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Canada-Québec: Un signalement d’abus sexuel sur un enfant en garderie toutes les deux semaines

octobre 2, 2022
Des enfants jouent avec des blocs en mousse.

65 % des personnes visées par un signalement d’abus sexuel travaillent dans une garderie familiale. Photo : Istock

Un nouveau cas toutes les deux semaines. Au Québec, telle est la fréquence des signalements d’abus sexuels commis contre des enfants confiés aux services de garde, selon des documents obtenus par La Presse canadienne auprès du ministère de la Famille.

Depuis une dizaine d’années, on peut donc affirmer que près de 300 enfants sans défense âgés de zéro à cinq ans ont fait l’objet d’un signalement ou d’une plainte de nature sexuelle dans un service de garde du Québec, selon les données recueillies. Et y ont peut-être subi des sévices.

Derrière ces chiffres, il y a des enfants vulnérables qui ont pu passer à travers les mailles du filet de sécurité prévu pour les protéger, particulièrement en milieu familial, là où surviennent la majorité des signalements.

Le phénomène semble stable, ni en hausse ni en baisse, avec en moyenne près d’une trentaine de cas par année.

Plusieurs questions restent sans réponses : quelles ont été les suites données à tous ces signalements? Quel pourcentage d’entre eux était fondé? Combien de responsables de services de garde (RSG) ont perdu leur emploi et se sont retrouvés derrière les barreaux? Combien de garderies ont dû fermer leurs portes, en raison d’agressions sexuelles survenues en leurs murs?

Absence de statistiques officielles

Personne au gouvernement n’a jugé bon de colliger l’ensemble des informations, du dépôt du signalement à la fermeture du dossier. Tous les acteurs impliqués, et ils sont nombreux, fonctionnent en silos, entourant chaque cas signalé de la plus étanche confidentialité.

Le Ministère [de la Famille] ne détient pas d’information relative au statut des plaintes et des signalements, a indiqué la personne responsable de l’accès à l’information à ce ministère, en guise de réponses à ces interrogations.

Après avoir étudié la question en 2017, le ministère de la Santé, de qui relève la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ), a conclu en l’impossibilité d’apparier les données, a indiqué le ministère de la Santé dans un échange de courriels.

Personne au gouvernement n’a voulu commenter le sujet. Le ministre de la Famille, Mathieu Lacombe, a refusé une demande d’entrevue. Le ministre responsable de la DPJ, Lionel Carmant, a décliné lui aussi, tout comme la directrice nationale de la protection de la jeunesse, Catherine Lemay.

Du total des personnes visées par un signalement, deux sur trois (65 %) travaillaient dans une garderie familiale. Il s’agit souvent du conjoint de la responsable, ou encore d’un de ses enfants, adolescent ou jeune adulte.

Les dirigeants de ces garderies ne sont pas au-dessus de tout soupçon : durant la décennie, on a répertorié 15 RSG et 6 gestionnaires de permis associés à des signalements d’abus sexuel. Dans les autres cas, ce sont des membres du personnel (éducateur, concierge, cuisinier, etc.).

La nature des gestes reprochés n’est pas documentée. Il faut se contenter de comptes rendus de procès ou des jugements du tribunal administratif du Québec (TAQ), en cas de contestation d’une fermeture, par exemple.

On pourrait multiplier les exemples survenus ces dernières années, plus sordides les uns que les autres, comme cette fillette qui a confié à ses parents qu’un monsieur de la garderie lui avait demandé de lécher le doigt entre ses jambes ou le cas de cet éducateur surpris en train de profiter de la sieste des enfants l’après-midi pour agresser deux fillettes.

Géométrie variable

Dès qu’un signalement est effectué, une mécanique se met en branle. Tous les acteurs impliqués (Bureaux coordonnateurs de la garde en milieu familial, DPJ, police, etc.) doivent appliquer l’entente multisectorielle gouvernementale, un document qui décrit la procédure d’intervention et les obligations de chacun.

Or, le problème est que cette entente est appliquée à géométrie variable, déplore la directrice générale de l’Association québécoise des centres de la petite enfance (AQCPE), Geneviève Bélisle, l’organisme qui chapeaute et encadre les bureaux coordonnateurs.

Le partage d’informations entre les différents intervenants, qui est encouragé, mais pas obligatoire, est aussi à géométrie variable, surtout si le signalement n’est pas retenu, ajoute Mme Bélisle. Il en résulte un flou dans l’application du protocole.

Le rapport Laurent, rédigé à la suite du décès tragique de la fillette martyre de Granby en 2019, avait noté la communication déficiente entre les partenaires chargés d’appliquer l’entente, un objectif qualifié de difficile.

Mme Bélisle insiste par ailleurs en entrevue sur l’importance de mieux former les RSG pour leur rappeler périodiquement leurs obligations en cas de signalement, selon elle une lacune importante. On peut faire vraiment mieux et vraiment plus, assure-t-elle, plaidant pour une formation annuelle obligatoire.

Un encadrement plus serré pourrait aussi s’avérer utile. Les bureaux coordonnateurs ne rendent visite aux garderies familiales que trois fois par année.

Dans son langage fleuri, le ministère de la Santé se montre rassurant : Le suivi de l’application de l’entente multisectorielle prévoit des mécanismes de suivi, tant sur le plan national et sur le plan régional, afin d’escalader et traiter avec les partenaires des défis et des besoins.

Mme Bélisle estime que le filet de sécurité s’est fragilisé avec la loi 15 parrainée par le ministre Carmant. Elle cite en exemple le fait qu’auparavant une personne voulant devenir RSG devait fournir un certificat attestant de sa santé physique et mentale. Ce n’est plus le cas. L’échéance pour renouveler les permis est passée de trois à cinq ans.

Pénuries de personnel et de places en garderie

La situation dans les garderies familiales pose le problème du recrutement par l’État des responsables de ces services et des critères retenus pour s’assurer qu’ils ne présentent pas un risque pour la santé ou la sécurité des enfants.

Le recrutement est en soi un problème de taille, en cette ère de pénurie de main-d’œuvre, ce qui pourrait inciter le gouvernement à baisser les critères pour fournir des places aux parents. On estime qu’il y a actuellement 23 000 places disponibles pour des enfants en milieu familial et laissées vacantes parce qu’on ne trouve pas de responsable.

Particulièrement dans le milieu des garderies non régies, certains font pression sur le gouvernement pour qu’il assouplisse les règles.

Les personnes intéressées à ouvrir une garderie familiale doivent faire la preuve qu’il n’y a aucun empêchement les rendant inaptes à s’occuper de jeunes enfants. L’attestation d’absence d’empêchement est délivrée par un corps de police, pour la personne responsable, celles qui résident à la même adresse et ses employés.

Sauf que la personne ayant un empêchement peut contester la décision. Depuis 2018, le ministère a reçu 540 demandes de révision et la grande majorité des gens, soit 380 (70 %), ont eu gain de cause.

Un empêchement peut être un acte criminel ou pénal, mais pas nécessairement un crime majeur ou à caractère sexuel, précise le ministère dans un échange de courriels.

Il peut s’agir d’une erreur de jeunesse (ex. : vol de voiture à 18 ans), d’un manque de jugement (ex. : conduite avec les facultés affaiblies) ou encore d’un moment plus difficile dans une vie (ex. : vol à l’étalage), explique le ministère de la Famille pour justifier la décision dans plusieurs cas de passer l’éponge sur les empêchements identifiés.

Au sujet de la forme actuelle de recherche d’empêchement, nous considérons la procédure adéquate, a indiqué le ministère de la Santé.

Radio-Canada avec La Presse canadienne

Canada-Québec: Un programme de démarrage de garderie fort populaire à Trois-Rivières

février 27, 2022

Le programme visant à créer de nouvelle place de garderie en milieu familial connaît une forte popularité à Trois-Rivières, trois semaines après son lancement.

Il manque 800 places en garderie à Trois-Rivières

© Josée Ducharme/Radio-Canada Il manque 800 places en garderie à Trois-Rivières

Pour aider à combler le besoin criant de places en garderie, les députés Jean Boulet, Sonia Lebel et Simon Allaire avec la Caisse Desjardins, la Ville de Trois-Rivières, Innovation et Développement économique Trois-Rivières (IDÉTR) ont lancé le programme Propulsion services de garde en milieu familial.

Le programme offre un soutien financier qui couvre presque la totalité des coûts de démarrage d’une garderie en milieu familial à Trois-Rivières.

À ce jour, 70 demandes de garderies en milieu familial ont été soumises, dont 30 représentent une candidature solide, selon le directeur général du Centre de la petite enfance (CPE) Les Petits Collégiens, Pierre-Philippe Foucher : Actuellement, on en a de tous les profils. Dans certaines situations, il y avait des irritants ou des ralentissements.»

Il cite en exemple des enseignants qui souhaitent revenir à la maison auprès de leurs enfants, des techniciens en éducation spécialisée qui souhaitent se réorienter. Il note également que plusieurs personnes provenant de l’extérieur de la région s’y intéressent.

Créer 360 nouvelles places

Trois-Rivières compose actuellement avec un déficit de 800 places en garderie.

Le programme a pour objectif d’en créer 360. Les promoteurs estiment que d’ici l’été, la moitié de l’objectif sera atteint. Si cet objectif est atteint plus vite que prévu, il est possible que le programme soit bonifié.

Pallier la pénurie de main-d’œuvre

En tenant compte d’un taux de chômage relativement bas et de départs à la retraite à venir dans les prochaines années, le directeur général d’IDÉTR, Mario De Tilly voit une occasion d’attirer de la main-d’œuvre dans la ville.

On est dans des évaluations de quelque chose qui oscille entre 5 et 10 000 postes à combler au cours des 4, 5 prochaines années. Il va falloir qu’on soit capables d’attirer des gens.»

Une formation de 60 heures est nécessaire pour pouvoir opérer une garderie en milieu familial. Le revenu moyen est de 68 000 $ par année pour un travail qui s’effectue à la maison.

CBC/Radio-Canada avec les informations de Marc-Antoine Bélanger

Canada: La peur s’installe au Québec, malgré les messages rassurants des autorités

janvier 28, 2020

 

Les autorités sanitaires du Canada ont confirmé qu’à Toronto, un homme arrivant de Chine a été contaminé par le coronavirus. Un test préliminaire réalisé sur sa conjointe, qui était du voyage, s’est révélé positif. Sur notre photo, deux personnes d’origine asiatique marchent au centre-ville de Toronto.
© Nicolas Asfouri Agence France-Presse
Les autorités sanitaires du Canada ont confirmé qu’à Toronto, un homme arrivant de Chine a été contaminé par le coronavirus. Un test préliminaire réalisé sur sa conjointe, qui était du voyage, s’est révélé positif. Sur notre photo, deux personnes d’origine asiatique marchent au centre-ville de Toronto.
Propriétaire de quatre garderies sur la Rive-Sud, Bianca Michetti a passé la journée de lundi à répondre à des messages d’inquiétude : la peur du coronavirus s’est emparée des parents et de son personnel, qui craignent une infection pourtant improbable à cette maladie venue de Chine. L’inquiétude subsiste même si les autorités sanitaires réitèrent chaque jour leur message rassurant.

« Depuis 7 h ce matin, je reçois des appels et des courriels de gens inquiets », raconte la propriétaire des garderies Biamel, situées à Longueuil et à Brossard, où vit une importante communauté chinoise.

Son installation de Brossard, au Quartier DIX30, accueille 80 enfants, dont environ 65 sont d’origine asiatique. Pour se protéger d’une contagion — et non parce qu’ils sont contaminés —, des parents viennent reconduire leurs enfants en portant un masque depuis quelques jours.

Le masque a fait peur aux gens, raconte Bianca Michetti. Une de ses éducatrices a même annoncé qu’elle s’absenterait du travail pour les deux prochaines semaines. Et elle gardera ses enfants à la maison par crainte qu’ils attrapent le virus à l’école.

« Les gens ont peur. J’aimerais les rassurer », dit la propriétaire de garderie. Elle a mis une bouteille de savon désinfectant à l’entrée de son établissement. Tout le monde doit se laver les mains en entrant.

Bianca Michetti a pris la bonne décision pour protéger les enfants, les parents et le personnel : la meilleure chose à faire pour empêcher les infections au coronavirus, c’est de se laver les mains, a rappelé lundi l’Agence de la santé publique du Canada. Deux cas d’infection à ce virus ont été confirmés au Canada, et 25 autres font l’objet d’une enquête, dont trois au Québec.

« Il ne serait pas étonnant qu’il y ait d’autres cas au Canada dans les prochains jours, mais le risque est bas pour la population canadienne », a indiqué lundi la Dre Theresa Tam, administratrice en chef de la santé publique, lors d’une conférence téléphonique.

« Pour empêcher la propagation du virus, on recommande de se laver les mains avec de l’eau et du savon et d’éternuer dans votre manche », a précisé le Dr Howard Njoo, sous-administrateur en chef de la santé publique.

Il n’existe aucun vaccin contre le coronavirus. Les symptômes ressemblent à ceux d’une grippe, selon l’Agence de la santé publique du Canada : écoulement nasal, maux de tête, toux, maux de gorge, fièvre et sentiment de mauvais état général.

Contact prolongé
Ce virus se transmet par un contact sur une période prolongée, a rappelé le Dr Njoo. Les autorités canadiennes cherchent ainsi à localiser les passagers qui se trouvaient dans un rayon de deux mètres des deux personnes contaminées à bord du vol 311 de la société China Southern entre Guangzhou et Toronto, le 22 janvier. L’homme et la femme ayant voyagé ensemble à Wuhan, un couple dans la cinquantaine, sont les deux premiers cas confirmés d’infection au coronavirus au Canada.

L’homme a déclaré aux services frontaliers canadiens, à l’aéroport Pearson de Toronto, qu’il était allé à Wuhan, d’où provient le virus. Il toussait et avait les symptômes d’un rhume. Des tests ont révélé qu’il était porteur du virus. Sa femme, qui voyageait avec lui, a aussi contracté le virus, d’après un test préliminaire.

L’homme est hospitalisé à l’hôpital Sunnybrook de Toronto. La femme, qui n’a aucun symptôme, est en isolement chez elle, a précisé lundi le Dr David Williams, médecin hygiéniste en chef de l’Ontario.

Ruée vers les masques
Les Canadiens n’ont rien à craindre, ont répété lundi les responsables de la santé publique. La panique qui s’est emparée de la garderie de Mme Michetti à Brossard, à la suite de la présence de gens portant des masques, a sans doute été causée par un malentendu culturel, estime Étienne Girouard, spécialiste de la Chine qui termine son doctorat à l’Université du Québec à Montréal.

« C’est un problème de perception. Au Québec, tu mets un masque quand tu es malade, pour empêcher les autres d’être contaminés. Mais les Chinois portent un masque quand ils ne sont pas malades. Ils croient que ça va les empêcher d’attraper le virus. »

Le port d’un masque ne figure dans aucune recommandation de la santé publique pour se protéger d’un virus. Il s’agit toutefois d’une tradition solidement implantée dans des pays comme la Chine, le Japon et la Corée du Sud, rappelle Étienne Girouard.

Les Québécois d’origine asiatique se sont rués sur les masques et sur le savon désinfectant pour les mains depuis l’éclosion du coronavirus. Plusieurs envoient ces produits à des proches à Wuhan ou ailleurs en Chine, explique M. Girouard. D’autres ont acheté un masque pour eux-mêmes. Le spécialiste de la Chine a parlé lundi à un chauffeur de taxi effrayé après avoir embarqué des passagers qui portaient un masque. Il était convaincu, à tort, d’avoir côtoyé des gens malades.

La Commission scolaire Marie-Victorin, qui couvre le territoire de Longueuil et de Brossard, indique n’avoir reçu aucune plainte reliée au coronavirus. La Commission scolaire de Montréal, de son côté, dit faire une « vigie sur l’ensemble de ses établissements » et surveiller les mises à jour de la santé publique.

La communauté chinoise, elle, a participé en grand nombre aux festivités du Nouvel An lunaire, au cours du week-end dernier. Les bons restaurants étaient bondés, mais les établissements moins cotés avaient moins de clients qu’en temps normal, a raconté une habituée.

Avec Le Devoir.com par Marco Fortier

États-Unis: deux adultes et 3 bébés poignardés dans une crèche à New York

septembre 21, 2018

Washington – Deux adultes et trois nourrissons ont été blessés à l’arme blanche tôt vendredi dans une garderie d’enfants clandestine à New York, a rapporté la police.

Une femme de 52 ans travaillant dans cette crèche a été arrêtée après l’attaque.

Elle a été retrouvée dans le sous-sol du bâtiment après s’être entaillé les poignets, a précisé à l’AFP un porte-parole de la police new-yorkaise.

La garderie d’enfants à la clientèle d’origine asiatique fonctionnait de façon illégale dans le quartier du Queens, n’étant pas enregistrée auprès des services sociaux, a-t-il précisé sous le couvert d’anonymat.

L’employée est suspectée d’avoir attaqué vers 03H30 du matin trois bébés, deux filles et un garçon. Une des fillettes est gravement touchée, les deux autres bébés le sont plus légèrement.

Les deux adultes blessés sont une salariée de la crèche et le père de l’un des enfants qui était présent à cette heure nocturne.

(©AFP / 21 septembre 2018 12h10)                                                        

Photo- Beyoncé partage ses vacances aux Bahamas

janvier 12, 2013

Dans l’eau avec Blue Ivy

Photo- Beyoncé partage ses vacances aux Bahamas

 
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Beyoncé et Jay-Z sont aux Bahamas pour affaires et plaisir. Beyoncé, qui devait se rendre à une séance photo sexy sur les plages paradisiaques a emporté dans son sac de voyage mari et enfant pour des petites vacances au soleil. La reine des charts a partagé des photos de l’escapade sur les réseaux sociaux.

Les vacances des stars continuent pendant le mois de janvier. Et pour Beyoncé et sa petite famille, elles ont l’air sans fin. Accompagnée de son mari, le rappeur Jay-Z et leur petite fille, Blue Ivy, Queen B a colonisé les plages des Bahamas le temps d’un séjour. Sur la photo qu’elle a envoyé sur Tumblr, Bee porte un bikini-short azur qui s’accorde parfaitement au décors. La chanteuse affiche fièrement un postérieur sexy qui fait monter la température des Caraïbes. Et la belle n’était pas aux Bahamas uniquement pour le plaisir : Beyoncé avait également booké une séance photo très sexy sur l’île, mercredi dernier. Pour ses vacances improvisées, la tigresse a laissé son chignon arty discipliné à New York et l’a troqué pour une crinière de rêve. Sur les plages des Bahamas, elle a fait trempette en compagnie de sa fille de 1 ans, Blue Ivy qui a fait quelques pas aidée par sa maman. 

Depuis un an, Beyoncé et Jay-Z ne manquent pas de partager toutes les prouesses de leur premier enfant. La nouvelle page de leur album photo numérique était dédiée à la rencontre au sommet de Blue Ivy avec le grand bleu. Depuis la naissance de leur petite, les Carter ont d’ailleurs complètement levé le voile sur leur intimité. Avant, leur couple glamour était un secret médiatiquement très contrôlé, aujourd’hui les jeunes parents ne cessent de partager des clichés privés avec leurs fans. La mini Beyoncé est un bébé adorable mais aussi très gâté. Dernière folie en date, ses parents lui ont offert une garderie de luxe dans les sous-sols d’un stade de basketball. 

Une carrière et un enfant n’empêchent pas la bête de scène d’être toujours en pleine forme. Cette année, rien que pour le mois de février, Beyoncé sera à l’affiche de son propre documentaire diffusé sur la chaîne américaine HBO et elle officiera à la mi-temps du prochain Super Bowl. Autre nouvelle qui a rendu les fans hystériques, elle va repartir en studio avec ses copines Kelly et Michelle des Destiny’s Child, 8 ans après la séparation du groupe. Elle pouvait bien s’accorder quelques brasses aux Bahamas entre deux photos!

Gala.fr par Fanny Abouaf