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Monaco : première sortie officielle de Charlene après un an de retrait

mai 2, 2022

Enfin ! La princesse de Monaco est apparue en famille lors d’une compétition sportive, un an après son retrait complet de toute vie officielle.

Albert et Charlene de Monaco lors du Monaco E-Prix.
Albert et Charlene de Monaco lors du Monaco E-Prix.© GERMAIN HAZARD / Germain Hazard / DPPI via AFP

C’est le soulagement à Monaco. Leur princesse fantôme est enfin revenue dans la lumière : Charlene est apparue en famille ce week-end lors de la course automobile du Monaco E-Prix (une compétition avec monoplace électrique). Les Monégasques ont pu l’apercevoir dans la tribune officielle en compagnie d’Albert II et de leurs jumeaux, Jacques et Gabriella. Pour l’occasion, l’ancienne championne de natation, 44 ans, vêtue d’un costume anthracite, arborait une coupe blond platine avec des cheveux coupés court sur un visage maquillé. Un nouveau look pour un nouveau départ ?

C’est la première fois que Charlene participe à une manifestation officielle depuis plus d’un an, lorsqu’elle s’était rendue en Afrique du Sud avant de prolonger son séjour indéfiniment. Le Palais avait évoqué des raisons de santé, elle aurait subi plusieurs opérations liées à « des problèmes dentaires, de cloison nasale et de sinus », lui interdisant de fait tout voyage en avion. La presse people avait évoqué une crise d’ordre privé, Charlene voulant prendre ses distances avec un rôle de princesse qu’elle a toujours eu du mal à endosser, des rumeurs démenties par Albert lui-même.

Soignée en Suisse

À peine revenue à Monaco, fin novembre, elle repartait s’isoler, officiellement pour suivre « une retraite thérapeutique ». Pendant encore plusieurs mois, elle aurait ainsi été soignée dans établissement suisse spécialisé dans les addictions, notamment pour une dépendance aux médicaments… En attendant, Albert II donnait le change en assurant les cérémonies officielles entouré de ses jumeaux ou aidé par ses sœurs, Stéphanie et Caroline, priées de combler les vides sur la photo. Une phase délicate pour le prince souverain, qui traversait au même moment une tentative de déstabilisation politique visant le cercle rapproché de ses fidèles.

Un premier signe positif était envoyé pour le week-end pascal, le 17 avril dernier : le couple assistait à une messe privée, avant de poser officiellement dans un cliché printanier, entouré de leurs enfants, avec le lapin en chocolat de circonstance, diffusé sur le compte Instagram du Palais. Deux semaines plus tard, son apparition officielle au Monaco E-Prix, remporté par le Belge Stoffel Vandoorne, confirmait le retour de Charlene au premier plan. Ce jour-là, la princesse paraissait plutôt en forme, décrochant des sourires aux photographes, même si sa silhouette reste encore très mince, sans doute le résultat de sa longue convalescence.

Une experte en langage corporel, interrogée dans le Daily Mail, a jugé cependant que la princesse se montrait encore « distante et pensive ». « Le choix d’un pantalon couleur charbon et d’une veste aux épaules rembourrées suggère qu’elle est prête à projeter un sentiment de force et de confiance », a-t-elle ajouté. Les chroniqueurs royaux annoncent en tout cas sa présence au Grand Prix de Formule 1 à la fin du mois, ainsi qu’au traditionnel bal de la Rose, l’été prochain, l’un des grands rendez-vous mondains du Rocher. On croise les doigts…

Avec Le Point par Marc Fourny

Les pays « hostiles » à Moscou, dont le Canada, seront remboursés en roubles

mars 7, 2022

Depuis le 1er janvier, et plus particulièrement depuis le début de la guerre en Ukraine, la monnaie russe a perdu 45 % de sa valeur.

Un rouble russe sur un symbole du dollar.

Un rouble russe sur un symbole de dollar. Photo : Getty Images/AFP/Kirill Kudryavtsev

Les autorités russes ont établi une liste de pays « hostiles » à la Russie, auxquels les particuliers et les entreprises russes pourront rembourser leurs dettes en roubles, monnaie dont la valeur a perdu 45 % depuis janvier, a indiqué lundi le gouvernement.

Cette liste de pays comprend entre autres les pays de l’Union européenne, l’Australie, le Royaume-Uni, le Canada, Monaco, la Corée du Sud, les États-Unis, la Suisse et Japon.

Ce texte a été préparé à la suite d’un décret présidentiel de vendredi, qui établissait en termes vagues une procédure provisoire de remboursement des dettes envers certains créanciers étrangers.

Pour ce faire, un débiteur pourra désormais demander à une banque russe de créer un compte spécial en roubles au nom du créancier étranger et de lui envoyer un paiement en équivalent rouble, au taux de change du jour de la Banque centrale.

Cette nouvelle procédure temporaire s’applique aux paiements supérieurs à 10 millions de roubles par mois en équivalent à la devise étrangère.

Il s’agit d’une des premières réponses russes aux sanctions sans précédent imposées à la Russie par de nombreux pays occidentaux à la suite de son intervention militaire en Ukraine.

Les sanctions ont provoqué une dépréciation historique du rouble et s’accompagnent du gel d’une partie des fonds des autorités à l’étranger, empêchant la Banque centrale de soutenir la devise russe.

Lundi, l’inquiétude des marchés se focalisait sur la possibilité de sanctions économiques qui viseraient directement le pétrole russe.

Première victime sur le marché des changes, la monnaie russe fondait de 10 % lundi vers 6 h (HNE), à 137,70 roubles pour un dollar, après avoir touché 142,18 roubles, un nouveau plus bas historique.

Depuis le 1er janvier, le rouble a dégringolé de 45 %.

Avec Radio-Canada par Agence France-Presse

Embûches royales – Charlene, le mystère de la princesse fantôme

décembre 20, 2021

ÉPISODE 1. Voilà neuf mois que la femme d’Albert II ne s’est plus montrée à Monaco, alimentant toutes les rumeurs malgré les mises au point du Rocher.

Charlene lors des funerailles du roi des Zoulous a Nongoma en Afrique du Sud, le 18 mars 2021.
Charlene lors des funérailles du roi des Zoulous à Nongoma en Afrique du Sud, le 18 mars 2021.  © PHILL MAGAKOE / POOL / AFP

Le Rocher est-il maudit pour les princesses monégasques ? Après la mort tragique de Grace, les tempêtes essuyées par Caroline et les frasques de Stéphanie, c’est au tour de Charlene de traverser une mauvaise passe qui alimente depuis des mois la chronique médiatique. À Monaco, un seul sujet est dans toutes les conversations : comment va Charlene ? Et quand reviendra-t-elle au palais ?

Après huit mois bloquée en Afrique du Sud, officiellement pour raisons médicales, tout le monde l’attendait pour la fête nationale en novembre dernier. Las, à peine débarquée en avion, elle reprenait le large pour s’isoler à nouveau, en dehors de la principauté. « Charlene a besoin de calme, de repos, de tranquillité et d’apaisement », a rassuré récemment le prince Albert II, soucieux d’endiguer les flots de rumeurs qui s’accrochent à son couple comme des bouloches sur un pull en mohair.

Anniversaire de mariage raté

Les premiers étonnements ont commencé il y a tout juste un an, quand les Monégasques ont eu la surprise de découvrir leur princesse le crâne à moitié rasé, bien loin des codes glamour du Rocher. Geste de femme blessée ? Acte symbolique de rébellion ? « Il se trouve que j’en avais envie depuis longtemps, le style me plaît, c’est tout… » se justifia l’intéressée.

Les rumeurs se sont intensifiées quand elle a éternisé son séjour en Afrique du Sud, son pays natal, au printemps dernier. Partie pour assister aux funérailles du roi des Zoulous, elle enchaîne en se mobilisant contre la chasse au rhinocéros et finit par rester dans la savane, loupant même les dix ans de mariage avec son époux. Pour la presse people, l’affaire est entendue : la princesse a pris le large, elle n’a jamais été heureuse à Monaco, le couple est au bord du divorce…

Royal blues

Même Stéphane Bern, qui est loin d’être un farouche adversaire du Rocher, met les pieds dans le plat en publiant cet été un article dans Paris Match qui décrit les coulisses pas vraiment roses du conte de fées : il dépeint une princesse mélancolique et solitaire, s’étiolant peu à peu dans un palais qu’elle fuit pour partager son temps entre le domaine de Roc Agel, sur les hauteurs de Monaco, une maison en Corse, prêtée par des amis, ou des séjours en Turquie pour les vacances.

Regards tristes, colères soudaines, la princesse ne serait pas parvenue à vraiment s’intégrer à Monaco, à l’exemple de la langue française qu’elle n’a jamais maîtrisée. Stéphane Bern évoque aussi « les sempiternelles rumeurs d’infidélité d’Albert » qu’elle ne pouvait plus supporter… À moins qu’il ne s’agisse d’une opération de chirurgie esthétique qui aurait mal tourné en Afrique, forçant la patiente à rester sur place… Bref, c’est la porte ouverte à tous les commentaires qui fleurissent un peu partout, jusqu’au magazine allemand Bunte, annonçant pendant l’été la rupture du couple princier.

Juste une mise au point

Le palais, qui en a vu d’autres, espère voir passer l’orage et précise que Charlene a contracté une grave infection ORL qui lui interdit logiquement de prendre l’avion. Albert II lui rend visite avec leurs enfants Jacques et Gabriella, avant d’enchaîner les cérémonies en célibataire, flanqué de ses jumeaux ou des membres du clan, priés de faire de la figuration pour combler le vide…

Albert II, Gabriella et Jacques au balcon du Palais, le 19 novembre à Monaco.  © VALERY HACHE / AFP

Puis il décide de frapper fort en montant au créneau pour clouer le bec aux mauvaises langues. « La princesse ne souffre d’aucune maladie grave ou incurable, ce n’est pas davantage un problème de couple », assure-t-il dans Match fin novembre, au moment où son épouse, à peine revenue, a été placée en clinique. « Il n’y a eu aucune opération de chirurgie esthétique. C’était uniquement des problèmes dentaires, de cloison nasale et de sinus… » Et d’ajouter : « Comme cela ne satisfait pas les médias, chacun y est allé de sa petite théorie et de son petit commentaire… »

Soignée en Suisse

Un mois plus tard, Charlene n’a toujours pas réintégré le palais, qui s’apprête à célébrer Noël sans sa princesse fantôme. Elle serait toujours soignée dans un établissement à l’étranger, loin de Monaco, « une retraite thérapeutique », a précisé Albert. « En réalité, elle est en Suisse dans une clinique VIP ultrachic, tout confort, très luxueuse, spécialisée dans les addictions et les troubles psychologiques, explique Marion Alombert, la directrice de la rédaction de Voici. Charlene est notamment soignée pour une dépendance aux médicaments et aux somnifères. Après ses problèmes ORL en Afrique du Sud, elle avait commencé directement un sevrage sur place, qui continue actuellement à l’étranger, car elle était encore trop fragile. »

Selon un proche, qui s’est exprimé dans le média américain Page Six, la princesse a vécu le pire en Afrique du Sud, où elle a perdu énormément de poids, ne pouvant se nourrir correctement après de multiples infections et opérations. Son père Mike Wittstock est également sorti du silence en certifiant qu’elle finira par avoir le dessus. « Ma fille avait l’habitude de nager 20 kilomètres par jour. En sachant la façon dont elle s’entraînait, je sais qu’elle est résistante et qu’elle s’en sortira beaucoup plus forte… »

Avec Le Point par Marc Fourny

Les ouragans inquiètent le monde de la réassurance réuni à Monaco

septembre 11, 2017

Les ouragans inquiètent le monde de la réassurance / © NASA/GOES Project/AFP/Archives / HO

Les grands réassureurs mondiaux, réunis à Monaco en congrès, commencent à se préoccuper de la facture que laisseront les ouragans Harvey et Irma, au moment où le secteur est déjà secoué par une érosion des prix et des taux.

« Harvey et Irma sont des événement significatifs pour l’industrie, (…) ils vont dominer les discussions ici à Monte-Carlo », a déclaré Torsten Jeworrek, l’un des dirigeants du réassureur allemand Munich Re, lors des Rendez-vous de septembre, la grand-messe annuelle du secteur qui s’est ouverte dimanche dans les palaces des hauteurs monégasques.

Après avoir ravagé plusieurs zones des Antilles, Irma a frappé dimanche un chapelet d’îles très touristiques en Floride et remontait lundi la côte ouest de l’Etat américain. Quelques semaines plus tôt, l’ouragan Harvey a provoqué de très importants dégâts au Texas et en Louisiane.

Rien qu’aux Etats-Unis, ces catastrophes ont provoqué pour 300 milliards de dollars de dégâts, a estimé le service de météorologie privé Accuweather.

Trop tôt toutefois pour évaluer précisément la facture totale dont devront s’acquitter assureurs et réassureurs, s’accordaient à dire la plupart des professionnels présents à Monaco.

– Rentabilité sous pression –

Seule une partie des coûts sera couverte, mais l’ampleur de ces ouragans risque de mettre sous pression un certain nombre de compagnies, déjà secouées par un contexte économique difficile.

A lui seul, l’ouragan Harvey devrait se solder par une charge d’environ 30 milliards de dollars pour les assureurs, a précisé dimanche Munich Re.

Le secteur bénéficie certes d’une assise financière encore solide et de réserves de capital bien garnies. Mais certains acteurs risquent de « beaucoup souffrir, ce qui va les conduire à revoir leur modèle d’activité ou pour certains à faire appel aux marchés car ils auront besoin de plus de soutien », a prévenu Denis Kessler, le patron du réassureur français Scor.

Ayant drastiquement réduit son exposition en Floride, Scor devrait n’être que modérément mis à contribution pour couvrir les pertes causées par Irma, tout comme d’ailleurs son compétiteur allemand Munich Re, ont dit leurs représentants respectifs à Monaco.

« La rentabilité au sein du secteur n’est plus ce qu’elle a été », a reconnu néanmoins M. Kessler.

Le marché de la réassurance souffre depuis plusieurs années d’un environnement de taux bas qui complique la tâche pour les compagnies de faire fructifier les primes qu’elles encaissent en échange de leur couverture, tandis que l’intense compétition au sein du secteur tire les tarifs vers le bas.

– Risques non couverts –

Dans ce contexte, « il devient évident que les résultats du secteur sont plus vulnérables à de fortes dépenses pour couvrir des pertes », a expliqué le réassureur allemand Hannover Re, plaidant pour limiter autant que possible la baisse des prix.

Le rassemblement de Monaco marque en effet traditionnellement le coup d’envoi des négociations tarifaires pour le renouvellements des contrats de couverture au 1er janvier de l’année suivante.

D’un côté, « les catastrophes naturelles récentes vont doper la demande aux Etats-Unis, nous le voyons déjà, et faire remonter les tarifs de la réassurance » dans la région, mais « il est encore tôt pour dire si le marché mondial va suivre », a prévenu Munich Re.

L’agence de notation Standard and Poor’s s’attend pour sa part à un nouveau recul des prix en 2018, de l’ordre de 0 et 5%.

Plus généralement, « l’assurance et la réassurance ne sont pas un secteur en croissance, or nous avons besoin de plus de croissance. Il y a beaucoup de risques pour lesquels nous n’avons pas développé suffisamment de solutions », a concédé Torsten Jeworrek, de Munich Re.

De nombreux dégâts et de nombreuses régions du monde ne sont toujours pas couverts par les assurances, signe que d’importantes opportunités – inexploitées à ce jour – s’ouvrent au secteur. De nouveaux risques aussi, avec la montée en puissance ces prochaines années du marché de la cyberassurance.

Par ailleurs, « nous sommes optimistes quant au fait que les politiques d’argent très bon marché mises en oeuvre par les banques centrales vont prendre fin », a pointé Denis Kessler, soulignant qu’un relèvement des taux d’intérêt aux Etats-Unis et en Europe « pourrait ouvrir la voie à une amélioration de la rentabilité du secteur ».

Romandie.com avec(©AFP / 11 septembre 2017 13h12)                

Char­lène et Albert de Monaco : leurs jumeaux bapti­sés ce matin

mai 10, 2015

Gabriella et Jacques, les jumeaux de Char­lène et Albert de Monaco

Gabriella et Jacques, les jumeaux de Char­lène et Albert de Monaco

Un événe­ment !

Gabriella et Jacques, les jumeaux de Char­lène et Albert de Monaco, ont été bapti­sés ce matin. Un événe­ment pour tous les moné­gasques !

Ce matin, le Rocher était en fête. Gabriella et Jacques, les jumeaux de Char­lène et du prince Albert ont été bapti­sés en la cathé­drale de Monaco. C’est l’ar­che­vèque de Monaco, Bernard Barsi, qui a donné les premiers sacre­ments aux deux adorables bébés âgés de 5 mois La céré­mo­nie, qui a débuté à 10 heures 30, a été retrans­mise sur la chaîne natio­nale de la prin­ci­pauté ainsi que sur un écran géant installé sur la place du Palais.

Les noms des parrains et marraines avaient été annon­cés par la prin­ci­pauté via un commu­niqué, jeudi dernier. Gabriella a donc désor­mais pour parrain Gareth Witt­stock (le frère de Char­lène) et pour marraine Nerine Pienaar, (une amie de Char­lène qui n’est autre que la femme du rugby­man sud-afri­cain François Pienaar). Jacques a pour parrain Chris­to­pher LeVine Junior (le cousin du Prince Albert) et pour marraine Diane de Poli­­gnac Nigra (une descen­dante de la famille du père du Prince Rainier).

Pour cet événe­ment très impor­tant, Char­lène et le prince Albert avaient convié 700 invi­tés (de la famille ainsi que des person­na­li­tés poli­tiques et spor­tives). Le baptême a eu lieu dans la cathé­drale, au milieu des quelques 6000 fleurs qui y avaient été élégam­ment dispo­sées (des roses, des lys, du muguet, des genêts et des pivoines).

Les jumeaux, qui portaient de longues robes blanches signées Dior, ont été sages comme des images durant ce moment impor­tant de leur vie. A la fin de la céré­mo­nie, un message du pape François é été lu puis la famille est sortie et a pris la pose sur les marches de la cathé­drale (le prince Albert portant Gabriella et Char­lène portant Jacques)  avant que Char­lène et le prince Albert n’aillent à la rencontre de la foule.

Sans leur jumeaux, ils se sont rendus de la cathé­drale jusqu’au palais. ont marché au milieu des moné­gasques et des touristes. Entre l’en­trée dans la cathé­drale et le retour au Palais, l’évé­ne­ment a tout de même duré presque 3 heures. Une longue et belle jour­née !

Voici.fr par F P

Noces religieuses pour sceller l’union de Charlene et Albert de Monaco

juillet 2, 2011

Le prince Albert et la princesse Charlene de Monaco échangeront samedi leurs consentements au cours d’une cérémonie religieuse en plein air devant 800 invités de marque, avant un tour en décapotable dans les rues du micro-Etat et un dîner méditerranéen face à la mer.

Après le prélude du mariage civil vendredi, la princesse sud-africaine arrivera à 17h00 en robe de mariée Armani, au bras de son père, sur la place du Palais où 3. 500 Monégasques assis pourront l’acclamer.

Elle entrera dans son palais en foulant un long tapis rouge et blanc, aux couleurs monégasques, jusqu’à l’autel placé dans la somptueuse Cour d’honneur transformée en cathédrale d’un jour.

C’est là, sous un toit éphémère de dais blancs, qu’elle sera attendue par le prince Albert en uniforme de carabinier. L’archevêque de Monaco Bernard Barsi unira ensuite le couple, la protestante Charlene ayant consenti à se convertir récemment au catholicisme, religion d’Etat.

A Monaco, où convergeront aussi samedi des milliers de visiteurs des environs en tenue de vacanciers attirés par un grandiose feu d’artifices final, le climat s’est dédramatisé depuis le « oui » de Charlene devant l’officier d’Etat civil.

« Nous souhaitons que la dynastie des Grimaldi continue », explique tout simplement un Monégasque de 72 ans en lignée directe avec des ancêtres génois arrivés en 1775 sur le Rocher.

Désormais, des sources proches de l’organisation du mariage parlent de « la véracité » du couac entre les deux époux et d’une probable demande de reconnaissance de paternité auprès d’Albert. Ce qui aurait fâché Charlene au point de lui donner envie de prendre la poudre d’escampette.

La presse du monde entier a déjà évoqué ce scénario quelques jours avant le mariage.

« Nous n’allons pas refaire le prince. C’est un mariage moderne. Charlene le connaît depuis longtemps et l’accepte », dit, compréhensive, une résidente trentenaire qui s’apprête aussi à convoler.

Quoi qu’il en soit, le doux sourire de Charlene à la cérémonie civile a rassuré les Monégasques. Albert II est apparu détendu vendredi, serrant chaleureusement les mains de ses sujets qu’il a cotoyés parfois sur les mêmes bancs d’école.

Jusque là, il n’avait jamais semblé pressé de se marier, aimant faire la fête et pratiquer des activités sportives. Après être resté longtemps dans l’ombre de son père Rainier ou encore de ses soeurs archi médiatisées, le souverain semble avoir gagné en assurance pour célébrer à 53 ans son mariage.

Quelque 800 invités seront installés en arc de cercle derrière les mariés, dont le représentant de la couronne britannique, le prince Edward, fils cadet d’Elisabeth II.

Le défilé des arrivées sera clos par le président français Nicolas Sarkozy, dont le pays entretient des liens historiques et administratifs étroits avec la principauté.

Le couple a boudé la cathédrale où la princesse Grace et le prince Rainier s’étaient unis, voici 55 ans, un cadre qui aurait limité la liste des invités à 500.

Une centaine de musiciens pourront ainsi prendre place dans la Cour d’honneur, dont l’orchestre philharmonique de Monte-Carlo, les choeurs de l’opéra de Monte-Carlo, de grands solistes internationaux ou encore les petits chanteurs de Monaco.

La cérémonie terminée, le couple partira en voiture décapotable jusqu’à la chapelle Sainte-Dévote pour un traditionnel dépôt du bouquet de la mariée.

Place ensuite à un dîner de noces méditerranéen préparé par Alain Ducasse pour 500 convives privilégiés. Après la pièce montée et le feu d’artifice, 200 amis du couple rejoindront l’opéra métamorphosé en piste de danse, pour fêter l’événement jusqu’à l’aube.

Jeuneafrique.com avec AFP

Albert II de Monaco : nargué par la mère de son fils ?

juillet 2, 2011

Que cherche Nicole ?

Albert II de Monaco : nargué par la mère de son fils ?Le mariage d’un ex, c’est toujours douloureux, surtout quand celui-ci est le père de votre enfant. Nicole Coste qui a vécu une vraie histoire avec Albert II de Monaco est venue la lui rappeler en se promenant sous son nez.

Monaco voit sa population doubler ces derniers jours : tout le monde veut être de la noce.

Mais dans la foule qui parcourt les rues monégasques, on n’a vu qu’elle. Nicole Coste, la mère du petit Alexandre, le fils illégitime qu’Albert II de Monaco a fini par reconnaître. Mais que venait donc faire l’ancienne hôtesse de l’air sur le Rocher, elle qui réside à quelques kilomètres de là, à Villefranche-sur-Mer ?

Nicole espère-t-elle faire douter le Prince en se rappelant à son bon souvenir ? Les ex-amants ont une relation passionnée durant six années, Albert II n’hésitant pas à emmener Nicole lors de ses déplacements ou de ses soirées.

Lorsque le conte de fée s’est terminé (Rainier n’étant pas ravi ravi d’avoir une hôtesse de l’air comme future belle-fille), Nicole est repartie le cœur lourd avec un dernier cadeau du prince Albert : leur fils, Alexandre qui naîtra quelques mois plus tard, le 24 août 2004, à l’hôpital Saint-Vincent-de-Paul, à Paris.

La seule visite que Nicole recevra est celle d’un émissaire d’un laboratoire français accrédité par l’Institut médico-légal suisse qui viendra faire un prélèvement sur le petit garçon. Les résultats seront sans appel : Albert II de Monaco est bien le père du petit Alexandre. Nicole se battra ensuite âprement pour que celui-ci reconnaisse publiquement son fils, allant jusqu’à dévoiler leur histoire dans Paris Match. Attitude payante puisque Albert reconnaît enfin l’enfant le 8 juillet 2005.

Alors que cherche Nicole Coste en se baladant ostensiblement dans les rues de Monaco ? Un retour de flamme d’Albert II ? Ou vient-elle tourner définitivement la page d’une belle histoire ?

Voici.fr

Monaco : dans les coulisses du mariage princier

juillet 1, 2011

Les organisateurs du mariage ont conservé le caractère chaleureux et familial souhaité par Charlène et Albert de Monaco.

Dans quelques heures, lorsque l’ancienne championne sud-africaine Charlene Wittstock deviendra Son Altesse Sérénissime la princesse Charlene de Monaco, ce sont les efforts intenses d’une poignée de fidèles collaborateurs – dont le colonel Luc Fringant, le général John Jayet, chambellan du prince, Christiane Stahl, conseiller au cabinet princier (et auteur du livre sur Albert II de Monaco, L’Autre Prince )- qui seront récompensés. Pour ce premier mariage d’un prince souverain depuis 55 ans, il fallait tout à la fois que la cérémonie et les fêtes soient un beau spectacle, digne de l’événement historique, mais qu’elles conservent le caractère convivial, chaleureux et familial souhaité par les mariés.

Dans l’ombre, de longs mois de préparatifs ont été nécessaires pour orchestrer une fête pour tous. C’est ainsi qu’est née l’idée d’une cérémonie religieuse, samedi après-midi, dans la cour d’honneur du palais princier, célèbre pour sa magnifique galerie d’Hercule, comme une extension à ciel ouvert de la chapelle palatine Saint-Jean-Baptiste dans laquelle se sont déroulés les grands actes religieux de la famille Grimaldi. Un autel -transféré de la chapelle de la Visitation- sera donc installé demain au pied de l’escalier à double révolution, avec le monumental christ en argent de la chapelle palatine, ainsi que les fauteuils et les prie-dieu.

Pendant la messe nuptiale, l’Orchestre philharmonique sera accompagné de la voix de la cantatrice Renée Fleming alors que l’Ave Maria sera interprété par Andréa Bocelli. Sous la houlette du fournisseur breveté de la cour, Sorasio, les fleuristes de Monaco se sont regroupés pour décorer la cour d’honneur de fleurs blanches, hortensias, jasmins et les protéas d’Afrique du Sud, hommage aux origines de la princesse. Dans la cour d’honneur, il a été prévu de placer huit cent cinquante invités privilégiés, dont les chefs d’État -des rois et des présidents, dont le président français Nicolas Sarkozy- arrivés par ordre de protocole, inversé selon l’ancienneté de leur avènement ou élection.

Le prince Albert sera conduit à l’autel par son cousin germain américain -du côté maternel des Kelly- Chris Levine, et Charlene aura pour témoin une cousine du prince devenue une amie intime, Donatella Knecht de Massy, épouse d’un petit-fils de la défunte princesse Antoinette de Monaco. La princesse Caroline, princesse de Hanovre, s’est beaucoup investie dans l’organisation des détails de la noce, notamment avec Françoise Dumas, la grande prêtresse des événements festifs et qui œuvre depuis des années pour le bal de la Rose. Elle s’est tout à la fois préoccupée des costumes traditionnels et régionaux des sept demoiselles d’honneur qui escorteront Charlene Wittstock, de la caserne des carabiniers jusqu’au palais princier en face. Le costumier de l’Opéra Garnier de Monte-Carlo leur a dessiné des robes qui symboliseront les sept communes avoisinantes de Monaco et le hasard a voulu que ce soit une petite Charlène qui incarne la commune de Beausoleil…

Un menu gardé secret

Mais la princesse de Hanovre s’est aussi concentrée sur l’organisation du dîner de gala qui réunira quelque cinq cents convives sur une terrasse attenante à l’Opéra et construite à huit mètres de hauteur pour permettre aux invités d’entrer de plain-pied dans la salle Garnier où se déroulera le bal. La table d’honneur sera recouverte d’une nappe damassée blanche ancienne aux armes des Grimaldi et décorée d’une mer d’hortensias bleus et blancs, ainsi que des poissons et des bateaux en argent de la collection princière.

Seule incertitude, les bijoux que portera Charlene, dont on sait déjà que sa robe de mariée est signée Armani avec une traîne de cinq mètres. On spécule beaucoup sur le Rocher sur la tiare qu’elle choisira parmi les deux joyaux que le prince lui offre à l’occasion de leur mariage: une tiare de chez Lorentz Baümer et un diadème transformable en collier de chez Van Cleef & Arpels.

Quant au menu, gardé secret, Alain Ducasse a promis de faire la part belle aux produits de la Méditerranée et aux légumes de Rocagel, la propriété princière sur les hauteurs de Monaco. Après le dîner, les amis du couple -attablés à l’hôtel Fairmont- pourront rejoindre les personnalités officielles à l’Opéra pour un bal qui sera illuminé par le feu d’artifice conçu, autour de l’amour, par Jacques Couturier. Dernier secret non encore révélé, la destination du voyage de noces qui suivra de près le séjour en Afrique du Sud pour une réunion du Comité international olympique, le 6 juillet, et où la princesse Charlene conduira son prince sur les pas de son enfance.

Lefigaro.fr par Stéphane Bern

Monaco, ville la plus chère pour l’immobilier de luxe

juillet 1, 2011

Têtes couronnées et touristes se presseront ce week-end pour le mariage princier dans ce petit territoire à prix d’or.

Monaco est un territoire à part. Coincée entre la montagne et la mer, la principauté avec ses 32.000 habitants n’occupe que 2 kilomètres carrés face à la Méditerranée. Mais ce territoire, où les voitures de luxe se font concurrence, et que parcourent en vrombissant les Formule 1 lors du Grand Prix de printemps, s’arrache à prix d’or.

Selon une étude récente de Knight Frank, c’est à Monaco que le prix moyen au mètre carré est le plus élevé au monde pour l’immobilier de luxe: il faut compter en moyenne 66.500 dollars le mètre carré (soit environ 46.000 euros au mètre carré) pour dénicher un bien de luxe. Il atteint même 100.000 euros le mètre carré pour un appartement sur l’avenue princesse Grace en bord de mer. La même étude donne un chiffre de 28.000 euros au mètre carré pour l’immobilier de luxe parisien. Des prix bien évidemment réservés aux appartements et maisons d’exception qui ont ce petit quelque chose en plus que recherchent les privilégiés.

Ces derniers sont nombreux à avoir adopté le statut de résidents monégasques qui permet notamment de ne pas être imposé sur les plus-values immobilières ou les successions (pour les Français devenus résidents récemment, le statut fiscal n’est toutefois plus aussi favorable). Havre de nombreux sportifs, qui abrite une trentaine de nationalités différentes, ultrasécurisée, la principauté loue aussi ses appartements à prix d’or même si les loyers ont chuté de 25% depuis 2010 dans certains quartiers. Pendant le Grand Prix, une terrasse bien placée peut toujours trouver preneur à 20.000 euros pour trois jours! Et dans le quartier de Larvotto proche des plages, où le mètre carré vaut entre 30.000 et 50.000 euros et où les transactions sont rares, un vaste deux pièces de 80 m2 avec terrasse dans un des immeubles des années 1960 construits par la famille Pastor affiche un loyer de l’ordre de 3500 euros. Pour permettre aux Monégasques de se loger dans leur si cher Rocher, la principauté leur réserve toutefois des immeubles en location à prix plus doux.

C’est autour du palais, que l’on trouve les biens les plus anciens au charme plus italien. «Non loin du palais, une maison de 600 m2 est par exemple à vendre 40 millions d’euros», explique-t-on chez John Taylor.

Le foncier manque

Ce qui est rare est cher et Monaco doit composer avec un territoire réduit. Il n’existe pratiquement plus de foncier libre. Dans les années 1970, un quartier entier, celui de Fontvieille, avait été gagné sur la mer. Il abrite aujourd’hui un nouveau port, des commerces, des logements ; c’est là que bat le cœur industriel et économique de la principauté et que se situe le stade de l’AS Monaco.

Le prince Rainier avait caressé l’idée de gagner un autre territoire de 5 hectares sur la mer et d’y construire quelque 300.000 m2, mais le projet a été abandonné à la suite de la crise de 2008. Le sujet reviendra-t-il à l’ordre du jour à moyen terme? Ce pourrait être une manière pour le prince Albert de marquer de son empreinte l’histoire de Monaco et de donner un nouvel élan à la principauté.

Lefigaro.fr par Carole Papazian

Côte d’Ivoire : l’incroyable mariage de Didier Drogba à Monaco

juin 14, 2011

La star ivoirienne du football Didier Drogba et la Malienne Lala Diakité se sont dit oui à Monaco le 12 juin. Un mariage civil très discret suivi d’une cérémonie traditionnelle bété auxquels de nombreuses personnalités du sport et du showbiz ont assisté. Avant de célébrer l’événement par une grande fête. Ambiance…

C’est fait ! L’international franco-ivoirien Didier Drogba a mis en suspens sa carrière footballistique… juste pendant le long week-end de la Pentecôte. Le temps d’épouser la Malienne Lala Diakité, sa compagne depuis dix ans. La principauté de Monaco, où se déroulait le mariage a été prise d’assaut du 12 au 13 juin par une constellation de stars du foot et du showbiz.

Contrairement au programme initialement annoncé, la cérémonie civile s’est finalement déroulée dimanche 12 juin à la mairie de Monaco. Salomon Kalou, Michael Essien, Florent Malouda, Nicolas Anelka, entre autres, ont joué les garçons d’honneur pendant le mariage.

Étaient également présents le milliardaire russe propriétaire de Chelsea, Roman Abramovitch ainsi que plusieurs hommes d’affaires dont l’architecte franco-ivoirien Pierre Fakhoury. L’invité surprise a été sans conteste le Suédois Zlatan Ibrahimovitch, artisan de la victoire du Milan AC au Scudetto 2011… alors même que la rumeur du mercato annonce Didier Drogba au club lombard pour former une paire d’attaque avec son pote « Ibra ».

Paparazzis en hélicoptère

Drogba avait pour témoin le Sénégalais Thierno Seydi, son manager de toujours, et Lala Diakité avait choisi l’Ivoirienne Flore Kouassi, épouse de l’ancien international ivoirien Blaise Kouassi, l’ex-partenaire de Didier Drogba à Guingamp. La cérémonie a été très chronométrée, feutrée et fermée aux journalistes. Au grand dam de la presse anglaise qui avait déployé les grands moyens. L’hélicoptère loué par les paparazzis britanniques a été prié par les organisateurs de stopper ses mouvements. Seuls un cameraman et un photographe ont pu immortaliser l’événement. Même les convives avaient interdiction de prendre des photos, y compris avec leur téléphone portable !

Après la cérémonie, tout le monde s’est déplacé au Monte-Carlo Hôtel de Monaco pour les festivités. Mais le capitaine des Eléphants ne s’est pas dérobé aux coutumes de son pays natal. Une cérémonie traditionnelle « bété » – nom de l’ethnie du marié – a été improvisée. Et Didier Drogba, en tenue traditionnelle d’apparat, s’est transformé en vrai « woody », ce qui signifie « bel homme courageux » en pays Bété.

Œuvres de charité

Tout à son bonheur, Didier Drogba n’a pas oublié les difficultés de la Côte d’Ivoire. Il a mis à profit son mariage afin de récolter des fonds pour sa fondation qui envisage la construction d’un hôpital dans le quartier Attécoubé d’Abidjan. Devant les regards amusés des invités, le Camerounais Samuel Eto’o n’a pas hésité à débourser 20 000 euros pour acquérir la jarretière de la mariée.

Plusieurs stars du ballon rond se sont ensuite reconverties en artistes. Ce fut le cas de l’international français Djibril Cissé, actuel sociétaire du club grec de Panathinaïkos, qui est monté sur scène pour interpréter une chanson avec l’orchestre. Kader Keita, coéquipier de Didier Drogba en équipe nationale et évoluant au club Al-Saad du Qatar, a quant à lui fait étalage de son grand talent de danseur de coupé-décalé.

Akon s’excuse

Mais des grandes pointures de la musique africaine étaient également présentes. Le Sénégalais Youssour N’Dour, le Congolais Fally Ipupa, les Ivoiriens Gadji Celi Saint Joseph, Dj Arafat, Dj Chicoto et beaucoup d’autres ont rivalisé sur scène pour fêter le mariage de « DD » et Lala. Seule fausse note : l’absence annoncée à la dernière minute du rappeur américain Akon à cause d’un problème d’horaire de vol.

« La fête était très belle, il fallait rendre hommage à Drogba et ça, nous l’avons bien réussi sans regarder à la dépense », a confié à jeuneafrique.com un proche de l’international ivoirien. Financé par les sponsors de Didier Drogba, le mariage n’aurait pas coûté plus de 500 mille euros, selon certaines sources…

Jeuneafrique.com avec Beaudelaire Mieu