Posts Tagged ‘isidore mvouba’

Congo: Mgr Milandou, Mvouba et Placide Lenga, convoqués comme témoins dans l’affaire Me Mbemba

mai 21, 2018

 Jean-Martin Mbemba, Président de la Commission nationale des droits de l’homme, Président d’un parti politique situé à l’opposition, l’UP (Union pour le progrès), est accusé d’ »atteinte à la sécurité intérieure de l’Etat et trafic d’armes de guerre ».

Six accusés sont requis : Jean-Martin Mbemba qui vit en France depuis 2015, et qui a été récemment suspendu de ses fonctions de Président de la CNDH, l’ex-directeur départemental de la police dans le Pool, le colonel Jean-Claude Mbango, détenu depuis à la Maison d’arrêt, Me Samba Moutou Loukossi, un huissier de justice, ancien candidat aux législatives à Mindouli pour le compte de l’UP, et trois autres dont un décédé.
Cette affaire date de février-mars 2013 et est déjà passée en juin 2015 devant la Chambre pénale de la Cour suprême pour ce qui est de la question procédurale.

Aujourd’hui, elle passe devant la Cour criminelle de Brazzaville.

Le principal accusé, Jean-Martin Mbemba, n’y est pas présent.

Mgr Milandou aurait été cité comme témoin par un certain Maléla Jean-Jacques, qui serait un ancien chauffeur de M. Isidore Mvouba.

La Cour criminelle recueillira les témoignages de ces personnalités qui ne seront donc pas obligées de se déplacer au Palais de justice.

Avec Congomfoa.com

Congo: Isidore Mvouba dans le coma après s’être fait volé 500 millions de FCFA chez lui

février 22, 2018

 

Le président de l’assemblée nationale congolaise, Isidore Mvouba serait mort pendant près d’une heure après avoir appris le vol dans sa cachette de plus de 500 millions de francs cfa. Le coup était trop fort et Mvouba a craqué.

«  Tala zoba ya Mvouba alingi a boma nzoto po na 500 millions ».c’est par ce commentaire moqueur du boss du trésor public Albert Ngondo que la nouvelle sur le coma d’isidore Mvouba s’est répandue dans les sphères du pouvoir.

Le président de l’assemblé nationale Isidore Mvouba qui venait de faire voter une loi contre la corruption et la moralisation de la vie publique a passé pourtant quelques heures dans le coma suite à la perte d’un butin évalué à 500 millions.

Cet argent devrait selon son entourage être acheminé au Maroc où vit son fils pour l’acquisition des biens immobiliers.

Selon le songui songui,Isidore Mvouba aurait crié «  Ah mama, mfwiri ngela yi jibankané…Ah Ngela zani » attirant l’attention de la garde qui l’a trouvé allongé sur le sol présentant des signes inquiétants.

C’est dans un véhicule de son parking, que le président de l’assemblée a été conduit d’urgence dans une clinique de la ville où il a repris connaissance. Pour 500 millions Mvouba a failli laisser sa vie, alors que jean Didier Elongo qui a perdu 700 millions et en prison est zen.

Isidore Mvouba serait dans tous ses états et à la recherche de son voleur dont le mystère s’agrandit au vu de la qualité avec laquelle ils ont opéré.

 

Sacer-infos.com par Stany Franck

Congo: les larmes de crocodile d’Isidore Mvouba et de Bernard Tchibambelela

mai 6, 2016

 

La fumée blanche est sortie du palais de Mpila et est montée vers le ciel trouble du Congo-Brazzaville post-électoral. Le gouvernement Sassou à la sauce Mouamba a livré son verdict le 30 avril 2016, une semaine après la nomination du prémier ministre et chef du gouvernement. D’autant plus bâtie sur une immense fraude constitutionnelle, l’équipe gouvernementale de la nouvelle République n’a pas fait que des heureux. Si tant est qu’on puisse plaindre une bande d’escrocs, cette équipe a fait aussi des déçus ; les déçus du Chemin d’avenir.

Tonnerre de Brest ! Parmi les recalés figurent en bonne place Isidore Mvouba et Bernard Tchibambeléla. Des larmes ont coulé sur leurs joues. Des larmes de déception. Isidore Mvouba et Bernard Tchibambeléla croyaient, croix de bois, croix de fer, en leur bonne étoile. Isidore Mvouba et Bernard Tchibambeléla étaient persuadés qu’ils étaient inamovibles (ininguissables diraient les milosiens ) forts de leur amitié avec Sassou Nguesso. C’était mal connaître le cynisme mêlé d’ingratitude de Sassou alias Monsieur 8%. Pire : Mvouba a été débarqué d’un avion Air France en partance pour Paris. Cet ancien Premier ministre de paille a été débarqué par des hommes en armes au service de Sassou son ami de quarante ans.

Muets comme une carpe

Alors que les bombardements de la région du Pool à l’aide d’hélicoptères de combat battent leur plein, ces deux hommes étaient plus préoccupés par leur maintien et leur reconduction au gouvernement que par le sort des habitants de la région surnommée « locomotive » du Congo-Brazzaville (selon la métaphore du chemin de fer de Pascal Lissouba) habitants sur lesquels pleuvent des engins de la mort larguées sur les ordres de Denis Sassou Nguesso. Il est vrai que dans ce Département, Sassou n’a pas dépassé la barre de 1% aux récentes élections. Les deux députés du Pool, l’un de Kindamba et l’autre de Mbanza Ndounga, sont muets comme une carpe. Isidore Mvouba et Bernard Tchibambeléla ne se soucient guère du traitement de leurs administrés de la région du Pool. Isidore Mvouba et Bernard Tchibambeléla n’entendent rien, ne voient rien et ne disent rien. Motus et bouche cousue. Idem pour le député Mbochi de Vinza, Aimé Emmanuel Yoka, le juriste consul de Denis Sassou Nguesso. Après leur évictions de la mangeoire, les deux députés sont dépités. C’est le moins qu’on puisse dire.

Champ de résistance

Quid le Pool ? Ce n’est pas n’importe quelle région qui souffre le martyr. Il s’agit de la région du Pool, bastion de la résistance aux attaques de tout genre. Cette partie du Congo est comme prédestinée aux douleurs. Ce n’est pas la première fois que la région fait l’objet du courroux du pouvoir. Comme chez les Vendéens du 19ème siècle, l’insurrection chez les Kongo-Lari est un état d’esprit en butte avec l’esprit jacobin. La région du Pool a déjà croisé le fer avec les différentes forces de la colonisation incarnée par les Butaffoco et les armées des régimes militaro-marxistes incarnées par Marien Ngouabi. L’administration française s’est heurtée dans la région du Pool à la résistance menée par Mabiala Ma Nganga, Bouéta Mbongo, Mama Ngounga, Tata Mbiémo, Balou Constant , André Grenard Matsoua. Le lieutenant Ange Diawara et Ikoko ont donné du fil à retordre au régime communiste du commandant Marien Ngouabi, du commandant Joachim Yhombi Opango et du capitaine Denis Sassou Nguesso. Ange Diawara prit le maquis dans la jungle de Monseigneur Roch Auguste Nkounkou à Goma-Tsétsé dans la région du Pool dont les forêts comme à Sherwood servaient de refuge à Robin des Bois. Aujourd’hui, un autre prélat, Mgr Louis Portella Mbuyu y joue avec héroïsme la partition de la théologie de la Libération, comme les hommes d’Eglise de la natale Amérique Latine du Pape François.

Brutus

Isidore Mvouba, redoutable homme d’affaires à l’instar des dignitaires du pouvoir, natif de Kindamba et Bernard Tchibambeléla natif de Mbanza Ndounga dans la région du Pool, se sont battus comme le diable dans un bénitier en vue de conserver leur beefsteak ministériel. Cheville ouvrière de la déstabilisation du MCDDI aux côtés de Landry Euloge Kolelas, Bernard Tchibambeléla était à la fois la taupe de Sassou Nguesso au sein du MCDDI et le Brutus de Bernard Kolélas. Tribun hors pair formaté à l’école du marxisme et piètre politique, la justification d’Isidore Mvouba sur les bombardements des populations du Pool (C’était, plaida-t-il, les gens du Pool qui avaient imploré que Sassou leur largue des bombes sur la tête, pour déloger Ntoumi) lui colle à la peau comme la tunique de Nessus. Par conséquent, les sorts d’Isidore Mvouba et de Bernard Tchibambeléla n’ intéressent personne. Aucune larme versée pour ces deux canailles qui, de toute manière, méritent leur châtiment.

Monnaie de singe

La langue mbochi que pratique Isidore Mvouba avec maestria et la traîtrise assumée de Bernard Tchibambeléla , n’ont pas été des éléments suffisants pour que Denis Sassou Nguesso et ses compagnons de la révolution marxiste les reconduisent à un poste ministériel qui, de toute façon, n’a jamais été que décoratif. Combien d’usines installées, combien d’emplois industriels créés et quel est le prix du kilo de poisson ?

Isidore Mvouba et Bernard Tchibambeléla entreront dans l’histoire comme les Brutus ayant poignardé les leaders du Pool. Les habitants de la région bombardés avec leur aval (qui ne dit mot consent) auront toujours à leur égard la formule de Jules Auguste César : « Même vous nos fils ! ». Au bout du compte, comme Juda, les Pharisiens de la Cuvette les ont payés en monnaie de singe. A leur mort (c’est une façon de parler) leurs tripes comme celles d’Iscariote seront dévorées par des charognes après s’être pendu dans un champ qui portera les malédictions de la trahison. D’ailleurs avec l’assignation à résidence de Mvouba, le salaire du péché commence à lui être versé.

Isidore Mvouba et Bernard Tchibambeléla ont perdu leur maroquins ministériels. Ils sont inconsolables. Les habitants du Pool reçoivent des bombes sur la tête. Ils sont meurtris. Qui mérite la compassion ? Dans les deux cas, la réponse est claire.

Benjamin BILOMBOT BITADYS

Congo: Appel à Isidore Mvouba, Richard Mondjo et aux femmes des politiciens

avril 10, 2016

 

Par Clarisse Amour

Congo: Retour du Ministre Isidore Mvouba à Brazzaville, après une longue absence

septembre 20, 2013
Le ministre d’Etat Isidore Mvouba

Le ministre d’Etat Isidore Mvouba de retour

Ministère du développement industriel et de la promotion du secteur privé : Aussitôt revenu à Brazzaville, le ministre d’Etat Isidore Mvouba s’est mis au travail

Le ministre d’Etat Isidore Mvouba, ministre du développement industriel et de la promotion du secteur privé, est rentré à Brazzaville, dans la matinée du jeudi 19 septembre 2013, après un séjour médical de plus de cinq mois à Paris, en France. Il est arrivé par le régulier d’Air France, à Pointe-Noire où il a été accueilli par le préfet, Honoré Packa. Puis, il a pris un vol privé qui l’a conduit à l’aéroport international Maya-Maya, à Brazzaville, où les membres de son cabinet et des proches lui ont réservé.

Lasemainefricaine.net

Congo: L’UMP en session ordinaire et la longue disparition du ministre d’Etat Isidore Mvouba

septembre 17, 2013

Le bureau politique de l’U.m.p (Union pour un mouvement populaire), parti situé au centre, exige du gouvernement l’explication sur l’absence prolongée, au pays, du ministre d’Etat Isidore Mvouba, ministre du développement industriel et de la promotion du secteur privé. C’est ce qui ressort, entre autres, de sa 5ème session ordinaire tenue du 13 au 14 septembre 2013, dans la salle de conférences de l’hôtel Résidence Marina, à Brazzaville, sous la direction de son président, Elvis Girel Okombi-Tsalissan.

Préoccupé par la vie politique nationale, le bureau politique de l’U.m.p a abordé d’autres questions, comme le recensement administratif spécial, l’issue du procès sur les explosions du 4 mars 2012, la procédure judiciaire française sur l’affaire des disparus du beach, etc.

Analysant la situation politique nationale et internationale, le bureau politique de l’U.m.p a retenu, au plan national, la situation du 4 mars 2012. Selon lui, l’annonce et l’ouverture du procès avaient suscité l’espoir du peuple congolais, en général, et, en particulier, des victimes. Cependant, le bureau politique de l’U.m.p constate que le verdict rendu ne répond pas à la question de savoir ce qui s’était passé, le 4 mars 2012. Ce procès a donc laissé les Congolais sur leur soif de connaître la vérité sur ce drame.

A propos du recensement administratif spécial, l’U.m.p a émis ses réserves sur son déroulement et s’interroge sur le désintéressement des composantes politiques et de la société civile, d’une part, et de l’absence totale de sensibilisation, d’autre part. C’est pourquoi, l’U.m.p appelle à la mobilisation de tous, les acteurs politiques comme les populations pour la réussite de cette opération de recensement.

Sur le ministre d’Etat Isidore Mvouba, le bureau politique de l’U.m.p constate, à l’instar du peuple congolais, une absence prolongée non expliquée. De ce fait, au nom du principe de la transparence, l’U.m.p exige du gouvernement des explications, pour rassurer l’opinion nationale, face aux rumeurs qui circulent.

L’U.m.p condamne la reprise de la procédure judiciaire française sur l’affaire des disparus du beach et appelle le gouvernement à la responsabilité et suggère la convocation de l’ambassadeur de France au Congo pour lui manifester le mécontentement du peuple congolais. Sur le rejet par le sénat de la demande de la levée de l’immunité parlementaire du sénateur Nicolas Ikongo Logan, le bureau politique s’interroge sur la décision du sénat et demande, par conséquent, au procureur général de constituer le dossier.

Au plan international, la guerre en Syrie a retenu l’attention de l’U.m.p. Ce parti approuve la démarche proposée par la Russie et réaffirme son attachement à la résolution politique du conflit syrien.

Mais, concernant la situation de non droit qui prévaut en République Centrafricaine, il a émis de fortes inquiétudes. C’est pourquoi, il a appelé les différents médiateurs à multiplier les démarches vers une solution rapide, afin que le peuple centrafricain retrouve la paix.

L’U.m.p a salué l’ouverture de la concertation politique, fruit de la volonté politique des filles et fils de la RDC de régler leurs différends par le dialogue. Mais, le parti d’Elvis Girel Okombi-Tsalissan exprime son regret sur la situation politique en Egypte.

Enfin, l’U.m.p a réaffirmé son appartenance à l’idéologie libérale. De ce fait, le parti en appelle à la constitution d’une grande famille libérale au Congo. De même, il approuve la modification de la devise de l’U.m.p, qui, désormais, sera: «Tu ne voleras pas, tu ne mentiras pas, tu ne tueras pas».
Rappelons que l’ouverture de cette session ordinaire a été marquée par le discours du président de l’U.m.p qui a circonscrit le contexte dans lequel se tenait la 5ème session ordinaire du bureau politique et appelé les participants à faire preuve d’imagination, pour que les décisions prises soient à la hauteur des enjeux du moment.

Lasemaineafricaine.net par P-A DOKO

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Doing Busness : La République du Congo occupe la 183ème place

janvier 29, 2013

Selon le ministre d’Etat, ministre du développement industriel et de la promotion du secteur privé, Isidore Mvouba, en ce qui concerne le classement dans Doing Business, le Congo se place au 183ème rang sur 185 pays du classement du ’’Doing Busness’’ de la Banque mondiale. Il a donné cette information à l’ouverture d’un atelier sur le classement du Congo dans Doing Busness, organisé du 28 au 30 à Brazzaville par AfriContacts.


Doing Busness : La République du Congo occupe la 183ème place
En ce concerne l’octroi de permis de construire, pour un délai de plus de 160 jours, le Congo arrive à la 77ème place. En matière de transfert de propriété, il est au 126ème rang, soit une durée de 55jours. Pour la protection des investisseurs, le Congo tient le 153ème rang ; tandis que pour commerce transfrontalier, il occupe le 176ème rang. En matière de création d’entreprise, le Congo se situe au 176ème rang sur 183 pays.

Par ailleurs, le ministre d’Etat Isidore Mvouba a fait que depuis février 2009, un plan d’action pour l’amélioration du climat des affaires assorties d’une feuille de route était adopté. Les reformes à caractère institutionnel, juridique et règlementaire qui y figurent ne demandent qu’à être mises en œuvre.

«Un tel état de faits interpelle au plus haut point les décideurs que nous sommes. Nous devons donc prendre, sans délai, les mesures correctives qui s’imposent. Le temps nous est compté quand on sait que notre mauvais classement détourne notre pays d’un flux important des investisseurs directs étrangers», a-t-il indiqué.

Les grandes orientations du gouvernement en termes de reformes du climat des affaires, de développement des entreprises, et de la promotion des investissements dans le contexte général et de la diversification de l’économie, ont été prises en compte pour préciser l’objectif du projet et en dégager les principales composantes, à savoir : l’amélioration du climat des affaires ; le développement des entreprises et la promotion des investissements privés ; et le développement des infrastructures.

Isidore Mvouba a insisté qu’il était de devoir du gouvernement d’intérioriser la dynamique en cours. Cette dynamique exige de chaque membre du gouvernement une adaptation aux mécanismes de mise sur le pied d’une économie ouverte à grande valeur ajoutée qui prend appui sur les outils de gouvernance moderne.

Il a souligné la difficulté d’atteindre les rivages de la prospérité nationale sans la diversification de l’économie pour sortir de la dépendance pétrolière, qui rend aléatoire la marche de l’économie dans la durée. L’amélioration du climat des affaires pour mieux attirer les investissements privés exprime la volonté du Congo à atteindre cet objectif.

L’atelier se déroule dans le contexte d’une croissance économique soutenue que le Congo a connue au cours des cinq dernières années, avec une moyenne annuelle de 5%. Or, le directeur des opérations de la banque mondiale pour la République du Congo, Eustache Ouayoro a indiqué que si l’on tient compte de la croissance démographique évaluée à 3% par an, l’on constate que la croissance économique réelle du Congo n’est que de 2%. Ce qui reste insuffisant pour un pays qui dispose d’un grand potentiel. Au rythme de croissance actuelle, le produit intérieur brut (PIB) par habitant ne pourra doubler qu’à partir de 2027, soit dans 15ans, a-t-il dit.

Le rôle du secteur privé hors pétrole dans la croissance reste encore trop faible. Le niveau des investissements privés (hors secteur pétrolier) ne présent que 5% du PIB en 2012, contre 14% en moyenne dans l’Afrique subsaharienne et 25% en Asie.
C’est ainsi que pour M. Ouayoro, «si le Congo pouvait bénéficier d’une forte impulsion du secteur privé et pouvait générer d’une croissance à plus de 7% par an, le pays doublerait le PIB par habitant en moins de dix ans. L’enjeu est donc important».

 
Congosite.com