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États-Unis: Joe Jackson, père de Michael Jackson, est mort

juin 28, 2018

Manager des Jackson Five, il avait la réputation de mener son monde à la baguette. Ses enfants ont raconté cette violence des années plus tard.

 

Joe Jackson, à Los Angeles (Californie), en septembre 2011.
Joe Jackson

 

Joseph Walter « Joe » Jackson, qui a été le manager de ses enfants, en particulier du groupe The Jackson Five, et est à l’origine de leurs carrières en solo, dont celles de Michael Jackson (1958-2009) et de Janet, est mort mercredi 27 juin, dans un hôpital de Las Vegas (Nevada), des suites d’un cancer du pancréas, à l’âge de 89 ans. L’information a été annoncée par sa famille. Depuis le 21 juin des nouvelles circulaient sur des sites people concernant la dégradation de son état de santé.

Ainé des cinq enfants de sa mère et de son père, professeur, Joe Jackson est né le 28 juillet 1928, à Fountain Hill, un village de l’Arkansas. Lorsque ses parents divorcent, il est âgé de 12 ans et part avec son père en Californie. Il s’installera plusieurs années après dans la région de Chicago (Illinois), où vit sa mère. C’est là qu’il commence à travailler, comme grutier et soudeur, tout en pratiquant la boxe.

En novembre 1949, il épouse, en secondes noces, Katherine Scruse. En janvier 1950, le couple s’installe à Gary, dans l’Indiana, où naîtront leurs dix enfants – Brandon, jumeau de Marlon, meurt un jour après sa naissance en mars 1957.

Après la boxe, qu’il abandonne, il caresse un temps l’idée de devenir musicien professionnel, guitariste au sein d’une formation de rhythm’n’blues, The Falcons, qui s’arrête en 1952. Son rêve se fera une décennie plus tard par l’intermédiaire de ses enfants.

Au début des années 1960, les trois garçons – Jackie, né en 1951, Tito, né en 1953, et Jermaine, né en 1954 – forment le groupe vocal The Jackson Brothers. Leur père leur fait répéter plusieurs heures par jour, avant et après l’école, des pas de danse et des parties vocales. La troupe commence à être connue localement. Marlon, né en 1957, et Michael, en 1958, intègrent bientôt la formation, qui devient The Jackson Five.

Un père violent

En 1967, le groupe, qui a gagné quelques concours de jeunes talents, tourne régulièrement. Durant cette période d’apprentissage, Joe Jackson menait son monde littéralement à la baguette. Une erreur, une mise en place incertaine sont punies d’une forte gifle, d’un coup de ceinturon. Ce que frères et sœurs révéleront lors d’entretiens des années plus tard. Le temps passant, le discours officiel de la famille étant que c’était ainsi que l’on éduquait les enfants à l’époque.

Joe Jackson, en 2005.

A l’été 1968, la chanteuse Gladys Knight, qui a découvert le groupe, le recommande auprès de la grande compagnie phonographique de soul music Motown Records. Il faudra toutefois attendre août 1969 et le parrainage d’une autre chanteuse de la maison, Diana Ross, pour que débute aux Etats-Unis la « Jacksonmania ».

Les tubes se succèdent : I Want You Back, ABC, I’ll Be There, The Love You Save… les concerts aussi. Une série télévisée animée en 1971 et 1972 est consacrée au groupe. Dans le même temps, les responsables de Motown misent sur une carrière solo de Michael Jackson, qui enregistre son premier album sous son nom en 1972.

En 1975, Joe Jackson négocie un nouveau contrat avec la compagnie phonographique Epic Records. Le groupe devient The Jacksons. Randy, né en 1961, remplace bientôt Jermaine, les sœurs Rebbie, née en 1950, LaToya, en 1956, et Janet, en 1966, rejoignent la formation à l’occasion sur scène.

En plus de ses activités de manager, Joe Jackson fonde une compagnie de disques, Ivory Tower International Records, qui ne laissera guère de traces.

Victory Tour

Ses enfants devenant adultes, l’emprise paternelle s’atténue. Il a permis, en signant chez Epic, qu’ils obtiennent le contrôle artistique de leurs enregistrements (ils produisent Destiny, en 1978), mais peu à peu il devient moins décisionnaire.

Au sein de The Jacksons, le succès international des albums en solo de Michael, Off The Wall (1979) et Thriller (1982), va peu à peu éloigner le jeune chanteur du groupe. Il participe au Triumph Tour de 1981 et enregistre son dernier album avec eux, Victory, en 1984. L’album et le Victory Tour de juillet à décembre 1984 ont réuni les six frères.

En 1982, Joe Jackson prend encore en charge la carrière de sa dernière fille, Janet. Il obtient pour elle un contrat chez A & M Records, supervise la réalisation de son premier album, Janet Jackson, suivi de Dream Street, en 1984. En 1986, Janet Jackson prend, après ses frères et sœurs, son indépendance artistique, change de manager et débute une collaboration à succès avec les producteurs Jimmy Jam et Terry Lewis.

Lemonde.fr  par Sylvain Siclier

États-Unis: Las Vegas, un homme abat 58 personnes, le FBI écarte la piste jihadiste

octobre 2, 2017

Les lieux de la fusillade qui a fait au moins 58 morts le 2 octobre 2017 à Las Vegas / © AFP / Mark RALSTON

Un sexagénaire américain a tué 58 spectateurs d’un concert en plein air dimanche soir à Las Vegas, commettant la pire fusillade de l’histoire moderne des Etats-Unis. Les autorités ont réfuté « à ce stade » tout lien avec l’organisation Etat islamique, qui a revendiqué la tuerie.

Perché dans un étage élevé d’un hôtel adjacent, surarmé, le tireur était un Américain blanc de 64 ans, Stephen Craig Paddock. Il s’est suicidé avant que les policiers ne l’atteignent.

Le groupe Etat islamique a affirmé, via son organe de propagande Amaq, que l’homme s’était converti à l’islam il y a plusieurs mois et qu’il en était un « soldat », sans toutefois étayer cette affirmation.

Mais le FBI a déclaré, peu après, n’avoir établi « aucun lien à ce stade avec un groupe terroriste international ».

Le bilan humain n’a cessé d’augmenter au cours de la nuit et dans la matinée de lundi: il est désormais de 58 morts et 515 blessés, dépassant celui de la boîte gay d’Orlando en juin 2016, quand 49 personnes avaient péri.

Le président Donald Trump, lors d’une déclaration à la Maison Blanche en milieu de matinée, n’a rien dit sur l’état de l’enquête, consacrant son allocution à un appel à l’unité de la nation. Il se rendra mercredi à Las Vegas.

« Notre unité de ne peut pas être brisée par le mal, nos liens ne peuvent pas être défaits par la violence et, bien que nous ressentions de la colère face à l’assassinat insensé de nos compatriotes, c’est l’amour qui nous définit aujourd’hui », a-t-il déclaré, sans répondre aux questions de la presse.

Stephen Paddock s’était installé au 32e étage de l’hôtel Mandalay Bay, massif établissement qui offrait une vue dégagée sur le festival de musique country « Route 91 Harvest ».

– Longues rafales –

Plus de 22.000 spectateurs écoutaient alors le chanteur Jason Aldean, en pleine chanson. Des images amateurs montrent l’incrédulité puis la panique peu après les premiers tirs, vers 22H08 heure locale dimanche.

De longues et terribles rafales sont audibles. Entre les tirs, des gens tentent une échappée, sautant comme ils le peuvent des barrières. D’autres se couchent à plat ventre, certains protégeant de leurs corps les plus vulnérables.

Les mobiles du tireur sont inconnus à ce stade. Dans la nuit la police s’était déjà refusée à évoquer la piste terroriste, le shérif de Las Vegas Joseph Lombardo qualifiant l’homme de « loup solitaire ».

Stephen Paddock, 64 ans, habitait la ville de Mesquite, 18.000 habitants, située à quelque 120 kilomètres de Las Vegas, toujours dans le Nevada.

Il était arrivé au Mandalay Bay le 28 septembre et y a apporté lui-même les armes, a déclaré le shérif, sans que le personnel de l’hôtel n’ait rien remarqué. A l’aide d’un outil comme un marteau, il a brisé les vitres de la chambre pour pouvoir mieux tirer.

Le shérif a déclaré que l’homme s’est suicidé avant que les unités d’intervention de la police ne pénètrent de force dans sa chambre. Plus de 10 fusils y ont été retrouvés.

La police avait dans les heures suivant la fusillade lancé un avis de recherche pour la compagne du tireur, Marilou Danley. Les forces de l’ordre ont finalement pu lui parler. Elle se trouve à l’étranger, sans précision du pays, et n’est pas suspectée d’être impliquée.

Le frère du tueur, Eric Paddock, est apparu stupéfait devant les caméras. Son frère, a-t-il dit, n’avait « pas d’affiliation religieuse ou politique » et « n’était pas du tout un fan des armes ».

– ‘Au-delà de l’horreur’ –

Les rafales ont commencé alors que le chanteur Jason Aldean se produisait sur scène. Lui et son groupe sont sains et saufs. « La soirée a été au-delà de l’horreur », a-t-il écrit sur Instagram.

« On a entendu pop-pop-pop-pop. On a pensé que c’était des feux d’artifice ou des pétards. Et on a réalisé que ce n’était pas le cas, que c’étaient des coups de feu », a raconté une spectatrice, Monique Dekerf à la chaîne CNN.

Le son des rafales, audible dans quantité de vidéos amateurs, ressemble à celui émis par les armes automatiques, où un tireur peut garder son doigt appuyé sur la détente pour continuer à tirer de façon continue. Ces armes sont interdites depuis les années 1930 aux Etats-Unis, mais les versions semi-automatiques, où il faut relâcher la gâchette entre chaque balle, sont autorisées à la vente.

Plusieurs dirigeants étrangers ont réagi à la tragédie, notamment la Première ministre britannique Theresa May et le président français Emmanuel Macron. « Pensée émue pour nos partenaires et amis américains qui ont eu à subir la violence contemporaine à il y a quelques heures », a-t-il écrit sur Twitter.

Romandie.com avec(©AFP / 02 octobre 2017 18h45)

L’EI revendique la fusillade de Las Vegas(organe de propagande)

octobre 2, 2017

Beyrouth – Le groupe Etat islamique (EI) a revendiqué lundi la fusillade perpétrée à Las Vegas qui a fait au moins 50 morts, en affirmant que son auteur, un sexagénaire américain, s’était « converti à l’islam il y a quelques mois ».

« L’auteur de l’attaque de Las Vegas est un soldat de l’Etat islamique, il a perpétré l’opération en réponse aux appels (de l’organisation) à prendre pour cible les pays de la coalition » internationale emmenée par les Etats-Unis pour lutter contre les jihadistes, a indiqué Amaq, l’organe de propagande de l’EI.

Un Américain de 64 ans a tué dimanche soir au moins 50 spectateurs d’un concert en plein air à Las Vegas, commettant la pire fusillade de l’histoire moderne des Etats-Unis.

Perché dans un hôtel adjacent, surarmé, le tireur a été identifié comme Stephen Craig Paddock. Il s’est apparemment suicidé avant que les policiers ne l’atteignent.

« L’auteur de l’attaque de Las Vegas s’est converti à l’islam il y a quelques mois », souligne Amaq, dans un deuxième communiqué partagé sur le réseau social Telegram.

Jeudi, le chef de l’EI, Abou Bakr al-Baghdadi, était sorti d’un long silence pour demander à ses combattants acculés en Syrie et en Irak à « résister », tout en appelant à de nouvelles attaques contre les « ennemis » du groupe.

Il avait ainsi appelé « les soldats du califat et les héros de l’islam » à poursuivre leur « jihad » (guerre sainte) et leurs attaques. « Déclenchez la guerre contre votre ennemi (…) partout ».

Une coalition internationale emmenée par Washington intervient militairement en Irak et en Syrie en soutien à des forces locales qui luttent contre les jihadistes de l’EI.

Romandie.com avec(©AFP / 02 octobre 2017 16h50)                                            

Décès de l’humoriste américain Jerry Lewis à 91 ans

août 20, 2017

Washington – L’humoriste et acteur américain Jerry Lewis, aussi à l’aise sur scène que devant ou derrière la caméra, est décédé dimanche à l’âge de 91 ans, a annoncé son agent.

Artiste complet, inlassable créateur de gags au comique essentiellement visuel, Jerry Lewis est décédé à son domicile de Las Vegas, précise le magazine américain Variety.

Né Joseph Levitch à Newark (New Jersey, est), le 16 mars 1926, dans une famille juive d’origine russe, cet homme au visage poupin semblait avoir conservé toute son enfance au fond de son regard étonné.

« On n’est pas sérieux lorsqu’on a perpétuellement neuf ans », affirmait celui que ses parents, tous deux artistes de music hall, appelaient Monsieur Néon.
Fausses dents, faux nez, de haute taille, il jonglait avec les infirmités. Son art du dédoublement trouva son apogée dans « The Nutty Professor » (Docteur Jerry et Mister Love).

Acteur dans plus de 60 films, Jerry Lewis fut aussi producteur et metteur en scène.

Sa rencontre avec le chanteur Dean Martin, en 1946, fut déterminante. Après leur participation au fameux Ed Sullivan Show (1948), ils furent engagés par la Paramount et, dès leur premier film, « My friend Irma » (Ma bonne amie Irma), ils séduisirent un large public.

Dix ans plus tard, ils décidèrent de faire carrière en solo.

Jerry Lewis devient le principal interprète de films souvent dirigés par Frank Tashlin, comme « The Geisha Boy » (Le kid en kimono) et « Cinderfella » (Cendrillon aux grands pieds).

Devenu professeur de cinéma à l’université de Californie du Sud, il réalisa « Which Way To The Front » (Ya,Ya, mon général), hommage à Chaplin et nouvelle variation sur le thème favori du double.

Après dix ans d’absence au cinéma, « l’idiot burlesque » retrouva son public dans « Hardly working » (Au boulot Jerry) avant que Martin Scorsese, en 1983, et Emir Kusturica, en 1991, lui offrent un rôle dramatique, respectivement dans « The King of Comedy » (La valse des pantins) et « Arizona Dream ».

Parallèlement à ses activités artistiques, Jerry Lewis, père de sept enfants, s’occupait activement des handicapés physiques et mentaux. Son engagement constant dans la lutte contre la dystrophie musculaire, avec l’animation, depuis 1966, d’un téléthon pour les myopathes, lui valut une nomination au prix Nobel de la Paix.

Romandie.com avec(©AFP / 20 août 2017 20h40)                                            

VIDÉO. Céline Dion: « Je ne vivrai jamais sans René. Il sera toujours avec moi »

février 25, 2016

Très émue, Céline Dion a effectué son retour sur scène le 23 février à Las Vegas. C'est son premier concert depuis la mort de son mari et manager, René Angélil.

Très émue, Céline Dion a effectué son retour sur scène le 23 février à Las Vegas. C’est son premier concert depuis la mort de son mari et manager, René Angélil.Celinedion.com/capture écran

Céline Dion est remontée sur scène pour la première fois depuis le décès de son mari et manager. Elle a commencé son concert par un émouvant hommage à René Angélil.

 » Ce spectacle, c’est ma façon de vous donner tout mon amour en retour. Merci d’être là, je vous aime. » Céline Dion est remontée sur la scène du Caesars Colloseum de Las Vegas, ce mardi 23 février au soir. Elle a décidé d’honorer son mari René Angélil non seulement en reprenant ses concerts, mais également en instaurant 10 minutes d’hommage au début des quatorze représentations prévues d’ici à fin mars. Mais ce premier soir, elle a prononcé un long discours, emprunt d’émotion et même d’humour. Pour « célébrer » ce retour, la star avait décidé de diffuser en direct la soirée sur son site Internet.

La scène s’est ouverte sur un portrait de René Angélil, avec les dates 1942-2016 inscrites en-dessous. Puis un écrit de la chanteuse canadienne: « J’ai compris que ma carrière était, d’une certaine façon, son chef-d’oeuvre, sa chanson, sa symphonie. L’idée de la laisser inachevée l’aurait terriblement heurté. J’ai réalisé que s’il nous quittait, il me fallait continuer sans lui, pour lui. »

Puis des photos et vidéos retraçant la vie de René Angélil ont été diffusées, de lui bébé à ses derniers jours: en famille, en coulisses lors des concerts et émissions télé, sur scène… Des vidéos très intimes, même, notamment une échographie lors de la seconde grossesse de Céline Dion.

La présentation de la vie de René Angélil dévoilait notamment des moments intimes, comme une échographie.

La présentation de la vie de René Angélil dévoilait notamment des moments intimes, comme une échographie.Celinedion.com/capture écran

La séquence s’est terminée sur les paroles du défunt, tournées avant un show à Las Vegas: « Merci beaucoup, faites un super [concert] ce soir. » Puis Céline Dion est apparue, seule sur scène, vêtue d’une longue robe à séquins noire, à décolleté et fendue devant. Le public l’a accueilli avec une standing ovation. Visiblement émue, la star reprend son souffle, puis entame la chanson One More Look At You/Watch Closely Now de Barbra Streisand.

« Il a toujours été sur scène avec moi »

S’en est suivie une nouvelle standing ovation du public. Céline Dion, retenant difficilement des larmes, a remercié le public. « Merci, a-t-elle dit la gorge serrée. J’avais répété cette chanson dans ma loge et cela s’était bien mieux passé. Toute ma vie, je n’avais d’yeux que pour mon mari, qui était là, assis chaque soir. Les gens pensaient que je le regardais tout le temps. Mais en fait non, je n’en avais pas besoin, car à chaque fois que je ferme mes yeux, je le sens près de moi sur scène. Qu’il soit dans la salle, en coulisses ou à la maison avec les enfants, il a toujours été sur scène avec moi. Et cela ne changera jamais. René m’a toujours entouré des meilleurs. Je lui faisais tellement confiance que je n’ai jamais eu à m’inquiéter de quoi que ce soit. Aujourd’hui, naturellement, je doute de tout: aurait-il laissé les enfants jouer avec ce jouet? Cette chanson est-elle trop rapide? Ou trop lente? Ne parle pas trop sur scène! C’est incroyable, depuis qu’il n’est plus physiquement avec moi, il est encore plus présent. »

Et de continuer: « René était mon meilleur critique. Il ne me disait jamais ce que je voulais entendre, mais ce que je devais entendre. Après chaque concert [à Las Vegas], en rentrant à la maison, quand il était trop silencieux, je savais qu’il cherchait une façon de me parler, sans me vexer. Il y a des choses qu’il devait me dire, pour que j’avance. René est le seul homme que j’ai connu toute ma vie. J’avais toujours l’impression que c’était notre premier rendez-vous. N’est-ce pas incroyable? Il ne parlait jamais sèchement, mais toujours en douceur, avec subtilité. Nous ne formions qu’un. Et rien n’a changé. Nous ne formerons toujours qu’un. Je n’entends pas encore sa voix, mais je lui parle. Je pense à lui, tout le temps. Je sens, je sais qu’il m’entend. D’une façon ou d’une autre, il me donnera un signe, pour me dire s’il est d’accord ou pas. Et là, je l’entends me dire de me la fermer et de commencer à chanter! Merci beaucoup, merci d’être là ce soir. »

« Le concert le plus difficile de ma carrière »

La star a ensuite terminé son discours en français: « Je ne vivrai jamais sans René. Il sera toujours avec moi. Merci pour tous vos mots, vos gestes, vos silences. et pour tout votre amour. Ça m’a fait vraiment du bien ces dernières semaines. Ce spectacle, c’est ma façon de vous donner tout mon amour en retour. Merci d’être là, je vous aime. »

La star a repris avec un « je t’aime René », puis a chanté Where Does My Heart Beat Now. Le concert a continué comme à son habitude. Lors de sa prestation sur All By Myself, cependant, la chanteuse craque et ne peut finir la chanson. Mais elle se reprend et enchaîne sur un autre numéro. Céline Dion a fini « le concert le plus difficile de sa carrière » avec la chanson My Heart Will Go On.

Céline Dion avait organisé, le 4 février, une longue cérémonie en mémoire de René Angélil sur la scène du Caesars Colloseum. Son prochain album devrait paraître au printemps, comme prévu.

Lexpress.fr

Céline Dion remonte sur scène et modifie son concert en hommage à René Angélil

février 24, 2016

Céline Dion en concert à Las Vegas en décembre 2015.

Céline Dion en concert à Las Vegas en décembre 2015.

REUTERS/Steve Marcus

De retour sur scène au Caesars Colosseum de Las Vegas ce mardi, la chanteuse canadienne a décidé de modifier son spectacle en hommage à son mari, décédé le 14 janvier 2016.

Celle pour qui la scène a toujours été un exutoire est de retour sur les planches. C’est au Caesars Colloseum de Las Vegas, auquel elle est liée par un contrat de 70 représentations par an jusqu’en 2019, que Céline Dion débutera ce mardi 23 février la série de 14 concerts qu’il lui reste à honorer avant la fin de sa saison, en mars. Les concerts seront modifiés en mémoire de son mari René Angélil, mort d’un cancer de la gorge le 14 janvier. Il s’ouvriront sur dix minutes d’hommage au manager superstar qui l’a rendue célèbre et qui a partagé sa vie pendant plus de vingt ans.

Consciente de l’engouement que ce retour à la scène génère, la star a décidé de diffuser en direct le concert sur son site Internet. Pour la France, cela commencera à 4h30, mercredi matin.

« René, je t’aime tellement »

Depuis le décès de son époux, Céline Dion est déjà revenue sur la scène de Las Vegas, ville que René Angelil aimait tout particulièrement: le 4 février, une longue cérémonie s’était tenue en sa mémoire. La star internationale avait ponctué l’événement d’un discours émouvant, avant de conclure sur ces simples mots: « René, je t’aime tellement. »

Faisant de la musique sa thérapie, Céline est également de retour en studio. Son prochain album, le premier depuis Sans attendre, sorti en 2012, devrait paraître au printemps, comme prévu. La diva canadienne donnera, par ailleurs, une série de concerts à Paris Bercy du 24 juin au 3 juillet 2016.

Lexpress.fr

A Las Vegas/Céline Dion: «René, je t’aime telle­ment»

février 4, 2016

ce-line-dion

Le boule­ver­sant discours d’amour de la chan­teuse

Hier pendant la nuit, sur la scène du Colos­seum du Caesars Palace de Las Vegas, un hommage était rendu à René Ange­lil. Une «célé­bra­tion de la vie» à laquelle a parti­cipé Céline Dion qui a conclu la céré­mo­nie par un discours des plus émou­vants.

Cette scène du Colos­seum, au Caesars Palace de Las Vegas, Céline Dion l’ar­pente depuis des années en inter­pré­tant ses plus grandes chan­sons. Mercredi soir, elle y est remon­tée, pour la première fois depuis le décès de René Ange­lil, mais pas pour y chan­ter cette fois. Comme elle l’avait annoncé quelques heures plus tôt dans la jour­née, la chan­teuse parti­ci­pait à une «Célé­bra­tion de la vie» consa­crée à son époux. Une soirée hommage à laquelle ont pu assis­ter près de 2000 personnes.

Dans les fauteuils instal­lés sur scène, Céline Dion était entou­rée de René-Charles et des enfants de René. Au centre, une sculp­ture en or repré­sen­tant la main de René symbo­li­sait l’un des gestes préfé­rés du couple, lorsque le mari et mana­ger donnait la main à son épouse avant qu’elle entre en scène.

Vidéo- Céline Dion en son royaumemain

Un quatuor à cordes à jouer plusieurs morceaux comme Because you love me et L’amour existe encore. David Foster a inter­prété au piano The color of my love, un titre très impor­tant dans la vie person­nelle de Célion Dion et René Ange­lil. De nombreux discours et éloges ont été prononcés, mais c’est bien évidem­ment celui de Céline Dion qui était le plus attendu. Nous vous en propo­sons les grandes lignes:

«Lais­sez-moi commen­cer par vous dire bonsoir mes chers amis. Nous sommes présents ici ce soir pour célé­brer la mémoire de René, l’amour de ma vie. Il aurait été telle­ment heureux de nous savoir tous réunis ici racon­tant des histoires, parta­geant des souve­nirs jouant quelques unes de ses chan­sons préfé­rées. En parti­cu­lier dans ce théâtre où il y a des années un de ses rêves est devenu réalité.

Je voulais aussi vous remer­cier d’avoir parlé si élégam­ment de mon cher mari. Je ressens de l’amour dans cette salle, mais aussi sa force, sa chaleur dans chacun de vous. Je vois les plus belles personnes, celles qui croyaient en nous et qui travaillaient toujours telle­ment dur pour notre bien être.

La plupart de vous êtes là avec nous ce soir, pardon­nez moi de ne pas tous vous nommer. Mais vous savez qui vous êtes, et le plus impor­tant, il sait qui vous êtes.

De manière assez incroyable, René ne détes­tait personne et n’avait pas de mauvaises opinions sur les autres. Il ne me disait jamais ce qu’il n’ai­mait pas ou les personnes qu’il n’ai­mait pas. Le temps était très précieux pour lui, il aimait telle­ment la vie. Et la vie l’ai­mait. Il ne perdait pas une seule seconde pour me parler des autres. Et même lorsque j’avais une opinion sur quelqu’un, il ne m’au­to­ri­sait jamais à la donner si nous n’étions pas seuls.

Si nous étions en compa­gnie, il me faisait un signe et me faisait comprendre que moi, sa femme, l’ar­tiste que je suis, la chan­teuse que je suis, je ne pouvais lui dire ce que je voulais que derrière une porte close, pas devant les gens.

Une artiste, une chan­teuse ne doit jamais juger quelqu’un d’autre. J’ai tout appris de lui, mais ce prin­cipe je m’en souvien­drai toute ma vie

Je sais qu’il aurait voulu que je remer­cie chacun d’entre vous de lui avoir permis de réali­ser ses rêves, d’avoir  pris soin de ma famille. Merci encore d’être ici avec nous ce soir, pour ce magni­fique hommage à «mon amour». René je t’aime, telle­ment. Merci»

Vous pouvez revivre l’inté­gra­lité de la céré­mo­nie hommage à René Angé­lil sur le site http://renean­ge­lil­ce­le­bra­tio­no­flife.com/

Gala.fr par Jean-Christian Hay Jean-Christian Hay

Etats-Unis: Céline Dion à Las Vegas cette nuit pour une cérémonie d’hommage à son mari

février 3, 2016

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La chan­teuse sera sur la scène du Colos­seum du Caesars Palace

Deux semaines et demi après le décès de son mari des des suites d’une longue bataille contre le cancer de la gorge Céline Dion est atten­due sur la scène du Colos­seum du Caesars Palace entre 19h et 21h ce soir à Las Vegas (4h et 6h du matin heure française). Au cours de cette céré­mo­nie d‘hom­mage inti­tu­lée « A cele­bra­tion of life », la jeune veuve devrait prendre la parole. Il n’est en revanche pas prévu qu’elle chante.

C’est un endroit ô combien symbo­lique où est atten­due Céline Dion la nuit prochaine. Conçu spécia­le­ment pour elle il y a une quin­zaine d’an­nées à l’ini­tia­tive de son défunt mari et mentor René Angé­lil, le Colos­seum du Caesars Palace est un endroit des plus impor­tants pour elle.

Rappe­lons que la chan­teuse québé­coise fut la première à produire un spec­tacle perma­nent à Las Vegas avec le succès que l’on connaît. Ce soir, l’émo­tion devrait être donc une nouvelle palpable lors de cette céré­mo­nie de «célé­bra­tion de la vie» à la mémoire de son mari disparu.

«Céline Dion devrait prendre la parole en conclu­sion de l’évè­ne­ment qui se tien­dra sur la scène du Colos­seum du Caesars Palace, révèlent nos confrères du Jour­nal de Montréal. Plusieurs person­na­li­tés doivent aussi parta­ger des anec­dotes, des souve­nirs et des moments impor­tants de la vie de René Angé­lil. C’est le cas des Cana­diens David Foster et Mitch Garber. On ne sait pas si l’un des enfants de René Angé­lil pren­dra la parole. Anne-Marie et Jean-Pierre Angé­lil ont d’ailleurs pris un vol pour Vegas. Le géant du diver­tis­se­ment AEG et l’or­ga­ni­sa­tion du Caesars Palace, qui ont orches­tré la céré­mo­nie dans le plus grand secret, n’ont pas voulu dévoi­ler d’autres noms.»

Reste que dix jours après les funé­railles natio­nales de René Angé­lil à la basi­lique Notre-Dame de Montréal, cette jour­née sera de nouveau parti­cu­liè­re­ment éprou­vante pour Céline Dion et ses proches.

Gala.fr

Céline Dion va-t-elle quit­ter Las Vegas?

janvier 21, 2016

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L’avenir de la star après funé­railles de son époux

Depuis plus de douze ans, elle vivait dans la banlieue de Las Vegas avec son mari et ses enfants. Sa vie était ryth­mée par ses concerts et l’éduca­tion de ses fils. Va-t-elle rester vivre dans la ville des shows et du jeu ou retour­ner habi­ter auprès de son clan, au Québec?

Après les funé­railles de René, vien­dra le temps du deuil pour Céline. Le temps aussi des ques­tions et des remises en cause profondes. Depuis l’âge de douze ans, sa vie était orga­ni­sée par son mana­ger d’époux. Il déci­dait, elle obéis­sait. Entre eux, pas de non-dits, une confiance mutuelle. Ensemble, ils ont pris la déci­sion de vivre à Las Vegas pour y assu­rer une série de concerts gran­dioses au Colos­seum du Caesars Palace. Les jour­nées de Céline se ressem­blaient toutes et elle aimait ça: le matin et l’après-midi, elle s’occu­pait de ses enfants et de son époux. Le soir, elle chan­tait. Tout était rodé, orga­nisé pour son bien-être. René avait compris que Céline voulait voir gran­dir leurs enfants, en profi­ter plei­ne­ment. Main­te­nant que la grande maison est vide des rires de son homme, de ses pas, de sa présence, aura-t-elle envie d’y vivre encore? Plusieurs possi­bi­li­tés s’offrent à la star:

1.Rester à Las Vegas. Ses enfants y sont scola­ri­sés et ont grandi ici depuis toujours. Elle se posera sans doute la ques­tion de ne pas les couper de leurs amis et profes­seurs. Ils ont besoin de garder leurs repères, leurs habi­tudes. On sait combien une vie orga­ni­sée autour de rituels est essen­tielle pour que des enfants se sentent bien, surtout ses jumeaux de 5 ans. René-Charles, son aîné, est  aussi très atta­ché à ses potes de l’équipe de Hockey de Las Vegas. Les quit­ter serait un choc de plus dans sa vie d’adoles­cent de quinze ans. Et Céline fait tout pour préser­ver son équi­libre. En outre, la chan­teuse a signé un contrat jusqu’en 2019 pour livrer entre 60 et 70 concerts au Caesar Palace, soit deux mois de travail. Elle sera sur scène le 23 février prochain. The show must go on…

2. Partir vivre au Québec. C’est là que le clan Dion vit ainsi que sa mère Thérèse dont elle est très proche. Elle a besoin du soutien de ses douze frères et soeurs. Elle est restée proche de chacuns et a besoin de leurs mots et récon­fort pour se sentir bien. Elle y possède toujours une propriété qu’elle n’a pas réussi à vendre et pour­rait s’y instal­ler de nouveau. C’est aussi au Québec que René devrait être inhumé et on imagine mal Céline vivre loin de lui.

3. S’offrir un tour du monde. On sait que c’est le rêve de la star. Elle veut faire décou­vrir l’Afrique, l’Asie, l’Europe, à Eddy et Nelson. Elle veut voya­ger, décou­vrir, apprendre. Elle a maintes fois répété qu’elle voulait s’accor­der une nouvelle pause. Pour prendre le temps de vivre. Enfin.

Gala.fr par Katia Alibert

 

René Angélil, le maitre de jeu, est mort à Las Vegas

janvier 15, 2016

 

 

celine-dion

Céline Dion et René Ange­lil

Fils d’immigré syrien, René Angélil est mort, en ce mois de janvier, deux jours avant son anniversaire.

Né le 16 janvier 1942, il a tiré sa révérence, le 14 janvier 2016, dans la matinée, après le retour de sa tendre et douce épouse, Céline Dion qui rentrait d’un concert de musique. Son vœu émit, il y a peu, qu’il voulait mourir dans ses bras a été finalement exaucé, lui donnant l’opportunité et le courage d’annoncer son décès au monde, surtout à tous ses fans. Une mort qui a provoqué un tsunami planétaire. Tous les réseaux sociaux ont été inondés de visites. Les statistiques de blogs qui parlent de la presse people surtout de René Angelil et de Céline Dion ont explosé, bousculant la courbe de la montée des visites, par heure, en de fragments exponentiels.  Les algorithmes ont vu leur rythme s’accélérer comme un torrent de fleuve déchaîné, déplaçant les blocs de pierres à travers les cascades pour se jeter dans la mer médiatique afin de trouver l’information.

Couple heureux, installé à Las Vegas, malgré leur différence d’âge de 26 ans, René avait eu le flair et la vision de manager Céline et d’en faire une star mondiale. Son intuition et sa volonté d’encadrer cette jeune fille à la voix fluette, à la silhouette svelte, devenant, peu à peu, sa fiancée et sa femme, malgré la résistance de maman Dion. Il ne s’était pas trompé de choix qui, aujourd’hui, a fait tomber les barrières psychologiques de celle qui avait approximativement l’âge de son premier fils.

Hypothéquant sa maison pour produire Céline, à ses risques et périls, René est resté confiant et serein. Il a très bien su tirer son épingle de jeu dans le showbiz, la poussant d’apprendre et à chanter en Anglais afin de viser une carrière internationale. Le défi américain était juste devant la porte. Céline devrait être prête et forte pour partir à la conquête de l’estime américain, qui – souvent – n’est pas chose facile pour se faire accepter.

Mais en amour lorsque la graine commence à germer dans le cœur, si elle se trouve du bon côté, elle finit par donner de bons fruits. Entre jouissance sentimentale et réjouissance festive, les parents et amis ont fini par accepter ce qui était difficile hier, au gré, des résultats de ce qu’un autre homme n’aura pas pu faire. L’aventure est devenue une belle épopée arrivée à son apogée.

René Angelil qui convolait pour la troisième fois en noces avec Céline Dion réalisait son rêve. Lui qui avait déjà deux mariages à son actif avec trois enfants, complétait son union avec trois enfants nés de Céline. Un garçon était né, inaugurant la fratrie, nommé René Charles, âgé de 14 ans, suivi deux jumeaux dont l’un porte le prénom de Nelson, en souvenir de ce grand homme d’Afrique et du monde que Céline avait eu la chance de rencontrer.

Le monde de la musique est en deuil. Le Québec vient de perdre un digne fils ayant fait la fierté et l’honneur des artistes. Un homme qui avait une grande fibre de générosité dans les veines. Un homme à l’écoute sensible qui a propulsé dans les étoiles de nombreux artistes qui lui sont reconnaissants dans leur témoignage, à l’occasion de sa mort. Un homme qui aimait le jeu. Celui du casino. Un homme qui savait miser et parier.

Quand à Las Vegas, René Angelil jouait avec 10 ou 20 dollars, il gagnait toujours. Rarement, il perdait. Raison pour laquelle, dans sa biographie, il le titrera : Le maître de jeu.

Passant à la télévision, au cours d’une interview réalisée par le journaliste, animateur de radio et de télévision et réalisateur québécois, Paul Arcand, il glissa une confidence qu’un jour il avait perdu jusqu’à 500.000 dollars. Mais cette perte ne l’affecta pas dira-t-il car le montant était raisonnable, dans le risque et l’amusement du gain. Sa femme, le connaissant fort bien le laissa digérer sa passion et sa perte, sans pour autant le contrarié. Dans le jeu : « L’argent est fait pour être gagné et pour être perdu».

Souffrant du cancer, selon le Bureau du médecin légiste du comté de Clark, outre l’évocation de « causes naturelles », il a été ajouté dans un communiqué: « La description médicale technique de la cause de la mort est le carcinome épidémoïde du plancher buccal ». René Angélil attendait sa mort avec philosophie, sachant très bien que Céline serait toujours à ses côtés pour l’assister.

Ainsi les concerts de Céline Dion prévus au show du Caesar Palace à Las Vegas, aux États-Unis, repris en aout dernier, viennent de nouveau d’être annulés notamment ceux du samedi 16 et dimanche 17 janvier.

Au Québec, de nombreuses personnalités lui ont témoigné son affection en postant des témoignages de gratitude et de reconnaissance. Une émission spéciale dès l’annonce de sa mort lui était consacrée, à la télévision, invitant des amis et connaissances. Un micro baladeur recueillait aussi les avis dans les rues pour tout qu’il a fait.

Au Stade Bell à Montréal, avant le match de hockey, une minute de silence avait été observé pour lui rendre hommage, accompagné de son effigie.

Des photos d’archives de sa jeunesse ont été diffusées où l’on pouvait le voir jouer au hockey, danser avec ses amis, recevoir une distinction auprès d’une personnalité politique pour ses œuvres.

René Angeli laisse de nombreux orphelins qui l’admiraient, dans la douleur et la peine.

Que Céline Dion, sa femme qui avait allumé sa flamme, portée au firmament de la musique ainsi que ses enfants adorés, trouvent ici l’expression de notre sympathie pour cette compassion d’ultime adieu!

Bernard NKOUNKOU