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Congo: Entre mensonge, escroquerie et honte des hommes politiques sur la rencontre Donald-Sassou

décembre 28, 2016

 

Le président élu américain Donald Trump n’a pas prévu de rencontrer le président de la République du Congo, Denis Sassou-Nguesso, a déclaré aujourd’hui sa porte-parole depuis les États-Unis.

Le porte-parole de la présidence congolaise, Thierry Moungalla, avait déclaré en tout début de journée que Sassou-Nguesso, qui est membre du Comité de haut niveau de l’Union africaine sur la Libye, devait être reçu par Donald Trump aujourd’hui pour évoquer la situation libyenne et d’autres dossiers africains.

Cette arnaque discrédite et déshonore le pouvoir de Brazzaville qui a pris du zèle de la prétendue rencontre entre Sassou Nguesso et Donald Trump, au point de fermer les téléphones aux médias internationaux qui tentent de les joindre pour des explications, à propos de ce faux rendez-vous d’hommes d’État, qui a défrayé la chronique – relayé partout par des organismes sérieux et professionnels comme Jeuneafrique, Reuters, Rfi, Oeildafrique même leur Portail242.com de Congo-site.com, etc.

Dans les pays sérieux, le ministre Thierry Moungalla doit démissionner et s’expliquer devant le Parlement congolais. Car cette industrie du mensonge née au Congo est très grave, dangereuse et honteuse.

Quelle sera la finalité de la gestion du dossier libyen avec ce dérapage criard et mensonger ? Les journalistes de la presse étrangère vous attendent au tournant pour les avoir roulés dans la farine.

Photo de BrazzaNews.
Zenga-mambu.com et Brazzanews.fr avec Rfi.fr

Combien d’armées africaines sur la « liste de la honte » de l’ONU ?

juin 18, 2015
Des combattants shebab figurent égalent sur la "liste de la honte" des Nations unies. © Mohamed Abdiwahab/AFP

Des combattants shebab figurent égalent sur la « liste de la honte » des Nations unies. © Mohamed Abdiwahab/AFP

Un rapport d’experts remis mardi à Ban Ki-moon préconise d’écarter des missions de maintien de la paix les pays dont les armées sont accusées de crimes contre les enfants. Mais les forces régulières ne sont pas les seules reprises sur la « liste de la honte » de l’ONU. Cartographie.

Et si l’on écartait des opérations de maintien de la paix les armées reprises sur la « liste de la honte » des Nations unies ? L’idée vient du Prix Nobel de la paix José Ramos-Horta qui a remis, le 16 juin, un rapport d’experts à Ban Ki-moon, secrétaire général de l’ONU. Objectif recherché : ne plus avoir des Casques bleus issus des États accusés de violer les droits des enfants dans les conflits armés.

Début juin, les Nations unies ont en effet dévoilé la liste mise à jour des 51 armées, groupes armés et milices qui « recrutent ou utilisent des enfants , [les] tuent ou [les] mutilent, commettent des viols et d’autres formes de violence sexuelle contre les enfants ou [qui] se livrent à des attaques contre les écoles et/ou hôpitaux dans les situations de conflits armés ».

Trois armées de la honte en Afrique, selon l’ONU

Six États africains – Centrafrique, RDC, Mali, Nigeria, Sud-Soudan, Soudan, Somalie – sont épinglés, à des degrés divers de responsabilité : seules les armées régulières congolaise, somalienne et sud-soudanaise sont citées parmi celles qui enrôlent de force des enfants dans des conflits armés ou qui commettent des exactions contre ces derniers.

Mais plusieurs groupes armés et milices actifs dans ces six pays africains figurent également sur la « liste de la honte » des Nations unies. On y retrouve entre autres les ex-Séléka et les anti-balaka en Centrafrique, les Forces démocratiques alliés (ADF), les Forces démocratiques pour la libération du Rwanda (FDLR) et plusieurs autres milices maï-maï actifs dans l’est de la RDC, le Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA), le Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (Mujao) et Ansar Dine dans le nord du Mali, Boko Haram au Nigeria et l’Armée de résistance de seigneur (LRA) de Joseph Kony, présente dans trois pays africains (Centrafrique, Sud-Soudan et RDC).

Jeuneafrique.com par Trésor Kibangula

Virginité tardive: « En plus de la honte, ce qui pèse, c’est la solitude »

avril 2, 2015

Elles ont 25, 30 ans ou plus et n’ont jamais fait l’amour. D’autres ont finalement franchi le pas de la « première fois » à un âge déjà avancé. Comment expliquer ce blocage et finalement parvenir à s’abandonner?

Parfois, la quête d'un amour idéal est un obstacle à la première rencontre sexuelle Getty Images/iStockphoto

Parfois, la quête d’un amour idéal est un obstacle à la première rencontre sexuelle Getty Images/iStockphoto

« Même avec le recul -j’ai 38 ans aujourd’hui-, je n’arrive pas trop à analyser ce qui a pu se coincer en moi pour que je me verrouille ainsi de l’intérieur. Je n’ai pas été traumatisée dans mon enfance, mes parents sont des gens normaux, équilibrés. Il n’empêche. Avant d’entamer une psychothérapie à 25 ans, ce que je désirais le plus ardemment était aussi ce que je me refusais: une relation avec un homme. » Emma, charmante jeune femme apparemment sûre d’elle, a finalement perdu sa virginité, selon le terme consacré, à 26 ans. Karine, 25 ans, n’a quant à elle toujours pas franchi le pas: « j’ai eu quelques occasions, plus jeune, mais je me trouvais trop grosse, me dénuder devant un homme me faisait horreur. Petit à petit, j’ai du envoyer un message subliminal et les propositions se sont faites de plus en plus rares. Aujourd’hui, je suis plus en phase avec mon image, mais je suis bloquée. J’ai l’impression que c’est marqué sur mon front et j’ai peur que personne ne veuille jamais de moi », confie-t-elle.

Qu’elle soit choisie ou subie, tue ou assumée, la virginité tardive est parfois vécue comme un poids, voire un handicap et passer à l’acte relève pour certaines femmes d’une mission impossible. Pourquoi? Et comment sortir de ce qui s’apparente, pour reprendre les mots de Karine, « à une prison invisible »?

Il n’y a pas d’âge pour perdre sa virginité

Nathalie Bénet-Weiler, psychanalyste et sexologue reçoit en moyenne « deux patients par semaine concernés par cette problématique, dont une légère majorité de femmes ». Elle précise d’emblée qu’il n’y a pas d’âge précis à partir duquel on parle de virginité tardive: « C’est un problème à partir du moment où cela devient une souffrance« . Et d’ajouter: « La sexualité est une option, elle n’est en rien obligatoire. »

« Mais, lorsque cette abstinence est subie et mal vécue, ajoute la psychanalyste, il y a le risque de voir cette énergie contenue se déplacer vers des considérations, des compensations plus destructrices telles que la drogue ou la boulimie« . « La pulsion de vie passe par la sexualité« , ajoute Laura Gélin, psychanalyste. « Ne pas parvenir à créer de lien charnel avec un ou une partenaire peut avoir pour conséquence de se couper de son corps. » « En plus de la honte, ce qui pèse, c’est la solitude. La misère affective. Au delà du sexe, j’ai tellement souffert du manque de câlins que par moments j’avais envie d’aller voir ma mère juste pour qu’elle me prenne dans ses bras », confie Emma.

« Parfois, une parole malheureuse suffit à bloquer »

Les raisons de cette difficulté à embrasser une vie sexuelle sont nombreuses et complexes, poursuit Nathalie Bénet-Weiler. Un avis partagé par Laura Gélin: « Chaque histoire en la matière est singulière. La sexualité touche a l’intime, elle relève de mécanismes complexes et propres à chacun. » Cela dit, on peut identifier quelques causes récurrentes: « Parfois, constate Nathalie Bénet-Weiler, une parole malheureuse de la mère concernant la première pénétration qui fait mal, suffit à bloquer durablement. » « Il peut s’agir d’une injonction familiale, que l’on respecte consciemment ou non », abonde Laura Gélin: « Il y a bien sûr l’influence de préceptes religieux, qui interdisent les relations sexuelles hors mariage, mais aussi parfois, et c’est plus difficile à identifier, une sorte de loyauté avec un traumatisme reçu en héritage. »

Laetitia, 42 ans et ayant attendu ses 30 ans avant de connaître « de vrais ébats », confie avoir « longuement travaillé avec un psy » avant de comprendre son blocage: « Ma mère n’a jamais réussi à me parler de sexualitésans dégoût. J’avais vraiment intériorisé que c’était sale. Je ne connais pas la raison de ce rejet des hommes qu’elle semble avoir toujours eu, mais je devine que sa propre vie sexuelle n’a pas commencé sous les meilleurs auspices. Clairement, son histoire s’est imprimée dans ma chair, au point que dès qu’un garçon essayait d’aller plus loin avec moi, je me fermais, au sens propre comme au figuré. »

Mauvaise image du corps, abus durant l’enfance

Autre explication, « les abus durant l’enfance », note Laura Gélin. Pour des raisons assez évidentes, il est difficile de s’abandonner adulte lorsqu’on a été agressée petite. Sachant que parfois il ne s’agit pas forcément d’un viol: « Sans avoir été clairement abusée, j’ai grandi dans un climat malsain, sous le regard très intrusif de mon grand frère, raconte Jeanne, 27 ans. Je pense que je me suis protégée en me rendant la moins désirable possible. » Toujours vierge, Jeanne souffre de cet « état », mais n’envisage pour l’instant pas de consulter: « Je crois que cela me fait tout simplement peur, je préfère espérer qu’un jour la bonne occasion se présente. »

Egalement responsable d’une difficulté de certaines femmes à se lier physiquement avec autrui, constate Nathalie Bénet-Weiler, « l’image de leur corps qu’elles jugent avec une grande sévérité« . « Elles se persuadent que ce corps ne peut pas faire jouir un homme, qu’il n’est pas montrable ».

Le fantasme du prince charmant, autre obstacle à la rencontre

« Certaines se sont construites en rêvant du prince charmant, dans la quête d’un homme idéal, qui n’existe pas », suggère aussi Laura Gélin. « Petit à petit, ce fantasme coupe de la réalité, empêchant la rencontre. Attendre le « bon » peut devenir le meilleur moyen de ne pas passer à l’acte. » Si Emma ne parvient toujours pas à connaître la raison de cette « abstinence forcée vécue dans la honte », elle suppose, après des années de thérapie, qu’inconsciemment, elle préférait « être seule que mal accompagnée ». Parfois, enfin, il n’y a pas vraiment de « parce-que » mais simplement une succession de circonstances et d’occasions manquées.

Réveiller son corps pour lui donner le droit de s’exprimer

S’il n’y a pas de solutions clés en main pour forcer les portes de ce qu’Emma décrit comme « une forteresse« , Nathalie Bénet-Weiler assure que « rien n’est perdu tant que le corps s’exprime à travers des activités multiples ». « L’absence de vie sexuelle tend vers un silence du corps. Il faut le réveiller à travers des massages, la danse, etc », conseille-t-elle. Elle suggère aussi d’amener la personne « à ne plus penser ce corps mais à le ressentir, travailler sur les sens« . « Car n’oublions pas que faire l’amour c’est utiliser ses cinq sens et le sixième pour les plus doués! » Quant à parler de sa virginité au partenaire, « cela reste un choix très personnel ».

« La psychothérapie comportementale reste à mon sens la plus appropriée, car elle nécessite la participation du patient. Le thérapeute va lui suggérer des exercices, qui vont lui permettre d’entrer en relation avec son corps », ajoute encore la psychanalyste et sexologue. A ce sujet, Laura Gélin émet une réserve: « La méthode comportementale ne me semble pas adaptée aux personnes dont la virginité tardive trouve sa source dans un traumatisme lourd. » Dans ce cas, une analyse serait plus appropriée selon elle, de manière à trouver la cause de ce qui n’est finalement qu’un symptôme.

Aller vers l’autre mais ne pas se forcer

« Il faut accepter d’aller à la rencontre de l’autre, sans l’idéaliser. En revanche, se forcer par désespoir peut être pire encore », prévient pour sa part Laura Gélin, qui voit elle aussi dans la thérapie « un moyen de travailler sur son rapport à l’intime et au corps ». « La masturbation permet aussi de rester connectée à soi-même et de s’autoriser le plaisir« , témoigne Karine: « Ce n’est pas parce qu’on est vierge qu’on n’a pas le droit à l‘orgasme! »

Pour Emma, la « délivrance » est venue après de nombreuses séances face à son psy. « Au bout d’un an de thérapie, je me suis inscrite sur un site de rencontres et j’ai rapidement trouvé quelqu’un avec qui je me suis sentie suffisamment en confiance pour lui expliquer mon cas. Bizarrement, il n’a pas paru étonné. Apparemment, c’est beaucoup plus fréquent qu’on ne le croit, les filles encore vierges à 25 ans. On a fait l’amour sans amour, mais ça n’était pas grave, l’essentiel était qu’on le fasse, que je me débarrasse de ce que je vivais comme une tare! J’ai joui dès le second rapport. » Quelques mois plus tard, elle est tombée amoureuse de celui qu’elle a épousé. « L’entente sexuelle a été immédiate et si forte que j’ai alors vraiment su ce que c’était que de monter au septième ciel. Imaginez, j’avais dix ans de frustration sexuelle à combler! »

Lexpress.fr Par

François Hollande félicite Obama et fait une faute de traduction

novembre 7, 2012

Braveau Baraque !

François Hollande félicite Obama et fait une faute de traduction 

Il est tellement normal notre Président que ça en devient touchant. Pressé de féliciter par écrit son copain Barack, il s’est mal relu.

C’est dommage qu’il n’ait pas demandé à un SR (secrétaire de rédaction) de Paris Match de relire sa copie, on aurait peut-être évité une (toute) petite honte nationale.

François Hollande a pris le temps dans son agenda surchargé de féliciter Barack Obama pour sa réélection à la tête des Etats-Unis.

Un petit blabla tapé à l’ordi et en français auquel François a voulu rajouter un peu de cette chaleur si propre à notre beau peuple. Il a donc sorti son stylo plume, pour rajouter à la main quelques mots. Trois pour être précis. « Cher Barack » à côté de l’en-tête, puis, tout en bas, juste avant la signature, un surprenant « friendly ».

Et c’est bien là que le bât blesse : en anglais, friendly est un adjectif qui signifie « amical, sympathique ou affectueux. » Au final, François a donc signé : « Amical, François Hollande. »

OKAY, on est d’accord, c’est une toute petit minuscule, mignonne bourdasse de notre président de la République mais avouez que sur TROIS MOTS, ça la fiche mal. Ça fait quand même un tiers de ses félicitations manuscrites qui ne sont pas adaptées. Rapportez ça à l’échelle de la déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen et on n’est pas bien !

On soupçonne un tout petit peu François d’avoir agi à l’arrache et d’avoir rentré sa petite bafouille dans Google trad, entre deux portes, juste avant son rendez-vous à 15 heures avec la présidente de la République du Libéria (true story) et une engueulade avec Valérie.

Voici.fr par P.S.B

Kim Kardashian accuse British Airways de vol

mai 28, 2012

« Vous devriez avoir honte »

 
Kim Kardashian accuse British Airways de vol
 
Une mystérieuse affaire de bagages envolés, des employés qui piquent dans les valises : c’est aussi ça les joies du transport aérien pour Kim Kardashian, qui s’en est violemment prise à British Airways sur Twitter.

« Vous devriez avoir honte », postait hier Kim Kardashian sur son compte Twitter. La bombe n’est pas contente du tout : son vol avec British Airways s’est très mal passé. Pendant que le célèbre fessier de la starlette reposait sur un fauteuil de l’avion, quelque chose de pas joli-joli se tramait en coulisses. A l’arrivée, il manquait des objets dans les bagages. Un vol pendant son vol ! Kim est outrée.

Sur son compte Twitter, la copine de Kanye West a laissé exprimer son mécontentement : « Je suis très déçue par British Airways qui a ouvert mes bagages et a pris des objets m’appartenant ! Certaines choses ont une valeur sentimentale et ne peuvent pas être remplacés » a-t-elle posté, avant de rajouter dans un autre tweet : « Qu’est-il arrivé au temps où on pouvait verrouiller nos sacs ! Nous devons en revenir à ça. Il n’y a aucun sens de la sécurité et aucune confiance ! ». Quand Kim Kardashian prendra le TGV et découvrira le scotch sur les porte-bagages, c’est à la SNCF qu’elle écrira « Shame on you ».

Voici.fr par M.A