Posts Tagged ‘Maman’

Paris : Arrivée du Congo, une maman détourne le mari blanc de sa propre fille l’ayant fait venir

février 19, 2021

Visiblement en Europe, on ne sait plus d’où peut surgir le danger ! Une maman Congolais fraîchement arrivée du pays n’a pas eu de remord à détourner le mari blanc de sa propre fille qui l’a fait venir en plus. Boucharde, elle accuse même sa fille de s’être mis en couple avec un vieux blanc au lieu de se trouver un jeune de son âge. Le vieux blanc ne jure que par son ex belle-mère devenue son grand amour et ne veut plus rien savoir de sa fille. Une main noire qui divise la famille restée au pays.

Quand elle a pris la décision de faire venir sa maman en France, Régine M ne s’est jamais imaginé qu’elle pouvait devenir son cauchemar. C’est l’amour d’une fille pour sa mère veuve vivant dans un pays de merde qui l’a plus guidé. En complicité avec son époux français, elle a entrepris les démarches administratives ayant permis à sa maman d’obtenir un visa long séjour au consulat de France au Congo.

Des années plus tôt, alors qu’elle était encore étudiante à Dakar au Sénégal, Régine M a fait la connaissance de Xavier L, un quinquagénaire à l’époque en poste comme consultant. C’est d’ailleurs lui qui a pris la relève dans le financement des études de Régine. Le couple va s’installer deux ans plus tard dans la région parisienne ( Val d’Oise )

Âgée de 27 ans aujourd’hui, Régine en avait 22 quand elle a connu Xavier qui est âgé actuellement de 62 ans. Après avoir fait venir son jeune frère, Régine l’a fait aussi avec sa maman après la mort de son père il y a deux ans.

Une fois arrivée en France et dans le pavillon de sa fille, la maman s’est vite rendu compte d’attirer son beau-fils blanc qui parait-il ne cessait de vanter son physique et sa beauté. Le tout s’est joué pendant les absences de sa fille. Le blanc se plaignait du manque d’attention de Régine et confiait leurs intimités à sa belle-mère. Des confessions qui se sont transformées en attirance et amour entre la belle-mère et le beau-fils.

Les deux amoureux ont caché leur relation pendant plus de six mois avant de la rendre public. Sans froid aux yeux, les deux ont fait asseoir Régine pour l’annoncer la mauvaise nouvelle à laquelle elle mettra du temps à réaliser. Xavier le blanc ne s’est pas gêné de dire se sentir beaucoup mieux avec la maman qui est de sa génération.

Traitée de sorcière par le reste de la famille, la maman de Régine a assumé son choix et a dit être heureuse avec Xavier. Au Congo, on lui a promis tous les malheurs du monde. Régine a demandé un congé à l’hôpital où elle travaille et s’est réfugiée à Rennes chez sa tante paternelle.

Avec Sacer-infos par Stany Frank

Congo: Décès à Pointe-Noire de Cécile BOUANGA, la mère de Paulin MAKAYA

avril 7, 2020

NECROLOGIE : Décès  à Pointe-Noire, à l’âge de 76 ans de Cécile BOUANGA, la mère de Paulin MAKAYA, Président du parti politique Unis Pour le Congo ( UPC) et opposant au régime de Brazzaville.

BrazzaNews présente ses condoléances les plus attristées à Paulin MAKAYA.

 

Photo de BrazzaNews.
Cécile BOUANGA: (1944-2020)
Avec BrazzaNews

Canada/Céline Dion : bientôt maman d’un 4e enfant ?

février 22, 2020
© Berzane Nasser/ABACA
Céline Dion pourrait-elle bientôt devenir maman pour la quatrième fois ? C’est en tout cas ce qu’il se murmure. Selon la biographe Elisabeth Reynaud sur le plateau de l’émission TPMP People, la chanteuse qui vient de perdre sa mère souhaiterait désormais adopter un enfant pour agrandir sa petite famille.Une maman en or

Déjà maman célibataire de trois garçons – René-Charles, Eddy et Nelson – Céline Dion n’a jamais caché que sa famille était sa priorité absolue dans la vie et qu’elle était prête à de nombreux sacrifices pour le bonheur de ses fils. Il n’est donc pas très étonnant qu’elle veuille agrandir sa famille, d’autant que René-Charles est aujourd’hui âgé de 19 ans et en couple. Le jeune homme pourrait donc bientôt prendre son envol.

« Il ne faut pas oublier qu’elle a perdu tous les gens qu’elle adorait : sa petite nièce, son père, sa mère, son frère… Mais il lui reste son trésor sur terre, ses trois fils », a continué la biographe qui a avoué ne pas savoir dans quel pays Céline Dion envisageait d’adopter.

Il faudra donc patienter pour en savoir plus, mais le projet serait bel et bien très sérieux.

Avec Elle par Elise Petter

Tennis: Serena Williams peut-elle redevenir la « patronne » ?

mars 7, 2018

 

L’Américaine fait son retour jeudi dans le tournoi californien d’Indian Wells, après plus d’un an d’absence pour cause de maternité.

 

Serena Williams, lors d’un match-exhibition face à Marion Bartoli, au Madison Square Garden de New York, le 5 mars. ADAM HUNGER / « USA TODAY Sports »

Les plus persifleurs des suiveurs du circuit finissaient par s’impatienter. Ça y est, la saison de tennis féminin démarre enfin. Officiellement, celle-ci a commencé au début de janvier. Mais, sur un circuit depuis quelques mois en mal de repères sans sa « patronne », un seul nom revient en boucle : Serena Williams. Et une question agite le microcosme tennistique : l’Américaine réussira-t-elle son pari de reconquérir les sommets après la naissance de son premier enfant ?

Mère d’une petite fille depuis le 1er septembre 2017 et absente du circuit depuis plus d’un an, la joueuse de 36 ans fera son retour à la compétition officielle jeudi 8 mars à Indian Wells (Californie). Elle doit y affronter au premier tour la Kazakhe Zarina Diyas, 53e mondiale.

L’ex-numéro un mondiale, qui n’a plus joué depuis l’Open d’Australie 2017 – qu’elle avait remporté alors qu’elle était déjà enceinte – n’est pas réputée pour sa propension à faire profil bas. Elle n’a donc pas minimisé ses ambitions, à l’heure d’évoquer sa reprise. « Cela va peut-être sans dire, mais autant le clamer haut et fort : oui, je veux absolument gagner d’autres Grands Chelems. Je suis au courant du record, et ce n’est pas un secret, mon objectif, c’est 25 », a-t-elle dit au magazine Vogue, au début de janvier, elle qui comptabilise à ce jour deux unités de moins.

Un record en ligne de mire

Elle dépasserait ainsi le record absolu de 24 victoires en simple détenu par Margaret Court, et pourrait se targuer d’inscrire un peu plus son nom dans la légende. L’Australienne avait, elle, 29 ans lorsqu’elle a donné naissance à son premier enfant, en 1972. Quelques mois plus tard, elle remportait successivement l’Open d’Australie, Roland-Garros et l’US Open.

Plus récemment, Lindsay Davenport et Kim Clijsters ont elles aussi opéré un retour gagnant après une pause maternité. En 2009, la Belge, éloignée du circuit pendant deux ans, était même parvenue à remporter l’US Open deux mois seulement après sa reprise. « J’ai retrouvé mes coups très vite. Physiquement, en revanche, ça n’a pas été facile de s’y remettre. Mais le plus dur, probablement, a été de devoir admettre que je ne serai plus, quoi qu’il advienne, la même joueuse que celle de 2007 », déclarait à l’époque la joueuse de 26 ans.

A en croire l’entraîneur de Serena Williams, Patrick Mouratoglou, la maternité n’a pas changé sa joueuse : « Dès qu’elle met les pieds sur un court de tennis, c’est la même personne. A l’entraînement, elle affiche la même détermination, le même niveau d’exigence. Il y a deux Serena : la maman quand elle est chez elle, et la compétitrice sur le court », explique-t-il dans une interview publiée lundi 5 mars sur le site de la WTA, le circuit féminin.

Si elle relève le défi, ce dont peu d’observateurs doutent, l’Américaine n’en serait pas à son premier retour gagnant. Ecartée des courts pendant un an en 2010-2011, à la suite d’une blessure au pied puis d’une embolie pulmonaire, elle avait retrouvé son meilleur niveau cinq mois seulement après son hospitalisation, puis un peu plus tard son trône de numéro un mondiale.

« Elle a 36 ans, elle vient d’avoir un enfant, elle a eu un caillot dans le sang et a passé plus d’un an sans compétition. On peut dire que c’est le plus grand défi de sa carrière », résume son coach

Sa pause maternité n’aura pas été des plus sereines. Les complications survenues au lendemain de son accouchement, qui a failli lui coûter la vie, comme elle le révélait en début d’année, l’ont contrainte à rester alitée près de six semaines. « Elle a 36 ans, elle vient d’avoir un enfant, elle a eu un caillot dans le sang et elle a passé plus d’un an sans compétition. Je pense que l’on peut dire sans aucun doute que c’est le plus grand défi de sa carrière », résume son coach, Patrick Mouratoglou, pour qui Kim Clijsters a montré que « quand on est capable de revenir aussi en forme physiquement qu’avant sa pause maternité, on peut obtenir les mêmes résultats qu’avant ».

« Ça m’a boostée »

Les exemples de retour au plus haut niveau chez les sportives ne se limitent évidemment pas au tennis. Outre Kim Clijsters, une autre Belge a choisi de reprendre sa carrière après la naissance de son premier enfant : l’athlète Tia Hellebaut. La championne olympique de la hauteur à Pékin, en 2008, a fait une première pause à la fin de cette année-là, puis une autre trois ans plus tard pour son deuxième enfant. A chaque fois, elle est revenue à la compétition, prenant la cinquième place aux Mondiaux en salle d’Istanbul en 2012 puis aux Jeux olympiques de Londres. « Je n’ai rien perdu de ma technique. Et je suis plus puissante qu’avant mes grossesses. Ces deux épreuves m’ont renforcée », disait-elle à L’Obs en 2012, un an avant de prendre sa retraite définitive. Même si les deux accouchements ont fragilisé certains de ses muscles, l’obligeant à « faire plus attention, être plus prudente à l’entraînement pour éviter les blessures ».

La sprinteuse Christine Arron se félicite quant à elle d’avoir « eu autant de médailles avant la naissance de [s]on fils [en 2002] qu’après », comme elle l’expliquait au Monde, à la fin de 2016. « Le médecin qui me suivait pendant ma grossesse m’a dit un truc simple et clair : une femme atteint sa maturité musculaire après 30 ans, ça m’a boostée. Je suis revenue encore plus forte physiquement et j’ai pu continuer à courir avec plus de sérénité. »

L’un des exemples les plus retentissants en la matière reste celui de Paula Radcliffe. Pour sa course de rentrée, moins de dix mois après son premier accouchement, en 2007, la Britannique avait remporté le marathon de New York, à 33 ans. Une performance qui lui valut de recevoir le prix du come-back de l’année. Serena Williams est très certainement déterminée à l’imiter.

Lemonde.fr  par Elisabeth Pineau

Loin de la terre des ancêtres

octobre 7, 2017

 

Loin de la terre accueillante des ancêtres,

Tu as fait le choix de ne plus paraître,

Au petit matin rythmé du chant de coq,

Et au vieux soir des premiers moustiques.

 

Maman, tu nous as pris ouvertement dans tes bras,

Et nous a fait coucher doucement dans de beaux draps.

Quand la génératrice était absente pour le travail,

Tu étais notre sûre nourrice et véritable éventail.

 

Chacun de nous est passé paisiblement sur ton dos,

Goûtant au parfum de ta sueur et de ta peau,

Quand pleurant, tu nous berçais de tes mains

Chantonnant des mélodies aimées des bambins.

 

Bernard NKOUNKOU

Prisonnière de la grippe saisonnière

février 14, 2017

 

Maman, tu es toujours couchée

La maisonnée est très touchée

Par cette sale grippe saisonnière

Qui te retient comme une prisonnière

 

Maman, j’implore ton rétablissement

Pour réchauffer de ta voix la maison

Car tu es le moteur de nos activités

Qui donne l’ambiance avec sûreté

 

Maman Jacqueline, rejoins-nous

Dans la vitalité de ta station debout

Pour t’occuper de ton chéri, ton mari

Notre père et de tes enfants sous le toit

 

Maman, je t’aime comme une flamme

Qui danse à mes yeux avec son âme

De lumière parfumée et cadencée

Au rythme de la matinée et de la soirée.

 

Bernard NKOUNKOU

Bar Refaeli maman d’une petite fille

août 12, 2016

 

Bar Refaeli maman d’une petite fille

Syrie: décès d’Anissa Makhlouf, la mère de Bachar al-Assad

février 6, 2016

Damas – La mère du président syrien Bachar al-Assad, Anissa Makhlouf, est décédée samedi à Damas à l’âge de 86 ans, ont rapporté des médias officiels.

L’agence officielle Sana a indiqué que l’ancienne première dame et épouse de Hafez al-Assad, père de Bachar, était morte dans un hôpital de la capitale.

Selon ses proches, elle était malade depuis de nombreuses années et se faisait soigner en Allemagne, jusqu’à ce qu’elle figure en 2012 sur la liste noire de l’Union européenne contre les personnalités du régime syrien accusées de soutenir la répression de la révolte contre le régime en mars 2011.

Durant les trente ans durant lesquels son époux a dirigé d’une main de fer le pays, ainsi que lors des dernières années de guerre, elle s’était montrée discrète et était rarement mentionnée dans la presse.

Cependant, plusieurs experts de la Syrie affirmaient qu’après la mort de son mari en 2000, elle avait joué un rôle important en coulisses avant de s’effacer à cause de sa maladie.

Anissa Makhlouf est née en 1930 à Lattaquié, ville du littoral et fief des alaouite, la confession à laquelle elle et son mari appartenaient. Elle avait épousé en 1957 celui qui allait devenir en 1970 le maître absolu de la Syrie.

Alors que son mari était né dans une famille pauvre, l’institutrice Anissa Makhlouf appartenait à un milieu aisé. Si Hafez al-Assad avait adhéré très jeune au parti Baas, qui prônait l’unité du monde arabe, les Makhlouf étaient sympathisants du Parti national social syrien (PNSS), favorable à la Grande Syrie (Liban, Syrie, Palestine, Irak).

Ensemble, ils ont eu cinq enfants: Bassel et Majed qui sont décédés, Bachar et Maher ainsi qu’une fille aînée Bouchra.

Alors que le pays est plongé depuis près de cinq ans dans une guerre civile, la présidence a renoncé à organiser des cérémonies de condoléances.

La présidence remercie tous les Syriens pour leurs condoléances et leur demande de ne pas les présenter de manière personnelle, indique Sana.

Selon l’agence, Anissa Makhlouf était engagée en faveur de la cause des femmes (…) des martyrs et des personnes âgées.

La guerre civile en Syrie a fait plus de 260.000 morts et jeté sur les routes plus de la moitié de la population. Le conflit implique de nombreux groupes armés ainsi que des puissances étrangères sur un territoire de plus en plus morcelé.

Fort du soutien de l’armée russe, le régime a récemment enregistré de nombreuses avancées au détriment des rebelles, notamment dans le nord.

L’ONU espère pouvoir réunir des représentants du pouvoir et de l’opposition le 25 février à Genève pour tenter d’enclencher des pourparlers de paix.

Romandie.com avec(©AFP / 06 février 2016 22h15)

La mère de Cris­tiano Ronaldo arrê­tée et privée de 45 000 euros à l’aé­ro­port

juin 8, 2015

Cris­tiano Ronaldo et sa mère

Cris­tiano Ronaldo et sa mère

Une valise trop char­gée

Avoir une carte bancaire, ça n’a pas de prix. Après un voyage en Espagne où elle s’est rendue pour « soute­nir son fils après sa rupture avec le mannequin russe Irina Shayk », la mère de Cris­tiano Ronaldo, Dolo­reis Aveiro, a tenté d’al­ler au Portu­gal le mois dernier, nous apprend le quoti­dien El Mundo. Sauf que dans ses bagages, la maman du foot­bal­leur trans­por­tait pas moins de 55 000 euros. Une somme consé­quente sur laquelle les auto­ri­tés doua­nières ont fait main basse. En effet, pour éviter le blan­chi­ment d’argent, l’Es­pagne oblige toute personne dési­reuse de voya­ger avec plus de 10 000 euros à justi­fier la prove­nance de cet argent. Inca­pable de four­nir des expli­ca­tions aux auto­ri­tés, Dolores Aveiro a été auto­ri­sée à repar­tir… mais avec 45 000 euros en moins.

Cette somme d’argent sera conser­vée par la douane tant que Dolores Aveiro n’aura pas pu indiquer d’où provient cette grosse somme. Et elle devra en outre payer une amende pour avoir trans­gressé la loi anti-blan­chi­ment. À 61 ans, ce petit tête-à-tête avec la police a dû secouer la maman de Cris­tiano Ronaldo, mais cela fait déjà trois semaines et elle n’a toujours pas récu­péré sa (grosse) tire­li­re

Voici.fr par La Rédaction

Côte d’Ivoire: Joyeux Anniversaire sur fond de couronnement académique !

août 20, 2013

Professeur Abiba Tidou

Professeur Abiba Tidou

Le professeur Abiba Tidou, femme de la galaxie universitaire ivoirienne, a, aujourd’hui, 58 ans. Née le 21 août 1959, elle célèbre cet anniversaire après sa titularisation à la chaire d’Hydrobiologie, Ecotoxicologie et de Laboratoire des Sciences de l’Environnement. Diplôme graduel obtenu cette année, en concourant brillamment au Cames, qui a reconnu valablement ses compétences dans le domaine de la recherche scientifique.

Le docteur Abiba Tidou de l’Université d’Abobo-Adjamé, à Abidjan, en Côte d’Ivoire, au-delà de ses distinctions académiques, est une femme à la fibre consensuelle, méthodique et pratique.

Membre du comité scientifique, femme de vision nouvelle pour une société inscrite dans la prospective du développement. Elle croit qu’avec la volonté, la détermination et le travail, les objectifs que se sont fixés les gouvernants d’ici 2015 peuvent être atteints.

Présidente de l’Association des Femmes Chercheurs de Côte d’Ivoire(AFEMC-CI), elle participe a de nombreux forums sur la conscientisation d’une société juste et meilleure.

Motivée et organisée mais aussi efficace et sensible, le professeur Abiba Tidou a développé un bel esprit d ‘équipe. Elle a offert aussi son leadership à la résolution des conflits pour récoler les morceaux d’une société tendue, déchirée se voulant respectable et équitable.

Souriante et sympathique, son regard, parfois, habillé par des lunettes rectangulaires, dégage une joie permanente qui donne la pleine confiance et assurance à ses propos.

Détentrice de la Bourse Full Albright, elle a longtemps séjourné aux États-Unis pour approfondir et partager ses connaissances dans le domaine de ses compétences, car très soucieuse de donner à l’humanité un environnement sein et un mieux-être acceptable.

Maman comblée, elle sait partager sa vie professionnelle et de famille. Sa deuxième fille a obtenu, cette année, son baccalauréat A, série littéraire. Elle gère bien son temps de travail, axé sur la recherche sans pour autant causer des entorses à l’équilibre du foyer.

Pour cette heureuse occasion virtuelle, solennelle et temporelle, nous lui souhaitons un joyeux anniversaire pour sa 54e année d’existence, dans la pleine jouissance de ses facultés. Elle constitue une fierté nationale, un modèle incontesté d’une Afrique libre et indépendante qui doit accorder une attention vive et effective à la femme chercheur.

Pour cette circonstance si exceptionnelle, nous lui exprimons nos sincères félicitations et nos vœux de pleins succès pour sa titularisation.

Bernard NKOUNKOU