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Paris: fatigué de sa femme impolie, il gagne 200.000 euros au loto et rentre au Congo en catimini

mai 12, 2023

Porté disparu et recherché par sa femme en France, on le retrouve au Congo avec les 200000 euros gagnés au Loto dans une nouvelle vie à Pointe-Noire. Clément Mombo, un congolais ayant vécu 30 ans dans l’Île de France a réalisé enfin son rêve de s’installer dans sa ville natale de Pointe-Noire grâce au jeu de hasard. Marié à une femme impolie avec laquelle il a eu néanmoins quatre enfants, il ne supportait plus la vie en Europe et passait tout son temps dans les bar entrain de parier au loto. Il s’est acheté des terrains à Ngoyo et dans le Niari pour se lancer dans l’agropastorale et l’immobilier.

Clément Mombo vient de gagner sa vie enfin à 55 ans et a choisi sa ville natale Pointe-Noire pour profiter. Ses proches se rappellent qu’il a toujours émis le vœu de rentrer un jour au pays et de ne pas vieillir en France. « Dieu a exhaussé son vœu et surtout l’a éloigné de son épouse, une impolie innée qui lui manquait du respect devant ses amis et dans les fêtes.

Ayant évolué dans la sécurité, et la préparation de commande en France, Clément Mombo avait décidé de se reposer durant trois années en misant sa chance dans les jeux de hasard. Une décision qui a creusé davantage le fossé avec son épouse qui a réussi à dresser les enfants contre lui.

Une semaine après avoir remarqué son absence à la maison, son épouse a commencé à s’inquiéter malgré que tous les proches de Clément Mombo ne la croyait pas au regard du traitement infligé. «Depuis quand tu te préoccupes de ton époux que tu humilies à la moindre occasion?» était la réponse qu’elle recevait.

C’est la police qui va l’apprendre que son époux n’était pas porté disparu, mais a pris un vol d’Air France à destination de Pointe-Noire au Congo. Clément Mombo qui s’est reconnecté sur ses réseaux sociaux a finalement communiqué à ses enfants sa nouvelle vie à Pointe-Noire en leur demandant de le laisser enfin tranquille. «  Vous m’aviez humilié comme votre père géniteur, je me suis enfin éloigné de vous pour ne plus déranger et oubliez-moi ! »

Avec Sacer-Infos par Stany Frank

Congo: Deux travestis prostitués gagnent 20 millions chacun en un mois à Brazzaville

février 24, 2023
 Deux travestis prostitués gagnent 20 millions chacun en un mois à Brazzaville

« C’est le meilleur business si tu veux vite te faire de l’argent au Congo ! Un pays rempli des pervers prêts à expérimenter de nouvelles choses…Mes deux brésiliens ont gagné chacun 20 millions cfa en un mois et moi-même 10 millions… » affirme un proxénète Congolais qui promet de ramener quatre autres dans les semaines à venir au vu de la forte demande.

Un congolais qui vit au Portugal depuis plus de 15 ans a vite compris qu’il pouvait faire de bonnes affaires dans la prostitution de luxe au Congo en y ramenant des travestis brésiliens. Ces nombreux séjours à Brazzaville lui ont fait comprendre la vulgarisation de l’homosexualité dans la haute sphère politico économique.

Après avoir préparé le terrain avec l’aide de ses amis proches du pouvoir, il a pu convaincre deux travestis brésiliens qui exercent à Lisbonne d’aller tenter leur chance au Congo. Il leurs a présenté tous les avantages économiques qui se présentaient à eux en faisant ce voyage.

Pendant un mois à Brazzaville, les deux travestis brésiliens n’ont pas du tout eu un peu de temps de repos au vu de leur programme très chargé. Des hommes de la mangeoire du Congo ont calé chacun un rendez-vous sexuel avec eux au point même de répéter.

Ces PD qui dirigent le Congo, ont payé chacun 500000frs pour passer quelques heures avec ces travestis et 1.000.000 frs pour une nuit. Un business très lucratif pour ce Congolais vivant au Portugal qui a empoché en commissions quelques 10 millions cfa ( 15000 euros). Au Portugal, il lui aurait fallu des années pour économiser cette somme, alors qu’il a juste besoin d’un mois au Congo.

Avec Le Congolais.fr

États-Unis : elle se découvre riche en consultant ses spams

janvier 24, 2022

Laura Spears, 55 ans, est tombée sur un mail lui annonçant qu’elle avait remporté 3 millions de dollars à la loterie, rapporte CNN.

L'Americaine prevoit de partager ses gains avec sa famille et de prendre sa retraite plus tot que prevu.
L’Américaine prévoit de partager ses gains avec sa famille et de prendre sa retraite plus tôt que prévu.© SCOTT OLSON / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / Getty Images via AFP

Promotions de marques inconnues, newsletters insipides, arnaques en tous genres… La rubrique des « mails indésirables » ou spams, pour les anglophones est un véritable cloaque numérique que peu d’internautes daignent consulter. À tort ! Car il peut aussi s’y glisser un mail capable de changer un destin. Laura Spears, une Américaine de 55 ans, peut en témoigner. La quinquagénaire originaire du Michigan a en effet découvert un message lui indiquant qu’elle avait gagné la somme rondelette de 3 millions de dollars à la loterie du 31 décembre 2021, comme l’ont relaté nos confrères de CNN, dimanche 23 janvier.

« Je suis tombée sur une publicité sur Facebook indiquant que le jackpot du Mega Millions devenait assez élevé, donc j’ai aussitôt acheté un ticket », se souvient l’Américaine. Mais les journées passent, l’espoir d’un gain s’amenuise et la routine reprend le dessus. « Quelques jours plus tard, je cherchais un mail introuvable, j’ai donc vérifié le dossier spams dans ma boîte e-mail », poursuit sur CNN Laura Spears. C’est à ce moment-là que le miracle se produit : « C’est alors que j’ai vu un courriel de la loterie m’informant que j’avais gagné le gros lot. »

Retraite anticipée

Laura Spears, qui a réclamé son prix au siège de la loterie la semaine dernière, prévoit de partager ses gains avec sa famille et de prendre sa retraite plus tôt que prévu. Une chose est sûre : elle consultera plus fréquemment ses courriers indésirables.

Par Le Point avec AFP

France/Marne : une habituée d’un casino gagne le jackpot de 95.251 euros

février 2, 2020

Elle avait misé 50 centimes à trois reprises aux machines à sous avant d’obtenir la bonne combinaison.

C’est un véritable pactole. Une femme originaire d’Épernay, dans le nord de la Marne, a remporté le jackpot du casino JOA du Lac du Der samedi 1er février, selon France Bleu Champagne-Ardenne. Un jackpot à hauteur de 95.251 euros.

Cette habituée de l’établissement, situé à Giffaumont-Champaubert, avait misé 50 centimes à trois reprises aux machines à sous. Elle préfère rester anonyme. «J’avoue que la gagnante était abasourdie, il lui a fallu quelques secondes avant de prendre conscience de ce qu’il se passait, elle était évidemment très contente», explique le directeur Éric Lerat à la radio locale.

Le jackpot, de 82.201 euros après le passage des impôts, représente le plus gros de l’histoire du casino. Le dernier record, de 27.100 euros, remonte à 2015. «C’est une chose extraordinaire qui se passe dans l’histoire d’un casino, ça n’arrive pas tous les jours», se réjouit Éric Lerat avant d’ajouter : «Pour nous, c’est aussi une publicité énorme car ça prouve qu’au casino, ça gagne

«Tout le monde a été épaté et groggy en même temps parce que l’on se demandait quand ce record tomberait. C’est un temps fort dans la vie d’un casino », confie-t-il également à L’Union. D’après le quotidien régional, l’établissement en question occupe la 55e place du classement national des casinos.

Par Le Figaro.fr

Québec: Il gagne un million avec un dollar

décembre 17, 2019

 

Payant, payant ! Un homme de l’Outaouais a eu la main chanceuse samedi dernier au Casino du Lac-Leamy alors qu’il a remporté le gros lot de 1 million $ grâce à une mise de 1 $ dans une machine à sous Powerbucks. Le gagnant a été accueilli au salon privé par l’équipe du Casino, où il a pu célébrer son gain. «Ce fut un beau moment passé avec le gagnant. Il était très heureux et compte bien profiter de ce montant d’argent. Pour l’instant, il prévoit s’acheter une nouvelle voiture et, peut-être, une petite maison à Gatineau», a indiqué le chef des opérations au Casino du Lac-Leamy, Gilles Lavoie. Powerbucks offre un lot progressif débutant à 1 million $ et un gros lot fixe de 1 million $. Le jeu est aussi offert en Colombie-Britannique et au Manitoba, une association qui permet de faire grimper rapidement le lot progressif en raison du nombre élevé de joueurs qui y contribuent, tant en ligne que dans les établissements des trois provinces. Depuis 2016, les machines à sous des casinos du Québec et de lotoquebec.com ont remis une quinzaine de lots de 1 000 000 $ ou plus et de rentes à vie.
© COURTOISIE Payant, payant !
Un homme de l’Outaouais a eu la main chanceuse samedi dernier au Casino du Lac-Leamy alors qu’il a remporté le gros lot de 1 million $ grâce à une mise de 1 $ dans une machine à sous Powerbucks.
Le gagnant a été accueilli au salon privé par l’équipe du Casino, où il a pu célébrer son gain. «Ce fut un beau moment passé avec le gagnant. Il était très heureux et compte bien profiter de ce montant d’argent. Pour l’instant, il prévoit s’acheter une nouvelle voiture et, peut-être, une petite maison à Gatineau», a indiqué le chef des opérations au Casino du Lac-Leamy, Gilles Lavoie. Powerbucks offre un lot progressif débutant à 1 million $ et un gros lot fixe de 1 million $. Le jeu est aussi offert en Colombie-Britannique et au Manitoba, une association qui permet de faire grimper rapidement le lot progressif en raison du nombre élevé de joueurs qui y contribuent, tant en ligne que dans les établissements des trois provinces. Depuis 2016, les machines à sous des casinos du Québec et de lotoquebec.com ont remis une quinzaine de lots de 1 000 000 $ ou plus et de rentes à vie.
Un homme de l’Outaouais a eu la main chanceuse samedi dernier au Casino du Lac-Leamy alors qu’il a remporté le gros lot de 1 million $ grâce à une mise de 1 $ dans une machine à sous Powerbucks.

Le gagnant a été accueilli au salon privé par l’équipe du Casino, où il a pu célébrer son gain. « Ce fut un beau moment passé avec le gagnant.

Il était très heureux et compte bien profiter de ce montant d’argent. Pour l’instant, il prévoit s’acheter une nouvelle voiture et, peut-être, une petite maison à Gatineau », a indiqué le chef des opérations au Casino du Lac-Leamy, Gilles Lavoie.

Powerbucks offre un lot progressif débutant à 1 million $ et un gros lot fixe de 1 million $. Le jeu est aussi offert en Colombie-Britannique et au Manitoba, une association qui permet de faire grimper rapidement le lot progressif en raison du nombre élevé de joueurs qui y contribuent, tant en ligne que dans les établissements des trois provinces.

Depuis 2016, les machines à sous des casinos du Québec et de lotoquebec.com ont remis une quinzaine de lots de 1 000 000 $ ou plus et de rentes à vie.

Par Le Droit.com

Canada: Un homme mise 2,25 $ au Casino de Charlevoix et gagne… 1,2 million $ !

octobre 26, 2019

 

 

Un homme du Saguenay-Lac-St-Jean a remporté un lot record au Casino de Charlevoix, vendredi soir, mettant la main sur 1,2 million $ avec une modeste mise de 2,25 $ sur une machine à sous.

Le Casino de Charlevoix a offert le plus gros lot de son histoire, a annoncé Loto-Québec samedi matin.

La somme exacte remportée par l’homme âgé de la cinquantaine est de 1 196 769 $. Le gagnant était en visite dans la région de La Malbaie avec sa famille, a précisé Loto-Québec.

Ce fut un beau moment avec le gagnant et des membres de sa famille, a rapporté Alain Gobeil, chef des opérations au Casino, par voie de communiqué.

Selon Loto-Québec, le gagnant est un récemment retraité. Ce dernier a préféré conserver l’anonymat. Il a été reçu au salon privé par l’équipe du Casino afin de célébrer son gain historique.

L’homme avait l’habitude de visiter le casino deux à trois fois par année.

CBC/Radio-Canada

Moi, Ngagne Pouye, migrant clandestin devenu millionnaire grâce au loto

décembre 9, 2016

Ngagne Pouye a vécu l’enfer des pirogues avant de connaître une chance providentielle. © DR

Ngagne Pouye, un immigré clandestin sénégalais, a remporté en décembre 2015, le jackpot de 400 000 euros d’une loterie à Roquetas de Mar, près d’Almería, en Espagne. Un an après, Jeune Afrique l’a rencontré dans sa tranquille bourgade de Petit-Mbao, en banlieue dakaroise.

Son histoire a fait le tour de la toile, surtout au Sénégal son pays natal. En guise de cadeau de Noël avant l’heure, le 22 décembre 2015, Ngagne Pouye le musulman touche un véritable jackpot : les 400 000 euros (260 millions de FCFA) de la loterie de Roquetas de Mar, près d’Almería. Pourtant, ce jour-là, il lui restait moins de 5 euros en poche : il venait d’envoyer 100 000 F CFA au Sénégal, à une amie de son épouse.

« Je nouais les lacets de mes chaussures, m’apprêtant à aller faire mon jogging, lorsque j’entend à la télé parler de Roquetas de Mar, la ville où je résidais. Ce qui attire immédiatement mon attention. Je me lève et je fixe la télé. L’info est à la une sur l’écran : ‘El gordo cae integralemente en Roquetas de Mar.’ [‘Roquetas de Mar a remporté le gros-lot.’] Puis défile le numéro du ticket gagnant : 79 104.

J’étais avec mon épouse ; les choses s’emballent, je vérifie le numéro de mon ticket et je me rends compte que c’est moi qui suis bel et bien l’heureux gagnant. Je n’en revenais tout simplement pas ! », se souvient l’homme de 36 ans.

« Fini la galère ! »

« Une émotion intense m’a submergé, je ne m’y attendais pas du tout, raconte-t-il. Je suivais le loto tous les ans à la télé, mais je n’avais jamais imaginé qu’un Sénégalais ou un immigré pourrait, un jour, le gagner. J’ai éprouvé un bonheur intense. Parfois, je me levais en pleine nuit en me demandant si ce qui m’arrivait n’était pas un rêve ! »

Pour des raisons de sécurité, il doit d’abord déménager et loger pendant sept jours chez un compatriote.

La nouvelle se répand comme une traînée de poudre dans la communauté africaine de la ville et les coups de fil se mettent à pleuvoir… Il ne cesse de se répéter : « Se acabo la galera ! » (« Fini, la galère ! »). Mais pour des raisons de sécurité, il doit d’abord déménager et loger pendant sept jours chez un compatriote tant que le billet gagnant – non nominatif – n’est pas déposé.

Ngame, ce Sénégalais de 35 ans qui a gagné 400 000 0 la loterie de Noël, s’exprimant devant la presse le 22 décembre 2015. © Ngagne Pouye s’exprime devant la presse en décembre 2015. Crédit : Javier Alonso/AP/Sipa

« Quand cela a été fait, dix jours plus tard, j’ai ouvert un compte bancaire avant de faire un virement sur Dakar. C’est à ce moment-là que j’ai pris la résolution de rentrer au pays. Et quatre mois plus tard, nous sommes rentrés. »

Renaissance et retour au pays

Ce jackpot est une véritable renaissance pour celui qui a débarqué en pirogue sur les côtes espagnoles presque dix ans plus tôt, un jour de septembre 2007, en se faisant passer pour un réfugié sierra-léonais. Il s’agissait là de sa seconde tentative.

Lors de la première, en 2006, son embarcation partie clandestinement en pleine nuit d’une plage de Dakar avec 86 candidats à bord s’était perdue pendant 17 jours, quelque part dans l’océan, au large des côtes mauritaniennes.

Nous n’avions plus rien à manger. Nous buvions de l’eau de mer jusqu’à ce que nos mains et nos pieds deviennent complètement enflés.

« Nous n’avions plus rien à manger. Nous buvions de l’eau de mer jusqu’à ce que nos mains et nos pieds deviennent complètement enflés, raconte-t-il. Vingt-cinq de nos compagnons de voyage ont finalement péri de faim et de soif lors de cette odyssée macabre. » Les gardes-côtes mauritaniens viendront les sauver, mettant fin à leur aventure.

Lors de la seconde tentative, à l’issue de 38 jours de détention à Tenerife, il parvient à obtenir les précieux documents lui permettant de séjourner pendant neuf ans en Espagne. Il y enchaîne les petits boulots, souvent au noir.

Pendant 4 ans, il récolte 8h par jour des courgettes dans un champ d’Almería. « Les conditions de travail frisaient l’esclavage», se souvient-il. Puis pendant 4 ans encore, il enchaîne avec un travail ingrat de marchand ambulant d’articles de contrefaçon, traqué en permanence par les agents de la Guardia civil espagnole.

Investissements tous azimuts

Aujourd’hui rentré au pays, Ngagne est un homme heureux. Mais il estime qu’il n’a plus droit à l’erreur, et il est soucieux de réussir sa nouvelle vie d’entrepreneur au Sénégal. « Je dors très peu et je réfléchis beaucoup à mes différentes activités afin de pouvoir progresser », explique-t-il. « Si j’échoue, tout ce que j’ai enduré comme souffrances n’aurait plus aucun sens. »

Son unique regret ? La dizaine d’années passées en Espagne où, assure-t-il, il a perdu du temps. Referait-il le voyage si l’occasion se présentait ? « Non ! répond-il sans sourciller. Mes collègues que j’ai laissé sur place ont tous aujourd’hui bien réussi leur vie », affirme-t-il, convaincu que l’avenir des Africains se trouve sur le continent. Lui qui, paradoxalement, a trouvé sa chance ailleurs…

 

DR
Ngagne Pouye au sénégal, dans l’un de ses nouveaux véhicules. © DR

Alors, il essaie d’en faire profiter son pays natal. Il s’est lancé dans des investissements professionnels tous azimuts : importantes acquisitions foncières à Dakar et dans sa banlieue, mais aussi à Touba ; importation de plusieurs véhicules de seconde-main d’Espagne, revendus sur place ; et surtout, création d’une société spécialisée dans le terrassement et l’aménagement de sites.

Une activité qui lui permet de négocier, en guise de paiement, de nombreuses parcelles de terrains qu’il entend revendre un jour en faisant des bénéfices.

Commérages et jalousie

S’il n’est pas en opération de prospection d’opportunités d’affaires à la lisière de la capitale ou à l’intérieur du pays, on le croise parfois à quelques encablures de sa maison en construction, devisant avec les ouvriers et jouant au superviseur de chantier.

Car chez lui, Ngagne investit avec la même énergie : réfection de la demeure familiale, aujourd’hui transformée en une résidence à deux étages ; finalisation des travaux de sa propre maison ; construction de deux autres résidences ; achat de deux SUV, dont l’un est pour son épouse…

Autant de signes extérieurs de richesse qui contrastent avec les conditions de vie souvent difficiles du voisinage, et qui ne manquent pas de susciter commérages et jalousie dans sa bourgade natale de Petit-Mbao.

Comment Ngagne réagit-il à tout cela ? « Avec philosophie, répond-il simplement. Bien sûr, je savais que je n’y échapperais pas », dit-il. Mais il jure qu’il est resté le même garçon simple, respectueux, calme, concentré sur ses objectifs et fidèle à ses anciens amis.

Jeuneafrique.com par Amadou Oury Diallo