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Congo-Makoua: six villageois qui ont dépouillé deux accidentés sur la RN2 ne bandent plus

janvier 19, 2023
 Makoua: six villageois qui ont dépouillé deux accidentés sur la RN2 ne bandent plus

Sur la route nationale 2 peu après Makoua à destination de la Sangha, six hommes d’un village n’ont plus d’érection et la cause serait selon plusieurs féticheurs deux accidentés qu’ils ont dépouillé au lieu de secourir. Deux hommes en provenance de Ouesso, à bord d’un véhicule qui a fait une sortie de route peu avant Makoua n’ont dû leur salut que grâce à un bus de voyageurs qui s’est arrêté pour les porter secours. Dans leur détresse, ils ont été dépouillé de leurs biens par six villageois, lesquels souffrent aujourd’hui d’un problème d’érection.

C’est la mode au Congo où les anti valeurs semblent prendre place chez les humains. Ils n’hésitent plus à dépouiller les personnes victimes d’un accident de circulation sur les routes congolaises. On voit souvent comment les riverains se jettent sur les produits que transportent des véhicules accidentés. Au lieu de porter secours au chauffeur, on vole les casiers de bière ou d’autres marchandises.

Un véhicule en provenance de Ouesso et à destination de Gamboma avec à son bord deux personnes, a été victime d’un accident après avoir percuté violemment un animal. Les deux occupants se sont retrouvés coincés dans le véhicule appelant à l’aide. Six villageois se sont précipités sur le lieu de l’accident et au lieu de porter secours aux victimes, ils les ont dépouillé de tous leurs biens. C’est un bus qui s’est arrêté pour les secourir.

Depuis, ces six villageois éprouvent des difficultés à avoir une érection et tous les féticheurs, guérisseurs consultés leurs demandent d’aller s’excuser auprès de leurs victimes qui vivent à Gamboma.

Avec Le Congolais.fr

Internet : Akwa Mossé lance la connexion gratuite à Makoua

novembre 20, 2020

Réunis au sein de l’association Akwa Mossé, des jeunes congolais issus de la diaspora pour certains et d’autres vivant à Brazzaville ont procédé, le 10 novembre, à Makoua, dans le département de la Cuvette, à la connexion internet gratuite au centre culturel de cette ville. Cette initiative entend permettre aux élèves de cette localité de faire des recherches dans le cadre de leurs études mais aussi de s’ouvrir au monde tout simplement.

Les membres de l’association Akwa Mossé

« Notre association Akwa Mossé a été créée en 2014, avec pour objectif de promouvoir la culture des Akouas et de venir en aide aux personnes qui ont besoin de soutien. Nous avons depuis notre création fait des dons à la maternité de Makoua, pris en charge la scolarité de nombreux élèves et fait des cadeaux aux enfants de Makoua à l’occasion de nombreuses fêtes de Noël par exemple. Dès que nous le pouvons, nous faisons des cotisations pour agir et honorer nos ancêtres », a souligné Marien Fauney Ngombe, président de l’association.

Amoureux de cette localité et de son histoire qu’ils portent en eux, les membres de l’association usent de ces différentes actions pour exprimer leur appartenance à ladite ville. « Nous avons grandi avec les histoires relatant les legs du mysticisme de nos ancêtres et les combats de certains résistants Akouas également. A plusieurs égards, cette localité nous transcende », a-t-il poursuivi. Et d’ajouter : « Il est important que nous donnions de la visibilité et de la force à nos communes et à nos départements. Célébrons leurs caractères singuliers pour le bien du CongoC’est en souhaitant que Makoua soit fort, que Boko soit rayonnant, que Hinda soit prospère que le Congo tout entier sera gagnant

A court terme, les membres de l’association envisagent d’équiper le Centre culturel de Makoua de nouveaux bouquins car « la grande bataille à mener est culturelle et mémorielle aujourd’hui ». A cet effet, l’édition d’un recueil de citations Makoua traduites en français est en cours, pour qu’au-delà des frontières congolaises les gens comprennent les valeurs Akouas.

Avec Adiac-Congo par Sage Bonazebi

Congo-Makoua: Incendie chez Firmin Ayessa

juin 4, 2020

 

L’une des maisons d’Ayessa, quartier Bonga à Makoua, dans laquelle loge son frère cadet, infirme, le nommé NGONDA Macaire, présentement à Brazzaville a pris feu la nuit dernière vers 23h.

Seule sa femme (handicapée aussi) s’y trouvait. Rien n’a été sauvé de cette maison. Même les voisins ne sont pas venus à la rescousse pendant que le feu était maitrisable.

 

Photo de BrazzaNews.
Photo de BrazzaNews.Photo de BrazzaNews.
Photo de BrazzaNews.
Avec Brazzanews

Congo/Makoua : Les  »déserteurs républicains » soldats de l’armée ayant refusé de combattre dans la région du Pool braquent les commerçants chinois.

mai 22, 2017

 

Il y a plus d’une semaine les jeunes de Makoua ont brisé le mûr des intimidations en inondant de tracts et autres menaces pour exiger la libération des prisonniers politiques dont deux fils dignes de la contrée du Général Jean-Marie Michel Mokoko et Jean Ngouabi ainsi que l’arrêt des massacres dans le Pool.


Nous venons d’apprendre le braquage par des hommes en armes des commerçants chinois, une forte somme d’argent et un véhicule Hilux ont été emportés.

Ces chinois qui fournissent en armes le régime de Sassou, exploitent clandestinement nos richesses du sous-sol dans le Pool, la Sangha et les pays du Niari seront des cibles privilégiées pour soutien inconditionnel à un régime illégitime et illégal.

Selon nos sources, les éléments armés responsables de ce ‘’braquage révolutionnaire’’ seraient des déserteurs de la région du Pool, des éléments de la force publique qui ont entendu l’appel à la désertion.

Braquer les ennemis de la République est un acte de résistance.

 

Photo de BrazzaNews.Photo de BrazzaNews.
Avec Brazzanews.fr

Congo: Arrivée de Jean Marie Michel Mokoko j3m à Makoua

mars 16, 2016
Auteur: J3M

Ci-dessous quelques images







Avec Zenga-mambu.com

Congo-Brazzaville: le général Mokoko en campagne dans son fief

février 15, 2016

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Le général Mokoko, candidat à la présidentielle du 20 mars prochain est dans son village natal de Makoua, dans le nord du Congo.© ISSOUF SANOGO / AFP

Alors que certains des proches du général Jean-Marie Michel Mokoko, au Congo-Brazzaville, faisaient état d’une présence policière samedi soir autour de son domicile dans la capitale, il se trouve finalement que le candidat à la présidentielle du 20 mars a rejoint son village natal de Makoua, dans le nord. Un voyage prévu de longue date. C’est là que l’ancien chef d’état-major des armées a décidé de se mettre en sécurité, dans son fief. Le retour de ce poids lourd de l’opposition, longtemps proche du président Denis Sassou-Nguesso, a provoqué quelques remous, avec des accusations d’agressions de journalistes qui l’attendaient à l’aéroport. Des allégations rejetées par les autorités. Qui a donc intérêt à maintenir la tension autour de ce retour ?

On ignore si l’information faisant état de l’encerclement du domicile de Jean-Michel Mokoko était de nature à maintenir la tension sur leur leader qui a formalisé sa candidature samedi devant une foule en délire.

A Brazzaville, à en croire un responsable du comité de soutien à la candidature de l’ancien chef d’état-major, celui-ci a quitté Brazzaville sans encombre, ce dimanche à 2h00 du matin pour Makoua, sa ville natale, à environ 600 km dans le nord du pays où il a été accueilli vers 10h00 par un public acquis à sa cause.

Brazzaville a vécu une journée dominicale dans le calme sous un beau temps après une pluie sectorielle qui a mouillé notamment le centre-ville. Sur certaines artères de la capitale s’est couru un marathon de l’unité, les églises ont ouvert et les messes ont été célébrées comme à l’accoutumée.

Toujours au sujet de la présidentielle du 20 mars, Claudine Munari, directrice de cabinet de l’ancien président Pascal Lissouba, ministre du président Denis Sassou-Nguesso entre 2009 et 2015 a pris le temps de réunir ses militants et d’annoncer sa candidature.


Une vidéo fait polémique

Samedi, alors que le général Mokoko officialisait sa candidature à la présidentielle devant ses partisans, une vidéo polémique  datant de 2003 commençait à circuler sur Internet. Cette vidéo de 30 minutes le montre en grande discussion avec des hommes se présentant comme des agents proches des services de renseignements français pour organiser un coup d’Etat contre le président congolais.

Au micro de RFI, l’opposant déploie une défense contradictoire: il ne nie pas l’existence de la vidéo, mais ne reconnaît pas non plus avoir préparé un coup d’Etat. Dans le même temps, il crie à la manipulation et accuse Arlette Soudan-Nonault, membre du bureau politique du PCT, le parti au pouvoir, d’avoir fait circuler cette vidéo. L’intéressée rejette l’accusation :

« Je démens absolument, contrairement à ce que qui a été dit ce dimanche sur vos antennes par monsieur Mokoko, avoir fait le tour des rédactions avec une vidéo, que j’ai reçue cette semaine en même temps que d’autres de source anonyme. Que monsieur Mokoko cherche à inventer des faits et à trouver des boucs-émissaires pour une vidéo dont vous aurez remarqué qu’il ne nie pas l’authenticité, et dont le contenu est pour lui accablant, c’est de sa responsabilité. De même qu’il est de la mienne de déposer plainte contre lui pour diffamation, ce que je compte faire. »

En attendant le procès, la bataille politique, elle, a bien commencé. Et elle promet d’être féroce.

Rfi.fr