Mon regard solitaire sur la cime des arbres
Brûle au feu insolent du soleil des ténèbres.
Irrésistible, je succombe de sa férule d’insolation
Qui dessèche ma peau de sa pire flagellation,
M’invitant constamment à boire l’eau,
Pour donner vie et souplesse à ma peau.
Malgré la présence du Gange, en Asie, en Inde,
Nos amis meurent d’une virulente chaleur torride,
Dans la folie excessive de hautes températures,
Où les rayons agressifs et incisifs torturent
Les humains criant leur désespoir mortel,
Pour un climat érodé exposé au danger réel.
A notre monde de chercher vite des solutions,
Car chacun bientôt aura sa part de suffocation
Devant les calamités d’une autre exécution,
Dont l’ultime nécessité est de prendre conscience,
Pour ne pas perdre notre meilleure existence.
Bernard NKOUNKOU