Posts Tagged ‘mea culpa’

3000 euros d’amende pour avoir insulté Albert de Monaco sur Facebook

avril 24, 2013

Son statut égratigné sur Facebook 

 
3000 euros d’amende pour avoir insulté Albert de Monaco sur Facebook

 
3000 euros d’amende pour avoir insulté Albert de Monaco sur Facebook3000 euros d’amende pour avoir insulté Albert de Monaco sur Facebook3000 euros d’amende pour avoir insulté Albert de Monaco sur FacebookAlbert II de Monaco
 

Un homme qui avait une dent contre Albert II de Monaco et sa famille a été condamné hier pour les avoir insultés sur internet.  

Colère, alcool, réseau social et tête couronnée, c’est le cocktail qui a conduit un homme devant la justice hier. Comme le rapporte l’AFP, un photographe indépendant de 46 ans a été condamné par le tribunal correctionnel de Monaco pour avoir insulté Albert II de Monaco sur sa page Facebook. Le 22 novembre dernier, l’homme avait posté un cliché de son passeport monégasque brûlé agrémenté de commentaires insultants contre le souverain et sa famille.

Devant le tribunal, il a expliqué que son geste avait été motivé par « un contentieux avec le service de presse du palais ». Une rancœur exarcerbée par le fait qu’il s’était « remis à boire ». L’homme a ensuite fait son mea culpa : « J’ai perdu la tête. Je suis maintenant suivi par des médecins et je regrette mes propos », a-t-il assuré. Le tribunal l’a condamné à une amende de 3000 euros assortie d’une obligation de soins pour traiter ses problèmes d’alcool.

En 2011, un Français de passage à Monaco avait également subi les foudres de la justice pour avoir insulté le prince. Toujours sur fond d’alcool, cet homme avait fait du grabuge dans un bar parce qu’on refusait de le servir vu son état. A l’arrivée des policiers, il n’avait rien trouvé de mieux que d’injurier Albert II de Monaco. Conduit en cellule de dégrisement, il avait été condamné le lendemain à six jours de prison ferme pour insulte publique au souverain, un crime de lèse majesté selon la loi monégasque.

Voici.fr par C.G.

Jérôme Cahuzac: “J’ai été pris dans une spirale de mensonges”

avril 3, 2013

L’ex-ministre du Budget fait son mea culpa

 
 
Jérôme Cahuzac: “J’ai été pris dans une spirale de mensonges”

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Jérôme Cahuzac a décidé de passer aux aveux. Alors qu’il niait depuis des mois, l’ex-ministre du Budget a confirmé les informations du Canard Enchaîné à paraître demain. Devant les juges d’instruction puis sur son blog, le socialiste a avoué qu’il détenait un compte bancaire à l’étranger depuis environ vingt ans, ce qu’il avait toujours démenti.

Acculé, Jérôme Cahuzac, a fini par céder! Une semaine après avoir démissionné du gouvernement, l’ancien ministre du budget a été entendu ce mardi après-midi par les juges du pôle financier du Tribunal de Grande Instance de Paris. Mis en examen pour blanchiment de fraude fiscale, Jérôme Cahuzac a fait ses aveux sur son blog, précédant du même coup la sortie du Canard Enchaîné demain. 

«Par lettre du 26 mars 2013, j’ai demandé à Messieurs les juges d’instruction Roger Le Loire et Renaud Van Ruymbeke de bien vouloir me recevoir afin que, délivré des obligations de ma fonction, je puisse enfin donner les explications qui s’imposent au regard de la détention à l’étranger d’un compte bancaire dont je suis le bénéficiaire depuis une vingtaine d’années. J’ai rencontré les deux juges aujourd’hui, ajoute-t-il. Je leur ai confirmé l’existence de ce compte et je les ai informés de ce que j’avais d’ores et déjà donné les instructions nécessaires pour que l’intégralité des actifs déposés sur ce compte, qui n’a pas été abondé depuis une douzaine d’années, soit environ 600000 €, soient rapatriés sur mon compte bancaire à Paris. À Monsieur le Président de la République, au Premier ministre, à mes anciens collègues du gouvernement, je demande pardon du dommage que je leur ai causé», poursuit Jérôme Cahuzac sur son blog. J’ai été pris dans une spirale du mensonge et m’y suis fourvoyé, ajoute-t-il. Je suis dévasté par le remords. Penser que je pourrais éviter d’affronter un passé que je voulais considérer comme révolu était une faute inqualifiable. J’affronterai désormais cette réalité en toute transparence.»

Me Jean Veil, avocat de Jérôme Cahuzac a pour sa part précisé à l’AFP: «Ce compte n’a pas été abondé depuis 2001 et l’essentiel de ses revenus provenait de son activité de chirurgien et accessoirement de son activité de consultant».

 Gala.fr par A.M

Le Prince Harry: « A Las Vegas, je me suis laissé aller »

janvier 22, 2013

Le fils du prince Charles fait son mea culpa

Le Prince Harry: "A Las Vegas, je me suis laissé aller"
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A l’époque de la sortie de ses photos de strip tease à Las Vegas, le prince Harry était resté mutique. Cinq mois plus tard, il s’exprime sur l’incident médiatique.

«Never complain, never explain» («ne jamais se plaindre, ne jamais s’expliquer»), est une devise royale que, jusqu’ici, Harry avait appliquée à la lettre. Mais pour la première fois, le voici qui vient de faire amende honorable concernant les clichés chocs pris en août dernier à Las Vegas. Tandis qu’il s’exprimait récemment auprès de journalistes anglais sur son retour d’Afghanistan après cinq mois passés sur place, l’un d’entre eux a osé une question sur cet épisode qui, à l’époque, avait fait le tour du monde.

Rappelons qu’ Harry et des amis avaient invité quelques jeunes filles dans la suite d’un hôtel de Las Vegas pour se livrer à un strip billard, soit un strip tease au fil des pertes de chacun au jeu de billard. L’un des participants à ces agapes coquines et potaches avait alors immortalisé via un téléphone portable le prince entièrement nu, collé à une jeune fille et dissimulant son intimité de ses mains. «Je me suis probablement laissé aller», a confié le prince Harry. «C’était en fin de journée, cela se passait dans une sphère privée et j’aurais dû bénéficier d’une certaine confidentialité, je n’ai pas apprécié la manière dont j’ai été traité. Je ne pense pas que ce soit acceptable», a-t-il affirmé dans un premier temps. Avant de préciser que, secoué par l’ampleur du scandale, de retour à la maison il avait apprécié d’être «soutenu par ses amis».

Pour autant, le frère du sage William, réputé festif, n’a pas manqué de faire preuve d’un brin d’autocritique «Je suppose que cela est l’exemple classique de ce qui peut m’arriver quand je me comporte trop en militaire potache et pas assez en prince», a-t-il précisé. A 28 ans, le prince Harry, désormais aguerri aux dangers des paparazzis amateurs, réfléchira désormais à deux fois avant de décompresser de retour de mission!

 Gala.fr par Séverine Servat

Valérie Trierweiler regrette son tweet anti Ségolène Royal

octobre 4, 2012

« J’ai été maladroite »

  • Valérie Trierweiler regrette son tweet anti Ségolène RoyalValérie Trierweiler regrette son tweet anti Ségolène Royal
Valérie Trierweiler revient sur tous les dossiers qui ont agité ses premiers mois de première dame et promet qu’elle a enfin pris la pleine mesure de son rôle.

Très discrète dans les médias depuis son tweet polémique de soutien à Olivier Falorni, adversaire de Ségolène Royal aux législatives à La Rochelle, Valérie Trierweiler n’avait pas pour autant déserté l’actualité. De son possible retour à la télévision, en passant par la rumeur d’une installation en Bretagne, Valérie Trierweiler a éprouvé le besoin de reprendre la parole aujourd’hui dans Ouest-France (le quotidien le plus lu de France, on ne fait pas les choses à moitié) afin de faire le point sur les questions qui l’entourent.

Le tweetgate

En moins de 140 signes sur Twitter, Valérie Trierweiler avait ruiné le concept bourgeonnant de présidence normale en soutenant le dissident socialiste que Ségolène Royal affrontait aux législatives. Rappelée à l’ordre par son compagnon, boudée par les enfants de celui-ci, montrée du doigt par une partie de la gauche, raillée par les Français, Valérie Trierweiler a traîné son tweet comme un boulet jusqu’à sa réapparition publique discrète le 14 juillet aux côtés de François Hollande. « C’était une erreur que je regrette, concède-t-elle à présent dans Ouest-France. J’ai été maladroite puisque cela a été mal interprété. Je n’avais pas encore réalisé que je n’étais plus seulement une simple citoyenne. Cela ne se reproduira pas. Quant à ce que, François et moi, nous nous sommes dit, cela relève “des affaires privées” et restera donc privé ! » Un mea culpa qu’elle modère toutefois en blâmant une soi disant surmédiatisation de l’affaire : « Le traitement m’a surtout semblé disproportionné, a-t-elle déploré. Certains journalistes reconnaissent aujourd’hui en avoir beaucoup trop fait. » Ces repentis ne l’ont pas dit publiquement en tout cas.

Son retour à la télévision

Il y a deux semaines, le come back de Valérie Trierweiler à la télévision était dans l’air. La direction de Canal +, propriétaire de D8 (anciennement Direct 8, chaîne sur laquelle Valérie Trierweiler travaillait avant de devenir première dame), reconnaissait être en discussion avec elle pour une émission culturelle. Une première dame peut-elle avoir son émission de télévision ? Certains, dont Bernadette Chirac, avaient répondu par la négative. Un message visiblement entendu par la compagne de François Hollande puisqu’elle ne donnera pas suite à la proposition de Canal +. « Après une période de réflexion, j’ai choisi de renoncer, assure-t-elle. Avec D8 où je travaillais depuis sept ans, nous avions évoqué des ébauches de projets, mais pas une émission régulière. Nous avions imaginé un ou deux documentaires à l’année sur des grandes causes comme l’éducation des petites filles dans le monde ou les problèmes démographiques. C’était un beau projet à vocation humanitaire, mais je comprends que, pour certains, être la compagne du Président et travailler pour une télévision puisse susciter des interrogations voire un trouble, c’est pour cette raison que je ne pas donne pas suite. Je n’oublie pas la chance dont j’ai bénéficié dans la vie. Il est temps pour moi de rendre, en me mettant au service des autres ; et des enfants en particulier. »

En revanche, les rumeurs de son départ prochain de Paris Match semblent infondées puisque Valérie Trierweiler laisse entendre qu’elle compte y poursuivre son activité. « Je suis journaliste à Paris Match depuis 22 ans, je tiens une chronique littéraire qui n’a rien à voir avec la politique. Mes enfants sont à ma charge et je ne vois pas comment faire sans salaire. La France détient le record de femmes actives : 85 %. J’en fais partie tout simplement. Conserver mon indépendance financière me semble également plus sain pour garder les pieds sur terre. » Elle en a plus que besoin depuis le tweet.

Son rôle de première dame

Fini le temps ou Valérie Trierweiler souhaitait réinventer la fonction de première dame, jusqu’à se baptiser la first girlfriend. Après plusieurs mois passés à tâtonner, elle suivra finalement les traces de Danielle Mitterrand. « Je n’avais sans doute pas pris toute la mesure des exigences de cette tâche. Etre aux côtés du Président m’oblige à considérer les choses autrement, à avoir des préoccupations moins personnelles. Je reçois de nombreuses demandes d’associations ; et d’autres individuelles : le plus souvent de femmes dans des situations précaires. Je considère que c’est mon devoir d’y répondre. » C’est pourquoi elle est devenue ambassadrice de la Fondation Danielle Mitterrand : « J’ai accepté bien volontiers la mission que m’a confiée son président Gilbert Mitterrand. Assurer la continuité de l’action de Danielle Mitterrand, grande femme de gauche, m’honore. France Libertés s’est battue aux côtés des peuples opprimés et pour les biens communs de l’humanité avec notamment l’accès à l’eau. Ce sont des sujets qui m’intéressent. J’effectuerai ce mois-ci le premier déplacement, en région parisienne, à Chambly le 18 octobre. »

Son installation en Bretagne

Valérie Trierweiler allait-elle se faire construire un pied-à-terre dans le Morbihan ? Un élu local avait vendu la mèche en révélant que la première dame avait déposé un permis de construire. Derrière cet innocent projet immobilier se cache pourtant une affaire plus grave : une usurpation d’identité. « J’adore la Bretagne mais je ne vais pas m’y installer !, a clamé Valérie Trierweiler. J’ai d’abord cru qu’il s’agissait d’une rumeur, mais il semble que nous ayons affaire à une escroquerie ou une manipulation avec usurpation d’identité. » Elle va en conséquence déposer plainte contre X pour en apprendre plus.

Voici.fr par C.G.