Un scandale incestueux consentent avec la complicité silencieuse d’une Camerounaise se produit dans le 18e arrondissement à Paris. Un Ivoirien de 46 ans qui vit en couple avec une Camerounaise n’a pas mieux trouver que de faire de sa propre fille âgée de 16 ans, nouvellement arrivée de la Côte d’Ivoire sa maîtresse. Sa conjointe, au courant ferme mes yeux de peur de le perdre.
Qu’est-ce qui peut se passer dans la tête d’un père pour faire de sa fille sa maîtresse en Europe où des peines sévères sont appliquées ? C’est le cas d’un Ivoirien de 46 ans qui vit dans le 18e arrondissement de la capitale française avec sa conjointe Camerounaise de 54 ans. C’est cette dernière qui s’est confiée à une amie tout en la demandant de garder le secret. En réalité, après de nombreuses déceptions sentimentales, elle a peu de perdre celui qui selon elle, lui a redonner le sourire en amour.
L’Ivoirien qui avait laissé une fille en Afrique avant d’immigrer vers la France a bataillé dur pour la faire venir par le biais du regroupement familial. Âgée de 16 ans, la fille qui connaissait déjà les hommes en Afrique n’a pas tardé à séduire son propre père qui en a fait sa maîtresse ou deuxième femme.
Les deux amoureux qui jusqu’alors de cache encore ignore tout simplement que la Camerounaise est au courant après les avoir surpris deux fois sans rien dire en pleine action. Les suspicions de la Camerounaise partent de l’attitude de la fille envers son père dans la maison, s’habillant sexy et lui faisant des câlins poussés.
Par deux fois, elle a surpris le père et la fille en train d’avoir des rapports sexuels dans la chambre de cette dernière et s’est renfermée sur elle. Pour la Camerounaise qui tient à dédouaner son conjoint, c’est la fille qui serait venue d’Afrique avec une mission bien précise de sa maman et doute qu’elle soit la fille biologique de son homme. Son but est de les séparer et non de causer préjudice à son conjoint.
Melissa Highsmith a retrouvé sa famille biologique, plus d’un demi-siècle après avoir été kidnappée par sa baby-sitter au Texas, rapporte CBS.
C’est un miracle que la famille Highsmith n’attendait plus. En 1971, Alta et Jeffrie, un couple d’Américains vivant à Fort Worth (Texas), perdent la trace de leur fille Melissa. Elle n’avait que 22 mois quand elle a été kidnappée par sa baby-sitter. Plus d’un demi-siècle plus tard (51 ans exactement), ils l’ont retrouvée grâce à un test ADN et… Facebook. Selon CBS, qui relate cette belle histoire, le Centre national des enfants disparus (NCMEC) a eu un signalement laissant entendre que Melissa se trouvait à Charleston, en Caroline du Sud. Après vérification, ce n’était pas elle. Mais, à la suite de cela, les Highsmith ont repris espoir et le miracle a eu lieu.
Un test ADN de 23andMe, une société qui propose des séquençages ADN permettant de retrouver des proches, découvrir ses origines ethniques ou connaître les antécédents médicaux génétiques, a relié les enfants de Melissa à ceux de la famille Highsmith. Jeffrie, le père, grâce à ses deux autres enfants, Jeff et Victoria, a ensuite pu entrer en contact avec elle sur Facebook.
Un miracle pour Thanksgiving
Melissa, qui a vécu pendant cinquante et un ans sous le nom de Melanie Walden, a confié à CBS qu’elle a d’abord cru qu’il « s’agissait d’une arnaque ». Puis elle a interrogé la femme qui l’a élevée et a tout découvert. « Elle m’a confirmé que j’étais bien bébé Melissa. » Un test ADN plus poussé a ensuite établi officiellement qu’Alta et Jeffrie étaient bien les parents biologiques de Melissa. La vérité a éclaté à Thanksgiving.
Melissa a d’abord rencontré son frère Jeff, avant de retrouver ses parents, et sa petite sœur, Victoria, qu’elle n’avait donc jamais connue. « Je suis reconnaissante qu’elle soit avec nous. Bon retour dans la famille Sissy. Bienvenue dans la famille », lui a déclamé Victoria devant les caméras de CBS.
Tous les membres de la famille, enfants de Melissa compris, vont maintenant pouvoir passer les fêtes ensemble. À noter qu’aucune information n’a fuité sur la ravisseuse qui s’est fait passer pour la mère de Melissa toutes ces années.
Les corps d’un couple et de leur fille de 25 ans ont été découverts mercredi dans un pavillon de Saint-Jacques-de-la-Lande près de Rennes, dans ce qui pourrait être un double homicide suivi d’un suicide du père, a-t-on appris auprès du parquet.
« Sur place, les corps des trois personnes décédées étaient découverts par les pompiers. L’homme était retrouvé pendu, la femme allongée sur son lit et leur fille sur le sol de sa chambre », a indiqué à l’AFP Philippe Astruc, procureur de la République de Rennes, confirmant une information du journal Ouest-France.
Il s’agit d’un père de famille, âgé de 50 ans et employé au département d’Ille-et-Vilaine en tant qu’agent de maintenance d’un collège, de sa femme, âgée de 62 ans, retraitée, et de leur fille de 25 ans.
Mercredi en début de soirée, la rue où se trouve le pavillon, situé dans un quartier verdoyant et résidentiel de cette commune de 14.000 habitants où se trouve l’aéroport de Rennes, était toujours bouclée par un périmètre de sécurité, selon un journaliste de l’AFP présent sur place.
Une camionnette des enquêteurs était garée devant la maison, gardée par plusieurs policiers.
« C’étaient des gens très discrets », a témoigné un riverain interrogé par le journal Le Télégramme. « On a vu le père de famille hier (mardi, NDLR) vers 17H30. Il était très souriant ».
Écrit retrouvé
Mercredi après-midi, les sapeurs-pompiers s’étaient rendus sur les lieux car l’employeur de la jeune femme s’inquiétait de son absence.
« Les premières constatations médico-légales révélaient l’existence de traumatismes sur le corps de la femme (sexagénaire, ndlr). Aucune trace de violence n’était en revanche visible sur le corps de sa fille », a indiqué le magistrat, précisant que des autopsies étaient ordonnées « afin de déterminer précisément les causes des décès ».
« Un écrit était retrouvé au domicile de la famille, apparemment signé de la main de l’homme, dans lequel il annonçait mettre fin à ses jours ainsi qu’à ceux de sa compagne et de sa fille. Il attribuait ses actes à un mal-être pouvant être en lien avec une maladie grave dont il serait atteint », a ajouté M. Astruc.
Un examen de comparaison d’écriture doit être fait pour vérifier l’origine de cet écrit.
Une enquête de flagrance a été ouverte et confiée à la sûreté départementale d’Ille-et-Vilaine sous la qualification d’assassinats.
Aucun élément relevé ne laisse à ce stade entrevoir une intervention extérieure.
La famille était inconnue de l’autorité judiciaire, tant sur le plan pénal que civil et notamment au niveau des affaires familiales. Aucune plainte ni main courante n’était recensée les concernant, d’après la même source.
Ce drame intervient quelques semaines après la découverte fin octobre à Carantec (Finistère), des cadavres d’un couple et de leurs deux filles de 8 et 11 ans. La femme et les deux filles avaient été asphyxiées par le père, qui s’est ensuite pendu, sur fond de séparation du couple.
Le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un accompagné de sa fille, s’éloigne d’un missile balistique intercontinental (ICBM) sur cette photo non datée publiée le 19 novembre 2022 par l’agence de presse centrale coréenne (KCNA). Photo : via Reuters/KCNA
Le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un a supervisé le lancement de son dernier missile balistique intercontinental accompagné de sa fille qu’il a dévoilée au monde pour la première fois, dans un message publié samedi par l’agence d’État KCNA.
Dans un contexte de tensions croissantes dans la péninsule coréenne, Kim a aussi réaffirmé qu’il recourrait à la bombe atomique en cas d’attaque nucléaire contre son pays, après le lancement du Hwasong-17 avec succès, selon KCNA.
Ce tir d’essai a clairement prouvé la fiabilité du nouveau système d’armement stratégique majeur, a commenté le média d’État.
Le Conseil de sécurité des Nations unies a indiqué samedi qu’il allait se réunir lundi pour discuter de la situation.
Appelant l’organe de l’ONU à répondre de manière appropriée, l’Union européenne a condamné une action dangereuse, illégale et irresponsable.
Le régime évoque pour la première fois la famille du dirigeant
Fait extrêmement rare, KCNA, unique source d’information venant de Pyongyang, a fait mention de la famille de Kim Jong-un, soulignant que le dirigeant s’était rendu au lancement accompagné de sa femme et [de sa] fille bien-aimées.
Kim est apparu aux côtés d’une jeune fille dont l’âge et le nom ne sont pas précisés, vêtue d’une doudoune blanche et de chaussures rouges. Il s’agit de la première confirmation officielle de l’existence de sa fille, selon les experts.
Le régime nord-coréen n’avait jamais confirmé jusque-là que le dirigeant avait une famille.
Les services de renseignements sud-coréens assurent quant à eux que Kim a épousé Ri Sol Ju en 2009, qui a donné naissance à trois enfants entre 2010 et 2017, sans en préciser le sexe.
Kim Jong-un avec sa femme Ri Sol Ju et leur fille le jour du lancement d’un missile balistique intercontinental (ICBM) sur cette photo non datée publiée le 19 novembre 2022 par l’Agence centrale de presse nord-coréenne (KCNA). Photo: Reuters/KCNA
Pour Cheong Seong-chang, spécialiste de la Corée du Nord à l’institut sud-coréen Sejong, il pourrait s’agir du probable deuxième enfant de Kim, Ju Ae.
En 2013, l’ancienne vedette de la NBA, la ligue américaine de basket-ball, Dennis Rodman, avait donné un rare témoignage de l’existence de cette enfant, qu’il avait rencontrée lors d’une visite à Pyongyang.
Son apparition relance les spéculations sur une future transmission du pouvoir dynastique en Corée du Nord, où Kim Jong-un a succédé à son père Kim Jong-Il et son grand-père Kim Il-Sung.
Selon Soo Kim, ancienne analyste de l’agence américaine de renseignement CIA, le lancement de vendredi témoigne de la permanence du programme d’armement du régime des Kim, car il fait partie intégrante de sa propre survie et de la continuité du règne de sa famille.
Cela répond même en partie à des questions entourant la succession, a ajouté à l’AFP cette analyste, aujourd’hui à la RAND Corporation.
Nous avons vu de nos propres yeux la quatrième génération des Kim. Et sa fille – ainsi que d’autres éventuels frères et sœurs – sera certainement préparée par son père, a-t-elle relevé.
Pour KCNA, le dernier lancement de missile vendredi confirme qu’une fois de plus, les forces nucléaires de la RPDC [sigle du nom officiel de la Corée du Nord NDLR] ont atteint une nouvelle capacité maximale fiable pour contenir toute menace nucléaire.
Washington et Séoul intensifient les manœuvres militaires
Les États-Unis, la Corée du Sud et le Japon ont intensifié ces derniers mois leurs manœuvres militaires conjointes depuis que Kim Jong-un a déclaré en septembre que le statut d’État nucléaire de la Corée du Nord était irréversible.
Séoul et Washington ont notamment mené fin octobre et début novembre les plus grands exercices aériens communs de leur histoire.
Samedi, l’armée sud-coréenne a annoncé qu’un bombardier américain B-1B avait été redéployé dans la péninsule coréenne, dans le cadre de nouveaux exercices entre les deux alliés.
Mais la Corée du Nord voit dans ces démonstrations de force des répétitions générales à une invasion de son territoire ou à une tentative de renversement du régime.
Kim plus que jamais menaçant
Kim les a même qualifiés d’exercices de guerre d’agression hystérique et a promis de réagir résolument aux armes nucléaires par des armes nucléaires et à un affrontement total par un affrontement sans merci, cité par la KCNA.
L’agence nationale nord-coréenne a indiqué que le missile avait atteint une altitude maximale de 6 040,9 km et a parcouru une distance de 999,2 km avant d’atterrir avec précision sur la zone prédéfinie dans la mer de l’Est, ou mer du Japon.
La distance et l’altitude correspondent aux estimations données par Séoul et par Tokyo vendredi, et ne sont que légèrement inférieures à celles de l’ICBM tiré par Pyongyang le 24 mars, qui semble être son test le plus puissant jamais réalisé.
La Corée du Nord avait déjà affirmé avoir testé le 24 mars un Hwasong-17 – qui compte parmi les armes les plus puissantes de Pyongyang et qui a été surnommé le missile monstre par des analystes militaires –, mais Séoul avait ensuite mis en doute cette affirmation.
Cette fois, les analystes ont déclaré que l’essai semblait réussi.
Ce lancement est significatif, car il s’agit [probablement] du premier essai réussi de ce missile, a souligné auprès de l’AFP Joseph Dempsey, chercheur à l’Institut international d’études stratégiques (IISS).
Pyongyang a procédé début novembre à une rafale sans précédent de tirs de missiles, dont l’un est tombé près des eaux territoriales de la Corée du Sud.
La seule journée du 2 novembre a vu 23 tirs de missiles nord-coréens, soit plus que pendant toute l’année 2017, quand le dirigeant Kim Jong-un et le président américain de l’époque Donald Trump se menaçaient réciproquement d’apocalypse nucléaire.
En septembre et en octobre, Pyongyang avait déjà tiré une copieuse salve de projectiles, dont l’un avait survolé le Japon pour la première fois depuis cinq ans.
Eyad Saleha, un Palestinien en fauteuil roulant, Amani, sa femme enceinte, et Nagham, leur fille de trois ans, ont péri dans un raid israélien mercredi dans la bande de Gaza, selon les autorité locales, devenant les dernières victimes de l’escalade entre le Hamas et Israël.
Agé de 33 ans, Eyad Saleha attendait de casser la croûte en fin de journée lorsqu’un missile a frappé la maison familiale de Deir al-Balah, dans le centre du territoire palestinien, réduisant en morceaux l’arche du salon où les pièces déchiquetées d’un vélo rouge gisent au milieu des décombres.
Dans le réfrigérateur, une fine couche de poussière grise recouvre un bol de tomates fraîches après la frappe.
L’armée israélienne pilonne la bande de Gaza depuis que le mouvement islamiste Hamas, au pouvoir à Gaza, a lancé le 10 mai des salves de roquettes en soutien aux centaines de Palestiniens blessés dans des heurts avec la police israélienne à Jérusalem-Est.
Selon un bilan du ministère de la Santé à Gaza, au moins 227 Palestiniens ont été tués dans les frappes israéliennes, incluant 64 enfants, depuis le 10 mai.
L’armée israélienne affirme que de nombreux combattants du Hamas font partie des victimes tout en reconnaissant des « dommages collatéraux ». En Israël, les autorités chiffrent à 12 le nombre de morts, dont un enfant de six ans, dans les tirs de roquettes palestiniens.
Mercredi, la frappe a fendu la résidence familiale des Saleha, en bord de mer, à Deir al-Balah, détruisant les trois pièces et fauchant trois vies, celles d’Eyad, de son épouse Amani et de leur fille Nagham, selon le ministère local de la Santé.
« Mais qu’est-ce que mon frère a fait ? Il ne faisait que passer (ses jours) dans son fauteuil roulant », a dit à l’AFP Omar Saleha, affirmant que son frère, en chaise roulante depuis 14 ans, n’était pas un combattant.
« Qu’est-ce que sa fille a fait ? Et sa femme ? Il se préparait à manger », a-t-il ajouté, disant qu’il était avec des voisins au moment de la « frappe aérienne israélienne ».
Contactée par l’AFP au sujet de cette frappe, l’armée israélienne n’a pas réagi dans l’immédiat. Mais elle estime que des Palestiniens de Gaza ont perdu la vie dans des tirs de roquettes palestiniens tombées dans l’enclave.
« Tuer des innocents, chez eux, et même le foetus dans le ventre de sa mère est un crime », a déclaré un responsable au ministère de la Santé à Gaza, Youssef Abou al-Rich.
Oum Eyad, la mère d’Eyad, n’était pas à la maison familiale quand la frappe a décimé la famille. Elle s’était réfugiée chez son frère dont la maison était, selon elle, plus sûre.
Eyad, a dit la mère, « priait pour un retour au calme et il est mort en attendant l’arrivée d’un nouveau-né ».
Hommage d’une fille à son père : C’est avec le cœur meurtri que je t’écris ces derniers mots qui ne pourront malgré tout apaiser mes maux.
Tu étais un homme brave, charismatique, audacieux, altruiste, doté d’une grande sagesse.
Papa, tu laisses ta fifille adorée toute seule, sans père mais tu m’avais transmis l’essentiel, tes conseils resteront ancrés en moi
Tu m’as appris que la vie était un combat et ce jusqu’à ton dernier souffle car tu as résisté, tu t’es accroché à cette vie que tu chérissais tant et tu l’as fait pour rejoindre les tiens, hélas, les vicissitudes auxquelles nous faisons face sont incontestables.
Le 1er novembre dernier, près de toi, nous méditions sur l’un des célèbres textes de l’écrivain Kipling afin de rendre hommage à papi, quelques mois plus tard tu m’as rappelé que même si tu n’étais plus de ce monde, tu saurais que je saurai me battre et tu ne t’inquièterai pas.
J’ai su rattraper le temps perdu, enfin, je dirai que j’ai essayé mais la vie nous surprend toujours.
Je garderai cette belle image de toi couché comme un ange, beau et serein comme tu l’as toujours été de ton vivant.
Mon papa d’amour, comme je te l’ai dit pour la dernière fois hier, je t’aime, tu continueras de vivre dans mon coeur et tu restes cet être irremplaçable.
Nanterre – Une fille de la dirigeante de l’extrême droite française Marine Le Pen et l’un de ses cousins ont été frappés lors d’un différend qui s’est déroulé dans la nuit de jeudi à vendredi à Nanterre, dans la banlieue parisienne, a-t-on appris de sources policières.
Marine Le Pen a dénoncé vendredi une « agression gratuite » et précisé « n’avoir aucun élément » à ce stade laissant penser que sa fille avait été frappée parce qu’elle était l’enfant de la présidente du Rassemblement national (RN, ex FN).
Les faits se sont déroulés vers 2h40 du matin, à la sortie d’un bowling, à deux pas de la préfecture et du tribunal de Nanterre, à l’ouest de Paris. Alors que la fille de Mme Le Pen prenait l’air, deux hommes se sont approchés d’elle et se sont mis en tête de la réchauffer en lui frottant le corps car elle avait froid, selon une source proche du dossier.
Son cousin est alors intervenu pour éloigner les deux individus qui l’ont roué de coups avant de s’en prendre à sa cousine, toujours selon la même source.
La fille de la présidente du RN, âgée de 19 ans, et son cousin de 18 ans ont été frappés à coups de pieds et poings au visage et au corps.
La jeune femme a été transportée par les pompiers à l’hôpital « avec une suspicion de fracture du nez », selon une source policière.
Deux hommes, âgés de 32 et 47 ans, ont aussitôt été interpellés et placés en garde à vue au commissariat de Nanterre, chargé de l’enquête.
Tous deux très alcoolisés, ils ont dans un premier temps nié s’être rendu au bowling avant de reconnaître y être passés, sans apporter plus de précisions, selon une source proche du dossier.
Selon Marine Le Pen, « il n’y a pas eu de bagarre (…), il y a eu une agression, une agression gratuite de deux jeunes de 18 et 19 ans ».
« Hélas c’est le lot quotidien de beaucoup de nos compatriotes et de beaucoup de pères et de mères de famille qui, comme moi, ne voyons plus partir nos enfants pour une soirée étudiante ou pour un dîner entre amis avec tranquillité d’esprit », a ajouté la dirigeante politique en marge d’une visite au salon de l’automobile à Paris.
Mais « ce n’est pas une fatalité. C’est, je crois, la conséquence de choix politiques qui ont été faits depuis un certain nombre d’années », a dénoncé la finaliste de la présidentielle 2017 face à Emmanuel Macron.
Sa fille « a l’air d’aller mais elle est, comme toute jeune fille confrontée à ce genre de choses, choquée. Quant à son cousin il a pris un bon coup mais Dieu merci il n’y a rien de plus grave que cela », a-t-elle ajouté.
Le cousin de la jeune femme a porté plainte dans la nuit. Celle-ci devait porter plainte dans la journée, selon une autre source policière.
Le chat désormais, objet faisant partie de la liste de la Dot
Nkaya Mabounda, quinquagénaire bembé et domicilié au quartier Voungou à Pointe-Noire, ne s’est pas gêné à inclure dans la liste de la Dot de sa fille 10 chats. Le futur beau-fils, déterminé à pulvériser tous les obstacles pour gagner le cœur de sa dulcinée, a fourni 15 chats au lieu de 10 dans sa Dot.On rappelle que pour de nombreux ressortissants du département de la Bouenza, manger du chat fait partie de la tradition.
Bien que sa consommation ait chuté, chaque année plusieurs chats (ki wayi) en langue bembé, sont mangés dans la Bouenza.
Il est vrai qu’au Congo-Brazzaville, la loi reste muette sur cette pratique alimentaire, il va s’en dire que celle-ci met tout de même à mal les us sociaux, car le chat est considéré par tous comme un animal de compagnie.
Il est peut-être temps que les autorités se penchent sur la question, même si certains jeunes justifient leurs pratiques par la situation de crise qui sévit dans le pays.
Après un difficile combat et neuf mois d’une longue attente, Adriana Karembeu est enfin maman. La mannequin dévoile le prénom de sa fille ainsi que son poids.
Adriana Karembeu l’attendait avec impatience. Depuis ce vendredi 17 août, elle est l’heureuse maman d’une petite fille, qui répond au doux prénom de Nina. C’est la principale intéressée qui l’a annoncé à nos confrères de Paris Match. « Notre petite princesse Nina est née le 17 août à 15h19 », annonce-t-elle fièrement, avant de dévoiler qu’elle faisait 3,285 kg à la naissance pour 54 cm. Aux anges, elle confie : « Je ne savais pas qu’on peut aimer autant. Pur bonheur !« . »On t’attend », lui lançait encore il y a quelques jours celle qui rayonnait de bonheur depuis l’annonce de sa grossesse. Et pour cause, cet enfant était extrêmement désiré. A 46 ans, il s’agit du premier bébé de la sublime mannequin. En revanche, son mari Aram Ohanian a déjà goûté aux joies des couches, biberons et nuits courtes, puisqu’il est déjà le père d’un grand garçon de 29 ans.