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Afghanistan: 3 soldats de l’Otan tués par un homme en uniforme afghan

septembre 21, 2013

KABOUL – Trois soldats de l’Otan ont été tués samedi dans l’est de l’Afghanistan par un homme portant un uniforme des forces afghanes, a annoncé sur Twitter la Force internationale de l’Otan dans le pays (Isaf).

Trois soldats de l’Isaf ont été tués par un homme portant un uniforme des forces de sécurité afghanes, qui leur a tiré dessus, a indiqué la coalition internationale, sans plus de précisions.

Le meurtre des soldats n’avait pas été revendiqué samedi en fin d’après-midi mais ce type d’attaque compte parmi les méthodes employées par les insurgés talibans pour tromper la vigilance des soldats de l’Otan et s’approcher au plus près de leur cible.

Ces ennemis de l’intérieur peuvent être des soldats afghans qui retournent leurs armes contre les Occidentaux par colère, ou par sympathie pour les rebelles.

Chassés du pouvoir en 2001 par une coalition internationale menée par les Etats-Unis, les talibans mènent depuis une guérilla meurtrière contre les forces gouvernementales afghanes et internationales.

Quelque 3.374 soldats de l’Otan ont été tués depuis le début du conflit, selon le site indépendant icasualties.org.

Romandie.com avec (©AFP / 21 septembre 2013 15h23)

Afghanistan: les talibans assassinent un responsable de la commission électorale

septembre 18, 2013

KUNDUZ (Afghanistan) – Des talibans ont assassiné mercredi un haut responsable de la commission électorale afghane dans le nord du pays, faisant craindre une nouvelle vague de violences à l’approche de la présidentielle d’avril, selon les autorités.

Amanullah Aman, chef de la Commission électorale indépendante (IEC) pour la province de Kunduz a été tué par des hommes armés circulant à moto près de chez lui, a déclaré à l’AFP le porte-parole du gouvernement local, Enayatullah Khaliq.

Deux hommes armés ont ouvert le feu en direction de son véhicule. Il a succombé à ses blessures à l’hôpital, a-t-il ajouté. Le numéro deux de la police locale, Ebadullah Talwar, a confirmé son décès.

La province de Kunduz, limitrophe du Tadjikistan, est située dans le nord de l’Afghanistan, une région moins touchée par l’insurrection talibane, sans en être épargnée.

Les talibans, hostiles à ce scrutin qu’ils considèrent comme une perte de temps, ont revendiqué le meurtre dans un bref communiqué diffusé sur leur site internet.

L’IEC a pour sa part rendu hommage à Aman, un des membres les plus honnêtes et expérimentés de la Commission électorale indépendante, a déclaré dans un communiqué une porte-parole de la commission, Marzia Siddiqi Salim.

Sa mort est une grande perte pour l’IEC et le processus démocratique en Afghanistan, a-t-elle ajouté.

Le meurtre de M. Aman est le premier d’un haut responsable de la commission électorale à l’approche de la présidentielle du 5 avril devant permettre de désigner le successeur de Hamid Karzaï, qui ne peut briguer un troisième mandat à la tête de l’Etat, selon la Constitution.

Cette présidentielle doit marquer la première transition démocratique en Afghanistan, de surcroît dans un contexte d’incertitudes alimenté par le retrait prévu fin 2014 des soldat de l’Otan.

Le compte à rebours pour ce scrutin a véritablement commencé lundi avec l’ouverture de la période de dépôt des candidatures, qui se poursuit jusqu’au 6 octobre.

Les noms d’Abdullah Abdullah, rival de M. Karzaï lors de la présidentielle de 2009, d’Abdul Rasul Sayyaf, ancien seigneur de guerre, de l’ex-ministre des Finances Ashraf Ghani, ou encore du ministre des Affaires étrangères, Zalmai Rassoul, sont souvent cités comme d’éventuels présidentiables.

Les autorités afghanes, comme les bailleurs de fonds étrangers, craignent que ne se reproduise le climat de la présidentielle de 2009, minée par des fraudes et endeuillée par des violences.

Une bonne élection serait favorable à ma réputation, a déclaré mardi le président Karzaï, promettant de rester neutre et de mettre fin aux interventions étrangères dans la politique locale.

S’ils boycottent la présidentielle, les talibans sont néanmoins conviés par le pouvoir à Kaboul à des pourparlers dans l’espoir de pacifier le pays à l’approche de ce scrutin et du retrait des soldats de l’Otan.

Les insurgés refusent toutefois de discuter directement avec le président Karzaï qu’ils considèrent comme une marionnette des Etats-Unis.

Romandie.com avec (©AFP / 18 septembre 2013 14h29)

Frappes en Syrie, la Maison Blanche reconnaît les risques

septembre 8, 2013

WASHINGTON (District of Columbia) – Le secrétaire général de la Maison Blanche a reconnu dimanche que des frappes américaines en Syrie pouvaient conduire au risque de se retrouver traîné au milieu d’une guerre civile, comme celui de représailles.

Les risques de frappes sont multiples, a reconnu dimanche Denis McDonough sur CNN, l’un des nombreux plateaux où il était présent dimanche, dont celui de se retrouver traîné au milieu d’une guerre civile en cours.

Nous devons faire très attention, être précis dans notre ciblage, limité dans notre engagement pour justement ne pas s’y retrouver traîné dedans, a-t-il ajouté, répétant le caractère limité des frappes envisagées. Ce n’est pas l’Irak ou l’Afghanistan, ce n’est pas la Libye.

Réaffirmant qu’il n’y aurait pas de troupes au sol, il a néanmoins refusé de répondre à une question sur la mobilisation éventuelle d’avions de combat.

Il y a aussi, c’est évident, un risque de réaction et de représailles contre nos amis. Nous nous préparons à toute éventualité et nous sommes prêts, a-t-il ajouté.

M. McDonough s’est félicité par ailleurs du soutien apporté par de nombreux amis qui se tiennent à côté de nous.

L’Union européenne dit que le gouvernement syrien doit être tenu pour responsable. On n’en est plus à débattre si (l’attaque par armes chimiques du 21 août) a eu lieu ou non, c’est important, dit-il.

Il s’est néanmoins refusé à préciser si des soutiens en équipement ou troupes avaient été promis par un autre pays laissant entendre que tel n’était pas le cas à ce stade.

Le secrétaire général a par ailleurs affirmé sur la chaîne Fox qu’il était trop tôt pour parvenir à une conclusion sur le nombre de voix au Congrès en faveur de l’intervention. J’ai parlé avec des dizaines d’élus cette semaine (…) Nous n’avons pas l’intention de perdre le vote, a-t-il ajouté.

La question posée au Congrès, qui doit en débattre à partir de cette semaine, est de savoir s’il faut répliquer à cette attaque chimique horrible, a-t-il martelé.

L’administration Obama ne ménage pas sa peine depuis plusieurs jours pour convaincre les élus et l’opinion du bien-fondé d’une intervention limitée en Syrie.

Le président enregistrera lundi après-midi des interviews qui seront diffusées lundi soir sur toutes les grandes chaînes américaines, a annoncé un responsable de la Maison Blanche. Et mardi soir, il s’adressera au pays depuis le bureau Ovale.

M. McDonough s’est aussi refusé à dire ce que ferait le président Obama en cas de rejet par le Congrès du recours à la force.

Interrogé à ce sujet sur ABC, le sénateur républicain Ted Cruz a affirmé qu’il serait contraire à la Constitution que l’administration Obama mène sans l’accord du Congrès une intervention qui serait pour lui une erreur.

L’administration Obama poursuit le mauvais objectif, et il n’y a pas de plan valable pour que (l’intervention) soit un succès, a-t-il dit.

Le représentant républicain Mike Rogers s’est dit pour sa part sur CBS sceptique. Nous avons un commandant en chef qui malgré lui vient devant le peuple américain dire qu’il faut faire quelque chose mais pas trop. Ils ne sont pas surs de ce qu’ils veulent faire. C’est ce qu’entendent les Américains, et en entendant cela, je suis sceptique aussi.

Romandie.com avec (©AFP / 08 septembre 2013 17h35)

Afghanistan: une écrivaine indienne assassinée par les talibans

septembre 5, 2013

KABOUL – L’écrivaine indienne Sushmita Banerjee, auteur d’un livre racontant comment elle avait fui le régime des talibans dans les années 1990, a été assassinée mercredi soir par des insurgés à son domicile dans l’est de l’Afghanistan, a indiqué jeudi le chef de la police locale.

Nous avons retrouvé ce matin son corps criblé de balles près d’une école, dans les environs de la ville de Sharan, capitale de la province de Paktika, a déclaré à l’AFP Dawlat Khan Zadran, chef de la police locale, confirmant une information des médias indiens.

Romandie.com avec (©AFP / 05 septembre 2013 17h02)

Nigeria: le chef présumé de Boko Haram affirme que l’armée a été en partie repoussée

mai 28, 2013

KANO (Nigeria) – Le chef présumé de Boko Haram affirme, dans une vidéo visionnée mardi par l’AFP, que le groupe islamiste a enregistré plusieurs victoires depuis le début de l’offensive de l’armée nigériane, le 15 mai, dans le nord-est du Nigeria, et n’a eu à déplorer que peu de pertes.

La vidéo, dans laquelle les islamistes d’autres pays sont appelés à rallier la lutte au Nigeria, est le premier commentaire public d’Abubakar Shekau depuis le début de l’opération militaire.

La vidéo ne permet pas de déterminer où se trouve le chef présumé de Boko Haram, qui est assis dans une tenue de camouflage, un turban sur la tête et un fusil AK-47 près de lui.

Ses déclarations contredisent les communiqués de l’armée, qui a affirmé avoir enregistré plusieurs victoires dont la destruction de bases du groupe islamiste et plusieurs dizaines d’arrestations.

Aucune vérification n’a pu être faite de façon indépendante, l’armée ayant coupé les réseaux de téléphonie mobile dans la majeure partie du Nord-Est et l’accès aux zones les plus reculées étant restreint.

Depuis le début de cette guerre qu’ils appellent +état d’urgence+ (…) dans certains cas, les soldats que nous avons affrontés ont pris la fuite en courant, déclare Abubakar Shekau dans une vidéo d’environ une heure.

Shekau appelle les islamistes de plusieurs pays du monde dont l’Afghanistan, le Pakistan et l’Irak à participer à la lutte pour la création d’un Etat islamique au Nigeria.

Nous appelons nos frères, dans les pays que j’ai cités. Oh! Nos frères, venez à nous, implore-t-il dans la vidéo, dans laquelle il s’exprime tour à tour en arabe et en haoussa, la langue la plus parlée dans le nord du Nigeria.

Plus loin, la vidéo montre des véhicules et des armes de l’armée que Boko Haram dit avoir saisi.

Abubakar Shekau, considéré par les Etats-Unis comme un terroriste à l’échelle mondiale, répète ce qu’il a déjà dit par le passé: Boko Haram ne cessera pas d’enlever des femmes et des enfants tant que vous ne libèrerez pas nos femmes, nos enfants et nos frères.

Le but de Boko Haram, dit-il, est de créer une Etat islamique, une de ses revendications récurrentes, ou un royaume des martyrs.

La vidéo a été transmise à l’AFP par un intermédiaire, de la même manière que les précédents messages de Boko Haram. L’homme présenté comme Shekau est le même que celui présent dans d’autres vidéos par le passé.

Le Nigeria a lancé une vaste offensive armée contre Boko Haram après l’annonce, par le président Goodluck Jonathan, de l’état d’urgence dans le nord-est du pays, fief du groupe islamiste.

Plusieurs milliers de soldats ont été déployés dans trois Etats de cette région et des raids aériens ont été lancés contre des bases présumées de Boko Haram.

Le 20 mai, l’armée a déclaré avoir repris cinq zones reculées du Nord Est tombées aux mains des islamistes.

Selon ce dernier communiqué, l’armée a annoncé l’arrestation de 25 insurgés, qui viennent s’ajouter aux 120 annoncés précédemment, et la mort de trois autres, pendant le week-end, dont un dénommé Abba qui faisait partie des hommes les plus recherchés. Un soldat a également été tué lors des dernières opérations, selon l’armée.

Les soldats des forces spéciales ont intercepté des messages envoyés aux insurgés en fuite, leur demandant de ne pas baisser les bras et de se battre jusqu’au bout, ajoute le communiqué militaire.

La tentative de certains d’entre eux de répondre à cet appel a été déjouée pendant le week-end, alors qu’ils se dirigeaient vers des villages près de la frontière, où ils devaient se retrouver, ajoute le texte.

La semaine dernière, l’armée a aussi annoncé avoir libéré trois femmes et six enfants retenus en otage par Boko Haram.

Le gouvernement nigérian s’est aussi engagé, à des fins d’apaisement, à libérer des suspects emprisonnés en lien avec l’insurrection islamiste dont toutes les femmes et les enfants.

Selon l’ONG Human Rights Watch, les attaques de Boko Haram et la répression de l’insurrection par les forces de sécurité ont fait 3.600 morts depuis 2009.

Romandie.com avec (©AFP / 28 mai 2013 18h24)

ALERTE – Afghanistan: cinq soldats de l’Otan tués par l’explosion d’une bombe

mai 4, 2013

KABOUL – Cinq soldats de la force de l’Otan ont été tués samedi par l’explosion d’un engin piégé dans le sud de l’Afghanistan, a annoncé la force de l’Otan sans préciser la nationalité des victimes ni les circonstances de l’explosion.

Des soldats américains et britanniques sont majoritairement déployés dans le sud de l’Afghanitan, une place forte de l’opposition armée des talibans.

Romandie.com avec (©AFP / 04 mai 2013 15h09)

Afghanistan: quatre membres de l’Otan tués dans le crash d’un avion

avril 27, 2013

KABOUL – Quatre militaires de la coalition de l’Otan ont été tués samedi dans la chute d’un avion dans le sud de l’Afghanistan, a annoncé la force de l’Otan.

Une enquête est en cours pour déterminer la cause de la chute de l’appareil. De premiers éléments indiquent cependant qu’il n’y avait aucune activité ennemie dans la région au moment du crash, selon un communiqué qui ne précise pas le type d’appareil ni la nationalité des victimes.

Romandie.com avec (©AFP / 27 avril 2013 19h19)

Arrivée à Conakry de 28 Guinéens expulsés de la Belgique

avril 25, 2013
Guinéens expulsés de Belgique

Guinéens expulsés de Belgique

Vingt-huit Guinéens sont arrivés à Conakry, en provenance de la Belgique d’où ils ont été expulsés, a appris APA jeudi de sources concordantes.
Selon des sources policières, l’expulsion collective de ces ressortissants guinéens a été organisée mercredi par l’Office belge des étrangers depuis l’aéroport de Melsbroek. Les mêmes sources précisent que les ressortissants guinéens qui sont en situation irrégulière en Belgique ont été rapatriés par avion militaire via Dakar au Sénégal.

Selon l’Office belge des étrangers, les expulsés sont des demandeurs d’asile ayant été déboutés de leur requête après avoir épuisé tous les recours.

Récemment, le directeur général de l’Office belge des étrangers, Freddy Roosement, avait, au terme de son troisième séjour en Guinée, expliqué que les statistiques des demandeurs d’asile de ressortissants guinéens résidents en Belgique sont en baisse en 2012, passant de 2 134 cas en 2011 à 1 808 en 2012.

Selon les mêmes chiffres, la Guinée est deuxième des pays demandeurs d’asile en 2012 avec 1 808 cas, derrière l’Afghanistan premier avec 2 635 cas, suivi de la Russie troisième avec 1 470, de la République démocratique du Congo pour 1 334 demandes.

En dépit de cette légère baisse par rapport à l’année 2011, M. Roosemont se dit inquiet face aux tendances du premier trimestre de 2013, où l’Afghanistan et la Guinée sont au coude à coude, 444 cas pour l’un contre 442 pour l’autre, suivie de la RDC 303.

La Guinée, autrefois dirigée par une dictature civilo-militaire, a renoué avec la démocratie au lendemain de l’élection de l’opposant historique, Alpha Condé, en 2010.

Le nouvel élu, qui promettait le changement et la rupture pendant la campagne, est confronté aux réalités du terrain. Conséquence, les jeunes attirés par l’eldorado européen partent à la recherche du mieux-être, souvent dans des conditions illégales.

Outre le chômage et la pauvreté, d’autres jeunes disent fuir les exactions du nouveau régime secoué depuis 2011 par des manifestations politiques et d’autres violences communautaires.

APA-Conakry (Guinée)

ALERTE – Afghanistan: sept kamikazes tués dans une attaque dans l’est

mars 25, 2013


KABOUL – Sept kamikazes portant tous des explosifs ont été tués lors d’une attaque complexe contre une base de la police à Jalalabad, principale ville de l’est de l’Afghanistan, qui a fait au moins cinq morts chez les forces de l’ordre, a-t-on appris de source policière.

Un premier assaillant a fait exploser la voiture qu’il conduisait, permettant à deux autres hommes d’entrer dans le site et de faire détonner leur charge, les quatre autres kamikazes étant abattus par la police, qui compte cinq morts dans ses rangs, a indiqué à l’AFP Hazrat Hussain Mashriqiwal.

Romandie.com avec (©AFP / 26 mars 2013 04h09)

Le Prince Harry menacé de mort

septembre 10, 2012

Les talibans veulent sa peau

 
Le Prince Harry menacé de mortLe Prince Harry menacé de mortLe Prince Harry menacé de mort
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La base du prince Harry, actuellement en Afghanistan, est une des principales cibles des forces ennemies : « Nous allons faire de notre mieux pour tuer le prince » a déclaré aujourd’hui un porte-parole des talibans.

Finalement, le prince Harry pourrait rentrer plus tôt d’Afghanistan : envoyé pour quatre mois sur le terrain, le capitaine Wales, comme on l’appelle dans l’armée, n’est pas en sécurité à Camp Bastion, la base de la province d’Helmand où il a atterri en fin de semaine dernière. Notons déjà que le sud de l’Afghanistan n’est pas le meilleur endroit du monde pour maintenir un prince en vie. Mais avec les déclarations faites aujourd’hui par Zabihullah Mujahid, un porte-parole des talibans, le risque devient beaucoup plus grand.

« Nous allons faire de notre mieux pour tuer le prince Harry et les autres membres des forces britanniques basés à Helmand » a prévenu le porte-parole. Dans un entretien téléphonique avec des journalistes de Reuters, il a ajouté que le but de l’opération n’était pas de parlementer. Zabihullah Mujahid a parlé du « plan très important » qui impliquait la mort du capitaine Wales. « Nous ne cherchons pas à le kidnapper, mais à le tuer » a-t-il précisé.

Pour sa deuxième mission en Afghanistan, le prince Harry a un sacré comité d’accueil. Envoyé là-bas en décembre 2007, il avait été rapatrié en mars 2008, pour des raisons de sécurité. Cette fois, il y a peu de chances qu’il tienne aussi longtemps : même si le ministère de la défense du Royaume-Uni a tenté de rassurer en disant que« tous les risques avaient été et continueront à être écartés », la présence d’Harry, troisième dans l’ordre de succession pour le trône, n’est peut-être pas nécessaire dans une zone aussi dangereuse que la province d’Helmand.

Voici.fr par M.A