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France: Qui est Roxana Maracineanu, reine des bassins devenue ministre des Sports

septembre 4, 2018

Qui est Roxana Maracineanu, reine des bassins devenue ministre des sports ?

Roxana Maracineanu, ancienne championne de natation

Du bassin au gouvernement, il n’y a qu’un pas. Après la démission de Laura Flessel survenue mardi 4 septembre 2018 pour « des raisons personnelles », c’est finalement Roxana Maracineanu âgée de 43 ans qui a été nommée ministre des Sports. Et la remplaçante de Laura Flessel n’est pas une inconnue. En effet, elle est une ancienne nageuse. Elle a notamment remporté plusieurs titres : championne du monde du 200 mètres dos en 1998 puis vice-championne olympique lors des JO de Sydney en 2000 par exemple.

Originaire de Roumanie, Roxana Maracineanu a été plongée littéralement dans l’univers de la natation dès son plus jeune âge : « J’avais commencé par la gym à Bucarest mais c’était trop dur et on m’a conseillé la piscine. J’ai arrêté pendant deux ans en arrivant en France avant de tomber sur le club de Mulhouse », avait-elle confié au Parisien.

Après avoir mis un terme à sa carrière sportive en 2004, Roxana Maracineanu a obtenu un diplôme bac +5 en management avant de devenir consultante à la radio et à la télévision. En parallèle, l’ancienne nageuse s’est engagée dans plusieurs associations caritatives à l’instar d’Educateam dont elle est la créatrice qui permet notamment aux femmes enceintes de parvenir à une rééducation périnéale dans l’eau, pendant leur grossesse mais aussi après leur accouchement. Elle est également centrée sur l’apprentissage de la nage et engagée contre l’aquaphobie des enfants.

Gala.fr par Marine Madelmond

France: Indignation après la Une insultante d’un hebdomadaire d’extrême droite contre la ministre de la Justice

novembre 12, 2013

PARIS – La couverture d’un magazine d’extrême droite s’en prenant à la ministre française de la Justice Christiane Taubira sur un mode injurieux et raciste a déclenché mardi une vague d’indignation dans la presse, les partis politiques et les réseaux sociaux.

Le magazine Minute a titré Maligne comme un singe, Taubira retrouve la banane, prenant le relais des insultes racistes à répétition qui ont récemment visé la ministre de la Justice, une descendante d’esclaves noirs, née en Guyane, en la comparant à une guenon.

Minute joue sur l’ambiguïté avec deux expressions populaires, être malin comme un singe signifiant être particulièrement rusé et avoir la banane, être en pleine forme, voire arborer un grand sourire.

Le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, a affirmé mardi soir que le gouvernement étudiait les moyens d’agir contre la diffusion de l’hebdomadaire.

Nous ne pouvons pas laisser passer cela, a-t-il déclaré en marge d’une réunion à l’Assemblée nationale.

Il indiqué étudier avec la ministre de la Justice et sa collègue de la Culture et de la communication, Aurélie Filippetti, les moyens d’empêcher la diffusion du magazine qui attaque ce qu’il y a de plus profond non seulement de la République mais aussi de notre pays.

Sur Twitter, des responsables politiques de gauche et des internautes anonymes avaient auparavant dénoncé cette publication, beaucoup réclamant une action en justice pour incitation à la haine raciale.

Harlem Désir, premier secrétaire du Parti socialiste, s’est dit, via un tweet, révolté par cette Une ignoble et a estimé que le numéro de Minute devait être saisi.

La ministre des Sports, Valérie Fourneyron, a dénoncé une Une inacceptable et des propos nauséabonds.

A droite, un député UMP, Eric Ciotti, s’est dit choqué, soulignant que le racisme n’a aucune place dans le débat politique. Mais je mets aussi en garde la majorité (gouvernementale) sur les tentatives de récupération de ces sujets, a-t-il ajouté.

L’association SOS Racisme a annoncé qu’elle allait porter plainte pour incitation à la haine raciale contre Minute.

Christiane Taubira, honnie par la droite conservatrice et l’extrême droite, en particulier pour avoir fait voter au Parlement la loi permettant aux homosexuels de se marier, est depuis quelques semaines la cible d’insultes ouvertement racistes.

Une candidate Front National (extrême droite) aux prochaines élections municipales, Anne-Sophie Leclère, a été suspendue par son parti, après avoir comparé la ministre à un singe. Des enfants participant avec leurs parents à une manifestation contre la loi sur le mariage pour tous ont été filmés en train de crier La guenon, mange ta banane !, tandis que d’autres brandissaient une peau de banane.

La semaine dernière Christiane Taubira s’était inquiétée de la banalisation du racisme en France, estimant que ces insultes venaient très clairement d’inhibitions qui disparaissent, de digues qui tombent.

François Hollande a appelé le 11 novembre à ne rien laisser passer face aux haines, aux intolérances, aux extrémismes, au racisme, à l’occasion des cérémonies de commémoration de la fin de le Première guerre mondiale.

Romandie.com avec(©AFP / 12 novembre 2013 20h47)

Jeux de la Francophonie à Nice: plusieurs sportifs congolais se sont volatilisés

septembre 9, 2013

Deux cyclistes et sept basketteuses congolais qui participent au 7è Jeux de la Francophonie (7 au 15 septembre à Nice) sont portés disparus en France, selon la radio congolaise Radio Okapi.

Les sept basketteuses (Gloria Nkiere Mola, Sandra Kapinga, Kalombo, Tabitha Masamba Sila, Elysée Kabu Ilunga, Lauraine Nzewu Kabangu, Mireille Bolangi Botayi et Diane Tuzolana Mabibi) devaient affronter ce lundi l’équipe de France après avoir déjà joué deux matchs. Quant aux deux cyclistes (Enoch Manzambi et Kongolo Mpunga), ils ne se sont pas présentés ce dimanche matin au départ de la course.

Le ministre des Sports congolais, Baudouin Banza Mukalay Sungu, a qualifié ces disparitions de « désertion » d’après Radio Okapi. « Ce comportement est préjudiciable à la promotion des sports en RDC et à son image de marque. Nous avons saisi la police, car nous détenons leurs passeports ».

Déjà des « fugues » pendant les JO de Londres

Ce n’est pas la première fois que des sportifs congolais profitent d’évènements internationaux pour se volatiliser. Quatre athlètes de cette même délégation avaient déjà filé à l’anglaise… lors des Jeux Olympiques de Londres en 2012.

Par Nice Matin

Congo: Le complexe sportif d’Oyo ouvert officiellement au public

juillet 4, 2013
Complexe sportif d'Oyo

Complexe sportif d’Oyo

Le complexe sportif d’Oyo, dans le département de la Cuvette, a été officiellement ouvert au public le 3 juillet 2013 au cours d’une cérémonie patronnée par le ministre à la Présidence de la République, chargé de l’aménagement du territoire et de la délégation générale aux grands travaux, Jean-Jacques Bouya.

La cérémonie s’est déroulée en présence de ses collègues Léon-Alfred Opimbat et Henri Djombpo, respectivement ministre des sports et de l’éducation physique et ministre de l’économie forestière et du développement durable, mais présent en sa qualité de président de la Fédération congolaise de tennis de table (FCTT).

L’armature sportive construite à Oyo comprend un gymnase de 1890 places assises, 18 salles pour magasins de commerce, une salle technique, une salle VIP, des cabines de presse, une salle d’annonce, une salle de rédaction, une salle d’impression, une salle de repos, une salle pour interview, une salle antidopage, une salle de secours, un bureau pour le gestionnaire, un bureau pour le directeur, une salle de musculation, une salle de traitement de données, une salle d’émission et une salle de contrôle de son.

Les travaux ont duré cinq ans (avril 2008 à juin 2O13), pour un coût global de 9 milliards 103 millions francs CFA. Ils ont été réalisés par la société chinoise Zhengwei Technique Congo, sur une superficie de 7.280m². L’ouvrage a consommé 6.000m3 de béton, 4.500 tonnes de ciment et 5.000 tonnes d’aciers. Quelque 510 personnes ont été employées dont 110 Chinois et 400 Congolais.
Dans ce gymnase on peut pratiquer différentes disciplines sportives : tennis de table, handball, volleyball, basketball, etc. Dehors, se trouvent un terrain de football de 1629 places assises, ainsi que d’autres installations sportives.

Le gymnase d’Oyo a été donc construit pour abriter non seulement les compétitions locales, départementales et nationales, mais aussi africaines et internationales. Ce bâtiment de 16 mètres de hauteur, complètement couvert avec une structure métallique triangulée, offre une aire de jeu multidisciplinaire bordé des gradins à l’intérieur de l’édifice.

Les délégations venues d’autres pays africains dans le cadre de la coupe d’Afrique des nations (CAN) de tennis de table seniors simples et des championnats des clubs ont admiré la qualité de l’édifice.

Jean-Jacques Bouya a remis les clés de ce complexe à Léon-Alfred Opimbat, qui les a aussitôt transmises au directeur général des sports. Le ministre des sports et de l’éducation physique a pris l’engagement d’instruire ses services afin que ces installations sportives soient jalousement conservées.

«Oyo devient la première ville de notre pays qui permet actuellement le déroulement des compétitions en salle (…). Nous avons l’honneur de prendre l’engagement que nos services devraient tout mettre en œuvre en vue de l’entretien de ces installations. Nous espérons que ces installations donneront à la jeunesse congolaise et à la jeunesse africaine les opportunités de compétition», a dit M. Opimbat.

Congo-site.com par Gaspard Lenckonov

Remaniement au Sénégal : l’Intérieur et les Affaires étrangères changent de main

octobre 30, 2012
Macky Sall, le 12 octobre à Abidjan. Macky Sall, le 12 octobre à Abidjan. © AFP

Sept mois après la nomination du Premier ministre Abdoul Mbaye par Macky Sall, premier remaniement ministériel d’envergure au Sénégal. Le gouvernement passe de 26 à 31 membres, et les ministères de l’Intérieur et des Affaires étrangères changent de main.

Remanié par Macky Sall lundi 29 octobre, le gouvernement sénégalais prend de l’ampleur. Il passe de 26 à 31 membres (y compris le Premier ministre Abdoul Mbaye), avec le départ de sept ministres et l’arrivée de douze. Les changements les plus notables concernent l’Intérieur, où Mbaye Ndiaye est remplacé par le général et ex-haut commandant de la gendarmerie, Pathé Seck, et les Affaires étrangères, où Alioune Badara Cissé cède la place à Mankeur Ndiaye, précédemment ambassadeur du Sénégal en France.

Ministres sanctionnés

Plusieurs ex-ministres payent leur gestion très critiquée de certains dossiers. Mbaye Ndiaye est ainsi vraisemblablement sanctionné pour n’avoir pas su encadrer convenablement la manifestation menée à Dakar, le 22 octobre dernier, par les disciples d’un chef religieux incarcéré pour complicité d’homicide, Cheick Bethio Thioune. Celle-ci avait dégénéré en violences, trois personnes étant blessées et 127 véhicules sérieusement endommagés. La police avait procédé à 33 arrestations et Macky Sall en personne avait dû admettre « des erreurs de gestion dans nos dispositifs ».

Le ministre des Sports, El Hadji Malick Gakou, quitte lui aussi son poste. Il est remplacé par Mbagnick Ndiaye, qui était depuis 2008 président de la Confédération africaine d’escrime. Le sortant se savait en sursis depuis l’élimination du Sénégal pour la phase finale de la CAN 2013, lors d’un match contre la Côte d’Ivoire (0-2) arrêté à la 72e minute pour cause de violences provoquées par des supporteurs des Lions de la Teranga.

Mais Malick Gakou ne sort pas du gouvernement puisqu’il est nommé ministre du Commerce, de l’Industrie et du Secteur informel à la place de Mata Sy Diallo, qui figure parmi les sept ministres non reconduits. De même que l’ancien chef de la diplomatie, Alioune Badara Cissé, dont les raisons du limogeage ne sont pas claires.

« Nous avons constaté qu’il était possible de faire mieux, le réaménagement a été effectué dans un souci de rendre l’action plus efficace », a simplement expliqué à la presse le Premier ministre. « Certains ministères étaient trop volumineux », a-t-il ajouté. Par exemple, la Culture est retirée à Youssou Ndour, et confiée à un des nouveaux ministres, Abdoul Aziz Mbaye. Le chanteur conserve néanmoins le Tourisme auquel s’adjoint désormais le portefeuille des Loisirs.

Chaises musicales

Outre les ministres reconduits à leurs postes – comme Augustin Tine (Forces armées), Aminata Touré (Justice, Garde des Sceaux), Awa Marie Coll Seck (Santé et Action sociale) ou Amadou Kane (Economie et Finances) – d’autres changent simplement de maroquins. Celui de l’Éducation nationale est retiré à Ibrahima Sall et remis à Serigne Mbaye Thiam, précédemment ministre de l’Enseignement supérieur et porte-parole du gouvernement. Quant à Mor Ngom, candidat malheureux au premier tour de l’élection présidentielle, il cède son fauteuil de ministre des Infrastructures et des Transports au nouveau-venu Thierno Alassane Sall. Mais il est nommé ministre directeur de cabinet du président Sall.

Enfin, parmi les entrées les plus remarquées, on compte Khadim Diop, auquel est confié le tout nouveau ministère de la Restructuration et de l’Aménagement des zones d’inondations. Le recteur de la deuxième université publique du pays, Mary Teuw Niane, devient quant à lui ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. Et le poste de porte-parole du gouvernement échoie désormais à Abdou Latif Coulibay, journaliste et écrivain, qui occupe en plus le nouveau ministère de la Promotion de la bonne gouvernance. Tout un symbole…

Jeuneafrique.com avec AFP

Côte d’Ivoire : deux nouvelles personnalités pro-Gbagbo accusées de génocide

juillet 11, 2012

Geneviève Bro-Grébé, ancienne ministre des Sports et ex-présidente des Femmes patriotes. Geneviève Bro-Grébé, ancienne ministre des Sports et ex-présidente des Femmes patriotes. © D.R.

Deux nouvelles personnalités pro-Gbagbo rejoignent les six responsables déjà inculpés de génocide par la justice ivoirienne. Il s’agit de Geneviève Bro-Grébé, ex-présidente des Femmes patriotes, et de Drahamane Sangaré, ancien vice-président du FPI.

Ils étaient déjà six. Les voilà huit : l’homologue féminine de Charles Blé-Goudé, Geneviève Bro-Grébé, leader des « Femmes patriotes », et Abou Drahamane Sangaré, ancien vice-président du Front populaire ivoirien (FPI, ex-parti au pouvoir) ont été, selon une source proche de l’enquête, « auditionnés et inculpés de génocide et de crime contre la population civile ».

Ces deux ex-responsables pro-Gbagbo rejoignent donc l’ex-Première dame, Simone Gbagbo, l’ancien Premier ministre, Gilbert Aké N’Gbo, l’ex-président du FPI, Pascal Affi N’Guessan, le général Brunot Dogbo Blé et les anciens ministres Alcide Djédjé et Désiré Dallo. Mais ces huit personnes sont également poursuivies en Côte d’Ivoire pour crimes de sang, atteinte à la sûreté de l’État et/ou infractions économiques, notamment détournement de fonds publics.

Interrogatoires achevés

En tout, une vingtaine de personnalités du camp Gbagbo sont encore détenues dans plusieurs villes du Nord ivoirien. Leurs premiers interrogatoires sur le fond avaient commencé fin mai et se sont achevés mardi à Katiola. Aucun responsable pro-Ouattara n’a pour l’instant été inquiété par la justice ivoirienne, ce qui donne l’occasion au camp Gbagbo de dénoncer sans relâche une « justice des vainqueurs » (Lire ici l’interview de Charles Blé Goudé).

Incarcéré à La Haye par la Cour pénale internationale (CPI) de puis fin novembre, Laurent Gbagbo est quant à lui soupçonné de crimes contre l’humanité. Il attend son audience de confirmation des charges, prévue le 13 août.

Jeuneafrique.com avec AFP

Roselyne Bachelot : bientôt chroniqueuse de Laurence Ferrari ?

juin 25, 2012

Le début d’une reconversion ?

 
Roselyne Bachelot : bientôt chroniqueuse de Laurence Ferrar
 
Invitée de LCI ce matin, Roselyne Bachelot n’a pas démenti l’information qui circule : elle pourrait bien devenir chroniqueuse à la télévision.

Une nouvelle carrière pour Roselyne ? L’ancienne ministre, apparue métamorphosée récemment, pourrait en effet être bientôt engagée par le groupe Canal +. On ne la verrait pas sur la chaîne cryptée, mais sur Direct 8, nouvelle acquisition du groupe. Sur LCI, Roselyne Bachelot, sans démentir ni confirmer cette information révélée par le gratuit Metro, a déclaré préférer laisser le soin à la chaîne de l’annoncer officiellement. Il se murmure qu’on pourrait la voir dans l’émission de Laurence Ferrari consacrée aux femmes.

Il est nécessaire de prendre l’information avec des pincettes, mais vu le caractère et le franc-parler de l’ancienne ministre des Sports, on pourrait beaucoup rire, surtout si elle sort ses Crocs en plateau. Comme l’illustre son livre À feu et à sang récemment paru, Roselyne ne mâche pas ses mots, une qualité essentielle pour le poste où elle est pressentie !

Une chose est sûre, le mercato télé de cet été va continuer à faire couler de l’encre. Surtout s’il continue à réserver de telles surprises…

Voici.fr par V.P.