Un homme a annulé les cérémonies de son mariage, à Brazzaville, après avoir reçu de l’ex de sa fiancée des vidéos intimes d’elle réalisées juste deux jours avant le mariage. Une trahison impardonnable pour ce brave homme qui ne s’est pas laissé convaincu par ses proches qu’il soupçonne de n’être intéressé qu’à manger et boire. Sa fiancée n’avait pas du tout encore coupé ses liens avec son ex et ce dernier, emporté par la jalousie a tout chamboulé.
La fidélité est devenue une vertu très rare au Congo et les deux sexes sont impliqués. A Moungali, dans le quatrième arrondissement de Brazzaville, capitale du Congo, un homme a pris la ferme décision de renoncer à son mariage la veille de la cérémonie. L’ex de sa fiancée lui a fait parvenir des nudes d’elle et un sextape d’eux réalisé juste deux jours plus tôt.
Acculée par la réalité et les preuves contre elle, la fiancée a regretté son acte et solliciter l’indulgence de son fiancé, promettant devant Dieu ne plus le refaire. Elle a prétendu avoir été emportée par le diable.
Mais le fiancé est resté catégorique sur son refus de se marier. Les interventions des deux familles et proches n’ont en rien changé la décision de l’homme qui s’est senti trahi et humilié. Toutes les dépenses faites coûtant des millions seraient remboursées par sa vente , la belle-famille est priée aussi de restituer la somme de la dot.
Une policière lesbienne a été surpris en flagrant délit sexuel avec deux mineures par son voisin qui a alerté toute la ruelle. Elle aurait proposé de l’argent à ces deux filles âgées de 15 et 16 ans pour ce trio qui a mal tourné à cause du songui songui de son voisin.
Jamais les populations de ce secteur de Moungali n’avaient vécu une telle scène ! De nature, ce sont les hommes majeurs qui adorent corrompre sexuellement les filles mineures et personne ne pouvait imaginer qu’une femme le fasse.
Selon des témoignages, la policière de 32 ans aurait persuadé les deux filles de sa rue de s’adonner à une partie de sexe contre une somme d’argent. La relation ne devrait pas seulement s’arrêter et elle allait prendre soin d’elles. Avec la situation financière difficile de leurs parents, ces deux mineures n’ont pas hésité à donner leur accord.
Si la policière lesbienne soutient l’avoir fait pour la première fois, le voisinage n’y croit pas quand bien même les deux mineures ont confirmé la version. Le voisin affirme avoir vu depuis sa fenêtre les deux filles accéder au domicile de la policière sans vraiment avoir des mauvaises idées.
Mais une fois dans la cour, il a remarqué que la porte de sa voisine policière était fermée et a voulu en savoir plus. C’est en guettant à travers la fenêtre, qu’il a vu comment les trois totalement nues se livraient à un trio sexuel. Aussitôt, il a alerté tout le voisinage qui s’est déplacé en masse pour faire le songui songui.
Les parents des deux mineures arrivés sur les lieux ont voulu user de la violence contre la policière qui a été sécurisée par d’autres voisins avant l’arrivée d’une patrouille de police. Une solution à l’amiable a été conseillée entre les victimes et la bourreau après que les policiers se soient rendu compte que les deux mineures n’étaient plus vierges et fréquentaient les hommes.
Monsieur mon parquet a été victime de sa «bordelerie» quand il a été surpris par l’époux d’une de ses maîtresses. Ignorant être en face du tout puissant procureur de la république du Congo, cet homme cocu, originaire de la RDC n’est pas passé par quatre chemins en tabassant comme un bébé son bourreau en amour. Les faits se sont déroulés non loin de la commune de Moungali dans la nuit.
Ce citoyen Kinois qui vit dignement de son travail soupçonnait depuis des semaines sa femme de le tromper. Il ignorait juste que celui qui est l’auteur de la main noire contre lui n’est entre autre que le tout puissant procureur de la république du Congo. « Comment tout un chef peut-il descendre si bas en sortant avec la femme d’un citoyen modeste ? » s’est étonné le cocu après avoir appris la fonction de celui qu’il venait de tabasser et insulter « pygmée ». Il serait en cavale de peur de se faire emprisonner.
Le procureur de la république du Congo, André Oko Ngakala est connu pour son goût pour les Kinoises qu’il entretient à coup de billets de banque qu’il gagne dans les affaires parcellaires. L’une de ses conquêtes au nom d’Irène, mariée à son compatriote Kinois est la cause de sa bastonnade.
Les deux adultères ont été surpris par l’époux Kinois de la femme dans une position très compromettante près de la commune de Moungali dans un Nganda discret. Le Kinois affirme avoir été alerté au téléphone par une connaissance de la présence de son épouse avec son amant. « Momie na yo aza awa na djo moko ya mukusé, ba zo liana ba banga danger ! »
Arrivé sur les lieux, le Kinois n’a pas réfléchi avant d’agir, rassuré par les explications reçues au téléphone. Une fois dans le Nganda, il a exfiltré de force son rival procureur avant de le rouer des coups devant la stupéfaction des clients. André Oko Ngakala, tabassé comme un bébé ne cessait de répéter à son agresseur : « Petit ! Tu ne sais pas à qui tu as affaire ! ».
«Je sais c’est toi qui sors avec ma femme et ça me suffit comme motif ! » rétorquait le Kinois cocu qui a pris la fuite après avoir appris que celui qu’il tapait comme un bébé n’est entre autre que le procureur de la république du Congo. Oko Ngakala pour la circonstance était seul et sans garde.
Un bailleur dont la femme venait de s’en aller ne supportait plus le bonheur sexuel de son locataire et a pris la décision de le chasser. Chaque fois que locataire était avec sa femme, les gémissements arrivaient aux oreilles du logeur qui souffrait ainsi de son célibat.
Le célibat a cultivé la haine chez un bailleur à Moungali dans le quatrième arrondissement de Brazzaville, capitale du Congo. Depuis que son épouse l’a quitté pour incompatibilité d’humeurs, il est allergique au bonheur matrimonial des autres et surtout de ses locataires dont celui d’un jeune couple.
Il s’avère que la femme de son locataire gémit beaucoup lors des rapports sexuels et cela énerve le logeur qui ne s’arrêtait de se plaindre. Une fois il demandé à son locataire comment pouvait-il avoir le courage de faire l’amour sous une forte chaleur.
Mais en réalité, il était juste habité par la jalousie et enviait son locataire. Le pire encore est que la fenêtre du locataire donne juste vers la porte principale du logeur qui se faisait des films chaque fois qu’il apercevait la femme gémisseuse.
Un bon matin, après avoir supporté les gémissements toute la nuit, il a donné un préavis d’un mois à son locataire, prétextant que les autres locataires menaçaient de s’en aller si la situation perdurait.
Dans la rue Nko au plateau des 15 ans (Moungali), à Brazzaville, Naomie qui loue un studio moderne à 50.000 frs se vante d’avoir un salaire mensuel fixe de 500.000 frs bien qu’elle soit sans emploi. Son bailleur est très content de cette locataire qui paie toujours en avance le loyer et qui lui offre parfois des petits cadeaux. En réalité Naomie gère 8 hommes Facebook et transférés sur Whatsapp qui lui envoie chacun 100 euros ( 65000 frs ) chaque mois. Elle vit mieux qu’un enseignant et plusieurs militaires.
Au Congo, nombreuses sont les filles qui ont fait des réseaux sociaux leur objectif principal pour décrocher le jackpot en amour. Elles sont toujours stressées quand la connexion déconne et ne peuvent se passer de leurs téléphones.
C’est le cas de Naomie, âgée de 25 ans qui a quitté le toit familiale de Kinsoudi pour vivre en indépendante au plateau des 15 ans où elle loue un studio moderne à 50000 frs. Grâce à sa beauté et photos qu’elle poste souvent sur son profil Facebook que des hommes du monde entier tentent leur chance.
De tous es dragueurs universels 8 d’origine du Congo Brazzaville dont 1 de Kinshasa sont devenus des titulaires de Naomie. Elle avoue avoir déjà passé des bons moments physiquement avec 4 d’entre eux.
Le premier à voir physiquement est le Kinois qui a atterri d’abord à Brazzaville avant de rejoindre Kinshasa en provenance de la France. C’est dans son studio que les deux amoureux ont passé quelques jours à l’arrivée comme au départ de l’homme au Congo. Très amoureux et tendre, le Kinois a ramené un ordinateur portable, un Samsung dernier modèle et d’autres cadeaux à Naomie qui en a fait son titulaire principale. «Mon Kinois a pésa a tala té ! » confie la fille.
Le deuxième homme a profité de Naomie est un vieux Congolais vivant en Allemagne avec lequel elle a passé un séjour de rêve, visitant la partie nord du pays. A son retour, le vieux Congolais lui a laissé la somme de 500 euros.
Le troisième est un autre Congolais de Pointe-Noire vivant en France qui l’a fait venir sur les terres des Vili. Les deux ont passé une semaine ensemble avant que Naomie revienne sur Brazzaville le sac plein des cadeaux.
C’est à Dakar au Sénégal que Naomie a voyagé pour faire la rencontre de son quatrième gars Facebook. Pendant deux semaines, le couple a profité des merveilles du pays de la Téranga. Naomie est rentrée avec une grossesse qu’elle a évacué pour éviter de compromettre son avenir amoureux. Elle attend pour Juin le cinquième de ses gars vivant en France et originaire du Congo aussi.
A l’instar de Naomie, plusieurs filles au Congo mènent cette vie de facilité qui leur procure de l’argent, mais leur expose aussi à certains pervers qui exigent d’elles des images et vidéos intimes et toutes sortes de pratiques sexuelles.
« Tous nos gars d’Europe se plaignent de leurs femmes devenues insupportables et impolies et nous essayons de les apporter de la douceur qu’ils n’obtiennent pas dans leurs foyers pour les mariés. » reconnaît Naomie qui est consciente des risques de ce poker menteur.
Avec son salaire fixe de 500000 frs, elle affirme avoir déjà acheté une parcelle à Pointe-Noire en dehors de s’occuper de ses parents. Avec cet argent, elle peut désormais mener une vie décente loin de la folie selon son témoignage. « J’évite d’être surprise par l’argent e je me contrôle, car cette vie n’est pas éternelle, un jour je dois arrêter avec »
Une jambe amputée a été découverte dans un bac à ordure de la société Averda à Moungali dans le quatrième arrondissement de Brazzaville.
La jambe amputée a été transportée à la morgue municipale de Brazzaville. Une enquêté a été ouverte.
Reste à ce que les fins limiers de la police judiciaire congolaise fassent preuve d’ingéniosité pour retrouver l’auteur, ou les auteurs de ce forfait.
On rappelle qu’en novembre dernier, le corps d’une jeune fille dont l’âge varierait entre 18 et 22 ans a été découvert dans une décharge à ordures du groupe Averda à Mpila, dans la capitale congolaise Brazzaville.
Le corps d’une jeune fille partielle dévêtue, visiblement débarquée d’une benne à ordures, gisait sur le tas d’immondices.
Selon les travailleurs d’Averda, tout porte à croire que cet assassinat se serait déroulé au centre-ville de Brazzaville, car le véhicule ayant déchargé les ordures contenant le cadavre y avait effectué sa tournée de ramassage.
Nous vous annonçons le décès du sapeur « Mavoula » né Descard Missamou. Cette figure de la sape très connue à Moungali nous a quittés.
Il avait même été immortalisé par Papa Wemba dans « Maître d’école ».
Les Correcteurs de la Moda Sapertique de Moukondo compatissent avec sa famille biologique ainsi que la grande famille de la sape de Moungali.
Certains l’appelaient le conseiller vestimentaire: Grand Mav. D’autres se souviennent de lui de bons moments passés ensemble au collège Nganga Édouard à Bacongo.
La veillée mortuaire se tient dans la rue Djoué à Moungali 5ème rue, après le rond-point Moungali, en allant vers la commune de Moungali.
La manifestation appelée par une vingtaine de personnes membres de la plate-forme dirigée par Claudine Munari ce lundi 27 novembre au rond-point Moungali, dans le 4e arrondissement de Brazzaville, a été étouffée dans l’œuf par les forces de maintien d’ordre.
Un dispositif de sécurité a été déployé dans le carré du rond-point Moungali. Les forces de l’ordre n’ont toléré aucune mobilisation tout autour.
L’opposition protestait pour demander, entre autres, la libération d’André Okombi Salissa, Jean Marie Michel Mokoko, Paulin Makaya, le paiement des pensions des retraités congolais et le retour de la paix dans le département du Pool (sud).
Du côté du Ministère congolais de l’Intérieur, l’on estime qu’il n’était pas informé officiellement de cette manifestation sur la place publique.
Malgré l’engouement des organisateurs de la manifestation, de leurs militants et sympathisants, elle n’a pas pu se tenir.
Charles Zacharie BOWAO empêché d’arriver sur le lieu
« J’ai été escorté et bloqué par 4 véhicules RAV4 m’empêchant d’accéder au lieu de la manifestation, selon Charles Zacharie Bowao.
Après, nous sommes maintenant réfugiés chez Mme Munari et avions diffusé un communiqué.
Ne nous laissons plus faire!…
La mobilisation continue ! »
« Dans le cadre des festivités de la fête de la République, la fédération de l’opposition frocad-idc-j3m a organisé ce jour 27/11/2017 au rond point de Moungali. Cette manifestation Pacifique a été sauvagement réprimée par la police politique de Sassou Nguesso. Des dizaines de jeunes sont arrêtés. Les leaders de l’opposition se sont repliés au domicile de Madame Munari Claudine. Assiégé, les éléments de la police se sont introduits, saccageant au passage les véhicules et autres matériels au domicile de Madame Munari. La situation a été très tendue au vu de la brutalité et la violence des éléments qui assiégeaient le domicile. »
Avec les Echos du Congobrazzaville par Stany Franck