de gros­sesse. Il a en­ceinté la femme et fille du chef de cette fa­mille qui a le grade de com­man­dant dans la po­lice Congo­laise. Un scan­dale hon­teux!

Un com­man­dant de la po­lice Congo­laise a mis de­hors sa femme et sa fille, soup­çon­nées de por­ter les gros­sesses de Fran­cis, un jeune muana ver­nis bien connu dans le quar­tier. Res­sor­tis­sant de la RDC vi­vant au Congo de­puis des an­nées, Fran­cis a choisi le mé­tier de muana ver­nis pour ai­der les femmes à moins dé­pen­ser dans le ma­nu­cure et pé­di­cure.

Très sol­li­cité pour ses ser­vices dans plu­sieurs par­celles de la rue Ba­bembé, Fran­cis ap­porte tou­jours de la bonne hu­meur dans son tra­vail avec ses qua­li­tés de co­mique. « Il fait tel­le­ment les femmes que par­fois on le fait ve­nir sans même avoir be­soins de ses ser­vices» com­mente une voi­sine qui ne s’étonne pas de la nou­velle des gros­sesses de cette mère et sa fille.

Dans ce quar­tier de Ouenzé, on soup­çonne Fran­cis de sor­tir avec plu­sieurs femmes ma­riées et filles. « Il fait montre d’une dou­ceur ex­ci­tante dans son tra­vail qui plat aux femmes » confie l’une de ses clientes qui pense que la femme du com­man­dant ne de­vrait pas cou­cher avec lui, mais sa fille peut-être.

Des té­moi­gnages sou­tiennent que Fran­cis s’est fait dra­guer par la femme du com­man­dant alors qu’il sor­tait déjà dis­crè­te­ment avec sa fille. Le jeune homme a cédé aux pro­po­si­tions fi­nan­cières et en paie les frais au­jour­d’hui. Le com­man­dant se­rait à sa re­cherche.

Nom­breux jeunes dés­œu­vrés se lancent dans ce mé­tier dans le seul but de sub­ve­nir aux be­soins de leurs fa­milles et propres. Un mé­tier qui leur met en contact per­ma­nent avec les femmes et la ten­ta­tion est forte.

Avec Sacer-infos par Stany Frank

Congo-P/Noire : il vole le sac d’une vieille maman de Sibiti et trouve 2 poules noires assis dans son lit

octobre 31, 2022
 P/Noire : il vole le sac d’une vieille maman de Sibiti et trouve 2 poules noires assis dans son lit

C’est le voleur le plus triste de la ville de Pointe-Noire ! Après avoir arraché le sac à main d’une vieille maman au Grand Marché de la ville, il a cru faire une bonne affaire quand il y a trouvé la somme de 15.000 frs et un téléphone dit Anti complexe. Malgré que la vieille le suppliait de tout prendre, mais de lui remettre son livret, le voleur s’en est allé.

En arrivant chez lui au quartier KM4, le voleur s’est rendu d’être tombé sur une mauvaise personne. Il a trouvé deux poules de couleur noire assises dans son lit avec la photo de la vieille maman qu’il venait de voler. Pris de panique, le voleur s’est mis à crier seul, attirant l’attention de ses voisins.

Après avoir expliqué son histoire à ces voisins, il lui a été conseillé de ne pas jeter la carte sim dans le téléphone volé et de contacter la vieille maman. L’un des voisins a appelé le numéro de la fille de la vieille pris dans le répertoire du téléphone.

Le voleur, accompagné de deux amis s’est rendu remettre le sac de la vieille maman au quartier Mouyondzi. Implorant sa miséricorde, le voleur a regretté son acte et s’est dit disposé à payer toute amende qui lui sera taxé. La vieille maman qui a retrouvé son sac avec tout son contenu a juste conseillé au jeune voleur d’abandonner ce métier et de craindre Dieu et les ancêtres.

Elle a fait savoir au jeune voleur que le monde est tellement devenu mauvais que ce n’est pas tout le monde qu’on vole. « Si j’étais vraiment méchante, je t’aurais envoyé dans l’autre monde, mais je t’ai juste donné une leçon pour que tu prennes conscience que t’as encore une vie devant toi à ne pas gâcher ! »

Au Grand Marché et Fond Tié Tié, les deux marchés les plus fréquentés de la ville de Pointe-Noire, des jeunes prennent du plaisir à voler des personnes de sexe féminin. Plusieurs femmes ont perdu leur téléphone et autres objets de valeur devant l’indifférence des riverains.

Avec Le Congolais.fr

Congo-Voleur Volé : l’une des petites de l’ancien maire inutile de Pointe-Noire, Jean François Kando lui vole 58 millions

octobre 22, 2022

Un malheur n’arrive jamais seul dans la vie et l’ancien maire de Pointe-Noire, Jean François Kando peut le témoigner. Après avoir été évincé à la tête de la mairie pour incompétence notoire, il vient de se faire voler la bagatelle de 58 millions Cfa qu’il faisait garder chez l’une de ses petites.

Trop sûr de se reconduction à la tête de la mairie de Pointe-Noire, Jean François Kando avait déjà préparé une grande fête à sa résidence, un service traiteur renommé de la ville avait même cuisiné la viande de brousse que les invités devraient déguster pour célébrer sa victoire. Hélas ! Tout dans l’eau en apprenant sa défaite bien organisée par son propre parti le PCT.

La déception était grande à la proclamation des résultats donnant perdant le maire sortant à sa résidence où ont convergé ses invités. Jean François Kando s’est même évanoui deux fois d’émotion et on a craint pour sa vie.

Soupçonné de détournements massifs au conseil municipal, Jean François Kando aurait été interdit de sortie du territoire selon certaines sources. Il ferait l’objet d’une enquête du CID qui souhaiterait clarifier la destination des fonds alloués à la mairie de Pointe-Noire.

Comme tout bon congolais qui se voit confier une responsabilité, Jean François Kando a commencé à attirer les petites filles de la ville à l’instar de celle qui vient de lui voler 58 millions Cfa. L’ancien maire a fait cet argent dans l’espoir de le mettre à l’abri ayant toute confiance à sa petite.

Mais la perte du pouvoir le plus souvent vous éloigne de ces personnes qui ne vivent que comme le poisson au rythme du courant d’eau. Consciente que son Suggar Dady Kando avait perdu son autorité et par ricochet une source d’enrichissement, la petite âgée de 26 ans a cru bon hériter par le vol les 58 millions Cfa qu’on lui a confié.

Jean François Kando serait dans tous ses états ne réalisant pas ce que lui arrive avec les personnes auxquelles il faisait totalement confiance. Un voleur volé qui pleurniche !

Avec Sacer-infos par Stany Frank

France : 3 mois après avoir mis à la porte son époux pour vivre des allocations, une congolaise meurt dans son sommeil

octobre 21, 2022

Un drame au sein de la diaspora congolaise de France avec le décès de Maguy T, mère de trois enfants et mère seule depuis trois mois. Elle a été retrouvée morte dans son lit par sa première fille. Il y a trois mois, elle avait sans motif apparent mis à la porte son époux et père de ses enfants pour vivre des allocations grâce à l’étiquette de mère seule. Avant de s’en aller, l’époux d’origine congolaise avait lancé : « Dieu voit tout et va te confondre pour avoir sacrifié ta vie de famille pour des allocations ! »

Maguy T, congolaise de Pointe-Noire et mère de trois enfants vivant à Noisy-Le-Sec en banlieue parisienne a été retrouvée morte dans son lit par sa fille qui voulait lui dire au revoir avant d’aller à l’école. Elle est morte dans son sommeil et la cause du décès est encore ignorée.

Elle est arrivée en France il y a plus de dix ans grâce à un regroupement de son époux et père de ses trois enfants qu’elle a fini par mettre à la porte pour vivre en mode mère seule. Sans motif apparent, selon ce que racontent leurs proches, elle aurait commencé à soupçonner son époux d’avoir des maîtresses et de ne plus s’occuper de sa famille au Congo.

Des disputes s’enchaînaient entre le couple à l’étonnement des enfants qui reprochaient à leur mère sa paranoïa. Mais c’était juste des «raisons» pour mettre à la porte son époux et embrasser la vie de femme seule avec enfants à charge qui lui ouvrirait la voie des allocations familiales.

Le père des enfants qui vit actuellement chez un ami Camerounais à Pantin, se dit très choqué par cette mort et a regagné la maison familiale pour être aux côtés de ses enfants. amies de sa femme l’accusent d’être sorcier et auteur de sa mort en rappelons ses origines de Sibiti dans la Lekoumou.

Avec Sacer-infos par Stany Frank