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Egypte: Sissi remplace le ministre de l’Intérieur

mars 5, 2015

Le Caire – Le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a remplacé jeudi son ministre de l’Intérieur Mohamed Ibrahim, qui supervisait la sanglante répression lancée contre les partisans de l’islamiste Mohamed Morsi destitué par l’armée.

M. Ibrahim, nommé sous Morsi en janvier 2013, a été remplacé à l’occasion d’un remaniement ministériel surprise, au moment où les forces de sécurité peinent à enrayer les attentats jihadistes qui secouent régulièrement le pays.

Le dernier de ces attentats a eu lieu lundi en plein coeur du Caire près de la Cour suprême faisant deux morts.

Le général Ibrahim avait échappé en septembre 2013 à une tentative d’assassinat revendiquée par Ansar Beït al-Maqdess, le principal groupe jihadiste du pays qui a fait allégeance au groupe Etat islamique (EI).

Il a été remplacé par Magdy Mohamed Abdel Hamid Abdel Ghaffar, issu des rangs du département de la sécurité nationale.

Lors de ce remaniement, six ministres au total ont été remplacés. Outre, l’Intérieur il s’agit des ministres de l’Agriculture, de l’Education, de la Culture, du Tourisme et des Communications, selon un communiqué de la présidence.

Deux nouveaux ministères ont également vu le jour: celui de la Population, un portefeuille autrefois tenu par le ministre de la Santé, et le ministère de l’Enseignement technique.

Les nouveaux ministres ont prêté serment devant le président Sissi, selon le communiqué.

Romandie.com avec(©AFP / 05 mars 2015 15h33)

Egypte: cellule démantelée voulait attaquer ambassades de France, Etats-Unis

mai 15, 2013

LE CAIRE – Une cellule démantelée samedi dernier en Egypte projetait des attentats suicide contre les ambassades de France et des Etats-Unis au Caire, selon l’enquête des services de sécurité, a indiqué mercredi l’agence de presse officielle MENA.

Les accusés planifiaient des attentats suicide à la voiture piégée devant les ambassades de France et des Etats-Unis en Egypte, ajoute MENA.

La cellule planifiait un attentat contre l’ambassade française pour protester contre l’intervention militaire de la France au Mali, selon l’enquête.

Interrogé par l’AFP, le porte-parole adjoint du ministère français des Affaires étrangères, Vincent Floreani, n’a pas souhaité commenter ces informations.

Nous n’avons pas de commentaire à ce stade. Je rappelle que dans toute la région du Sahel et des pays arabes, nous avons demandé à nos ressortissants de faire preuve de vigilance et aux autorités locales de renforcer la surveillance de nos ambassades. C’est le cas en Egypte, a-t-il ajouté.

MENA ne donne pas de précisions sur le projet d’attentat contre l’ambassade des Etats-Unis.

Les autorités égyptiennes ont annoncé samedi l’arrestation de trois membres d’une cellule liée à Al-Qaïda qui préparaient un attentant suicide contre une ambassade occidentale et d’autres cibles en Egypte.

Les suspects ont été arrêtés en possession d’explosifs destinés à une attaque imminente, avait déclaré samedi le ministre de l’Intérieur, Mohamed Ibrahim, lors d’une conférence de presse au Caire sans préciser la nationalité des suspects ni l’ambassade visée.

L’agence officielle MENA avait elle précisé que les suspects étaient égyptiens.

Selon l’enquête des services de sécurité, les trois membres de la cellule arrêtés font partie des prisonniers qui avaient fui les centres de détention aux premiers jours de la révolte en janvier 2011 en Egypte.

Deux d’entre eux avaient été extradés d’Algérie et d’Iran en 2009 et emprisonnés en Egypte, ajoute-t-on de même source.

Un membre de la cellule était en contact avec une autre cellule démantelée au Caire en octobre dernier et dont les membres sont actuellement jugés en Egypte.

Les trois membres de la cellule auraient reconnu être en contact avec Al-Qaïda mais ils ont nié qu’ils planifiaient des attentats, selon les conclusions de l’enquête citées par MENA.

Le ministre de l’Intérieur avait affirmé samedi que les suspects étaient sur le point de lancer leur attaque contre une ambassade.

Il a donné les noms des trois hommes arrêtés, affirmant qu’ils avaient été interpellés en possession de 10 kg de produits chimiques explosifs et d’un ordinateur contenant des consignes sur la fabrication de bombes.

L’agence MENA avait alors indiqué que le parquet avait ordonné la détention pour interrogatoire pendant une période de 15 jours renouvelable de deux des suspects originaires d’Alexandrie (nord). Le troisième a été placé en résidence surveillée.

L’Egypte a connu une résurgence des attaques de groupes armés depuis la chute du président Hosni Moubarak début 2011, essentiellement dans la péninsule du Sinaï visant les forces de l’ordre, ou contre Israël.

En août 2012, des activistes islamistes avaient attaqué un poste militaire dans le Sinaï, tuant 16 soldats, avant de pénétrer en Israël où il avaient été tués par une frappe d’hélicoptère.

Romandie.com avec (©AFP / 15 mai 2013 21h43)

L’Egypte dit avoir déjoué un projet d’attaque contre une ambassade occidentale

mai 11, 2013
L'Egypte dit avoir déjoué un projet d'attaque contre une ambassade occidentale L’Egypte dit avoir déjoué un projet d’attaque contre une ambassade occidentale © AFP

La police égyptienne a arrêté des membres d’une cellule liée à Al-Qaïda qui préparait une attaque suicide contre une ambassade occidentale et d’autres cibles dans le pays, a annoncé samedi le ministre de l’Intérieur, Mohamed Ibrahim.

La police « a mené un coup de filet contre une cellule terroriste qui préparait des attaques suicide », dont l’une était quasiment finalisée et visait une ambassade occidentale, a affirmé M. Ibrahim lors d’une conférence de presse, sans préciser quelle ambassade étaient concernée.

Le ministre a donné les noms de membres du groupe arrêtés, affirmant qu’ils avaient été interpellés en possession de 10 kg de produits chimiques pouvant être utilisés pour fabriquer des explosifs et d’un ordinateur contenant des consignes sur la fabrication de bombes.

Les membres de cette cellule ont été en lien avec un dirigeant d’Al-Qaïda hors d’Egypte, a affirmé M. Ibrahim, ajoutant qu’ils avaient également suivi un entraînement au Pakistan et en Iran.

L’Egypte a annoncé à plusieurs reprises avoir arrêté des personnes liées à Al-Qaïda, en particulier un groupe dont le procès se tient actuellement au Caire.

Jeuneafrique.com  avec AFP

Un journaliste somalien tué par balle à Mogadiscio

avril 21, 2013

MOGADISCIO – Un journaliste somalien a été tué par des hommes armés près de son domicile à Mogadiscio dimanche soir, portant à quatre le nombre de professionnel des médias somaliens tués par balle ou dans un attentat depuis le début de l’année, a dénoncé le syndicat national des journalistes somaliens.

Le syndicat national des journalistes somaliens condamne dans les termes les plus fermes le meurtre du journaliste somalien, tué par des agresseurs armés près de sa maison dans le district de Dharkenley de Mogadiscio dimanche soir, a-t-il affirmé dans un communiqué.

La victime, Mohamed Ibrahim Rageh, travaillait pour la télévision nationale somalienne et Radio Mogadiscio.

Il venait de revenir en Somalie, après s’être exilé en 2009 au Kenya puis en Ouganda pour des raisons de sécurité, a encore indiqué le syndicat.

Mohamed avait fini son travail et s’est fait ramener chez lui vers 17H00 (14H00 GMT) et puis on nous a appris la mauvaise nouvelle de sa mort, a déclaré le directeur de Radio Mogadiscio, Abdirahim Isse Addow, cité dans le communiqué. C’était un très bon journaliste.

Fin mars, une journaliste somalienne travaillant pour une radio locale avait déjà été assassinée à Mogadiscio par deux hommes qui avaient ouvert le feu sur elle.

Un autre journaliste d’une radio privée avait été tué par balle en janvier, lui aussi à Mogadiscio.

Un troisième journaliste était décédé en mars dans un attentat suicide.

En 2012, au moins 18 employés de médias avaient été tués en Somalie, soit deux fois plus qu’en 2009, considérée jusqu’alors comme l’année la plus meurtrière en la matière dans le pays.

Les assassinats de journalistes sont régulièrement attribués aux islamistes shebab mais sont aussi parfois liés à des règlements de compte entre les multiples factions claniques qui fragmentent la Somalie, privée de réelle autorité centrale depuis 1991 et plongée dans le chaos et la guerre civile.

Romandie.com avec (©AFP / 21 avril 2013 20h09)

Algérie : que faire de la famille Kaddafi ?

avril 8, 2013
Aïcha Kaddafi avait du mal à tenir sa langue en Algérie Aïcha Kaddafi avait du mal à tenir sa langue en Algérie © Reuters

Trois membres éminents de la famille de l’ancien dictateur libyen sont toujours réfugiés en Algérie. Aïcha, sa fille, est exilée au sultanat d’Oman. À Alger comme à Mascate, on ne sait trop que faire de ces hôtes toujours encombrants.

Safia, la veuve de Mouammar Kaddafi, et Hannibal, son fils, n’ont toujours pas quitté l’Algérie, où ils ont été accueillis pour des « raisons humanitaires » après la chute du « Guide » libyen, en août 2011. Safia a émis le souhait de rentrer en Libye, où elle ne risque pas d’être inquiétée par la justice.

Privé de téléphone, d’ordinateur et de sorties, Hannibal est, lui, « comme un lion en cage », explique un diplomate. Alger a bien tenté de le transférer discrètement au Liban en compagnie de son épouse, l’ex-top modèle Aline Skaf Kaddafi, mais les autorités de ce pays s’y sont opposées, Hannibal étant réputé violent et incontrôlable.

Aïcha, sa soeur, a pour sa part obtenu, en octobre 2012, l’asile politique dans le sultanat d’Oman. Mascate lui a accordé l’asile, pour « des raisons humanitaires ». Cette mesure est assortie de l’interdiction de mener « toute activité politique ou médiatique ». Aïcha se taira-t-elle ? Le gouvernement algérien s’était montré extrêmement discret sur les lieux de résidence de la famille de l’ancien dictateur. Alger avait dû rappeler à l’ordre à deux reprises Aïcha Kaddafi, avocate de formation, qui s’était exprimée dans les médias syriens pro­gouvernementaux pour critiquer le nouveau pouvoir libyen et appeler les partisans du « Guide » à prendre les armes pour venger la mort de son père.

Deux anciens responsables de la Jamahiriya n’ont pas bénéficié des mêmes faveurs. Mohamed Ibrahim Kaddafi, ex-directeur du Fonds libyen du financement et de la production, et Mohamed Amine Maria, ex-ambassadeur en Égypte, ont été extradés du Caire vers la capitale libyenne pour y être jugés. Les deux hommes sont notamment accusés de corruption. En vertu d’un protocole d’entente signé entre l’Égypte et la Libye, cette dernière s’est engagée à donner toutes les garanties d’un procès public, juste et transparent aux deux prévenus, qui pourront choisir en toute liberté leurs avocats.

Jeuneafrique.com

Mali : la traque des jihadistes se poursuit avec l’appui des drones américains

février 24, 2013
Un soldat malien à Gao, le 22 février 2013 A Gao. Un soldat malien à Gao, le 22 février 2013 A Gao. © AFP

De nouveaux combats ont opposé samedi des rebelles touareg alliés aux forces françaises et un groupe armé dans le nord du Mali, où la traque des jihadistes se poursuit avec l’appui désormais de drones américains « Predators » déployés depuis le Niger voisin.

Des hommes du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA, rébellion touareg) ont affronté samedi les « combattants arabes » d’un groupe armé à In-Khalil, localité proche de Tessalit et de la frontière avec l’Algérie, selon des sources sécuritaires régionale et malienne.

Le Mouvement arabe de l’Azawad (MAA, autonomiste, créé en mars 2012) a affirmé à l’AFP avoir attaqué samedi vers 04H00 (locales et GMT) le MNLA en représailles à des violences contre des Arabes dans la zone.

Mohamed Ibrahim Ag Assaleh, responsable du MNLA basé à Ouagadougou, a assuré que les assaillants sont des « terroristes » menés par Omar Ould Hamaha, du Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (Mujao), un des groupes islamistes ayant occupé le nord du Mali en 2012 et qui a revendiqué un attentat-suicide commis vendredi à In-Khalil contre le MNLA.

Sur place, « le MNLA a combattu le Mujao, le MAA et Ansar Al-Charia », qui est une « dissidence du Mujao », a-t-il affirmé à l’AFP, indiquant que les combats avaient cessé samedi en fin d’après-midi. Il a parlé de « neuf prisonniers » aux mains du MNLA: « six qui se réclament du Mujao et trois d’Ansar Al-Charia ».

Le MAA a aussi fait état d’un retour au calme, en dénonçant une intervention de l’aviation française. « L’armée française a bombardé un de nos véhicules à In-khalil », a soutenu un de ses responsable, sans fournir de bilan.

Cette intervention aérienne a été confirmée à l’AFP par des sources sécuritaires régionale et malienne. « Un véhicule dans lequel il n’y avait personne a été détruit par l’aviation française au nord de In-Khalil », a dit la source régionale.

In-Khalil est à plus de 175 km au nord de Kidal. Les forces françaises ont repris fin janvier le contrôle de l’aéroport de Kidal avec quelque 1.800 soldats qui sécurisent la ville, contrôlée depuis peu par des islamistes se disant « modérés » et le MNLA qui y refuse la présence de soldats maliens mais assure collaborer avec la France.

La région de Kidal abrite aussi l’Adrar des Ifoghas, zone montagneuse entre Tessalit et Kidal-ville où se sont réfugiés de nombreux islamistes armés liés à Al-Qaïda traqués par l’armée française.

Le Tchad a annoncé vendredi soir y avoir tué 65 jihadistes, mais avoir aussi enregistré 13 morts et 5 blessés dans ses rangs. Il s’agit des pertes connues les plus lourdes subies par les forces soutenant le Mali.

Dans un message rendu public samedi soir, le président intérimaire malien Dioncounda Traoré a exprimé à son homologue tchadien Idriss Deby Itno la « profonde affliction » et la « grande tristesse » du Mali à la suite de ces décès.

Auparavant, le président français François Hollande avait salué l’action de l’armée tchadienne, qui « témoigne de la solidarité africaine à l’égard du Mali ».

Un légionnaire français avait été tué cette semaine lors d’une opération dans cette région montagneuse des Ifoghas.

Drones pour espionner les jihadistes

Les troupes françaises, maliennes et africaines bénéficient désormais sur le champ de bataille du soutien de drones américains Predators.

Selon un responsable américain, les Etats-Unis ont déployé plusieurs de ces engins au Niger voisin, sur une base de Niamey, d’où ils décolleront pour des vols de reconnaissance sur le Nord malien. Ils ne feront pas usage des missiles dont ils sont équipés, mais seront seulement utilisés pour espionner les jihadistes, selon Washington.

A 350 km au sud-ouest de Kidal, Gao, la plus grande ville du nord du Mali, l’armée malienne poursuivait des opérations de « ratissage » samedi, au lendemain de combats avec des islamistes infiltrés.

Vendredi, des soldats maliens avaient combattu les jihadistes à l’arme lourde – notamment contre la mairie de Gao, où s’étaient retranchés certains d’entre eux portant des ceintures explosives – avec l’appui de l’armée française.

A la mairie, les islamistes ont été « neutralisés » par les forces maliennes, « un élément du génie français est intervenu afin de désamorcer les charges explosives. Au cours de cette action, deux soldats français ont été très légèrement blessés », selon l’état-major de l’armée française.

De même source, une dizaine de jihadistes ayant tenté de fuir par le fleuve Niger ont aussi été « neutralisés ».

Samedi après-midi, des centaines de personnes se pressaient à la mairie de Gao, pour voir ou prendre en photo les cadavres et lambeaux de chair de sept islamistes tués et dont les corps étaient déjà en voie de décomposition, a constaté une journaliste de l’AFP.

Le Mujao, qui a annoncé récemment avoir envoyé des combattants à Gao, a réitéré samedi ses menaces d’attaques dans le Nord malien et évoqué des attentats programmés par les jihadistes à Bamako, mais aussi Ouagadougou et Niamey.

Après l’enlèvement le 19 février dans l’extrême-nord du Cameroun d’une famille de sept Français, dont quatre enfants, la France a mis en garde contre des risques d’attentat ou d’enlèvement au Bénin, où l’engagement français au Mali est « susceptible d’avoir des répercussions » sur la sécurité des ressortissants français.

Samedi, le président algérien Abdelaziz Bouteflika a estimé que la situation au Mali mettait en danger la sécurité de son pays.

Jeuneafrique.com avec AFP

Egypte: découverte de la tombe d’une princesse de la Vème dynastie

novembre 2, 2012
Egypte: découverte de la tombe d'une princesse de la Vème dynastie Egypte: découverte de la tombe d’une princesse de la Vème dynastie © AFP

Le ministre des Antiquités égyptien Mohamed Ibrahim a annoncé vendredi la découverte de la tombe d’une princesse pharaonique datant de la Vème dynastie (2500 ans avant J-C) dans la région d’Abou Sir, à 25 kilomètres au sud du Caire.

« Nous avons découvert l’antichambre de la tombe de la princesse pharaonique +Chert Nebti+, au centre de laquelle se trouvent quatre colonnes en calcaire » a indiqué M. Ibrahim.

Ces colonnes portent « des inscriptions en hiéroglyphes qui rapportent le nom de la princesse et ses titres », a-t-il poursuivi.

« C’est la mission de l’Institut tchèque d’égyptologie, dépendant de la faculté des lettres de l’université Charles de Prague (. . . ) qui a découvert la tombe » a-t-il précisé dans un communiqué.

Il a ajouté que « la découverte de cette tombe marque le début d’une nouvelle ère dans l’histoire des sépultures d’Abou Sir et de Sakkarah, après l’exploration de la partie sud de la tombe ».

« Des tombes appartenant à des employés ne faisant pas partie de la famille royale ont été découvertes à deux kilomètres au nord des sépultures des membres de la famille royale de la Vème dynastie » a-t-il indiqué.

Dans le tombeau de la princesse, la mission tchèque a également mis à jour un couloir partant du sud-est de l’antichambre.

Sur le mur du couloir, quatre ouvertures conduisent à quatre autres tombes.

Deux d’entre elles, qui remontent au règne du roi Djekarê Isesi, sous la Vème dynastie, appartiennent à de hauts fonctionnaires, l’un d’entre eux portant le titre de « Grand justicier de la Grande maison », et le second « Inspecteur des serviteurs au palais ».

Les deux autres « sont en train d’être fouillées », a indiqué le chef de la mission tchèque Miroslav Barta.

L’une d’elles appartient à un fonctionnaire qui porte le titre de « superviseur des scribes ». Dans celle-ci, la porte en trompe-l’oeil et trois statues en calcaire le représentant en position de scribe ont déjà été découverts, selon M. Barta.

Dans le couloir, quatre grands sarcophages en pierre de calcaire ont été retrouvés, contenant plusieurs statuettes, dont celle d’un homme accompagné de son fils.

 Jeuneafrique.com avec AFP