Posts Tagged ‘Invitation’

Royaume-Uni: Harry et Meghan invités à assister au couronnement de Charles III

mars 5, 2023
Le prince Harry et Meghan Markle sourient.

Le prince Harry et Meghan Markle invités au couronnement du roi Charles III, en mai. (Photo d’archives): (Andrew Kelly/Reuters)

Le prince Harry et Meghan Markle ont été invités à assister au couronnement du roi Charles III, rapporte dimanche The Sunday Times, mais le couple, parti avec fracas vivre aux États-Unis en 2020, n’a pas encore fait savoir s’il fera le déplacement.

Selon un porte-parole du couple cité par le quotidien britannique, le prince Harry a récemment reçu un courriel du bureau de Sa Majesté à propos du couronnement de Charles, 74 ans, qui doit avoir lieu le 6 mai prochain.

Une décision immédiate sur la présence du duc et de la duchesse ne sera pas communiquée de notre côté à ce stade-ci, a précisé ce porte-parole.

Contacté par l’AFP, Buckingham Palace n’a pas souhaité commenter ces informations.

Le retour des Sussex au Royaume-Uni pour assister au couronnement fait l’objet de nombreuses conjectures dans les médias britanniques ces derniers mois après les attaques virulentes faites par le couple sur la famille royale.

Nombreuses confessions

Après un documentaire diffusé sur Netflix en décembre, Harry, 38 ans, a publié début janvier ses mémoires controversés intitulés Le Suppléant, dans lesquels il raconte son adolescence marquée par la drogue et par l’alcool et détaille la rupture de ses relations avec son père, le roi Charles III, et son frère William.

Image du livre du prince Harry.

Le prince Harry a publié ses mémoires intitulés « Le Suppléant ». (Photo d’archives) Photo : Getty Images/Leon Neal

Encore samedi soir, le duc de Sussex a fait de nouvelles confessions lors d’un entretien avec un spécialiste des traumatismes, Gabor Mate, diffusé sur Internet avec un accès payant.

Il y explique notamment s’être toujours senti légèrement différent du reste de la famille royale britannique et confie qu’ayant grandi dans une famille brisée, il fait de son mieux pour ne pas transmettre de traumatismes à ses enfants, Archie, trois ans, et Lilibet, un an.

Quitter la résidence royale de Frogmore Cottage

Harry et Megan ne sont revenus au Royaume-Uni qu’à de rares occasions depuis leur départ, en 2020, notamment pour assister aux obsèques de la reine Élisabeth II en septembre dernier.

Le duc de Sussex s’était déplacé seul pour l’enterrement de son grand-père, le prince Philip, en 2021, en pleine pandémie de COVID-19.

Lors de ces voyages, le couple séjournait à Frogmore Cottage, une résidence royale située à Windsor, que le roi Charles III leur a demandé de restituer, avait indiqué en début de semaine un porte-parole du couple.

Selon une source proche des Sussex citée par leur biographe, Omid Scobie, ils auraient jusqu’au début de l’été, soit après le couronnement de Charles, pour vider la résidence de leurs effets.

Avec Radio-Canada par Agence France-Presse

Visite du pape en RDC : le souverain pontife invité à la prison centrale de Makala

janvier 30, 2023

S’appuyant sur la demande des prisonniers et détenus de confession religieuse catholique, la Fondation Bill-Clinton pour la paix (FBCP) a appelé le pape François à visiter la prison centrale de Makala en vue de se rendre compte des conditions carcérales dans cette institution.

Le pape François/DR

« La FBCP informe l’opinion tant nationale qu’internationale que lors d’une de ses visites de monitoring des droits de l’homme à la prison centrale de Makala en date du 28 janvier 2023, les prisonniers et détenus préventifs chrétiens catholiques ont invité le pape François à la prison centrale de Makala pour aller constater leur ras-le-bol. », a fait savoir cette organisation dans un communiqué du 30 janvier.

Cette demande des pensionnaires de la principale maison carcérale de Kinshasa est motivée par la surpopulation constatée, la malnutrition, le manque de médicaments ainsi que les conditions de détention infra-inhumaines, les décès quotidiens, les conditions sanitaires déplorables et la lenteur des procédures judiciaires, etc.

La FBCP rappelle, en effet, que cette prison était construite par les colons belges avec une capacité de 1 500 places. Aujourd’hui, fait-elle savoir, elle héberge plus de 11 500 pensionnaires dont 2 750 seulement sont condamnés.

Elle indique que le 28 janvier vers 14 h, son équipe de monitoring a vu arriver plus de cent détenus, pieds nus, avec comme seul habit des culottes. « Ceci viole les articles 12 et  16 de la Constitution congolaise du 18 février 2006. Et, nous dénonçons les mauvaises conditions dans lesquelles les détenus sont transférés des parquets et cachots vers les prisons. C’est vraiment très inhumain », a-t-elle souligné.

La FBCP a souligné, par ailleurs, avoir été informée que malgré la grâce présidentielle accordée, certains bénéficiaires ne sont pas encore libérés. Elle demande au cardinal Ambongo  de transmettre cette demande des fidèles catholiques de la prison centrale de Makala au pape François. Elle attend aussi  que les autorités envisagent des sanction très sévères contre certains magistrats indisciplinés qui sont à la base de la surpopulation carcérale pour éviter le pire qui pointe à l’horizon ; l’accélération des procédures judiciaires ; l’amélioration des conditions des prisonniers et détenus préventifs dans tout le pays; l’exécution sans tarder de la mesure de grâce présidentielle.

Avec Adiac-Congo par Lucien Dianzenza

Congo-Union européenne: Denis Sassou N’Guesso invité par Charles Michel

janvier 23, 2023

Brazzaville et Bruxelles entendent renforcer leurs liens de coopération à travers des échanges de haut niveau.

Le chef de l’Etat congolais effectuera une visite officielle à Bruxelles, en Belgique, à l’invitation du président du Conseil européen, Charles Michel. L’information a été communiquée au président Denis Sassou N’Guesso durant son entretien le 23 janvier à la résidence du Plateau avec le représentant de l’Union européenne au Congo :

« Cette visite aura lieu cette année pour discuter de notre partenariat, de sujets concernant la sécurité, les relations internationales, la biodiversité et bien d’autres intéressant les relations entre l’Union européenne et le Congo », a déclaré Giacomo Durazzo à la presse au sortir de l’audience.

Le Congo et l’Union européenne ont conclu un programme indicatif multi annuel (2021-2027) à travers lequel Bruxelles apporte son appui au Programme national de développement. Giacomo Durazzo a notamment évoqué les points sur la digitalisation et la diversification de l’économie, le renforcement des capacités de la police congolaise, la préservation de l’environnement.

La prochaine visite du président de la République dans la capitale de l’Union européenne sera l’occasion de consolider le partenariat entre les deux parties.

Avec Adiac-Congo par Gankama N’Siah

Obsèques d’Elisabeth II: le chef de l’Etat congolais parmi les invités

septembre 17, 2022

Invité avec d’autres dirigeants du monde, le président Denis Sassou N’Guesso assistera, ce 19 septembre, à Londres, aux funérailles de la reine Elisabeth II décédée le 8 septembre dans sa résidence de Balmoral, en Ecosse, à l’âge de 96 ans. La capitale du Royaume-Uni accueille à l’occasion une centaine de monarques et chefs d’Etat pour ce qui apparaît, mis à part le contexte du deuil, comme un grand moment d’échanges de civilités entre les hommes et les femmes qui nous gouvernent.

Née le 8 avril 1926, Elisabeth Alexandra fut couronnée reine à 26 ans, le 8 février 1952. Son règne ayant duré 70 ans, autant dire qu’elle a vécu les grands bouleversements de l’entre deux siècles et marqué de son empreinte les relations internationales. Aussitôt l’annonce de la disparition de la souveraine, le chef de l’Etat congolais avait, dans une lettre de condoléances adressée à Charles III, nouveau roi, exprimé sa vive émotion notant que le décès d’Elisabeth II représentait une grande perte pour le peuple britannique tant la reine a « pendant 70 ans incarné l’unité de la nation ».

Avec Adiac-Congo par Les Dépêches de Brazzaville

Canada: Hillary Clinton et Louise Penny seront à Tout le monde en parle dimanche

février 24, 2022
Un montage de deux photos où on voit côte-à-côte les visages d'Hillary Clinton et de Louise Penny.

Hillary Clinton et Louise Penny Photo : Getty Images et Radio-Canada

L’ancienne secrétaire d’État des États-Unis et candidate démocrate défaite à la présidence en 2016 Hillary Clinton est invitée à Tout le monde en parle, dimanche. Elle sera accompagnée de son amie l’autrice Louise Penny.

Les deux femmes répondront aux questions de Guy A. Lepage au sujet de leur livre paru l’automne dernier en anglais, State of Terror, et qui sortira en mars en français sous le titre d’État de terreur.

Ce thriller géopolitique met en vedette une secrétaire d’État fictive confrontée à un scénario d’horreur à son arrivée en poste au sein d’une nouvelle administration américaine : du terrorisme international impliquant des armes nucléaires.

L’entrevue sera enregistrée à l’avance, dimanche après-midi, pour permettre le sous-titrage en français, selon un communiqué de Radio-Canada. Les deux femmes seront réunies par vidéoconférence.

Avec Radio-Canada

Canada-Québec: François Legault a reçu sa troisième dose de vaccin contre la COVID-19

décembre 28, 2021
François Legault reçoit un vaccin. On peut voir le vaccinateur à droite.

François Legault a reçu sa dose de rappel lundi après-midi. Photo: La Presse Canadienne/Graham Hughes

Le premier ministre François Legault a reçu sa troisième dose de vaccin contre la COVID-19 lundi à Montréal. Il invite d’ailleurs tous les personnes âgées de 60 ans et plus à prendre rendez-vous.

Depuis lundi matin, les Québécois âgés de 60 ans plus peuvent recevoir une dose de rappel. C’est très important, la troisième dose, a soutenu François Legault, âgé de 64 ans.

Les experts sont très clairs : avec deux doses, on est protégé à 30 % contre le variant Omicron. Avec trois doses, on monte à 75 %.

Les chiffres varient selon les études et les vaccins, mais une dose de rappel offre effectivement une protection plus robuste et plus durable.

Il a une fois de plus invité les Québécois à réduire leurs contacts sociaux au cours des prochains jours. J’ai besoin que tous les Québécois fassent un effort pour que nos hôpitaux ne débordent pas. Donc, je compte sur vous, tout le monde : allez chercher votre troisième dose et soyez prudents.

Comment prendre rendez-vous?

Un homme passe devant un centre de vaccination contre la COVID-19 à Montréal.

Un homme passe devant un centre de vaccination à Montréal. Photo : La Presse Canadienne/Graham Hughes

Pour ce faire, il faut sélectionner l’option Vaccin COVID-19 – 3e dose dans le champ Sélectionnez un service  sur la plateforme de rendez-vous Clic Santé(Nouvelle fenêtre).

Certains centres de vaccination, notamment ceux du Palais des congrès et du Stade olympique de Montréal, offrent aussi un service sans rendez-vous. Cela signifie que les personnes admissibles, y compris les 60 ans et plus, peuvent déjà s’y présenter.

Lors du dernier bilan diffusé par les autorités de santé publique, 28 % des personnes âgées de 60 ans et plus avaient déjà reçu une troisième dose.

D’autres groupes étaient déjà admissibles à l’injection d’une dose de rappel, y compris les usagers des Centre d’hébergement et de soins de longue duréeCHSLD et des résidences privées pour aînés, les travailleurs de la santé et les premiers répondants, certaines personnes dont le système immunitaire est affaibli et les personnes âgées de 65 ans et plus.

La liste complète des groupes admissibles à l’administration d’une dose de rappel d’un vaccin contre la COVID-19 se trouve sur le site web du gouvernement du Québec(Nouvelle fenêtre).

Cette dose de rappel est recommandée afin de permettre au système immunitaire de rétablir un niveau d’anticorps suffisant pour compenser la baisse qui pourrait survenir après quelques mois, peut-on lire sur le site web du gouvernement.

Cette dose augmenterait également la protection contre les nouveaux variants, tels que le variant Omicron.

Avec Radio-Canada

Pointe-Noire/Santé publique: Lambert Chakirou invite la population à fréquenter l’hôpital Adolphe-Sicé

décembre 12, 2021

Quatre mois après sa prise de fonctions comme directeur général de l’Hôpital général Adolphe-Sicé de Pointe-Noire, Lambert Chakirou a animé, le 10 décembre, une conférence de presse sur le fonctionnement de cette structure sanitaire et  éclairé l’opinion sur les fausses informations qui circulent sur la toile concernant cet hôpital, le plus grand de la ville en termes d’offres de services et de soins.

1-Lambert Chakirou lors de la conférence de presse / Adiac

D’emblée, Lambert Chakirou a présenté l’hôpital général Adolphe-Sicé créé en 1931 et qui compte actuellement trente-cinq bâtiments, huit cent quarante agents dont cinquante-deux spécialistes. Parmi ce personnel, quatorze sont en formation de spécialité dans le pays et à l’étarnger. Le reste étant constitué du personnel paramédical, a t-il dit. 
Quand au plateau technique, il est constitué des services tels la chirurgie, la neuro-chirurgie, la neurologie (deux nouveaux services), la traumatologie, le service des maladies respiratoires, bref l’HGAS compte toutes les spécialités pour un hôpital digne de ce nom. « … nous avons également des spécialités telles que l’imaginerie médicale, le laboratoire d’analyses médicales… Nous pouvons dire  que l’hôpital général A.Sicé a de la compétence pour agir en cas ou en présence de certaines maladies« , a t-il dit.

Le directeur général a ajouté: « Depuis un certain temps, il circule sur la toile, notamment sur les réseaux sociaux, des documents audiovisuels faisant état d’un  agent  qui s’enorgueillit en donnant délibérement la mort aux patients. Une autre information fausse fait état d’une dame qui aurait donné la mort à vingt-six personnes à raison de 300 000 F CFA la personne tuée et se serait rétirée dans une église de la place après ses forfaits. C’est quand même une aberration pour qu’on ne mette pas la main sur cet individu et qu’il ne soit pas dénoncé ».

Une autre information qui circule sur la toile fait état d’un réseau de prélèvement d’organes (coeur et reins notamment) à A.Sicé, avec l’aide des sujets étrangers, et que l’hôpital aurait signé un contrat avec la morgue. Son directeur général dément avec fermeté.  » Le prélèvement d’un organe obéït à un certain nombre de mécanismes. On ne peut prélever un organe qu’ à une personne qui a fait un accident et quand on est certain qu’elle ne va pas survivre, on demande l’avis de ses parents pour chercher à sauver une autre vie. Au moment où l’on fait le prélèvement, il y a toute une logistique qui est mise en place car quand on commence le prélèvement, il faudra aussi faire l’intervention chirurgicale de l’autre côté. Un avion médicalisé est affrêté pour venir chercher l’organe que l’on amène immédiatement au bloc opératoire. Je ne pense que cela soit possible ici dans les conditions qui sont les nôtres« ,a t-il précisé.  

Concernant le contrat qui serait signé avec la morgue, il a expliqué:  » Jamais on fait la médecine pour apprendre comment tuer les gens mais on apprend plutôt comment sauver les vies humaines. Ce qui est sûr, c’est  qu’il y a des intellectuels qui comprennent que cela n’est pas possible, cependant on peut regretter qu’à côté, il y ait des profanes qui croient que c’est la vérité ». 
Selon lui, ce sont toutes ces raisons aussi qui font que la léthalité soit élevée à Adolphe-Sicé. « Nous avons des chiffres à propos: Concernant les corps en dépôt, c’est-à-dire des gens qui étaient malades ailleurs et qu’on amène à A. Sicé dans un état desesperé, en 2018, on a identifié 1188 corps en dépôt, 1406 en 2019… Ce sont bien entendu des chiffres énormes. A défaut des corps en dépôt, il y a des décédés ici et ce ne sont pas toujours des malades primaires de l’hôpital A.Sicé mais aussi des malades qui reviennent pour la plupart des cas, des autres formations sanitaires, dans un état déjà très avancé… Les causes de décès étant multiples, la rumeur sur la seringue qui se promenerait à l’hôpital et qui tuerait les patients n’est qu’une information erronnée et sans fondement« , a t-il martelé.

2- Des participants à la conférence de presse / Adiac

« Nous sommes conscients que beaucoup d’appareils manquent à l’hôpital général Adolphe-Sicé tels le scanner, l’IRM, par exemple des outils importants pour améliorer la qualité des soins, nous nous évertuons toujours  à donner satisafaction à la population avec les moyens à notre disposition, voilà pourquoi nous sollicitons à tout moment l’apport et l’appui des partenaires. Chaque jour, nous travaillons pour que les conditions d’accueil s’améliorent, cela passe par le changement de la mentalité des agents issus de plusieurs horizons.  Nous travaillons quotidinnement pour que les conditions d’accueil soient humanisées », a assuré Lambert Chakirou.

Après la recudescence de la vague de la pandémie enregistrée ces derniers temps, l’hôpital a pris la mesure des choses à son unité covid 19 qui ne compte à ce jour que six malades pris en charge. » Toutes les rumeurs, les informations diffusées ces derniers jours sur les réseaux socaiux, ne sont que des Fake news. C’est pourquoi nous demandons à la population de renouer avec son hôpital parceque les services, les agents n’ont aucun problème avec elle. Nous sommes un hôpital public et recevons tous les malades  de partout, à qui nous donnons des tratiments selon la pathologie de chacun », a conclu le directeur général d’Adolphe-Cissé.

Avec Adiac-Congo par Hervé Brice Mampouya

Afrique : Denis Sassou N’Guesso invité à la biennale de Luanda

juin 9, 2021

Le chef de l’Etat Denis Sassou N’Guesso a échangé, le 8 juin, avec  la ministre d’Etat en charge des Affaires sociales de Luanda, Carolina Cerqueira, porteuse d’une invitation du président angolais Joao Lourenço, adressée à son homologue Congolais.

L’invitation concerne la tenue de la biennale de Luanda, deuxième édition du forum panafricain pour la culture de la paix et de la non-violence en Afrique et de la diaspora africaine prévue du 4 au 8 octobre prochain à Luanda, en Angola.

« Nous avons bien voulu apporter ce message au président de la République du Congo, et lui parler de l’organisation de cette réunion aussi importante, de l’engagement de l’Angola par rapport à la paix en Afrique, et surtout  d’une représentation forte de la République du Congo au forum de la paix », a déclaré Carolina Cerqueira au sortir de l’audience.

« Ça sera une occasion pour les sociétés africaines en général, les élites intellectuelles, politiques, la jeunesse, les femmes, pour que nous puissions nous rencontrer et repenser, une fois de plus, la culture de paix pour notre continent », a ajouté la ministre d’Etat angolais.

-Carolina Cerqueira remettant le courrier au président Denis Sassou N’Guesso -Carolina Cerqueira reçue par le chef de l’Etat

La biennale de Luanda est organisée autour de trois axes principaux : le Forum des partenaires alliance pour l’Afrique ; le Forum d’idée des jeunes et des femmes ; et le festival des cultures pour la promotion de la diversité culturelle des pays africains et de leurs diasporas, ainsi que de leur capacité de résilience aux conflits et violences.

Cette année 2021, la deuxième édition de la « Biennale de Luanda – Forum panafricain pour la culture de la paix », qui est réalisée conjointement par l’Unesco, l’Union africaine (UA) et le gouvernement de la République d’Angola, se tiendra dans un format hybride en direct de Luanda. La rencontre sera diffusée au monde entier, fusionnant les événements numériques et physiques.

La deuxième édition du forum panafricain pour la culture de la paix et de la non-violence s’inscrit dans le cadre du plan d’action en faveur d’une culture de la paix en Afrique adopté à Luanda (Angola) lors du Forum panafricain de 2013. Elle fait suite à la décision adoptée en 2015, lors de la 24e session de l’Assemblée des chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union africaine, demandant à la Commission de l’Union africaine d’œuvrer à son organisation, en consultation avec l’Unesco et le gouvernement de la République d’Angola.

L’initiative renforce la mise en œuvre des Objectifs de développement durable de l’Agenda 2030 des Nations unies, plus particulièrement les objectifs 16 et 17, et des aspirations de l’Agenda 2063 de l’Union africaine, en particulier: « l’Agenda pour la Paix » et le Projet phare « Faire taire les armes à l’horizon 2020 ».

Le forum participe, par ailleurs, à la mise en œuvre de la stratégie opérationnelle de l’Unesco pour la priorité Afrique (2014-2021) visant à apporter des réponses africaines aux transformations qui affectent les économies et les sociétés africaines.

Avec Adiac-Congo par Yvette Reine Nzaba 

RDC : convoqué par le procureur, Vital Kamerhe ne répondra pas à « l’invitation »

avril 6, 2020

Le président Félix Tshisekedi aux côtés de Vital Kamerhe, le 23 novembre 2018.

Le président Félix Tshisekedi aux côtés de Vital Kamerhe, le 23 novembre 2018. © Ben Curtis/AP/SIPA

 

Le directeur de cabinet de Félix Tshisekedi, est convoqué ce lundi devant le parquet général près la cour d’appel de Matete dans le cadre des enquêtes sur l’utilisation des fonds alloués au programme présidentiel des 100 jours. D’après nos sources, il sera représenté par ses avocats.

« L’UNC réaffirme son attachement à l’État de droit dans notre pays, mais note que la dite invitation du parquet est le point culminant de l’acharnement contre la personne de son président national ». L’annonce de « l’invitation » du chef de cabinet du chef de l’État par le parquet général près la cour d’appel de Matete a été accueillie par une levée de boucliers de la part des cadres de l’Union pour la nation congolaise, son parti.

Le procureur veut en effet entendre Vital Kamerhe, ce lundi, dans le cadre de l’enquête sur l’utilisation des fonds alloués au programme présidentiel des 100 jours.

Kamerhe se fera représenter

Mais pour les ministres, députés et nombreux conseillers présidentiel et ministériels qui forment la direction politique du parti, cette convocation est le fruit d’une « campagne de diabolisation par certaines officines en mal de positionnement » visant Kamerhe, « aussi bien sur les médias que les réseaux sociaux, et ce, depuis plusieurs mois ».

Dans un communiqué au vitriol, la direction politique nationale de l’UNC dénoncé « la grave légèreté avec laquelle cette invitation a été adressée » au directeur de cabinet du chef de l’État, y relevant notamment erreurs de dates et confusion sur l’adresse du destinataire.

D’après nos sources, le principal intéressé a décidé de ne pas répondre à cette « invitation » du parquet, et se fera représenter par ses avocats.

Selon un proche du directeur de cabinet du président congolais, il existe un « noyau autour du président de la république » qui veut « obtenir la tête de Vital Kamerhe » qui, selon les accords politiques signés entre lui et Tshisekedi à Nairobi fin 2018, fait du président de l’UNC le candidat de la coalition Cap pour le Changement à la présidentielle de 2023.

La justice congolaise enquête depuis plusieurs semaines sur des soupçons de détournement des fonds alloués à l’exécution du « Programme des 100 jours », lancé en mars 2019 par le président Félix Tshisekedi, prévoyant notamment la construction d’infrastructures routières et à la gratuité de l’enseignement de base.

Plusieurs personnes ont déjà été entendues dans le cadre de ces enquêtes, dont le directeur général de la Rawbank, Thierry Taeymans, ou encore celui de Safricas, David Blattner. La justice congolaise a également entendu l’un des frères du directeur de cabinet de Félix Tshisekedi, membre de la commission présidentielle sur les 100 jours, ainsi que le comptable de la présidence.

Avec Jeuneafrique par Stanis Bujakera Tshiamala

Congo: Invitation pour une rencontre citoyenne

février 21, 2020

OCDH et la Plateforme des ONG pour les droits humains et la démocratie vous invitent à une conférence débat le samedi 29 février 2020. Les détails sont sur l’affiche.

Photo de BrazzaNews.
Avec Brazzanews