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Congo/Pointe-Noire: un policier au fond Tie-Tie se fracture la jambe en poursuivant deux garçons sans masque

mai 20, 2020

Le manque de capacité de sensibilisation des policiers congolais les contraints à faire recours à la violence, face à l’irresponsabilité de certains citoyens souvent par méconnaissance. Rien ne coûte à un policier de ramener à la raison un citoyen ayant oublié de porter un masque en cette période de pandémie. A Dolisie, un homme a trouvé la mort à cause de ce comportement sauvage des policiers. Hier soir, à Mulembo, un policier qui a voulu coûte que coûte s’en prendre à deux jeunes garçons n’ayant pas porté de masque, s’est fracturé la jambe après une chute lors de la poursuite.

Riverains du Fond Tie-Tie, ces deux jeunes garçons maîtrisent bien toutes les issues de sauvetage de ce quartier chaud de la ville de Pointe-Noire. Prenant de l’air au coin de leur ruelle, ils ont vu comment un policier a sauté de leur véhicule pour les arrêter pour non-port du masque.

Dans la poursuite qui s’en ait suivi, d’autres riverains ont assisté comment le policier s’est écroulé et a commencé à pleurer en Lingala. « Nga lokolo e bukani, nga lokolo e bukani ». Des parcelles, on pouvait entendre comme réponse à ses cris de détresse : «  A ke ya yandi Mu Mbochis, beni bika a ku fwa »(Laissez-le mourir ce pauvre Mbochi, étrager de notre région)

Personne n’est venu à son secours avant que ses collègues ne le rejoignent. Après les explications, le chef de la patrouille a voulu s’en prendre aux innocents riverains comme punition pour non assistance en policier en danger, avant que trois autres policiers sudistes ne l’en dissuadent.

A Pointe-Noire, les policiers , gendarmes et militaires originaires du nord du pays, excellent dans la répression ethnique, conscients d’être en terre Vili à majorité sudiste.

Lors d’une identification au quartier Mbota Carlos, trois hommes ont été priés de ne plus sortir sans masques, quand le chef de patrouille nordiste s’est rendu compte être en face de ses frères de la même contrée. S’ils étaient sudistes, on les aurait embarqué.

Avec Sacer-infos par Stany GFranck

L’ex-président américain Jimmy Carter opéré de la hanche

mai 13, 2019

 

L’ancien président américain et prix Nobel de la paix Jimmy Carter s’est cassé lundi une hanche en partant chasser la dinde sauvage, a indiqué sa fondation, en précisant que le démocrate âgé de 94 ans avait été opéré « avec succès ».

« Alors qu’il partait chasser la dinde sauvage ce matin, l’ancien président américain Jimmy Carter est tombé chez lui à Plains, en Géorgie », dans le sud des Etats-Unis, explique le Carter Center dans un communiqué.

« Il se remet d’une opération pour réparer une hanche cassée au Phoebe Sumter Medical Center, à Americus », où son épouse Rosalynn est à ses côtés. L’intervention « s’est bien passée », poursuit le communiqué.

« Le président Carter a déclaré que sa plus grande inquiétude était que la saison de la chasse à la dinde se terminait cette semaine et qu’il n’avait pas atteint son quota » de volailles, ajoute avec humour le Carter Center.

« Il espère que l’Etat de Géorgie lui permettra de faire passer ce quota non utilisé à l’année prochaine ».

Artisan des accords de Camp David qui ont abouti, en mars 1979, à la signature du traité de paix israélo-égyptien, Jimmy Carter a dirigé les Etats-Unis de 1977 à 1981.

Il était également aux commandes lors de la prise d’otages américains en Iran en 1979-80, qui lui avait valu une réputation de naïveté à l’international et de nombreuses critiques dans son pays.

Après sa cinglante défaite face au républicain Ronald Reagan en 1981, le 39e président des Etats-Unis s’est trouvé une vocation d’homme de paix, multipliant les missions humanitaires et de médiation, de Cuba à la Corée du Nord en passant par l’Ethiopie.

En 2002, il a reçu le prestigieux Prix Nobel de la paix, notamment pour « ses décennies d’efforts infatigables afin de trouver des solutions pacifiques à des conflits internationaux ».

Par Le Figaro.fr avec AFP

L’Europe, (nouvelle) ligne de fracture chez les Républicains

novembre 13, 2017

 

L’Europe, (nouvelle) ligne de fracture chez Les Républicains
Laurent Wauquiez et Alain Juppé ne sont pas d’accord sur l’Europe. Il s’agit là d’un désaccord parmi d’autres. @ Thierry Zoccolan / AFP
Alain Juppé a créé des turbulences samedi en évoquant une alliance avec Emmanuel Macron pour les Européennes de 2019. Preuve que sur ce sujet – comme sur d’autres -, les Républicains se déchirent.
 

Pas sûr que Les Républicains avaient besoin d’une nouvelle ligne de fracture. C’est pourtant bel et bien ce qu’a créé Alain Juppé, peut-être à son corps défendant, samedi en évoquant devant des journalistes un « grand mouvement central en vue » des Européennes 2019, par le biais d’une alliance avec Emmanuel Macron. Le maire de Bordeaux a depuis rétropédalé, mais le mal est fait. Le sujet est sur la table, et met en lumière le fait qu’il existe, sur l’Europe comme sur d’autres sujets, deux camps au sein des Républicains. Sauf que la prochaine échéance électorale d’importance, ce sont précisément les européennes, en 2019. Cela va arriver vite.  »

« On n’en est pas là ».

Alain Juppé a en tout cas créé un embarras certain en faisant l’éloge du président de la République. « Si Macron reste dans la ligne de son discours à la Sorbonne, je ne vois pas d’incompatibilité, a-t-il notamment déclaré ». Dimanche, il a démenti sur Twitter vouloir une alliance. « Liste commune avec E. Macron aux européennes ? On n’en est pas là », a écrit l’ancien Premier ministre. On a connu démenti plus vigoureux.

Une « erreur » pour Wauquiez.

Si Alain Juppé a ainsi reculé, c’est parce que son idée n’a pas vraiment plu dans son camp. Laurent Wauquiez, favori pour prendre la présidence des Républicains en décembre, l’a qualifiée d’ »erreur » dimanche sur France 3. « Nous ne partageons pas la même vision de l’Europe qu’Emmanuel Macron », a affirmé le président d’Auvergne-Rhône-Alpes. « C’est dangereux et contre-productif », s’alarme de son côté Geoffroy Didier, directeur de campagne de Laurent Wauquiez, dans Le Monde. « Car en donnant l’impression qu’il n’y a qu’une seule voie possible sur l’Union européenne, le macronisme, il fait de l’extrémisme la seule alternative possible. »

Même Valérie Pécresse, tenante d’une ligne modérée, comme Alain Juppé, a renvoyé dans les cordes le maire de Bordeaux. « Des pro-Européens, il y en a toujours eu à gauche et à droite. François Mitterrand était pro-Européen, je n’ai jamais voté pour une liste socialiste » aux européennes, a souligné la présidente d’Ile-de-France dimanche sur Europe 1.

Mais attention à ne pas trop critiquer Alain Juppé. Certains veillent au grain, à l’image de Dominique Bussereau. « La parole d’Alain Juppé est tellement forte qu’elle est parfois détournée par les tenants d’une ligne tellement droite qu’ils en viennent à ignorer toute nuance », écrit ainsi le président de la Charente-Maritime sur Twitter.  Démontrant par là même que le sujet est potentiellement explosif.

« On va avoir des débats sur l’Europe ».

Il l’est d’autant plus que sur le fond, les divergences sont réelles. A l’opposé d’un Alain Juppé europhile, puisque sur la même ligne qu’Emmanuel Macron,  Laurent Wauquiez est lui volontiers tenté par l’euroscepticisme. Dans un ouvrage datant de 2014, Europe, il faut tout changer, le probable futur président des Républicains disait tout le mal qu’il pendant de l’UE sous sa forme actuelle, son fonctionnement et ses traités, Schengen en tête. Le 25 octobre dernier, lors d’un meeting, il fustigeait encore « l’Europe passoire, qui assiste passive à des vagues migratoires au-delà de la raison ».

Deux lignes qui ont tout l’air d’être irréconciliables coexistent donc au sein de la droite. Et cela a parfois été destructeur dans le passé. S’il commence à être lointain, le souvenir de 1999 demeure. A l’époque, la droite s’était déchirée entre les souverainistes, incarnés par Charles Pasqua et Philippe de Villiers, et les pro-UE, incarnés par Nicolas Sarkozy. Résultat : la liste socialiste, portée par un certain François Hollande, arrivée en tête, devant les deux listes de droite. Un camouflet qui a laissé des traces.  « Ce que je dis, c’est qu’on va avoir des débats sur l’Europe », a admis, lucide, Laurent Wauquiez sur France 3. Dégager une ligne claire s’annonce coton.

D’autres fractures.

D’autant que cette fracture s’ajoute à d’autres. La plus béante concerne l’attitude à adopter vis-à-vis d’Emmanuel Macron. Avec à la clé la constitution d’un groupe à part à l’Assemblée nationale, les Constructifs, et en point d’orgue l’exclusion pure et simple, mais longtemps contestée, de personnalités tels qu’Edouard Philippe, Gérald Darmanin et Thierry Solère.

C’est sans doute la divergence la plus spectaculaire, mais pas la plus sérieuse. Car c’est sur la ligne politique que Les Républicains se déchirent. Pour beaucoup, Laurent Wauquiez penche trop à droite, et ses liens assumés avec Sens commun déragent les tenants d’une droite modérée. Alain Juppé est évidemment de ceux-là. En mettant l’Europe sur la table, l’ancien Premier ministre a mis Laurent Wauquiez en position délicate. Il n’est pas impossible que c’était là l’objectif recherché.

Europe1.fr

Au Gabon, le parti d’Ali Bongo se fracture

mai 3, 2016

Une tribune de cadres du parti Parti démocratique gabonais (PDG) d'Ali Bongo lors d'une réunion en septembre 2012, à Libreville.

Une tribune de cadres du parti Parti démocratique gabonais (PDG) d’Ali Bongo lors d’une réunion en septembre 2012, à Libreville. Crédits : STEVE JORDAN / AFP
Certains avaient été exclus tandis que d’autres avaient démissionné avec fracas de l’Assemblée nationale, il y a un mois. Lors d’un congrès, tenu dimanche 1er mai à Libreville, d’anciens députés qui représentaient jusque-là l’aile dissidente du Parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir) ont décidé de créer leur propre formation politique.

Lire aussi : Ali Bongo : « Les Gabonais me jugeront sur mon bilan »

Avec ce nouveau parti, baptisé Rassemblement héritage et modernité (RHM), les ex-députés promettent de « remettre le Gabon sur les rails » et de battre le chef de l’Etat, Ali Bongo, lors de la présidentielle du 28 août. Celui qui défendra les couleurs du RHM lors de cette élection est Guy Nzouba-Ndama, président démissionnaire de l’Assemblée nationale début avril.

« Profito-situationnistes »

« Nous nous retrouvons aujourd’hui avec un catalogue volumineux de promesses non tenues de tous ces profito-situationnistes responsables du rêve avorté des Gabonaises et des Gabonais », a lancé l’opposant dans son discours d’investiture. Avant sa démission et l’annonce de sa candidature le 5 avril, Guy Nzouba-Ndama soutenait encore fermement le parti au pouvoir.

Avant le Rassemblement héritage et modernité, une autre formation politique s’est créée le 27 avril. Démocratie nouvelle (DN) réunit des soutiens de l’opposant Jean Ping, ancien président de la Commission de l’Union africaine, également candidat à la succession d’Ali Bongo le 28 août. Le chef de l’Etat, qui a succédé à son père Omar Bongo en 2009, a annoncé fin février sa candidature à deuxième mandat.

Lemonde.fr

Burundi: journée cruciale sur fond de fracture au sein de l’armée

mai 4, 2015

Burundi: journée cruciale sur fond de fracture au sein de l'armée
Burundi: journée cruciale sur fond de fracture au sein de l’armée © AFP

Le Burundi entrait lundi dans une journée et une semaine critiques, avec la fin de la « trêve » décrétée par les opposants au 3e mandat du président Pierre Nkurunziza et l’apparition de fractures claires dans l’appareil sécuritaire et au sein de l’armée.

« Nous avons deux camps arc-boutés sur leurs positions et aucun n’est prêt à reculer », a expliqué à l’AFP un diplomate ayant requis l’anonymat.

Comme attendu, le président Nkurunziza n’a pas renoncé au cours du week-end de trêve à sa candidature à la présidentielle, ce que lui demandait le « Collectif contre le 3e mandat » qui avait expliqué que la suspension de la contestation devait notamment lui permettre de « mieux s’organiser » en vue de nouvelles protestations.

Les manifestations semblaient donc devoir reprendre lundi dans les quartiers périphériques de Bujumbura, en effervescence depuis le 26 avril et où la police cantonne les protestataires afin de les empêcher de converger vers le centre de la capitale burundaise où ils souhaitent se rassembler, provoquant des heurts.

La répression par la police, qui tire parfois à balles réelles, a déjà fait six morts et 66 blessés.

Samedi soir, le général Pontien Gaciyubwenge, ministre de la Défense, s’était démarqué en termes sibyllins de son homologue de la Sécurité publique qui avait annoncé un durcissement de la répression et qualifié la contestation d' »entreprise terroriste » après deux attentats meurtriers à la grenade visant la police, vendredi soir.

Le général Gaciyubwenge a affirmé la neutralité de l’armée et demandé que cessent « les atteintes aux droits » constitutionnels des Burundais, semblant viser notamment celui de manifester pacifiquement.

Des proches du ministre de la Défense ont expliqué à l’AFP que des hauts gradés de l’armée l’avaient pressé de refuser de faire participer l’armée à la répression, de rappeler la neutralité des militaires et de se démarquer publiquement du ministre de la Sécurité publique.

Depuis le début du mouvement, l’armée s’interpose régulièrement entre la police et les manifestants pour éviter les dérapages. Les protestataires considèrent que les soldats sont neutres et les protègent des abus des policiers, acquis selon eux au Cndd-FDD, parti du président Nkurunziza.

Mais dimanche soir, le chef d’état-major de l’armée burundaise a garanti que les militaires resteraient loyaux aux institutions et aux autorités du pays. La Force de défense nationale (FDN) « reste et restera une armée républicaine, loyaliste et respectueuse des lois et règlements du Burundi et de ceux qui la régissent », a affirmé le général Prime Niyongabo.

Il a mis « en garde tout ceux qui voudraient utiliser la FDN à des fins politiciennes qui la conduiraient à agir en dehors de la loi et du professionnalisme » et rappelé que l’armée « reste attachée à la mission confiée par la loi », appelant les soldats à rester « unis ».

– ‘Divergences assez sérieuses’ –

La mise au point du chef d’état-major entérine l’hypothèse d’une division au sein même de l’armée, partagée entre respect des institutions et fidélité à l’accord d’Arusha – qui fonde une armée « non partisane », sur fond de loyautés politiques héritées de la guerre civile (1993-2006) à laquelle cet accord historique avait permis de mettre fin.

Durant la guerre civile, qui hante toujours les esprits au Burundi, le général Niyongabo était membre du Cndd-FDD, qui était alors un groupe rebelle combattant l’armée dominée par les Tutsis, à laquelle appartenait le général Gaciyubwenge.

« Il y a des divergences assez sérieuses au sein de l’appareil sécuritaire » qui « concernent la gestion de la crise dans son ensemble », a expliqué le diplomate, soulignant que des opposants au troisième mandat existaient au sein des forces de sécurité, armée comme police.

La contestation a éclaté le 26 avril, au lendemain de la désignation de M. Nkurunziza par le Cndd-FDD pour être son candidat à la présidentielle. Les opposants à cette candidature estiment qu’un nouveau mandat du président Nkurunziza, élu en 2005 et réélu en 2010, serait inconstitutionnel et contraire à l’accord d’Arusha qui limite leur nombre à deux.

La Cour constitutionnelle doit se prononcer dans les jours à venir sur la validité d’un troisième mandat du président Nkurunziza, mais ceux qui s’y opposent ont d’ores et déjà accusé les juges d’être aux ordres et d’avoir été saisis uniquement pour valider la candidature du chef de l’Etat.

Jeuneafrique.com

Glissement de terrain au Tibet (Chine): les espoirs s’amenuisent

mars 31, 2013

PEKIN – Quelque 3.500 personnes participaient aux secours pour tenter de retrouver des survivants deux jours après un gigantesque glissement de terrain près d’une mine de cuivre au Tibet qui a enseveli plus de 80 mineurs, mais les espoirs s’amenuisaient, indiquaient dimanche les médias officiels.

Les sauveteurs, dont certains creusaient à mains nues, sont confrontés à de grande quantité de neige et au mal des montagnes, dans cette région du comté de Maizhokunggar, à l’est de Lhassa, la capitale régionale du Tibet (ouest de la Chine).

Deux corps ont été retrouvés samedi et trois dimanche. Il reste donc 78 mineurs piégés sous deux millions de mètres cubes de gravats, après qu’un pan de terrain de trois kilomètres de long a dévalé une pente dans une zone d’exploitation minière, ensevelissant le camp des mineurs, vendredi matin.

Les trois corps trouvés dimanche n’ont pas pû être dégagés en raison des débris qui bloquent l’accès des secours.

Des experts du ministère de la Terre et des Ressources sont arrivés sur place pour enquêter sur les causes de la catastrophe, a indiqué Yang Dongliang, directeur de l’agence gouvernementale de la sécurité au travail.

Les journalistes de l’agence de presse officielle Chine Nouvelle décrivaient les sauveteurs creusant à mains nues car l’éboulement a bloqué des routes menant à la mine et empêche les engins de passer.

Les sauveteurs conduisent une recherche pied par pied, mais ils ne peuvent toujours pas localiser les mineurs manquant à l’appel, a déclaré Wu Yingjie, vice-secrétaire du comité régional pour le Tibet autonome du parti communiste de Chine, selon des propos rapportés par Chine Nouvelle.

Au regard de l’ampleur du désastre, les chances de survie sont faibles, a ajouté Wu Yingjie.

Les secours devaient en outre veiller à ne pas être pris dans un nouvel éboulement. Une fracture d’un mètre de large et de 15 mètres de longueur est apparue en haut de la montagne, a indiqué Wu.

Les deux priorités du moment sont la recherche des personnes ensevelies et l’empêchement d’une nouvelle catastrophe, a-t-il déclaré.

La plupart des mineurs étaient des migrants venus des provinces du Yunnan, de Guizhou et du Sichuan, selon Chine Nouvelle.

Le glissement de terrain s’est produit à 4.600 mètres d’altitude.

Les mineurs travaillaient sur le site, où étaient extraits du cuivre et d’autres métaux, pour une filiale de la compagnie minière China National Gold Group Corporation (CNGG), une des plus grandes entreprises nationales.

Les régions montagneuses du Tibet sont sujettes à des glissements de terrains qui peuvent être aggravés par les activités minières.

Ces dernières années, la Chine a découvert d’importantes ressources minières au Tibet, dont des dizaines de millions de tonnes de cuivre, zinc, plomb et des milliards de tonnes de minerais de fer, selon les médias gouvernementaux.

Romandie.com avec (©AFP / 31 mars 2013 12h17)

Traumatisée, Ségolène Royal ne reviendra pas à La Rochelle

juillet 25, 2012

Un échec qui ne passe pas

 
Chaque année, le PS s’installe à La Rochelle pour son université d’été. Après avoir été battue par Olivier Falorni dans cette circonscription, Ségolène Royal a préféré aller voir ailleurs.

Pour Ségolène Royal, assister à l’université d’été du Parti socialiste à La Rochelle, ce serait perdre une deuxième fois. L’ancienne candidate à la présidentielle ne figurera donc pas parmi les éléphants qui se réuniront fin août là-bas, révèle Le Figaro. Selon un proche, « elle a besoin de temps pour se reconstruire. Elle est comme un grand sportif qui a une triple fracture. La tête va bien mais la jambe est dans le plâtre. » La blessure lui avait été infligée le mois dernier, lorsque le dissident Olivier Falorni a remporté les élections législatives, avec le soutien de Valérie Trierweiler et de l’UMP. La Rochelle reste le symbole de l’échec de Ségolène Royal face à la nouvelle compagne de François Hollande.

Officiellement, la présidente de la région Poitou-Charentes a d’autres engagements. Vice-présidente de l’Internationale socialiste, elle se rendra au congrès annuel de cette organisation, qui aura lieu en Afrique du Sud. Mais cette excuse ne tient pas vraiment la route : le congrès commence le 30 août et l’université d’été du PS s’achèvera quelques jours plus tôt, le 26 août. À moins qu’elle tente de rejoindre Le Cap en rameur, elle aurait eu le temps de prendre un avion pour y être dans les temps. Olivier Falorni en profite déjà pour la narguer : « Moi en tout cas, j’y serai, à La Rochelle… », a-t-il indiqué. Ambiance

Voici.fr par J.M.