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Eric Naulleau s’en prend violemment à la téléréalité

avril 8, 2013

« C’est curieux qu’on la tolère » 

 
 Eric Naulleau s’en prend violemment à la téléréalitéEric Naulleau s’en prend violemment à la téléréalitéEric Naulleau s’en prend violemment à la téléréalité

Eric Naulleau n’a pas la langue dans sa poche. Pour lui, la télé c’est oui. La téléréalité, c’est non.

En ce moment la téléréalité est plus que jamais dans la ligne de mire du CSA. Après les deux décès qui ont touché Koh-Lanta, ce genre d’émission est montré du doigt. A tel point que le CSA envisage de faire interdire leur diffusion avant vingt-deux heures.

Aurélie Filippetti, Ministre de la Culture et de la Communication, a même donné son avis sur la question. « En tant que citoyenne et mère de famille j’y serais favorable (à ce que les émissions de téléréalité soient diffusées après 22 heures, ndlr), mais je n’ai pas à me prononcer en tant que ministre de la Culture. C’est au CSA de le faire. » a-t-elle déclaré.

Si la Ministre reste sobre dans ses propos, ce n’est pas le cas d’Eric Naulleau. Le chroniqueur est révolté par la téléréalité et l’a fait savoir dans l’émission DST présentée par Eric Dussart (et qui sera diffusée ce soir à 20 heures 15).

« C’est une sorte de cancer de l’intelligence permanente. C’est curieux qu’on la tolère. », a expliqué Eric Naulleau. Pour lui, il faudrait « abolir la téléréalité » et « mettre ceux qui ont participé de près ou de loin à ce type de programme en taule. » La chose à laquelle Eric Naulleau n’a pas pensé c’est qu’avec sa proposition, les prisons afficheraient carrément complet ! Une autre proposition plus réaliste ?

Voici.fr par F.P

Michael Jackson poussé à la mort par des producteurs cupides ?

septembre 3, 2012

 

« Un grand invalide »

  • Michael Jackson poussé à la mort par des producteurs cupides ?Michael Jackson poussé à la mort par des producteurs cupides ?Michael Jackson poussé à la mort par des producteurs cupides ?Michael Jackson poussé à la mort par des producteurs cupides ?
AEG, la société censée produire les concerts de Michael Jackson, semblait être au courant des difficultés mentales et physiques du chanteur mais ne les aurait pas prises en compte.

La famille de Michael Jackson a enfin le sentiment d’être entendue : satisfaite de la condamnation du docteur Conrad Murray, elle appelait surtout à ce que les « vrais » responsables de la mort du chanteur soient mis derrière les barreaux. Dans la ligne de mire du clan Jackson : les responsables de la société de production Anschutz Entertainment Group (AEG). Ce sont eux qui ont négocié en 2008 avec le King of Pop la tenue de cinquante concerts à Londres. Les billets se sont vendus en un temps record et le chanteur a promis à la société d’offrir au public un spectacle de premier choix. Sauf qu’il en était alors absolument incapable d’après des emails que s’est procuré le Los Angeles Times. Ces messages échangés entre des responsables d’AEG montrent que la société était parfaitement avertie des faiblesses physiques et mentales du chanteur.

De toute façon, le King of Pop n’avait pas le choix : s’il avait refusé de monter sur scène, AEG aurait pu s’emparer de ses biens et de ses propriétés ainsi que de ses droits d’auteur, tant Michael Jackson était endetté. La société de production a donc signé un juteux contrat avec le chanteur en prenant tout de même soin de se réserver un filet de sécurité en souscrivant une assurance en cas d’annulation des concerts. La Lloyd’s de Londres a accepté de couvrir le chanteur à condition qu’il subisse plusieurs examens médicaux. Le premier a eu lieu en janvier 2009. N’examinant que les cordes vocales de la superstar, le Dr. David Slavit en a conclu qu’il était en « excellente condition ». Pas un mot sur ses addictions, ses problèmes physiques étant selon ce médecin causés par « de la déshydratation et de la fatigue ».

En mars, AEG a organisé une grande conférence de presse à Londres pour exhiber son talentueux poulain au monde entier. Mais Michael Jackson est longtemps resté prostré dans sa chambre, ressassant ses peurs et ses doutes quant à ce spectacle. Pendant ce temps, les responsables d’AEG assuraient aux journalistes que le chanteur était « très concentré et en bonne santé ». Gavé de médicaments, le King of Pop a finalement été habillé et amené jusqu’à la conférence de presse où il est arrivé avec une heure et demie de retard. Tout le monde n’y a vu que du feu, mais les employés d’AEG ont alors eu la possibilité de mesurer la gravité de l’état de santé de Michael Jackson.

La société a alors fait appel au Dr. Conrad Murray pour accompagner le chanteur lors des répétitions et s’assurer de son bien-être. Mais la situation de la star ne s’est pas améliorée pour autant. Lors de ces séances de répétition, le chanteur était souvent absent ou très lent. Kenny Ortega, le réalisateur du spectacle a même évoqué le recours au playback pour certaines chansons où le King of Pop était incapable de chanter et de danser en même temps. L’artiste a été absent pendant une semaine et à son retour, le 19 juin, il était trop faible pour faire quoi que ce soit. Dans un email adressé à AEG, un des managers de Michael Jackson a écrit : « C’est un grand invalide. Tout le monde doute. »

Pour Kenny Ortega, il était alors encore possible d’inverser la tendance en faisant soigner le chanteur qu’il connaissait depuis 20 ans : « Il montre des signes de paranoïa, d’anxiété et il a un comportement dépressif. Je pense que la meilleure chose à faire est de trouver le meilleur des psychiatres et de le faire examiner au plus vite. C’est comme s’il y avait deux personnes. L’une (profondément à l’intérieur) essaye de s’accrocher à ce qu’il a été et à ce qu’il peut toujours être et ne veut pas qu’on le quitte, l’autre est dans un état trouble et vulnérable. Je pense qu’on a besoin de l’avis d’un professionnel. » La réponse d’un des responsables d’AEG fut cinglante : « Il est important que ni vous, ni moi ni qui que ce soit d’autre dans ce spectacle ne s’amuse à jouer au médecin ou au psychiatre amateur. » Le mot d’ordre de la société de production était sans appel : Michael Jackson était prêt pour sa tournée.

Quelques jours plus tard, la situation s’est améliorée et le chanteur a fait de grands progrès. Mais ce n’était là qu’une façade puisqu’il est mort la semaine suivante. N’ayant jamais complété les examens médicaux réclamés par les assureurs du spectacle, Michael Jackson n’était pas couvert pour l’annulation de ses performances à Londres. AEG a donc annoncé la perte de 35 millions de dollars. Une goutte d’eau comparée aux 260 millions récupérés avec la sortie du film This Is It, où l’on voit le chanteur pendant ses répétitions… La société AEG est aujourd’hui poursuivie par la compagnie d’assurance pour avoir fourni des informations faussées dès le départ. La famille de Michael Jackson lui intente également un procès pour homicide involontaire au motif qu’AEG a forcé la main au chanteur alors qu’il était trop faible. En réponse, la société a indiqué qu’elle n’était au courant de rien et que les messages dévoilés par le Los Angeles Times ne représentent qu’une infime partie de la correspondance échangée entre les producteurs du spectacle. Elle refuse toutefois de révéler le reste des emails.

Parmi les courriels dévoilés, on peut toutefois lire ce message de Randy Phillips, cadre d’AEG, adressé à un collègue : « La mort de Michael est une terrible tragédie, mais la vie doit continuer. AEG va faire fortune avec les ventes des produits dérivés (…), l’exposition sur sa tournée et le film/DVD. Mais j’aurais quand même aimé qu’il soit là ! » Trop tard, la poule aux œufs d’or n’est plus…

Voici.fr par J.M

Tom Cruise et Katie Holmes: vers un arrangement ?

juillet 9, 2012

Les deux acteurs cherchent un accord pour éviter un divorce médiatique

Tom Cruise et Katie Holmes: vers un arrangement ?

 
Depuis qu’elle a décidé de se séparer de Tom Cruise et de demander le divorce, Katie Holmes fait preuve d’un courage à toute épreuve. Entre la pression de la Scientologie et la garde de sa fille Suri, elle était prête à se lancer dans une bataille judiciaire de plusieurs mois. Mais finalement, aux dernières nouvelles, les deux parties chercheraient à trouver un accord.

Le 29 juin 2012, Katie Holmes annonce, par la voix de son avocat, qu’elle divorce de Tom Cruise après cinq ans de mariage. A 33 ans, comme Mimi Rogers et Nicole Kidman. Très vite, les spéculations vont bon train dans les médias sur les raisons de cette séparation, avec en ligne de mire, les liens entre l’acteur et l’Eglise de Scientologie. Katie ne voulait plus que cette « religion », considérée comme une secte en France, ait une quelconque influence sur sa fille Suri et son éducation. Elle était prête à se battre pour obtenir sa garde exclusive.

Mais selon le site américain TMZ, l’acteur de Mission : Impossible et l’actrice de Dawson auraient demandé une trêve, le temps que leurs avocats trouvent un accord. Sous-entendu un contrat de divorce qui contente tout le monde et qui évite d’aller au tribunal. Tom et Kate chercheraient à empêcher à tout prix un divorce médiatique, qui pourrait porter préjudice à leur fille âgée de six ans. Toujours selon TMZ, les avocats discuteraient des conditions de la garde de Suri, de la pension, des visites, etc. L’arrangement pourrait d’ailleurs être ratifié à New York si les négociations se passent bien, et non à Los Angeles où le camp Tom Cruise voulait transférer le dossier car les juges sont plus enclin à donner une garde partagée. 

Ainsi, vendredi dernier, Katie Holmes a été aperçue se rendant chez ses avocats, dans l’un des cabinets les plus puissants de New York. Aurait-elle déjà gagné? Tom Cruise, discret et triste, se serait-il fait une raison?

Gala.fr par Vincent Julé

RDC : l’armée suspend ses opérations dans l’Est, Ntaganda en fuite

mai 7, 2012

L’armée de la République démocratique du Congo (FARDC) a annoncé avoir suspendu ses opérations dans le nord du Kivu, suite à une offensive victorieuse contre des mutins, anciens rebelles proches du général Ntaganda en fuite, qui ont fait défection de l’armée régulière début avril.

Les opérations en cours dans l’est de la RDC sont suspendues. C’est ce qu’à annoncé l’armée de la République démocratique du Congo (FARDC), assurant avoir « maîtrisé » la situation dans la région instable du Nord-Kivu, où des mutins de l’armée combattaient les forces régulières depuis une semaine. « Les FARDC ont suspendu depuis la nuit du 4 au 5 mai les opérations de neutralisation de ces indisciplinés », a expliqué un communiqué le chef d’état-major de l’armée congolaise, le lieutenant général Didier Etumba Longila.

Dès le 29 avril, de violents combats ont opposé l’armée régulière à des mutins, anciennement membres de l’ancienne rébellion du Congrès national pour la défense du peuple (CNDP). Intégrés dans l’armée en 2009 suite à un accord avec Kinshasa, les anciens rebelles ont fait défection début avril.

« Sous contrôle »

« Dans le secteur opérationnel de Masisi et une partie de Rutshuru où ces indisciplinés avaient concentré leurs attaques aux FARDC, la situation a été maîtrisée et elle est à ce jour sous contrôle de nos forces armées », a poursuivi le général  Didier Etumba Longila. « La situation qui a prévalu dernièrement au Nord-Kivu est le fait de certains officiers indisciplinés qui ont voulu instrumentaliser quelques soldats », a-t-il accusé, dénonçant un « comportement qui n’honore ni notre pays, encore moins nos forces armées ».

En ligne de mire de ces accusations, le général Bosco Ntaganda, ex-chef d’état-major du CNDP, recherché par la Cour pénale internationale (CPI), pour enrôlement présumé d’enfants pendant la guerre civile en Ituri (2002-2003). Mercredi 2 avril, le gouvernement congolais avait jugé que « tout ce qui se passe actuellement » dans le territoire de Masisi était de la « responsabilité » du général Ntaganda, qui a, de son côté, nié être « impliqué dans les affrontements ».

Repli vers Runyonyi ?

Les autorités congolaises ont également précisé à cette occasion qu’en cas d’arrestation, l’ancien chef d’état-major du CNDP serait jugé par Kinshasa et non par la CPI qui a émis à son encontre un mandat d’arrêt dès 2006. Selon des témoignages de mutins, le général Ntaganda devait se replier à Runyonyi, dans le Rutshuru, après l’offensive victorieuse lancée par les FARDC.

Vendredi, les forces régulières ont en effet repris la localité de Mushaki, près de la ferme où le général Ntaganda disait se trouver mardi, en toute connaissance de cause de sa « hiérarchie » et du « chef de l’État » Joseph Kabila selon ses dires. Il devrait désormais « rejoindre le colonel Makenga », qui, avec le lieutenant-colonel Masozera – tous deux anciens chefs militaires du CNDP -, ont fait défection dans la nuit de jeudi avec leurs hommes à Goma, la capitale du Nord-Kivu.

Quant aux mutins, ils ont désormais cinq jours pour « regagner les rangs de l’armée nationale », a affirmé le général Didier Etumba Longila, sans préciser les suites pour ceux qui persévèreraient dans leur « indiscipline ».

Jeuneafrique.com avec AFP