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États-Unis/Élection de Joe Biden : Melania Trump incite son mari à concéder sa défaite

novembre 9, 2020
Selon CNN, Melania Trump ferait partie des quelques proches recommandant à Donald Trump de concéder sa défaite. Mais le président américain semble tenir tête.

Donald Trump, Melania Trump

© Carlos Barria / Reuters Donald Trump, Melania Trump
La transition commence, peu à peu, mais sans Donald Trump. Depuis que les médias américains ont annoncé samedi la victoire de Joe Biden en Pennsylvanie, lui permettant de franchir le cap des 270 grands électeurs nécessaires à la victoire à l’élection présidentielle, le milliardaire s’enferme dans le déni. Martelant que son adversaire ne le dépasse qu’à cause de votes «illégaux», ainsi qu’il qualifie les bulletins par correspondance arrivés après le 3 novembre mais postés avant -et qui sont bien légaux selon les lois en vigueur dans différents États-, Donald Trump n’a toujours pas concédé sa défaite, première étape traditionnelle à une transition pacifique du pouvoir.

Si certains de ses proches -dont ses fils Donald Jr et Eric, et son avocat personnel Rudy Giuliani- continuent de crier à la fraude sans preuve tangible, d’autres tentent de le raisonner. Selon CNNMelania Trump, qui n’a pas été vue depuis son apparition aux côtés de son mari tôt mercredi matin, fait partie de ceux qui conseillent à Donald Trump de reconnaître sa défaite. «Le peuple américain mérite des élections justes. Chaque vote légal -non pas illégal- doit être comptabilisé. Nous devons protéger notre démocratie avec une transparence complète», a-t-elle tweeté dimanche, adoptant une partie de la rhétorique de son mari mais pas sa virulence.

Jared Kushner, gendre et conseiller du président américain, considéré comme un des artisans de la victoire de 2016, se tiendrait sur la même position en appelant son beau-père à reconnaître sa défaite. Ivanka Trump, la fille du président, s’est faite bien plus discrète que ses frères sur les réseaux sociaux, appelant à ce que «chaque vote légal soit compté» : «Chaque vote illégal ne devrait pas l’être. Cela ne devrait pas être controversé. Ce n’est pas une déclaration partisane : des élections libres et justes sont la fondation de notre démocratie», a-t-elle écrit. Mais ce message, sa dernière publication en date, remonte à vendredi, avant que les résultats de la Pennsylvanie ne donnent la victoire à Joe Biden.

Un rendez-vous avec Jill Biden ? Improbable

Melania Trump, qui a voté mardi en Floride, a participé à quelques événements de campagne ces dernières semaines, dont certains seule, a elle aussi une place dans la transition. Elle pourrait recevoir, comme Michelle Obama l’avait fait pour elle lorsque Barack Obama avait invité Donald Trump quelques jours après son élection, Jill Biden pour un entretien. Mais tant que son mari ne reconnaît pas sa défaite, difficile d’imaginer un tel rendez-vous, qu’elle avait elle-même apprécié.

Melania Trump et Michelle Obama à la Maison-Blanche, le 10 novembre 2016. © SIPANY/SIPA

© Fournis par Paris Match Melania Trump et Michelle Obama à la Maison-Blanche, le 10 novembre 2016. © SIPANY/SIPA
Certains lisent dans l’incitation de Melania Trump une idée de son état d’esprit : la First Lady, qui avait attendu six mois avant d’emménager à la Maison-Blanche, a mis des années à trouver sa place. Son programme, «Be Best», n’a pas connu de résultats probants et l’ancien mannequin, très discrète, a mal vécu la sur-médiatisation due à la présidence de son mari. «Je suis la personne la plus harcelée du monde», avait-elle déclaré en 2018, et elle a été au coeur de plusieurs polémiques, comme lorsqu’elle a porté une veste sur laquelle il était écrit «I really don’t care, do u?» («Je m’en fiche vraiment, et vous?»), au moment d’aller rendre visite à des enfants placés dans des centres de rétention après avoir été séparés de leurs parents à la frontière avec le Mexique. Dernièrement, elle a vécu un moment difficile avec la publication d’un livre écrit par Stephanie Winston Wolkoff, ancienne amie et collaboratrice à la Maison-Blanche, qui a même diffusé des extraits d’appels téléphoniques enregistrés à son insu.

Avec Paris Match par Kahina Sekkai

Le petit chêne planté par Macron et Trump à la Maison-Blanche est mort

juin 8, 2019

Chene

Donald Trump et Emmanuel Macron, et leurs épouses respectives Brigitte Macron et Melania Trump, le 23 avril 2018. JIM WATSON / AFP

 

L’arbre n’a pas supporté la quarantaine imposée par les Etats-Unis pour éviter de propager maladies.

Le petit chêne planté dans les jardins de la Maison-Blanche le 23 avril 2018 par Donald Trump et Emmanuel Macron est mort, a-t-on appris samedi 8 juin confirmant une information du Monde. Le journal, citant des sources françaises, indique que l’herbe a repris ses droits sur la pelouse à l’endroit où l’arbre avait été planté.

Issu d’une forêt dans l’Aisne où sont morts 2000 marines américains pendant la Première Guerre mondiale, l’arbuste qui devait symboliser les liens entre la France et les Etats-Unis n’a pas supporté la quarantaine phytosanitaire qui lui avait été imposée après sa plantation.

Les douanes américaines (US Customs, qui dépendent du ministère de l’Agriculture) impose en effet une quarantaine concernant toute importation de plantes, de graines et même de terre pour éviter de propager maladies ou d’importer des espèces d’insectes invasives.

L’installation de l’arbrisseau avait donné lieu à une mise en scène des deux présidents entourés de leurs épouses respectives.

Par Le Figaro.fr

Melania Trump boucle sa tournée africaine en Égypte

octobre 6, 2018

La Première Dame des Etats-Unis Melania Trump en visite sur le site des pyramides de Guizeh, près du Caire, le 6 octobre 2018, lors de la dernière escale de sa tournée en Afrique / © AFP / SAUL LOEB

Souriante devant les caméras, à l’ombre des pyramides, la Première Dame américaine Melania Trump a bouclé samedi en Egypte sa tournée africaine marquée par des séances photos avec des éléphanteaux ou des écoliers, loin du tumulte politique qui agite Washington.

Au cours de ce voyage présenté comme une visite « diplomatique et humanitaire », Mme Trump a tenté de montrer une image attrayante de l’administration américaine.

Après avoir entamé son voyage mardi au Ghana, elle a effectué un arrêt au Malawi, puis au Kenya, avant de terminer samedi par l’Egypte.

Dans une rare prise de parole devant la presse samedi en Egypte, Mme Trump a affirmé que le but de son voyage était de « montrer au monde » que les Etats-Unis aident les pays africains.

Interrogée sur le fait que son mari aurait qualifié de « pays de merde » Haïti et des pays africains, elle a répondu: « personne ne m’en a parlé et je ne l’ai jamais entendu faire ces commentaires ».

Le voyage de Melania Trump intervient alors qu’à Washington le débat politique est vif à quelques semaines des élections de mi-mandat au Congrès où la majorité républicaine doit affronter en novembre un possible regain des démocrates.

La Première Dame des Etats-Unis Melania Trump est reçue par le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi et son épouse Intissar Amer al-Sisi à son arrivée au palais présidentiel au Caire le 6 octobre 2018 / © POOL/AFP / DOUG MILLS

Par ailleurs, la classe politique est agitée par le processus controversé de confirmation comme juge de la Cour suprême de Brett Kavanaugh, accusé par plusieurs femmes d’agressions sexuelles ou de comportements déplacés dans sa jeunesse, ce qu’il nie fermement.

Répondant à la presse samedi, Mme Trump a jugé « hautement qualifié » M. Kavanaugh, mais s’est dans le même temps dite « heureuse » que l’une de ses accusatrices, Christine Ford, ait été entendue.

– « Froncements de sourcils » –

Selon Jennifer Lawless, professeure de Sciences politiques à l’Université de Virginie, le voyage de Mme Trump tombe à pic même s’il peut avoir été planifié avant que le scandale Kavanaugh n’éclate.

« C’est la meilleure chose qui puisse arriver à la Maison Blanche », dit-elle. « Cela envoie le message que la vie continue à la Maison Blanche », selon elle.

La Première dame des Etats-Unis Melania Trump sort de son véhicule le 1er octobre 2018 dans la base aérienne d’Andrews, dans le Maryland (Etats-Unis), avant de monter dans un avion militaire qui va la conduire en Afrique / © AFP / SAUL LOEB

Aux Etats-Unis comme sur la scène internationale, la Première Dame s’est jusqu’ici tenue à distance de l’action de son mari.

Jeudi, ce dernier l’a encouragé publiquement dans un tweet: « Notre formidable Première Dame, Melania, s’en sort très bien en Afrique. Les gens l’adorent, et elle les adore. C’est formidable à voir ».

Les premières étapes de l’opération séduction n’ont pourtant pas mobilisé les foules ni suscité de ferveur, et Mme Trump a essuyé de nombreuses critiques sur ses choix vestimentaires.

A son départ de la base aérienne d’Andrews lundi, elle s’est attirée de nombreux commentaires sur ses talons aiguilles à motif léopard.

Et le casque colonial qu’elle a porté au Kenya a soulevé une vague de critiques. Réseaux sociaux et presse internationale se sont emparés de ce qui en Afrique reste un symbole de la domination coloniale.

La Première Dame des Etats-Unis Melania Trump (G) lors d’un safari avec Nelly Palmeris (D), la responsable du Parc national de Nairobi dans la capitale du Kenya le 5 octobre 2018 lors d’une tournée en Afrique / © AFP / SAUL LOEB

« Melania Trump provoque des froncements de sourcils en Afrique avec un nouveau chapeau blanc », titrait notamment le New York Times vendredi.

Aux journalistes en Egypte, elle a déclaré: « J’aimerais que les gens se focalisent sur ce que je fais, pas sur ce que je porte ».

– Pyramides –

Quelques heures plus tôt, entourée de mesures de sécurité très strictes, la Première Dame a été accueillie à l’aéroport du Caire par l’épouse du président Abdel Fatah al-Sissi, Entissar al-Sissi. Elle s’est ensuite rendue au palais présidentiel où elle a rencontré M. Sissi.

Puis, elle a été conduite à l’ambassade américaine, avant de terminer sa visite par le site des pyramides de Guizeh, près du Caire. Posant au pied du Sphinx, elle arborait cette fois-ci un chapeau panama.

Melania Trump en visite au Fonds David Sheldrick pour la faune sauvage à Nairobi le 5 octobre 2018 / © AFP / SAUL LOEB

Mme Trump a quitté l’Egypte en fin d’après-midi.

La solide relation établie entre Le Caire et Washington après les accords de Camp David en 1978, a connu une période trouble après la destitution en 2013 du président issu des Frères musulman Mohamed Morsi.

L’aide militaire américaine à l’Egypte de 1,3 milliards de dollars, avait alors été temporairement suspendue en réaction à la répression contre les partisans de M. Morsi et aux violations des droits de l’Homme.

Pendant ce voyage africain, essentiellement destiné aux photographes et vidéastes de presse, Mme Trump a notamment donné le biberon à des éléphanteaux et fait un bref safari au Kenya.

Au Ghana, elle s’est rendue dans un ancien fort esclavagiste. Et à Lilongwe au Malawi, où elle a visité une école primaire jeudi, Mme Trump a été accueillie par des slogans anti-Trump.

Romandie.com avec(©AFP / (06 octobre 2018 18h40)

Melania Trump arrive au Ghana pour son premier voyage en Afrique

octobre 2, 2018

Arrivée de la Première dame américaine Melania Trump à Accra, au Ghana le 2 octobre 2018 / © AFP / SAUL LOEB

Souriante et détendue, la Première dame des Etats-Unis Melania Trump est arrivée mardi au Ghana où elle a entamé sa première tournée en Afrique, un voyage qui est l’occasion pour cette femme discrète de se faire une place sur la scène internationale.

Mme Trump est arrivée à Accra en milieu de matinée et foulé le tapis rouge de l’aéroport international de Kotoka devant des enfants en uniforme jaune et brun agitant le drapeau du Ghana et des groupes de musiciens traditionnels.

« Un grand merci », a-t-elle lancé dans un grand sourire, tenant le bouquet qu’une petite fille lui avait offert, et alors qu’elle était reçue par la Première dame du Ghana, Rebecca Akufo-Addo.

Arrivée de la Première dame des Etats-Unis Melania Trump au Ghana où elle a entamé sa première tournée en Afrique, le 2 octobre 2018 / © AFP / SAUL LOEB

L’ancienne top modèle est partie la veille de la base militaire d’Andrews, proche de Washington, vêtue d’un imperméable couleur sable et portant des talons aiguilles à motifs léopard. A son arrivée, elle a finalement opté pour une robe légère rouge et blanche à rayures sobre.

– discrétion –

La première dame américaine, Melania Trump, avant son départ pour le Ghana, le 1er octobre 2018 / © AFP / SAUL LOEB

La Première dame, qui a organisé ce voyage de sa propre initiative selon son entourage, a indiqué qu’il s’agissait d’une « visite diplomatique et humanitaire », et qu’elle souhaite mettre l’accent sur les enfants et leur « bien-être », à travers sa campagne ‘Be Best’ (« sois le meilleur »).

C’est la première fois qu’elle se rend sur le continent africain et bien que son époux l’ait récemment qualifié de « plus bel endroit du monde à de nombreux égards », il n’a jamais montré un quelconque intérêt pour l’Afrique depuis son arrivée à la Maison Blanche.

Des enfants saluent la Première dame des Etats-Unis Melania Trump à son arrivée à Accra, au Ghana, le 2 octobre 2018 / © AFP / SAUL LOEB

A Accra, Melania Trump doit se rendre à la résidence présidentielle pour prendre le thé avec l’épouse du président ghanéen et visiter ensuite une maternité.

Au-delà de ses rencontres avec d’autres Premières dames, cette femme, connue pour sa grande discrétion, entend mettre en lumière le travail de l’USAID, l’agence américaine pour le développement, alors que son mari a annoncé qu’il réduirait considérablement l’aide américaine dans les pays en développement, et notamment en Afrique.

Melania Trump s’est rarement exprimé sur la politique de son époux et cette tournée qui la mènera dans quatre pays (Ghana, Malawi, Kenya, Egypte) en solo, est une première.

Donald Trump s’est rarement exprimé sur l’Afrique sauf pour créer la polémique, en montrant du doigt « les pays de merde » d’où venaient les migrants, ou dénonçant les « meurtres de grande ampleur » contre les fermiers blancs en Afrique du Sud, alors que le pays est engagé dans une réforme agraire laborieuse depuis la fin de l’apartheid.

Romandie.com avec(©AFP / (02 octobre 2018 14h58)

Melania Trump part pour l’Afrique en solo

octobre 1, 2018

La Première dame des Etats-Unis Melania Trump sur le tarmac de la base militaire d’Andrews (Maryland) avant de s’envoler pour l’Afrique le 1er octobre 2018 / © AFP / SAUL LOEB

La Première dame des Etats-Unis Melania Trump s’est envolée lundi, sans son mari, pour un voyage d’une semaine qui la mènera au Ghana, au Malawi, au Kenya et en Egypte.

Une « First Lady » qui se rend à l’étranger sans le président n’a, en soi, rien d’extraordinaire: Michelle Obama l’avait fait à plusieurs reprises, de l’Afrique du Sud à la Chine.

Mais l’entêtant parfum de mystère qui entoure toujours la discrète Melania, près de deux ans après l’élection de Donald Trump, et les propos incendiaires de ce dernier concernant le continent africain donnent à ce périple un relief particulier.

L’ex-mannequin d’origine slovène, chaussée de talons aiguilles à motif léopard, a quitté la base militaire d’Andrews, proche de Washington, peu après 18H00 (22H00 GMT).

La troisième épouse du président des Etats-Unis posera le pied sur le continent africain pour la première fois de sa vie.

Brisera-t-elle un peu la glace? S’aventurera-t-elle, même de manière allusive, sur le terrain politique?

Pour cette visite « diplomatique et humanitaire », selon les termes de sa porte-parole Stephanie Grisham, elle entend mettre l’accent sur les enfants.

« Que ce soit pour l’éducation, la dépendance aux drogues, la faim, la sécurité sur internet, les intimidations, la pauvreté ou les maladies, ce sont trop souvent les enfants qui sont les premières victimes dans le monde », expliquait-elle il y a quelques jours depuis New York.

Au-delà de rencontres avec d’autres Premières dames, elle entend mettre en lumière le travail de l’USAID, l’agence américaine pour le développement.

Mais, insiste Stephanie Grisham, elle ne part pas en voyage commandé. « C’est son voyage, son initiative », explique-t-elle à l’AFP.

De fait, aux Etats-Unis comme sur la scène internationale, la Première dame s’est jusqu’ici tenue à distance, dans une forme de neutralité, des initiatives de son mari, dans un contraste marqué avec la plupart de celles qui l’ont précédée à cette fonction.

A ce jour, « elle n’a pas été l’avocate ou la porte-voix de ses politiques », explique à l’AFP Anita McBride, ancienne « Chief of staff » de Laura Bush, épouse de George W. Bush, qui enseigne aujourd’hui à l’American University de Washington.

« Nombre de Premières dames ont été des atouts politiques pour leur mari, même quand ces derniers étaient très impopulaires », rappelle-t-elle, citant entre autres le cas de Lady Bird Johnson, épouse de Lyndon Johnson, qui avait sillonné le sud des Etats-Unis lors de la campagne présidentielle de 1964.

Melania Trump, « femme de peu de mots », est « très indépendante, elle l’a signifié dès le début, juste après l’élection, lorsqu’elle a indiqué qu’elle ne déménagerait pas tout de suite à Washington », ajoute Anita McBride.

La Première dame des Etats-Unis Melania Trump prête à s’envoler pour l’Afrique avec des chaussures à talon de circonstance, le 1er octobre 2018, sur la base militaire d’Andrews (Maryland) / © AFP / SAUL LOEB

– « Nous adorons l’Afrique » –

Reste que le déplacement pourrait s’avérer délicat.

« Nous adorons tous les deux l’Afrique », lançait Donald Trump à l’ONU il y a quelques jours. « Le plus bel endroit du monde à de nombreux égards ».

Au-delà de cette formule de la part d’un président friand de superlatifs, Donald Trump n’a, depuis son arrivé au pouvoir en janvier 2017, jamais montré d’intérêt pour ce continent.

Et les rares fois où il l’a évoqué, la polémique fut violente.

En janvier, lors d’une réunion à la Maison Blanche, il s’était indigné, parlant de Haïti et des pays africains, de l’immigration en provenance de « pays de merde ». Il n’a pas explicitement contesté ces propos, tenus lors d’une réunion à huis clos avec des élus et qui ont laissé des traces.

Nouvelle controverse de taille en août, lorsque il dénoncé le sort réservé aux fermiers blancs an Afrique du Sud, victimes selon lui de « meurtres de grande ampleur ».

Dans un pays engagé dans un réforme agraire visant à réparer, plus de 20 ans après la chute de l’apartheid, les injustices criantes héritées du régime ségrégationniste, les propos sont mal passés. « Qu’il s’occupe de son Amérique, nous nous occuperons de l’Afrique du Sud », avait rétorqué, cinglant, le président sud-africain Cyril Ramaphosa.

Fait notable: Melania Trump quitte Washington en pleine ébullition, à l’approche d’élections parlementaires cruciales pour la deuxième partie du mandat de Donald Trump. Elle est, jusqu’ici, restée totalement à l’écart des débats.

Le contraste est saisissant avec les dernières élections de mi-mandat, en 2014.

A l’époque, Michelle Obama avait multiplié les déplacements, du Wisconsin à l’Iowa, pour défendre le bilan de « Barack » et mettre en garde les électeurs démocrates contre le risque de l’apathie. « C’est mon homme! », lançait-elle tout sourire sur les estrades, mettant en avant le chemin parcouru depuis l’arrivée de son mari au pouvoir.

Romandie.com avec(©AFP / (02 octobre 2018 00h36)

États-Unis: Melania Trump prévoit une tournée en Afrique

août 21, 2018

La Première dame américaine, Melania Trump, à Rockville, le 20 août 2018. © Pablo Martinez Monsivais/AP/SIPA

L’épouse du président américain a annoncé, ce lundi 20 août, son intention de se rendre, seule, en tournée sur le continent africain.

« Ce sera mon premier voyage en Afrique et je suis enthousiaste à l’idée de m’instruire sur les questions concernant les enfants sur le continent tout en m’informant sur sa riche histoire et sa culture », a déclaré la First lady dans un communiqué.

Melania Trump n’a pas précisé en revanche les pays où elle se rendrait. Mais, selon sa directrice de communication Stéphanie Grisham, la Maison Blanche « fournira des détails dans les semaines à venir ».

« Mettre en lumière le travail humanitaire »

Réputé pour sa discrétion, Melania Trump s’est déjà rendue seule au Canada. « J’ai hâte de mettre en lumière le travail humanitaire et les projets de développement réussis menés dans plusieurs pays » africains, a-t-elle ajouté dans le communiqué.

Pour sa part, le président américain Donald Trump ne s’est pas encore rendu en Afrique depuis sa prise de fonctions. Il avait créé la controverse en dénonçant l’immigration en provenance de « pays de merde », en faisant référence à des pays africains. Des propos que l’intéressé avait ensuite démentis.

Melania Trump a elle affirmé croire « que c’est par le biais du dialogue et de l’échange d’idées que nous avons une vraie opportunité d’apprendre les uns des autres ».

Jeuneafrique.com avec AFP

États-Unis: Melania Trump dénonce le harcèlement sur internet

août 20, 2018

Washington – La Première dame américaine Melania Trump s’est exprimée lundi matin sur la lutte contre le harcèlement sur internet, l’une de ses priorités, son mari débutant lui sa journée par une salve habituelle de tweets acerbes.

« Reconnaissons-le: la plupart des enfants ont davantage conscience des avantages et des pièges des réseaux sociaux que certains adultes », a déclaré Melania Trump à l’occasion d’un colloque sur le cyber-harcèlement dans le Maryland.

Les réseaux sociaux « peuvent être utilisés de nombreuses façons positives, mais également être destructeurs s’ils sont mal utilisés », a ajouté la « First lady », dont les prises de parole publiques sont rares depuis son arrivée à la Maison Blanche.

Après s’être déjà emporté dimanche sur Twitter contre l’enquête russe, du « Maccarthysme de la PIRE espèce » selon lui, Donald Trump a enfoncé le clou lundi matin en qualifiant les enquêteurs de « Honte Nationale! ».

« Ils prennent du plaisir à détruire la vie des gens et REFUSENT d’enquêter sur la vraie corruption du côté démocrate », a dénoncé le président américain, qui a également qualifié les enquêteurs du procureur spécial Robert Mueller de « voyous démocrates ».

M. Trump a qualifié plus tard John Brennan, dans un autre tweet, de « pire Directeur de la CIA de l’histoire de notre pays ».

Le milliardaire américain a décidé la semaine dernière de retirer l’habilitation secret défense de l’ancien chef de la CIA, très critique envers lui.

Interrogée sur le décalage apparent entre les efforts de Melania Trump pour lutter contre le harcèlement sur internet et le comportement de son époux sur Twitter, la porte-parole de la Première dame a répondu que cette dernière était « consciente des critiques », mais qu’elles ne « la dissuaderont pas de faire ce qu’elle estime être juste ».

« Le président est fier de son engagement auprès des enfants et l’encourage dans tout ce qu’elle entreprend », a précisé la porte-parole, Stephanie Grisham.

Romandie.com avec(©AFP / 20 août 2018 16h11)                                                        

USA: flot de soutiens pour LeBron James, insulté par Trump, y compris de Melania

août 5, 2018

LeBron James a reçu des soutiens de toutes parts, y compris de personnalités des sports, des médias et de la politique, après avoir été insulté par Donald Trump / © GETTY IMAGES NORTH AMERICA/AFP / Jason Miller

La star américaine du basket LeBron James, insulté par le président Donald Trump après l’avoir acccusé de renforcer le racisme, a reçu ce week-end les soutiens de nombreuses personnalités du sport, des médias et de la politique – y compris celui plus inattendu de la femme du président, Melania.

Dans une interview à CNN mardi, la vedette des Los Angeles Lakers avait accusé le président d’utiliser le sport pour « diviser » les Américains en fonction de leur couleur de peau, après la polémique sur les joueurs de football américain qui mettent genou à terre pendant l’hymne national – en protestation contre les violences racistes.

« Je pense que notre président essaye de diviser (…) C’est quelque chose que je ne peux pas comprendre, parce que je sais que c’est grâce au sport que j’ai côtoyé quelqu’un de blanc pour la première fois », a ajouté le joueur de 33 ans, natif d’Akron, ville ouvrière de l’Ohio, dans le nord du pays.

Donald Trump, après être resté silencieux plusieurs jours, a réagi vendredi soir, lorsque CNN rediffusait l’interview.

« Lebron James a été interviewé par l’homme le plus stupide de la télévision, (le présentateur de CNN) Don Lemon. Il a réussi à faire apparaître Lebron comme quelqu’un d’intelligent, ce qui n’est pas facile à faire », a-t-il tweeté, sans aborder le fond du problème.

Si LeBron James n’a pas commenté ce tweet, de nombreuses personnalités des mondes du sport, des médias et de la politique se sont précipités pour le soutenir, louant notamment son travail en faveur de la communauté noire.

Le soutien le plus surprenant aura été celui de l’épouse du président, Melania Trump. Par la voix de sa porte-parole, Stephanie Grisham, elle a fait savoir qu’elle considérait que le basketteur semblait « travailler à de bonnes choses pour la prochaine génération ».

« Comme elle l’a toujours fait, la Première Dame encourage tout le monde à maintenir un dialogue ouvert sur les problèmes qui se posent aux enfants aujourd’hui », a déclaré à CNN Mme Grisham, ajoutant que Mme Trump « serait ouverte à l’idée de visiter » la nouvelle école de LeBron James.

Celui-ci vient en effet d’inaugurer d’une école pour enfants défavorisés, financée en partie par sa fondation, dans sa ville natale d’Akron.

Du coup, le journaliste également insulté par Donald Trump, Don Lemon, a lui aussi enrôlé Melania Trump avec un tweet utilisant le hashtag de la campagne qu’elle mène contre le harcèlement des enfants sur les réseaux sociaux.

LeBron James lors d’un match à Los Angeles, le 18 février 2018 / © AFP/Archives / Robyn Beck

« Qui est le vrai idiot? Un homme qui met les enfants dans des classes ou un homme qui met les enfants dans des cages? #BeBest », a-t-il lancé, faisant référence au traitement des enfants immigrés clandestins.

– Soutien des stars du basket –

La rivale malheureuse de Trump à l’élection présidentielle, Hillary Clinton, a elle aussi soutenu le sportif, « qui rend beaucoup à sa communauté, et n’a pas peur de dire ce qu’il pense ».

« C’est un athlète de classe mondiale, et un homme de grande classe. Nous avons besoin de plus de gens comme lui dans ce monde », a-t-elle tweeté.

Les tweets de soutien ont également afflué de la part de stars du basket, notamment : « Continue à être toi, roi James », de Stephen Curry des Golden State Warriors ou « On est derrière toi, on sent que quelqu’un aurait vraiment envie d’être à ta place », de Bobby Wagner, des Seattle Seahawks.

Même l’icône de la NBA Michael Jordan, connu pour ne quasiment jamais faire de commentaires sur les problèmes politiques ou de société, y est allé de sa réponse puisque le président l’avait impliqué en terminant son tweet insultant par un ironique « J’aime Mike ».

« Je soutiens LJ », a déclaré dans un communiqué Michael Jordan, maintenant propriétaire de l’équipe des Charlotte Hornets. « Il fait un travail formidable pour sa communauté ».

Quant à LeBron James lui-même, il est resté à l’écart, se contentant samedi de tweeter une photo des élèves de sa nouvelle école avec le message « Allez-y, les enfants! Je vous aime ».

Romandie.com avec(©AFP / 05 août 2018 12h51)

Donald Trump accueilli par Élisabeth II au château de Windsor

juillet 13, 2018

La reine Elizabeth II (C) aux côtés du président américain Donald Trump et de son épouse Melania Trump à leur arrivée au château de Windsor, le 13 juillet 2018 / © AFP / Brendan Smialowski

Le président américain Donald Trump et son épouse Melania ont été accueillis vendredi au château de Windsor par la reine Elizabeth II, une rencontre qui suscite des grincements de dents au Royaume-Uni.

Le couple présidentiel a été accueilli par la monarque de 92 ans, toute de bleu vêtue, dans la cour du château, sous un soleil éclatant, avant d’écouter, debout, côte à côte, l’hymne national américain.

Elizabeth II a ensuite invité Donald Trump à passer en revue la garde d’honneur, des soldats vêtus du traditionnel uniforme rouge et coiffés du célèbre bonnet à poils d’ours. La souveraine et le président américain devaient ensuite prendre le thé.

Ces honneurs passent mal auprès de nombreux Britanniques et des manifestants anti-Trump avaient fait le déplacement vendredi à Windsor, brandissant des pancartes « Dites non à Trump ».

Selon un sondage YouGov publié jeudi, près de la moitié (49%) des 1.648 personnes interrogées pensent que la reine n’aurait pas dû le recevoir.

L’an dernier, près de 1,9 millions de personnes avaient signé une pétition pour empêcher une visite d’Etat, « parce que ça causerait de l’embarras à Sa Majesté la reine ».

La reine Elizabeth II (C) aux côtés du président américain Donald Trump (D) et de son épouse Melania Trump (G) à leur arrivée au château de Windsor, le 13 juillet 2018 / © POOL/AFP / Ben STANSALL

La visite du président américain est finalement une visite de travail et non une visite d’Etat, qui implique de plus amples honneurs, procession en carrosse et banquets inclus.

Depuis son accession au trône en 1952, la reine, 92 ans, a reçu tous les présidents américains, sauf Lyndon Johnson.

Dans une interview au tabloïd The Sun, Donald Trump a qualifié Elizabeth II de « femme incroyable ».

« Pendant tant d’années, elle a représenté son pays et elle n’a jamais vraiment fait d’erreur », a noté le président. « Ma femme est une grande admiratrice » de la souveraine, a-t-il ajouté.

Les précédents commentaires de Donald Trump sur la famille royale n’avaient pas été aussi courtois. Dans une interview en 2000, il avait déclaré qu’il aurait passé la nuit avec Diana « sans hésiter ». « Elle était folle mais ce sont des détails mineurs ».

La reine Elizabeth II (C) accueille le président américain Donald Trump et son épouse Melania Trump à leur arrivée au château de Windsor, le 13 juillet 2018 / © AFP / Brendan Smialowski

Douze ans plus tard, après la publication de photos de l’épouse du prince William, Kate, en train de bronzer seins nus dans le sud de la France, Donald Trump avait tweeté que la duchesse de Cambridge ne pouvait que « s’en prendre à elle-même ».

« Qui ne prendrait pas la photo de Kate pour gagner beaucoup d’argent si elle faisait son truc de bronzage nue … Allons Kate! », avait-il écrit.

Pendant sa visite au Royaume-Uni, le président Trump ne croisera pas l’héritier du trône, le prince Charles, fervent écologiste.

Un article du Sunday Times de janvier 2017 soulignait que les deux hommes ne se rencontreraient pas en raison de leurs fortes divergences sur le changement climatique.

« Il n’acceptera pas que quiconque lui fasse la leçon, même un membre de la famille royale », confiait une source proche de Donald Trump au journal.

Romandie.com avec(©AFP / 13 juillet 2018 18h41)

États-Unis: Melania Trump, émissaire à la rencontre d’enfants sans-papiers

juin 21, 2018

La Première Dame américaine Melania Trump visite le centre pour enfants « Upbring New Hope Children Center » à McAllen, au Texas, le 21 juin 2018 / © AFP / MANDEL NGAN

Dans un nouveau coup de théâtre, Melania Trump s’est rendue jeudi à la frontière avec le Mexique pour une visite surprise à des enfants sans-papiers, en émissaire d’un président américain qui tente de regagner l’opinion publique profondément choquée par sa politique de séparation des familles de clandestins.

« Nous savons tous qu’ils sont là sans leurs familles et je veux vous remercier pour votre dur travail, votre compassion et la gentillesse que vous leur offrez en ces temps difficiles », a déclaré la Première dame aux professionnels d’un centre d’hébergement de McCallen, grande ville texane.

Elle s’exprimait quelques heures seulement après la volte-face spectaculaire de Donald Trump qui a mis fin mercredi, par décret, aux séparations polémiques.

De l’aveu même du milliardaire, Melania Trump a joué un rôle dans cette décision, qui ne règle toutefois pas la question des plus de 2.300 mineurs arrachés à leurs parents depuis la mise en oeuvre de sa politique de « tolérance zéro », début mai.

Quand retrouveront-ils leurs familles, demandent depuis mercredi ONG et opposition démocrate.

La Première Dame américaine Melania Trump a rendu visite à des gardes-frontières lors de son passage à McAllen au Texas, le 21 juin 2018 / © AFP / MANDEL NGAN

« Je voudrais aussi vous demander comment je peux aider à réunir ces enfants avec leurs familles aussi vite que possible », a demandé Melania Trump, dans un développement quasi-surréaliste de cette controverse.

Ce centre, Upbringing New hope Children’s Shelter, accueille actuellement une soixantaine de mineurs âgés de 5 à 17 ans, originaires du Honduras et du Salvador. Selon un haut responsable, la plupart sont des adolescents arrivés aux Etats-Unis sans être accompagnés d’adultes. Seuls six ont été séparés de leurs parents.

La Première dame doit aussi se rendre sur un site des garde-frontières.

L’idée du voyage est venue de Melania Trump, a précisé sa porte-parole, affirmant que son époux l' »a soutenue ». C’est d’ailleurs lui qui a annoncé aux médias son arrivée au Texas.

Un camp où sont retenus des mineurs par les autorités américaines après avoir franchi illégalement la frontière avec le Mexique, le 19 juin 2018 / © AFP / Brendan Smialowski

Donald Trump a profité de l’occasion pour exhorter de nouveau le Congrès à agir pour réformer les lois sur l’immigration.

« Il faut qu’ils se mettent d’accord et fassent quelque chose », s’est-il exaspéré, rejetant encore une fois la faute de l’inaction sur l’opposition démocrate, qu’il accuse de vouloir « ouvrir les frontières ».

« C’est une honte », a-t-il martelé.

– Votes au Congrès –

La ministre à la Sécurité intérieure Kirstjen Nielsen et le vice-président Mike Pence regardent le président Donald Trump signant le décret qui met fin à la séparation des familles à la frontière avec le Mexique / © AFP / Mandel Ngan

Sous la pression du président et poussés par la crise des familles de migrants, le chef des républicain à la Chambre des représentants Paul Ryan s’est vu forcé de soumettre au vote jeudi deux réformes de l’immigration.

Sans trop y croire lui-même, tant le consensus entre aile dure et droite modérée paraît lointain malgré leur majorité au Congrès. « Nous tentons de résoudre ces problèmes tous seuls », a ainsi déploré M. Ryan.

Les plans républicains collent au décret Trump: si les enfants ne seront plus séparés de leur famille, c’est parce qu’ils resteront désormais en centre de rétention avec leurs parents pendant les poursuites pénales.

Mais ils vont bien au-delà du sort de ces familles déchirées.

Des manifestants déploient le drapeau américain lors d’un rassemblement près d’un poste-frontière avec le Mexique, au Texas, pour protester contre les séparations de familles de migrants, le 21 juin 2018 / © AFP / Brendan Smialowski

Au menu: financement du mur à la frontière mexicaine, statut des jeunes dits « Rêveurs » –arrivés sans papiers aux Etats-Unis lorsqu’ils étaient enfants– et nette réduction de l’immigration légale, avec notamment de strictes limites au regroupement familial et un changement des critères d’attribution des visas de travail.

Un sujet explosif qui divise d’autant plus profondément le parti que les élections parlementaires de novembre approchent.

Deux votes sont prévus.

D’abord, encore en cours vers 14H00 (18H00 GMT), sur un texte très restrictif qui circule depuis janvier et dont les partisans eux-mêmes reconnaissent qu’il n’aboutira certainement pas.

Migrants: Melania Trump à la frontière avec le Mexique / © AFP / –

Puis à partir de 17H00 (21H00 GMT), sur un projet présenté cette semaine et se voulant plus ouvert à la frange modérée, même si cette étiquette fait rire les démocrates. Il prévoit un permis de travail et de résidence pour les « Rêveurs », renouvelable tous les six ans et qui les autorise à tenter de décrocher ensuite un statut de résident permanent.

Dans une curieuse façon d’encourager un vote qu’il réclame depuis des mois, le président républicain a signalé dès le début de matinée que cette réforme semblait de toutes façons promise à l’échec au Sénat, où son parti n’a qu’un mince majorité.

Pas de suspense du côté démocrate, ils voteront contre. « Les républicains continuent d’être complices des atrocités de » Donald Trump », a asséné leur cheffe à la Chambre, Nancy Pelosi.

– « Bienvenue en Amérique » –

Au-delà des clivages partisans, le décret Trump ne satisfait pas non plus les associations de défense des droits de l’homme qui s’inquiètent de voir les familles détenues.

Et alors qu’il a souvent vanté par le passé ses nombreuses apparitions en Une du Time, Donald Trump ne devrait pas afficher celle du prochain numéro, révélée jeudi et qui le montre dominant une fillette en larmes, dont la photo a largement contribué à alerter l’opinion, avec le simple titre: « Bienvenue en Amérique ».

Romandie.com avec(©AFP / 21 juin 2018 20h35)