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Le preneur de deux otages dans un bureau de poste près de Paris interpellé par la police

janvier 16, 2015

Nanterre – Le preneur d’otages de Colombes, en région parisienne, a été interpellé par la police, ont indiqué des sources policières. Il retenait depuis la mi-journée deux personnes dans un bureau de poste.

Deux personnes étaient retenues en otages par un homme armé vendredi à la mi-journée dans un bureau de poste de Colombes, près de Paris, a-t-on appris de sources policières, qui ont précisé que la piste terroriste semblait écartée.

L’homme, connu de la police comme délinquant de droit commun, est retranché avec deux otages, ont indiqué plusieurs de ces sources.

D’importantes forces de police se sont rendues sur place, dont les unités d’élite du Raid, et un hélicoptère de la Sécurité civile survolait la zone où un important périmètre de sécurité a été mis en place.

Les enquêteurs semblent écarter tout lien avec les attaques jihadistes contre Charlie Hebdo et une superette casher qui ont fait 17 morts la semaine dernière à Paris.

L’homme est suivi psychologiquement, il réclame une ambulance, a ajouté une autre source.

Selon les premiers éléments de l’enquête. L’agresseur avait appelé la police en « tenant des propos décousus » et affirmant être lourdement armé, de grenades et Kalachnikov, selon les premiers éléments de l’enquête. l’homme est entré seul dans le bureau de poste vers 11H30 GMT et plusieurs clients ont pu s’enfuir. Aucun coup de feu n’a été tiré, a précisé une source.

Cinq personnes ont fui par l’arrière du bâtiment, a expliqué une source policière.

Romandie.com

 

RDC : retour mouvementé pour l’opposant Tshisekedi

mars 10, 2013
Etienne Tshisekedi, candidat malheureux de la présidentielle de 2011. Etienne Tshisekedi, candidat malheureux de la présidentielle de 2011. © AFP

 Le principal opposant en République démocratique du Congo, Etienne Tshisekedi, de retour le 11 mars d’Afrique du Sud, a été accueilli à son arrivée à Kinshasa par la police qui a empêché ses partisans de manifester et l’a raccompagné directement à son domicile, a constaté l’AFP.

 L’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), principale formation d’opposition, avait appelé ses partisans à «se mobiliser totalement» pour accueillir leur chef, de retour d’Afrique du Sud où il était parti le 20 février.Un grand meeting avait également été annoncé sur une place de la capitale et M. Tshisekedi, 80 ans, devait s’y « adresser au peuple congolais », selon l’UDPS.

Quelques heures avant l’arrivée de l’avion, prévue peu après midi, des forces de police étaient massées aux principaux carrefours menant à l’aéroport et aux abords de la place du cinquantenaire où le meeting avait été annoncé.

A son arrivée, un policier a pris d’autorité le volant de sa voiture, a constaté un photographe de l’AFP. Escorté d’une dizaine de voitures de police, il a raccompagné le dirigeant d’opposition à son domicile. La police a dispersé, parfois à l’aide de gaz lacrymogènes, les centaines de partisans de l’UDPS regroupés aux principaux carrefours.

« Résidence surveillée »

Un barrage de policiers a été mis en place aux abords du domicile de M. Tshisekedi dans le quartier de Limete, comme cela avait été le cas depuis les élections, faisant dire à l’UDPS qu’il est « en résidence surveillée » alors que la police dit vouloir le protéger.

Dans un communiqué transmis en début d’après-midi, l’UDPS a regretté que son secrétaire général ait été empêché d’accéder à l’aéroport pour accueillir le président et à dénoncé des « enlèvements de cadres de l’UDPS et des tortures ».

Aucune information n’a pu être obtenue dimanche après-midi auprès de la police sur d’éventuelles arrestations. Depuis les élections de 2011 marquées par des irrégularités et dénoncées par les partis d’opposition, les manifestations de l’opposition sont interdites en RDC.

Jeuneafrique.com avec AFP

Julian Assange : « Arrêter les menaces envers WikiLeaks »

août 19, 2012
Julian Assange a appelé aujourd’hui les États-Unis à arrêter « la chasse aux sorcières » envers WikiLeaks. Il a également demandé la libération du soldat américain Bradley Manning, soupçonné d’avoir livré à l’organisation des documents militaires sur la guerre en Irak. « Si Bradley Manning a fait ce dont on l’accuse, alors il est un héros. Il est actuellement traité comme un prisonnier politique », a-t-il expliqué.

« Menacer WikiLeaks, c’est menacer la société dans son ensemble », a déclaré Julian Assange sur le balcon de l’ambasse de l’Equateur de Londres. « S’il y a unité dans la répression, alors il doit y avoir de l’unité en retour pour la combattre ».

Le fondateur de l’organisation s’exprimait depuis l’ambassade de l’Equateur où il a trouvé refuge depuis deux mois. Quito a accordé mercredi à Julian Assange l’asile politique, mais l’homme ne peut pas sortir du bâtiment sans se faire arrêter par les forces de police britannique. « Si ces dernières n’ont pas tenté d’entrer en effraction dans l’ambassade, c’est parce que le monde entier a les yeux braqués sur eux », a estimé le fondateur de WikiLeaks.

Assange a parlé pendant une dizaine de minutes, juste au-dessus de la tête des policiers britanniques qui veulent l’arrêter, avant de rentrer dans l’ambassade sans être inquiété.

Lefigaro.fr