Posts Tagged ‘Infiltration’

France: l’opposition infiltrée par des faiseurs de fiches de la DGST

février 16, 2018

 

 

La trahison a toujours caractérisé les assoiffés d’argent et partisans de la vie facile. L’opposition au pouvoir de Brazzaville basée en France serait infiltrée par la DGST.

A Brazzaville, il y a un opposant qui vit entouré de ses propres ennemis qu’il considère des amis et qui ont tout fait pour écarter ceux qui étaient susceptibles de lui ouvrir les yeux. Cette tare s’est bien aussi installée dans les milieux de l’opposition en France.

Généralement, ils aiment se faire passer pour des irréductibles par les propos virulents contre le pouvoir de Brazzaville, mais au fond ne sont que des traîtres qui pour des miettes d’euros vendent leurs frères de lutte.

Une source bien introduite de la police a fait parvenir à cette rédaction des informations révélatrices sur les pratiques de ses infiltrés. Toutes les réunions tenues par l’opposition sont suivies de près par le pouvoir de Brazzaville qui analyse bien leur teneur. Par exemple, la filiation de l’administrateur du site Brazzanews a été transmise à Brazzaville par l’un de ses ex amis de lutte.
La DGST maîtrise la vie de chaque opposant, son adresse, sa situation sociale et ses fréquentations. Ne dit-on pas que ton ennemi n’est jamais loin de toi ?

La rédaction de Sacer a été victime aussi de ces couteaux à deux lames, l’information nous est parvenue directement d’un responsable de la sécurité de Brazzaville.

Certains de ses infiltrés livrent directement leurs fiches à Edgar Nguesso via son représentant en France, et d’autres à l’équipe de Kiki Nguesso ou directement à Brazzaville. D’autres sont gérés par un certain Colonel Ndinga dont la famille vit à Vaureal, près de Cergy.

On a toujours su au Congo, que la personne qui pleure le plus à la veillée se reproche intérieurement de quelque chose. Faites attention aux opposants qui aiment crier en public leur anti-sassouisme.

Sacer-infos-com par Stany Franck

Les trolls russes avaient aussi infiltré Instagram avant l’élection américaine

novembre 1, 2017

Les trolls russes avaient aussi infiltré Instagram avant l'élection américaine

@ Josh Edelson / AFP
150 millions d’utilisateurs de Facebook et d’Instagram ont vu des contenus créés par des opérateurs russes pour influencer l’élection présidentielle américaine de 2016.

Facebook a révélé mercredi qu’environ 20 millions d’utilisateurs d’Instagram aux Etats-Unis avaient également vu des contenus créés par des opérateurs russes pour influencer l’élection présidentielle américaine de 2016.

Audition devant le Sénat.

Au total, environ 150 millions d’utilisateurs de Facebook et d’Instagram ont vu de tels contenus russes en 2015 et 2016, a dit le directeur juridique de Facebook, Colin Stretch, lors d’une audition devant la commission du Renseignement du Sénat américain, la deuxième audition parlementaire consacrée au rôle des réseaux sociaux dans la campagne de désinformation russe en deux jours.

150 millions d’utilisateurs touchés par la désinformation russe.

Sur Instagram, qui appartient à Facebook, environ 120.000 publications ont été créées par des opérateurs identifiés comme russes. Elles ont été vues par 16 millions d’utilisateurs après octobre 2016, et environ 4 millions avant cette date, selon Colin Stretch. Il a prévenu que les données avant octobre 2016 étaient moins précises. Ils s’ajoutent aux 126 millions d’utilisateurs de Facebook ayant vu sur leur fil d’actualité des articles créés par la société russe Internet Research Agency, liée au renseignement russe, pour influencer l’élection. Au total, selon le responsable, environ 150 millions de personnes ont donc été touchées par la désinformation russe sur les deux plateformes.

Des réponses un an après l’élection.

Twitter et Google participaient également à cette audition, devant des sénateurs furieux de ce qu’ils considèrent être une réponse tardive des géants d’internet pour lutter contre les faux comptes et les robots opérés par la Russie ou potentiellement d’autres pays. Près d’un an après l’élection présidentielle américaine, les sociétés commencent à fournir des données sur ces campagnes d’influence. Twitter et Facebook soulignent cependant que ces contenus ne représentaient qu’une infime proportion de tous les contenus publiés.

Europe1.fr

Des extrémistes tentent d’infiltrer les renseignements américains

septembre 2, 2013

Al-Qaïda et d’autres groupes considérés comme ennemis ont cherché à plusieurs reprises à infiltrer les agences de renseignements américaines, écrit le « Washington Post ». Ces tentatives ont amené ces offices à lancer des enquêtes sur des milliers de leurs employés.

La CIA a révélé qu’environ un cinquième des postulants à un emploi présentant un profil suspect avait « des liens significatifs avec des terroristes et/ou des services de renseignements hostiles », écrit le journal. Le « Washington Post » cite un document confidentiel qui lui a été remis par Edward Snowden, l’ancien consultant de l’Agence nationale de sécurité américaine (NSA), recherché pour espionnage.

Bien que le document ne donne pas de détails sur la nature des liens terroristes ou hostiles des candidats, il cite le plus souvent le Hamas, le Hezbollah, Al-Qaïda et ses affiliés.

4000 personnes visées

La crainte d’infiltration est telle que la NSA avait prévu l’année dernière d’enquêter sur au moins 4000 personnes qui avaient obtenu une habilitation de sécurité. L’agence a surveillé des activités potentiellement suspectes en passant au crible des milliards de frappes sur les claviers des ordinateurs de travail.

Les comportements suspects incluent la consultation de bases de données confidentielles par des personnes qui n’y ont pas accès habituellement, ou le téléchargement de certains documents, ont expliqué au « Washington Post » deux personnes familières du logiciel utilisé pour surveiller le personnel.

Snowden entre les mailles du filet

Mais le programme, qui a coûté des millions de dollars, a connu des retards importants, et n’a surtout jamais détecté M. Snowden copiant un large éventail de documents hautement confidentiels de la NSA.

« Au cours des dernières années, un petit nombre de candidats à la CIA ont été signalés pour divers problèmes », a déclaré un responsable. « Une personne sur cinq de ce petit groupe avait effectivement des liens significatifs avec des services de renseignements hostiles et/ou des groupes terroristes ».

Romandie.com

Mali : affrontements à Tombouctou au lendemain d’un attentat suicide

mars 31, 2013
Des soldats maliens patrouillent le 1er février 2013 à Tombouctou. Des soldats maliens patrouillent le 1er février 2013 à Tombouctou. © AFP

Au moins trois jihadistes ont été tués en moins de 24 heures à Tombouctou, ville historique du nord du Mali et cible dans la nuit d’un attentat-suicide et d’une tentative d’infiltration d’un nombre indéterminé d’islamistes qui ont affronté dimanche soldats maliens et français.

Selon des sources militaires maliennes et une source sécuritaire régionale à Tombouctou (900 km de Bamako), ces jihadistes ont infiltré la ville en profitant de l’attentat suicide commis dans la nuit de samedi par un kamikaze, au cours duquel un soldat malien a été blessé.

Dimanche matin, l’armée malienne a lancé des opérations pour traquer les islamistes infiltrés, se retrouvant engagée dans des combats au cours desquels elle a reçu l’appui d’une unité de l’armée française.

« Nous avons deux jihadistes tués, et quatre militaires maliens ont été blessés », a expliqué un officier de l’armée malienne joint par téléphone à Tombouctou, en précisant que les affrontements se poursuivaient en fin de matinée.

Avec l’attentat suicide de la nuit de samedi, le bilan se monte à trois jihadistes tués, dont le kamikaze, et cinq soldats maliens blessés en moins de 24 heures.

Selon le même officier malien, les islamistes « ont ouvert deux fronts » dans le centre-ville: l’un vers un hôtel servant de résidence temporaire au gouverneur de la région de Tombouctou, et l’autre vers l’unique camp militaire de la ville occupé par les soldats maliens.

Trois jihadistes ont brièvement infiltré le camp militaire, d’où ils ont été délogés, a-t-il dit, sans plus de détails.

Selon une source sécuritaire malienne, « le gouverneur de la région ainsi que des autorités locales et deux journalistes étrangers qui étaient tous dans le même hôtel » ont été « évacués par l’armée française ». Cette information a été confirmée par le gérant de l’hôtel.

En temps normal, les troupes maliennes sont dans Tombouctou, les troupes françaises, qui interviennent en soutien aux militaires maliens depuis janvier, sont basées à l’aéroport de la ville.

De source militaire, le kamikaze qui s’est tué dans la nuit a actionné sa ceinture d’explosif après avoir tenté sans succès de forcer un barrage militaire. Il était au volant d’une voiture, alors qu’au moment même, d’autres jihadistes tentaient de s’infiltrer en ville à moto.

Deux attentats suicides en dix jours

Il s’agit du deuxième attentat suicide de l’histoire de Tombouctou, cité mythique au patrimoine culturel inestimable.

Le 21 mars, une tentative d’incursion d’islamistes y avait commencé par l’explosion d’une voiture piégée, avec un kamikaze à son bord, vers l’aéroport de la ville. Un militaire malien avait été tué, au moins deux blessés, et une dizaine de jihadistes ont aussi été tués pendant cette tentative d’intrusion, selon des sources militaires malienne et française.

Le 22 mars, le Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (Mujao), un des groupes islamistes ayant occupé le nord du Mali en 2012, avait revendiqué l’attentat kamikaze.

Comme les autres grands centres du nord du Mali, Tombouctou a été libérée fin janvier par des troupes françaises et maliennes des groupes islamistes armés.
Les combattants jihadistes se sont retranchés dans le massif des Ifoghas (région de Kidal, extrême nord-est), où se concentre depuis plusieurs semaines leur traque conduite par des soldats français et tchadiens.

Au plan politique, le processus de sortie de crise a connu un nouveau pas avec la nomination samedi du président et des deux vice-présidents de la « Commission dialogue et réconciliation » (CDR), en attendant la désignation des 30 autres « commissaires » devant composer cette structure créée début mars.

Ces nominations ont été saluées dimanche par le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, qui doit se rendre à Bamako le 5 avril.

La CDR a notamment pour mission de « rechercher, par le dialogue, la réconciliation entre toutes les communautés » de ce pays plongé dans une crise politico-militaire depuis les premières attaques rebelles, en janvier 2012.

Jeuneafrique.com avec AFP

Tripoli: des rebelles venus par la mer

août 21, 2011

Des rebelles libyens, venus par la mer de l’enclave côtière de Misrata, à 200 km à l’est de Tripoli, ont infiltré la capitale et participent aux combats qui s’y déroulent actuellement, a affirmé un porte-parole local de la rébellion.

Lefigaro.fr avec AFP