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Congo-Brazzaville : le gynécologue Nguie serait le père biologique de 7 enfants de ses patientes mariées

mai 5, 2023

Brice Nguié ne supportait plus garder longtemps ce secret qui pesait déjà dans son cœur. Voir ses propres enfants élevés par d’autres hommes tourmentait sa vie au point de décider d’en finir avec cette farce qui va sans doute coûter le mariage à ses sept maîtresses. Il a avoué être le père biologique de 7 enfants de ses patientes créant ainsi un scandale.

Beaucoup sont des pères au Congo qui élèvent les enfants qui ne sont pas les siens bien que leurs femmes connaissent la vérité. On attribue au plus offrant la lourde charge de son infidélité.

Brice Nguié, qui est gynécologue de son état n’a pas résisté longtemps faire partie de ces pères biologiques irresponsables dont les enfants ont été collés à d’autres hommes par leurs maîtresses pourtant mariées. C’est le risque que courent toutes ces femmes mariées qui choisissent de tromper de leurs époux.

Preuves à l’appuie, il s’est présenté devant les pères officiels de ses sept enfants pour en revendiquer la paternité. Un coup dur pour ces 7 cocu qui ont appris l’infidélité de leurs épouses et leur malhonnêteté. Le gynécologue a été accompagné par un pasteur évangélique et évidemment trois éléments de la police en prévision de la réaction des « papas mobokoli )

Il a pu récupérer ses 7 enfants en brisant la confiance dans les foyers de leurs mères respectives.

Avec Sacer-Infos par Stany Frank

Congo-B/Ville: un général des FAC menace d’arrestation un gynécologue qui a trop doigté son épouse

mars 28, 2023
 B/Ville: un général des FAC menace d’arrestation un gynécologue qui a trop doigté son épouse

Il est reproché à ce gynécologue d’avoir lors de la consultation doigté sa patiente qui aurait senti du plaisir. En le commentant à son époux qui est général dans les forces armées congolaises, ce dernier a appelé le gynécologue pour le proférer des menaces sous les accusations d’avoir outrepassé la déontologie par la séduction de son épouse.

Le métier de gynécologue n’est pas facile au Congo où certains tabous sexuels persistent encore. Les hommes pensent encore que leurs femmes sont leurs biens privés qu’ils doivent manipuler à leur guise.

L’épouse d’une général des FAC qui est sorti d’une consultation chez son gynéco en a commenté à son époux qui n’a pas apprécié l’attitude du médecin jugée peu professionnel. Mais son épouse croit que c’est juste l’effet de la jalousie d’un époux trop possessif qui ne supporte pas que son bien privé soit tripoté par un autre homme.

Selon l’épouse, lors de la consultation, quand le gynéco la doigtait, elle s’est excité et a poussé des cris de plaisir, mais aussitôt le médecin a stoppé en lui rappelant à l’ordre. Pour son époux, c’est un excès de zèle du gynéco qui a toujours eu des sentiments pour son épouse.

Le général visiblement très remonté s’est pointé au cabinet du gynécologue pour le mettre en garde et le menacer d’une arrestation pour son acte pourtant qui relève de son métier. « J’ai laissé mon épouse être votre patiente pour la confiance que j’ai en vous, mais cela ne vous donne pas le droit de l’exciter ! » a crié le général qui a pris la décision de chercher à son épouse une gynécologue.

Avec Le Congolais.fr

France: Suspecté de violences sur 32 femmes, le gynécologue Émile Daraï mis en examen

novembre 24, 2022

Le gynécologue est visé par une information judiciaire depuis janvier 2022 après plusieurs plaintes pour « viols » et « violences ».

Le gynecologue exercait a l'hopital Tenon, a Paris.
Le gynécologue exerçait à l’hôpital Tenon, à Paris.© THOMAS COEX / AFP

Émile Daraï, gynécologue parisien renommé, a été mis en examen mercredi pour violences volontaires par personne chargée d’une mission de service public à l’égard de 32 plaignantes, a indiqué jeudi une source judiciaire, confirmant une information de France Info. Ce spécialiste de l’endométriose a été placé sous contrôle judiciaire avec interdiction de contact avec les victimes et interdiction de tenir des consultations privées de gynécologie, selon cette source.Une avancée pour les plaignantes

« Mes clientes voient une avancée dans l’enquête, elles attendaient ça depuis un an pour certaines. Sur la qualification, certaines sont déçues, mais de toute façon, on n’en est qu’au stade de l’information judiciaire », a réagi, My-Kim Yang-Paya, avocate d’une quinzaine de plaignantes ayant dénoncé des violences aggravées ou des viols. « Mes clientes ont déposé plainte pour qu’il n’y ait pas d’autres victimes, en pensant à leur fille ou petite-fille », a-t-elle précisé, voyant également dans l’interdiction de tenir des consultations privées « une avancée ». Cette « qualification a minima peut évoluer au cours de l’instruction. Le contrôle judiciaire est quand a lui nécessaire et était attendu par les nombreuses victimes », a réagi mmaître Mourad Battikh, qui défend une plaignante majeure.

Mis en retrait de ses responsabilités de chef de service

À la suite d’une première plainte, le parquet de Paris avait ouvert le 28 septembre 2021 une enquête préliminaire pour viol par personne ayant autorité sur mineur de plus de 15 ans, élargie par la suite à viol en réunion. En décembre, un rapport de l’enquête interne, déclenchée par l’AP-HP et Sorbonne Université, avait conclu que « l’obligation d’information de ces patientes, le soulagement de leur douleur, le respect de leurs volontés n'(avaient) pas été respectés ». Ce document ajoutait toutefois que « la commission (d’enquête) ne retient aucune connotation sexuelle alors que certains manquements ont été relevés dans le recueil du consentement à certains gestes ». La commission a estimé en outre que la situation était « le fruit de dysfonctionnements individuels, mais aussi collectifs et systémiques ».

Le 3 janvier, une information judiciaire a été finalement ouverte pour violences par personne chargée d’une mission de service public. Émile Daraï est depuis définitivement mis en retrait de ses responsabilités de chef de service et de sa mission pédagogique. Il continuait toutefois de consulter. Son avocat n’est pas en mesure de réagir dans l’immédiat. Au mois de mai, face à la polémique, le Pr Daraï avait renoncé à intervenir lors d’un congrès de gynécologues, où le collectif féministe Stop aux violences obstétricales et gynécologiques (StopVOG) – à l’origine de la révélation en septembre 2021 des plaintes pour viols visant le praticien – appelait à manifester contre sa présence.

« Depuis un an, nous demandons aux instances de santé la suspension du Pr Daraï afin de garantir la sécurité des patientes. À présent, il est suspendu pour ses consultations privées de gynécologie, mais ce n’est pas suffisant, car il peut toujours intervenir dans le public », a estimé la fondatrice et porte-parole du collectif StopVOG, Sonia Bisch.

Par Le Point avec AFP

États-Unis: Une gynécologue visée par la justice pour avoir aidé une fillette à avorter après un viol

juillet 14, 2022
La législature d'État, à Indianapolis.

Le gouverneur républicain de l’Indiana, Eric Holcomb, a convoqué rapidement la législature pour prononcer l’interdiction de l’avortement après six semaines de grossesse. Photo : AP/Michael Conroy

Les autorités de l’Indiana ont annoncé enquêter sur une gynécologue qui a aidé une fillette de dix ans à avorter après un viol, un dossier qui cristallise les débats sur la volte-face de la Cour suprême des États-Unis.

La docteure Caitlin Bernard a rapporté, début juillet, à plusieurs médias avoir reçu la petite fille à Indianapolis après avoir été contactée par un confrère d’Ohio.

Dans cet État du Nord, voisin de l’Indiana, la décision de la Cour suprême, le 24 juin, de ne plus garantir le droit à interrompre une grossesse, a immédiatement permis l’entrée en vigueur d’une loi interdisant d’avorter après six semaines de grossesse.

Or la fillette, violée en mai par un homme qui a été arrêté mardi, avait dépassé ce terme. Elle s’est donc rendue dans l’Indiana, où les IVG restent légales jusqu’à 21 semaines de grossesse.

Mais les responsables de l’État, à majorité républicaine, sont hostiles au droit à l’avortement et envisagent d’interdire à leur tour la procédure.

Une foule de manifestants pro-avortement avec des pancartes.

Des militants pour le droit à l’avortement se sont rassemblés devant la législature d’État, à Indianapolis, au lendemain de l’annulation du jugement Roe c. Wade. Photo: AP/AJ Mast

En attendant, le procureur général de l’État s’en est pris mercredi soir à la Dre Bernard, l’accusant de ne pas avoir signalé aux autorités le dossier de la fillette, comme la loi locale l’y oblige en matière de pédophilie.

Nous avons cette militante pro-avortement, qui se prétend docteure, et qui est connue pour ne pas effectuer les signalements requis, a déclaré Todd Rokita sur la chaîne Fox News.

Donc, nous rassemblons les informations, les preuves, et nous allons nous battre jusqu’au bout, a-t-il poursuivi en menaçant de révoquer sa licence professionnelle si elle ne nous a pas informés.

Cette affaire tragique avait été citée vendredi par le président démocrate Joe Biden pour décrier l’arrêt de la Cour suprême.

« Dix ans! Violée, enceinte de six semaines, déjà traumatisée et désormais obligée de se rendre dans un autre État! »— Une citation de  Joe Biden, président des États-Unis

Mais jusqu’à l’arrestation du suspect, la presse conservatrice et plusieurs responsables de l’Ohio avaient émis des doutes sur la véracité du drame.

Désormais, les opposants à l’avortement reprochent aux défenseurs de ce droit d’utiliser la fillette pour promouvoir leur cause et imputent ses malheurs à la politique migratoire de Joe Biden, son agresseur étant un immigré guatémaltèque en situation irrégulière.

Cette situation horrible a été causée par des marxistes, des socialistes et ceux à la Maison-Blanche qui plaident pour une frontière sans loi, a ainsi lancé mercredi le procureur général de l’Indiana.

Par Radio-Canada avec Agence France-Presse