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France : une congolaise ravi le mari blanc de sa tante en utilisant ses conversations avec son amant du Congo

mai 6, 2023

Juvisy-sur-Orge, samedi 7 janvier 2023. L’agression s’est produite vers 17 heures au sein de la brasserie bar Aux deux gares à Juvisy.

A Juvisy, une ressortissante Congolaise âgée de 23 ans a fait la main noire sur sa tante de 42 ans. Elle a ravi son mari blanc en présentant à ce dernier les conversations Whatsapp de sa tante avec son amant au Congo ainsi que des nudes. Le blanc a pété les câbles avant de trouver consolation de la nièce que la tante diabolise dans toute la famille. C’est elle qui a fait venir en France cette nièce, devenue aujourd’hui son bourreau en amour.

Pour certaines congolaises en Europe, avoir un homme blanc c’est toucher le ciel et toutes les méthodes valent pour concrétiser leur rêve. Il n’est plus surprenant d’entendre d’une congolaise: «moi, je ne fréquente que des blancs!» prouvant ainsi son degré de complexe et de servitude.

A Juvisy, dans la banlieue parisienne, une famille congolaise est au bord de l’explosion suite à une main noire très atypique. La nièce a détourné le blanc de sa tante et vit le grand amour avec lui.

Quelques années plus tôt, la nièce débarquait en France comme étudiante grâce à sa tante qui a fourni tous les papiers nécessaires à l’obtention d’un visa d’études. La cohabitation entre tante et nièce a toujours d’une grande complicité et aujourd’hui Flore ne comprend pas comment sa propre nièce, considérée comme sa fille a pu lui faire ce coup.

Pour Flore, sa nièce enviait sa vie et doit être une sorcière. Lors de ses voyages au Congo, Flore a connu un jeune congolais qu’elle comptait bien faire venir en France. Ayant totalement en sa nièce, elle lui en a parlé en toute franchise. Sa vie amoureuse avec le blanc n’était que provisoire et avec sa nationalité en poche, elle en rêvait finir sa vie avec un Mundélé contrairement à sa nièce.

Ce sont ces conversations que la nièce a présenté au blanc pour clouer sa propre tante. Le blanc a lu de ses propres yeux comment son épouse vantait les prouesses sexuelles de son amant congolais qui du reste s’apprêtait à venir en France.

Aujourd’hui, la nièce vit le grand amour avec l’ex de sa tante et ont emménagé à Ris Orange dans un autre appartement. Le blanc semblerait-il n’a pas supporté que sa propre femme se moque de son pénis, non seulement petit mais Mosoutou.

Avec acer-infos par Stany Frank

France/Femme démembrée aux Buttes-Chaumont : son mari incarcéré pour meurtre

février 25, 2023

L’homme avait signalé la disparition de sa femme, mais les enquêteurs avaient rapidement constaté des incohérences dans ses déclarations.

Le mari de la femme dont le corps a ete decoupe et cache a differents endroits du parc des Buttes-Chaumont, a Paris, a avoue l'avoir tuee.
Le mari de la femme dont le corps a été découpé et caché à différents endroits du parc des Buttes-Chaumont, à Paris, a avoué l’avoir tuée. © CHRISTOPHE ARCHAMBAULT / AFP

L’homme a avoué les faits. Suspecté d’avoir tué, découpé le corps de sa femme, puis d’avoir dissimulé les morceaux de son cadavre dans le parc des Buttes-Chaumont, le mari d’Assia M. B. est passé aux aveux hier, vendredi 24 février. Mis en examen pour « meurtre sur conjoint », il a été incarcéré ce samedi 25 février.

Le 13 février, un sac plastique contenant le bassin et les cuisses d’Assia M. B. avait été retrouvé sous un tas de déchets verts par des agents municipaux des parcs et jardins des Buttes-Chaumont, dans le 19e arrondissement de Paris. Le lendemain, d’autres restes de la quadragénaire, dont la tête, avaient été retrouvés par les enquêteurs. L’enquête s’est rapidement portée vers le mari, dont les déclarations, jugées incohérentes, avaient éveillé les soupçons des policiers.

Il avait signalé la disparition de son épouse à la police le 6 février, alors qu’il l’avait évoquée le 31 janvier sur les réseaux sociaux. Et les enquêteurs « se sont aperçus qu’il ne s’était pas rendu dans certains lieux de la capitale pour chercher son épouse, comme il l’avait affirmé dans un premier temps », selon BFMTV.

Par Jeanne Le Borgne pour Le Point

Congo-Mbinda : Trompée par son mari, elle brûle sa maison et sa boutique en guise de représailles

octobre 14, 2022
 Mbinda : Trompée par son mari, elle brûle sa maison et sa boutique en guise de représailles

Ennui, besoin de séduire, de se rassurer…, nous avons mille raisons d’avoir envie d’amours buissonnières. Et de passer à l’acte. C’est une infidélité qui aura couté très cher à Mbinda dans le département du Niari (sud). L’histoire a été racontée sur les réseaux sociaux.

Profitant de l’absence de sa femme, HPM tente une « tricherie ». Seulement, une chose est de tromper sa femme et une autre est de savoir choisir le moment et le lieu pour le faire.

Le jeune commerçant de l’ex cité Comilog ne trouva pas mieux de recevoir sa petite amie qu’à domicile. Manque de pot pour lui, il a été attrapé en flagrant délit d’adultère par sa femme.

Désormais convaincue de l’infidélité de son mari, elle a été prise d’un coup de colère, qui s’est vite mué en coup de folie. Après avoir rassemblé ses affaires, elle a ainsi entrepris d’incendier la maison conjugale et la boutique pour faire payer cette aventure à son époux.

Quand un couple se retrouve confronté à l’infidélité, une véritable tornade émotionnelle se déclenche. C’est un tremblement de terre, un séisme qui chamboule tout.

Pour le conjoint trompé, c’est souvent un mélange de plusieurs sentiments : on se sent humilié, spolié, sali, trahi, touché dans son amour-propre… Et pas mal de questions qui se posent :

«Qu’est-ce que j’ai fait pour mériter d’être trompé ?» « Vais-je être capable de pardonner cette infidélité ?» « Comment réagir face à cette trahison de mon (ma) partenaire ? » « Comment lui faire de nouveau confiance après cette infidélité ? »

Pour le conjoint in fidèle, cela peut aussi se traduire par un sentiment de culpabilité, de honte, d’incrédulité aussi. Comment HPM va reconstruire et redémarrer son couple après cette infidélité ?

Il n’est pas rare qu’en entreprenant quelque chose de trop risqué, un proche vous mette doucement en garde… « Tu risques de te brûler les ailes… » Mais en y regardant de plus près, c’est la malheureuse fin d’Icare qui permet au jeune commerçant aujourd’hui de tirer cette leçon.

Avec Le Congolais

Paris : Arrivée du Congo, une maman détourne le mari blanc de sa propre fille l’ayant fait venir

février 19, 2021

Visiblement en Europe, on ne sait plus d’où peut surgir le danger ! Une maman Congolais fraîchement arrivée du pays n’a pas eu de remord à détourner le mari blanc de sa propre fille qui l’a fait venir en plus. Boucharde, elle accuse même sa fille de s’être mis en couple avec un vieux blanc au lieu de se trouver un jeune de son âge. Le vieux blanc ne jure que par son ex belle-mère devenue son grand amour et ne veut plus rien savoir de sa fille. Une main noire qui divise la famille restée au pays.

Quand elle a pris la décision de faire venir sa maman en France, Régine M ne s’est jamais imaginé qu’elle pouvait devenir son cauchemar. C’est l’amour d’une fille pour sa mère veuve vivant dans un pays de merde qui l’a plus guidé. En complicité avec son époux français, elle a entrepris les démarches administratives ayant permis à sa maman d’obtenir un visa long séjour au consulat de France au Congo.

Des années plus tôt, alors qu’elle était encore étudiante à Dakar au Sénégal, Régine M a fait la connaissance de Xavier L, un quinquagénaire à l’époque en poste comme consultant. C’est d’ailleurs lui qui a pris la relève dans le financement des études de Régine. Le couple va s’installer deux ans plus tard dans la région parisienne ( Val d’Oise )

Âgée de 27 ans aujourd’hui, Régine en avait 22 quand elle a connu Xavier qui est âgé actuellement de 62 ans. Après avoir fait venir son jeune frère, Régine l’a fait aussi avec sa maman après la mort de son père il y a deux ans.

Une fois arrivée en France et dans le pavillon de sa fille, la maman s’est vite rendu compte d’attirer son beau-fils blanc qui parait-il ne cessait de vanter son physique et sa beauté. Le tout s’est joué pendant les absences de sa fille. Le blanc se plaignait du manque d’attention de Régine et confiait leurs intimités à sa belle-mère. Des confessions qui se sont transformées en attirance et amour entre la belle-mère et le beau-fils.

Les deux amoureux ont caché leur relation pendant plus de six mois avant de la rendre public. Sans froid aux yeux, les deux ont fait asseoir Régine pour l’annoncer la mauvaise nouvelle à laquelle elle mettra du temps à réaliser. Xavier le blanc ne s’est pas gêné de dire se sentir beaucoup mieux avec la maman qui est de sa génération.

Traitée de sorcière par le reste de la famille, la maman de Régine a assumé son choix et a dit être heureuse avec Xavier. Au Congo, on lui a promis tous les malheurs du monde. Régine a demandé un congé à l’hôpital où elle travaille et s’est réfugiée à Rennes chez sa tante paternelle.

Avec Sacer-infos par Stany Frank

France : cocufié et humilié par sa femme, il kidnappe ses deux enfants et s’en fuit à Pointe-Noire

juin 15, 2019

JC a pris ses quartiers à Ngoyo dans sa villa en compagnie de ses deux enfants et explique à sa famille le calvaire vécu en France avec celle qu’elle appelle son porte malheur. Cocufié, humilié, il s’est enfui vers le Congo avec sa progéniture pour selon donner une leçon de vie à son ex femme. La France n’est désormais qu’un souvenir pour lui.

Né à Pointe-Noire qu’il a quitté il y a 15 ans pour s’installer dans la région parisienne, JC a retrouvé cette ville pour le reste de sa vie de façon imprévue et tragique. Il a été obligé de kidnapper ses propres enfants pour ne pas être perdant.

Après son installation en France, il avait fait venir du Congo celle qui est devenue la mère de ses deux enfants. Une vie pourtant heureuse avant que la femme ne commence à fréquenter la diaspora congolaise.

Elle ne manquait à aucune fête des congolais et était devenue membre de nombreux Muziki. Peu à peu, elle a commencé à manquer à ses devoirs conjugaux au point même de tromper ouvertement JC.

Les manques de respects se sont alignés devant les enfants. Ces amants menaçaient JC au téléphone, les audios whatsapp de sa femme destinées à ses amants lui étaient même transférées.

Comme un blessé de guerre, JC a préparé sa vengeance en toute humilité. Le prenant pour un idiot amoureux, incapable de se passer d’elle, sa femme découchait tous les week-end.

Entre temps, JC terminait les travaux de son troisième chantier à Siafoumou ( Pointe-Noire). Quatre appartements modernes en location actuellement. Après avoir expédié deux bus et deux voitures ( Taxi) vers Pointe-Noire, JC a improvisé un voyage au sud de la France avec ses enfants.

Loin de prévoir le malheur qui se pointait, sa femme, a tout de suite pensé à un bon débarras. Une absence de son mari qui lui laissait la voie ouverte à le cocufier même à domicile.

Du sud de la France, JC et ses deux enfants ont traversé la frontière pour Barcelone , d’où, ils ont embarqué pour Casablanca au Maroc  avant de rejoindre Pointe-Noire.C’est depuis sa villa du quartier Ngoyo, que JC a envoyé à sa femme via whatsapp, les vidéos avec ses enfants,visiblement très heureux dans leur nouvelle vie congolaise.

Selon JC, maintenant sans enfants à sa charge, son ex n’aurait plus droit aux allocations et devrait travailler. Pour éviter tout ennui, il s’est présenté au consulat de France avec ses enfants pour notifier sa présence au Congo et les raisons du changement de domicile. JC a demandé à son ex femme de les oublier et de faire sa vie avec ses amants en France.

Sacer-infos.com par Stany Franck

Inde: des victimes d’attaques à l’acide à un défilé de haute couture

novembre 25, 2017

Reshma Bano Qureshi, 20 ans, survivante indienne d’une attaque à l’acide et modèle lors d’un défilé à New Delhi, le 25 novembre 2017. / © AFP / DOMINIQUE FAGET

Neuf femmes défigurées par de l’acide ont défilé samedi soir lors du premier événement de haute couture réservé aux survivantes du fléau que représente ce type d’agressions en Inde.

Ces femmes, presque toutes victimes de leurs maris ou d’un parent proche, ont défilé dans des robes réalisées par les meilleurs designers indiens, comme Rohit Bal, Ranna Gill et Archana Kochhar. Aucune n’a couvert son visage.

« J’étais très nerveuse », a déclaré Meena Khatoon après son aventure sur le podium. Mais cette mère d’un jeune fils, originaire de New Delhi, qui a été attaquée par son ex-mari, a insisté sur le fait qu’elle avait quelque chose à prouver.

« Les gens détournaient souvent le regard quand je sortais dans la rue. Ils changeaient de direction quand ils me voyaient. Je devais faire face à beaucoup de problèmes », a-t-elle reconnu à l’AFP.

« Mais un jour je me suis dit, si c’est comme ça que tu vois les choses, ainsi soit-il. Je dois construire ma vie, je veux que mon fils fasse des études et je dois le soutenir ». Meena Khatoon dirige maintenant sa propre petite entreprise de réparation de téléphones portables.

Elle a été aidée par Make Love Not Scars, qui organisait le défilé samedi. L’ONG aide les survivantes à reconstruire leur vie et, dans de nombreux cas, leur visage.

– des milliers de cas –

L’ONG a notamment aidé Reshma Bano Qureshi, 20 ans, qui est apparue l’année dernière à la fashion week de New York et qui est en train d’écrire un livre.

La jeune femme, agressée il y a trois ans par son beau-frère, qui pensait jeter de l’acide sur sa femme, craignait également de quitter sa maison pour affronter les regards.

« J’avais peur que ça se reproduise. J’étais mal à l’aise avec la réaction des gens dans la rue ».

« Les gens diraient ‘qu’est-ce qu’il t’est arrivé?’, ‘personne ne t’épousera’ ou ‘avec un visage déformé tu n’es pas belle’, mais je suis fière de moi et j’ai confiance en ce que je suis. Je veux que les gens sachent que le visage n’est pas ce qui te rend beau, c’est ton coeur ».

Des centaines d’attaques à l’acide sont signalées chaque année en Inde, mais Tania Singh, vice-présidente de Make Love Not Scars, croit qu’il s’agit plutôt de milliers d’attaques.

Selon elle, les gouvernements locaux ne rapportent pas tous les cas. De plus, certaines femmes meurent avant qu’une enquête criminelle ne soit lancée et certaines choisissent de rester avec des familles violentes.

« Nous avons eu un cas où une femme a été attaquée trois fois par son mari mais continue à vivre avec lui ».

L’hôtel Lalit, où le défilé de mode se tenait, a fourni une chambre à une femme attaquée il y a deux semaines et qui attend de l’aide.

Pour Tania Singh, le défilé était un très bon moyen pour que les survivantes reprennent confiance en elles.

Au début, beaucoup de femmes refusent d’enlever leur voile quand elles vont à Make Love Not Scars.

« Elles disent ‘nous ne pouvons pas le faire, nous sommes vraiment laides’ et nous leur disons que ce n’est pas vrai, vous n’êtes pas laides, c’est la société qui est laide. »

Le défilé de mode est « l’occasion de réaliser qu’elles méritent la reconnaissance, l’amour et leur place dans la société. Maintenant, elles peuvent retourner dans la rue et dire au monde qu’elles n’ont pas à cacher leur visage et leurs cicatrices. C’est au monde de changer sa façon de penser.  »

Romandie.com avec(©AFP / 25 novembre 2017 21h18)                

France/Hérault: elle drogue son ex-mari et lui brûle les parties intimes

août 16, 2016

Illustration. La police a été interpellée samedi soir à Montpellier (Hérault) une femme de 51 ans. Elle a tenté de tuer son mari en le droguant avant de lui brûler les parties génitales. (LP/O.B.)

«La vengeance est une justice sauvage», disait Francis Bacon. Cette femme de 51 ans, qui habite le quartier Lemasson à Montpellier (Hérault) a voulu appliquer cette maxime à la lettre en tentant de tuer son ex-mari. Elle l’a d’abord drogué avant de lui brûler les parties génitales, pour se venger d’années de calvaire, rapporte France Bleu Hérault.

La quinquagénaire avait divorcé de son mari, mais vivait toujours avec lui. Elle lui a d’abord concocté un cocktail d’enfer avec de l’insuline et du Xanax. Une fois endormi, elle lui a brûlé les parties intimes en enflammant une bombe aérosol. Son ex-mari, âgé de 43 ans, se trouve actuellement dans le coma et son pronostic vital est engagé.

Une «haine profonde» contre lui

Elle a été placée en garde à vue samedi soir et aurait avoué les faits durant son audition. Selon ses dires, elle aurait voulu se venger des violences conjugales qu’elle a subies pendant des années. Même si elle n’a jamais porté plainte contre son ancien compagnon, elle affirme avoir vécu un enfer. Elle a reconnu qu’elle voulait lui faire du mal, sans forcément le tuer, et surtout  qu’elle avait une «haine profonde» contre lui.

La prévenue devrait être mise en examen pour tentative d’homicide, actes de torture et de barbarie. Les enquêteurs estiment que son discours était cohérent, qu’elle ne délirait pas. Toutefois, une expertise psychiatrique a été ordonnée pour comprendre ce qui a pu pousser cette femme à une telle sauvagerie à l’égard de son compagnon.
Leparisien.fr

Ghana: 2807 hommes battus par leurs femmes

août 10, 2016

 

Ghana: 2807 hommes battus par leurs femmes
« Tu fais trop la bouche avec moi, parle encore: salaud ! »

 

le magazine ghanéen ”The Ghanaian Times” rapporte qu’un total de 2807 hommes ont signalé des cas de violence conjugale contre leurs femmes l’an dernier, contre 3143 l’année précédente selon l’Unité de soutient aux victimes de violence domestique (DOWSU) du Service de police du Ghana.

Bien que la violence domestique peut sembler viser seulement les hommes qui battent leurs femmes, dans la réalité, certaines femmes abusent également et battent leurs hommes.

La violence conjugale, venant de l’homme ou de la femme est inacceptable. Mais c’est particulièrement intéressant et un peu bizarre de compter que 2807 hommes qui ont été battus par leurs femmes en 2015 seulement au Ghana.

Et ce sont ceux qui ont fait des rapports officiels- avec plusieurs hommes n’ayant pas le courage de dénoncer la souffrance qu’ils endurent à cause de ce que la société pense d’eux.

En outre, 13,465 femmes ont signalé des cas de violence familiale contre leurs conjoints l’année dernière, contre 15.207 l’année précédente.

Les cas signalés par les hommes inclus un déni de sexe et de nourriture, l’utilisation de langages abusives, des agressions, entre autres.

Imatin.net

Le mari qui a égorgé son épouse veut une réduction de peine

juin 10, 2015

Dans son procès en appel, l’homme de 48 ans condamné à la prison à vie en 2014 pour avoir égorgé son épouse à Fribourg en 2010 demande une réduction de sa peine. Le Ministère public requiert le maintien de celle-ci tandis que la défense plaide pour un allègement.

Cet homme a attaché sa victime. Il lui a infligé une quinzaine de coups de couteau, l’a frappée avec un pistolet « soft-air », lui a tiré des balles en plastique au visage, l’a étranglée, et lui a tranché la gorge.

Le jugement du Tribunal pénal de la Sarine semble figé par l’effroi que suscite la scène du crime, et épuré de toute considération humaine, a dit Maître Hayat, avocate du prévenu, mercredi devant le Tribunal cantonal fribourgeois. Elle a appelé à voir la blessure de l’homme derrière ces actes.

Les époux, arrivés de Tunisie en 1999, ont eu deux filles aujourd’hui adolescentes. Le mari surveillait constamment sa compagne. Elle s’est séparée de lui après des violences conjugales.

« Aimer mal, mais aimer quand même »
La défense a mis en évidence le décalage pathétique entre cet homme encore lié à sa compagne, et cette femme qui avait tourné la page. Elle a décrit « l’effondrement émotionnel » du mari apprenant qu’elle avait un autre homme dans sa vie.

« On peut aimer mal mais aimer quand même », a martelé l’avocate. L’amour et la haine sont parfois proches, a-t-elle ajouté, concédant que le prévenu a tenu des propos « disgracieux » au sujet de la défunte.

L’assassinat, s’il est maintenu au lieu du meurtre, implique un seuil de 10 ans de prison, ce qui laisse une marge pour abaisser la peine. Et pour Maître Hayat, cette qualification ne va pas de soi au vu de la souffrance du coupable dans sa relation avec la victime.

Elle met en doute aussi la préméditation de l’homicide. Le prévenu aurait commandé une arme à feu – finalement pas achetée – seulement pour menacer de se suicider. Et l’achat d’un pistolet « soft-air » serait tout au plus l’indice d’une préméditation de contrainte.

Responsabilité diminuée
La défense souhaite que les juges prennent en compte la légère diminution de responsabilité définie par les experts en raison de troubles de la personnalité (paranoïa, narcissisme). Elle note qu’aucune connotation sadique ne ressort des expertises.

« Un homme normal qui a commis des actes sadiques », c’est justement un facteur aggravant, s’est exclamé le procureur Marc Bugnon. Ce dernier requiert la confirmation de la prison à vie pour assassinat et exclut le meurtre passionnel.

« Aux antipodes de l’amour »
« Il est aux antipodes de l’amour – s’il a de l’affection, c’est avant tout pour lui-même », a argumenté le procureur. Son attitude n’est pas non plus celle d’un fou, mais d’un égoïste sans empathie pour les autres.

Et comment écarter la préméditation alors qu’il a acheté quatre jours à l’avance l’une des armes qui a servi au supplice, a illustré Marc Bugnon. Le pistolet « soft-air » était une solution de rechange après avoir constaté les formalités exigées pour une arme à feu.

Le jour-même, il a réuni en une heure le matériel utilisé pour le crime, dont des cordes et du scotch. Toute improvisation était impossible pour tenir un tel timing, selon le procureur.

Il a aussi fustigé la « théâtralité » du prévenu en audience, qui parvient à sécher rapidement ses larmes pour revenir à ses litanies. Ses timides et récents revirements ne compensent pas cinq ans de « jérémiades ».

Le prévenu a exprimé ses « profonds regrets » et sa tristesse. Il a présenté ses excuses pour avoir bouleversé la vie de tant de personnes.

Le verdict tombe jeudi. En cas de prison à vie, le prévenu peut tenter d’obtenir une libération conditionnelle après 15 ans de détention, soit au printemps 2025.

Romandie.com

Adriana Karem­beu très en colère après les révé­la­tions sur la garde à vue de son mari

mars 14, 2015

André Ohanian et Adriana Karem­beu

André Ohanian et Adriana Karem­beu

« Cela me rend folle »

Adriana Karem­beu s’est expri­mée suite à la brève garde à vue de son mari, André Ohanian. Et l’ex-mannequin voit rouge, elle ne supporte pas que l’honneur de celui qu’elle aime soit sali.

Quand Adriana Karem­beu n’est pas contente, elle le fait savoir. Jeudi, on appre­nait le place­ment en garde à vue d’André Ohanian, son époux. La police a souhaité entendre l’homme d’affaires sur ses rela­tions finan­cières avec Serge Kaspa­rian, le patron d’un établis­se­ment de jeux pari­sien, en déten­tion depuis octobre dernier. La nouvelle n’a pas tardé à se répandre un peu partout, ce qui a agacé Adriana.

L’anima­trice télé s’est expri­mée dans Nice Matin, elle a confié : « Je me suis mariée avec un homme que je connais par coeur et que j’aime. Quelqu’un essaie de noir­cir son image, cela me rend folle. » André Ohanian a bien été placé en garde à vue mais pour elle il n’était pas néces­saire d’en faire tout un plat, elle explique : « Mon mari a été simple­ment entendu jeudi, comme vingt ou trente autres personnes, sur la nature de ses rela­tions avec M. Kaspa­rian qui n’est qu’une de ses nombreuses connais­sances. André s’est expliqué et il est sorti complè­te­ment libre, aucune charge n’a été rete­nue contre lui. » 

Ce qui l’a rendue folle de rage, c’est de voir l’infor­ma­tion reprise un peu partout dans la presse seule­ment quelques heures après. Adriana Karem­beu a d’ailleurs décidé de ne pas en rester là, elle va porter plainte. Très remon­tée, elle ajoute : « Que les détails de cet entre­tien aient été divul­gués dans la presse, c’est inad­mis­sible. En plus, il est indiqué que mon mari s’est fait prêter de l’argent, ce qui est complè­te­ment faux. C’est un busi­ness­man. Il n’a pas besoin de se faire prêter 30 000 euros ! C’est horrible. Et que l’on prétende que je suis sous le choc, c’est comme si je ne savais pas qui est André. Un truc de fou ! Je n’ai jamais douté de mon mari. » Adriana n’est donc pas choquée, elle est plutôt très éner­vée et ça va faire mal !

Voici.fr par L. B.