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Congo-Brazzaville : un fidèle gendarme bastonne son pasteur qui a fait son entrée à l’église en Tipoye

janvier 3, 2023
 Brazzaville : un fidèle gendarme bastonne son pasteur qui a fait son entrée à l’église en Tipoye

Un pasteur d’une église de réveil située au quartier Djiri de Brazzaville a été bastonne par son fidèle gendarme. Ce dernier n’a pas du tout aimé que son pasteur fasse son entrée porté sur un Tipoyé par des pères de famille. Il s’est rapproché pour lui récriminer son spectacle honteux avant de le tabasser à tabac devant toute l’assemblée.

Depuis l’arrivée massive des églises de réveil au Congo, on assiste à toute sorte de dérapage n’ayant aucun lien avec Dieu. Des pasteurs qui sont devenus des escrocs, des coureurs de jupons, des diviseurs des familles et adorent se faire idolâtrer par leurs fidèles. Ils ont pris la place de Dieu.

Dans le passé, un pasteur a insulté ses fidèles pour n’avoir recueilli que la somme de 15.000 frs de quête au culte de dimanche. Un autre a été surpris entrain de manger et boire dans un restaurant alors que l’église observait un jeûne de deux semaines. Et que dire des pasteurs surpris avec des femmes mariées ou ayant enceinté des sœurs de l’église.

L’un d’eux, à l’occasion du culte spécial de fin d’année a voulu marquer les esprits de ses fidèles en se présentant sur un Tipoye. Une extravagance que l’un de ses fidèles qui est gendarme de profession n’a pas du tout apprécié. Pour lui, c’était une moquerie de trop du pasteur qui prenait déjà les aires d’un demi dieu.

Il s’est levé pour stopper le cortège du pasteur, mais la sécurité de ce dernier a voulu s’y opposer avec violence. Menaçant avec son arme, le gendarme a obligé le pasteur de descendre du Tipoye avant de le passer à tabac devant tout le monde. Certains fidèles se sont joints à lui pour corriger le pasteur. Le gendarme s’en est allé en promettant de ne plus jamais mettre ses pieds dans une église de réveil.

Avec Le Congolais.fr

France: Un gendarme tire accidentellement pendant un discours de Hollande

février 28, 2017

Villognon (France) – Un gendarme a tiré mardi accidentellement avec son arme, blessant légèrement deux personnes, au cours de l’inauguration par le président français François Hollande d’infrastructures ferroviaires dans l’ouest du pays, selon des sources concordantes.

L’incident s’est déroulé dans une salle attenante à celle où se trouvait M. Hollande. Selon des témoins, il a poursuivi son intervention après une très brève interruption, au moment du coup de feu.

Vers 17H00 (16H00 GMT), pendant le discours du chef de l’État près d’Angoulême, le gendarme, membre d’un peloton spécialisé de protection venu en renfort pour assurer la sécurité de l’événement, a fait « une erreur de manipulation en changeant de position », a expliqué à l’AFP une source proche du dossier. Un coup de feu est alors parti accidentellement.

« La balle a frôlé le mollet d’une personne et fini sa course dans la jambe d’une autre », a-t-on précisé de même source.

Les deux personnes blessées qui se trouvaient dans la zone du cocktail ont été soignées sur place, dans une zone à l’écart de l’endroit où le président français prononçait son discours, avant d’être évacuées par les pompiers, qui ont confirmé des blessures « légères ».

Un représentant local de l’État a précisé à la presse que « les jours des deux blessés n’étaient pas en danger » et que « le procureur de la République d’Angoulême avait été saisi et une enquête ouverte ». Une enquête administrative a également été ouverte.

Le gendarme « était sur un point haut et le coup est parti accidentellement », a-t-il aussi expliqué peu après.

Juste après ce discours pour l’inauguration des infrastructures dans cette région de la Ligne à Grande Vitesse (LGV) Tours (centre-ouest) – Bordeaux (sud-ouest), François Hollande s’est rendu dans la salle attenante et « a discuté un peu avec les deux personnes » blessées « avant de repartir comme prévu », a ajouté le représentant de l’État.

Romandie.com avec(©AFP / 28 février 2017 21h03)             

Côte d’Ivoire: 7 soldats des forces régulières tués en moins de deux semaines (officiel)

septembre 23, 2013

Sept soldats des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (Frci) ont été tués dans des attaques armées en moins de deux semaines dans le pays, a annoncé lundi le ministre auprès du président de la République chargé de la défense, Paul Koff Koffi.

« A Yamoussoukro nous avons enregistré quatre morts dans nos rangs dont un policier lors des attaques du 10, 12 et 15 septembre contre des patrouilles de nos forces », a déclaré le ministre de la défense, Paul Koffi Koffi à l’issue d’une réunion de sensibilisation avec les populations de Yamoussoukro.

Il a également indiqué qu’un gendarme et un militaire ont été tués dans l’attaque perpétrée le mercredi 18 septembre dernier sur l’axe Kong-Ferkéssédougou dans l’extrême Nord du pays.

 » Dans la Sous Préfecture de Rubino dans le Département d’Agboville un soldat des Frci qui partait à son poste a été tué le samedi 20 septembre dernier », a-t-il ajouté en s’insurgeant contre ces  »attaques injustifiées contre les Frci ».

« L’Etat de droit n’est pas négociable », a lancé M. Koffi en invitant de Toumodi à Yamoussoukro les dozos (chasseurs traditionnels) à une  »coopération » avec les forces de l’ordre. « Vous devrez jouer un rôle de renseignement pour nous », a poursuivi le ministre de la défense en s’adressant aux membres de cette confrérie dozo, souvent accusés de s’en prendre aux forces régulières.

« Nous avons décidé de renforcer les moyens de mobilité et le dispositif », a-t-il rassuré, faisant observer qu’une stratégie est mise en place pour « endiguer » le phénomène des coupeurs de route.

Selon le ministre de la défense, l’Autorité de désarmement, de la démobilisation et de la réintégration (Addr) des ex-combattants a déjà réintégré 10 000 ex-combattants et collecté quelque 5000 armes. « Venez déposer vos armes (…) On ne vous fera rien », a-t-il encore lancé aux ex-combattants et miliciens.

Au total, l’émissaire du gouvernement a exhorté les différentes couches sociales notamment les ex-combattants avec un ton de fermeté à s’inscrire dans la logique de la paix.

Ces tueries sur les routes ivoiriennes interviennent alors que la situation sécuritaire s’était améliorée avec notamment la mise place par le Conseil national de sécurité (Cns) du Centre de coordination et des décisions opérationnelles (Ccdo).

APA – Yamoussoukro (Côte d’Ivoire)

Litige frontalier: des militaires guinéens occupent un village ivoirien

février 18, 2013
 
Coopération
© Présidence par Aristide
Coopération sous-régionale: le Président Ouattara a pris part au 21ème Sommet de la Mano River Union
Vendredi 15 juin 2012. Conakry (Guinée). A l`invitation de son homologue guinée, SEM Alpha Condé, le chef de l`Etat, SEM Alassane Ouattara participe aux côtés de ses pairs de la sous-région, au 21ème Sommet de la Mano River Union

ABIDJAN – Des militaires guinéens occupent depuis plusieurs jours un village ivoirien à la frontière entre les deux pays, à la suite d’un litige territorial remontant à leur indépendance il y a plus de 50 ans, a-t-on appris de sources sécuritaires ivoiriennes.

Le village de Kpéaba, proche de la ville ivoirienne de Sipilou (à une quinzaine de km de la frontière) est occupé par « une cinquantaine de soldats guinéens armés de kalachnikov », a déclaré à l’AFP un militaire des Forces républicaines (FRCI, armée ivoirienne) affecté dans la zone et joint par téléphone depuis Abidjan.

« Ils ont retiré le drapeau ivoirien pour hisser celui de la Guinée », a-t-il raconté.
« La situation est tendue, un contingent des FRCI est stationné à sept kilomètres » de Kpéaba, a-t-il ajouté.
« L’incursion et l’occupation datent de début février », a affirmé un élément de la gendarmerie ivoirienne depuis Sipilou. Selon lui, les militaires guinéens « ont destitué samedi dernier le chef du village pour installer un chef venu de la Guinée ».

Le litige concernant ce village frontalier « remonte à l’indépendance des deux pays », a-t-il expliqué.

Ex-colonies françaises, la Guinée a acquis son indépendance en 1958 et la Côte d’Ivoire en 1960.
« Il faut une commission mixte ivoiro-guinéenne pour régler ce litige » et « délimiter définitivement cette partie de la frontière », a conclu le gendarme.

L’Ouest ivoirien, frontalier de la Guinée et du Liberia, est la région la plus instable du pays. Meurtrie durant la crise postélectorale de 2010-2011 ayant fait quelque 3.000 morts, elle a connu depuis lors une série d’attaques, parfois sanglantes, de groupes armés.

AFP

Seize hommes liés à Aqmi arrêtés dans l’ouest de la Tunisie

décembre 21, 2012

Le ministre tunisien de l’Intérieur a annoncé vendredi l’interpellation de seize hommes faisant partie d’un groupe lié à Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), dans deux villes de l’ouest de la Tunisie proches des frontières de l’Algérie voisine.

« Nous avons découvert un groupe terroriste lié à Al-Qaïda au Maghreb islamique dans un camp d’entrainement dirigé par trois Algériens proches du chef d’Aqmi Abou Moussab Abdel Wadoud », dans la région de Kasserine (300 km au sud-ouest de Tunis), a déclaré le ministre Ali Laarayedh, au cours d’une conférence de presse.

Huit personnes ont été interpellées dans cette région par les forces de sécurité qui traquaient depuis le 10 décembre un groupe armé responsable de la mort d’un gendarme tunisien.

Des munitions, des explosifs, des jumelles, des cartes militaires et de tenues de combat ont été saisis, a ajouté le ministre

Le groupe de Kasserine dit « Phalange Okba Ibnou Nafaâ » s’active dans l’embrigadement et l’enrôlement de jeunes islamistes extrémistes pour les entraîner militairement dans des camps d’Aqmi en Algérie et en Libye, a indiqué M. Laarayedh.

Des complices ayant assuré le ravitaillement du camp implanté sur le Mont Chaambi, près de Kasserine, sont au nombre des personnes interpellées.

La création d’un camp d’entrainement militaire a été planifié par le groupe qui a pour objectif de mettre sur pied « une organisation jihadiste capable de mener des actions violentes afin d’imposer la Charia » (loi islamique) en Tunisie, selon M. Laarayedh.

Huit autres extrémistes, parmi lesquels trois Libyens, ont été appréhendés dans la région de Jendouba, dans le nord-ouest, a encore indiqué le ministre ajoutant que les forces de l’ordre recherchaient encore des éléments retranchés sur les hauteurs nord de Ain Drahem, à la frontière de l’Algérie.

Dix-huit personnes au total étaient encore traquées vendredi, a-t-il précisé, ajoutant que les groupes de Kasserine et de Jendouba sont liés entre eux. Ces deux villes sont distantes de 400 km.

A Jendouba, les suspects interpellés sont accusés d’avoir cherché à faire passer la frontière tunisienne aux membres d’un groupe venant de Libye et se rendant en Algérie, a dit M. Laarayedh.

La plupart des armes et munitions saisies proviennent de la Libye, a dit le ministre, faisant état aussi de financements en provenance de l’Algérie et de la Libye.

Parmi les personnes appréhendées, sept ont été déférés devant la justice.

M. Laarayedh n’était pas en mesure de confirmer l’existence de lien formel entre le réseau démantelé et le groupuscule jihadiste tunisien « Ansar Chariaa ».

Selon lui, « certains parmi les jeunes interpellés ont participé à des manifestations » d’Ansar Chariaa, groupuscule dont le chef Abou Iyadh est l’organisateur présumé de l’attaque contre l’ambassade des Etats-Unis à Tunis qui avait fait quatre morts le 14 septembre.

Jeuneafrique.com

Côte d’Ivoire : les forces de sécurité visées par deux attaques

décembre 21, 2012

Une caserne de la gendarmerie, située dans le quartier de Yopougon à Abidjan, a été attaquée par des hommes en armes non identifiés dans la nuit du jeudi 20 au vendredi 21 décembre. Dans le même temps, un poste des FRCI installé à Agbaou, un village à une centaine de km au nord de la capitale économique, a également été visé.

La gendarmerie de « Toits-Rouges », un secteur du quartier de Yopougon (ouest) à Adibjan, a été attaquée dans la nuit du jeudi 20 au vendredi du 21 décembre par des « individus non identifiés », a appris l’AFP auprès de l’état-major de l’armée.

Lors de cette opération, un homme qui était retenu en garde à vue par les gendarmes a été tué par une balle perdue. « La brigade a été entièrement saccagée et sept vehicules ont été incendiés », a précisé Sylvie Van Den Wildenberg, porte-parole de l’Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire (Onuci).

L’attaque a eu lieu « vers 3H00 du matin (locales et GMT) », non loin de la base de la Brigade anti-émeute (BAE) d’Abidjan. « Les tirs ont été intenses mais (les assaillants) ont été repoussés », a précisé une source sécuritaire. Selon une autre source militaire, un gendarme a été blessé lors de l’attaque.

Tirs à l’arme lourde

« Ca a tiré très fort pendant deux heures », a indiqué une habitante du secteur. D’autres témoins ont évoqué aussi des tirs très intenses. Un autre témoin dit avoir entendu « des tirs, notamment à l’arme lourde, entre 3 et 5 heures du matin ». Selon une source sécuritaire occidentale, les assaillants étaient armés de kalachnikov et de lance-roquettes.

Une autre attaque a visé dans la nuit un poste des FRCI installé à Agbaou, un village à une centaine de km au nord de la capitale économique.« Le bilan provisoire fait état de deux éléments FRCI blessés », a déclaré la porte-parole de l’Onuci.

Dimanche 16 décembre, deux éléments des Forces républicaines (FRCI, armée) avaient été tués à Agboville, au nord d’Abidjan.

Jeuneafrique.com avec AFP

Guinée: deux morts, dont un gendarme, dans l’attaque d’une station-service

juin 22, 2012
Guinée: deux morts, dont un gendarme, dans l'attaque d'une station-service Guinée: deux morts, dont un gendarme, dans l’attaque d’une station-service © AFP

Deux hommes, dont un gendarme, ont été tués dans la nuit de jeudi à vendredi par des hommes armés lors d’une tentative de cambriolage d’une station-service dans la ville de Kankan (Est de la Guinée), a appris l’AFP de source policière à Conakry.

« Des hommes armés non identifiés ont attaqué la nuit dernière une station-service à Kankan surveillée par deux gardiens, dont un gendarme », a indiqué cette source policère.

« Surpris par la présence des gardiens, les attaquants ont tiré à bout portant sur l’un d’eux, touché à la poitrine, puis à la tête », a précisé cette source.

Elle a ajouté que le gendarme, qui avait sorti son arme pour se défendre, avait ensuite été tué lors d’un « échange de tirs nourris » avec les malfaiteurs.

Des témoins, interrogés au téléphone par l’AFP à Kankan depuis Conakry, ont confirmé cette information en précisant que « les bandits » étaient au moins cinq et qu’après la fusillade, ils ont pris la fuite à bord de deux véhicules volés.

Selon l’un des témoins, « aucune chance » n’a été laissée aux victimes « qui ont été achevées » par les malfaiteurs avant leur fuite.

« Le phénomène du banditisme est devenu récurent dans cette région de la Haute Guinée » frontalière de la Côte d’Ivoire et du Mali, a affirmé ce témoin.

Dans la nuit de mardi à mercredi, trois lycéens ont été tués dans la même région par des coupeurs de routes circulant à moto, selon la police.

Jeuneafrique.com avec AFP