Posts Tagged ‘Naissance’

France: Les mères sont plus âgées au moment de la naissance

octobre 6, 2022

Selon une enquête publiée ce jeudi, deux tendances s’accentuent : les mères sont de plus en plus âgées et plus souvent en surpoids au moment de la naissance.

Les meres sont de moins en moins jeunes (illustration).
Les mères sont de moins en moins jeunes (illustration).© Johan BEN AZZOUZ / MAXPPP / PHOTOPQR/VOIX DU NORD/MAXPPP

Les mères sont toujours plus âgées et plus souvent en surpoids au moment de la naissance, deux tendances préoccupantes qui se confirment au fil des années, alors que 16 % d’entre elles présentent des signes de dépression post-partum, selon une enquête publiée jeudi. Selon l’enquête nationale périnatale 2021, coordonnée par l’Inserm et Santé publique France, le report des naissances à des âges maternels plus élevés – observé depuis plusieurs décennies – se poursuit. En effet, la part des femmes âgées de 35-39 ans à l’accouchement et celle de 40 ans et plus sont en augmentation depuis 2016 (19,1 % en 2021 versus 17,2 % en 2016 et 5,4 % en 2021 versus 3,9 %, respectivement).

Cette tendance inquiète, car on sait que les risques pour la mère et l’enfant augmentent de manière sensible avec l’âge des femmes. Selon cette enquête, réalisée tous les cinq ans depuis 1995, l’augmentation du surpoids et de l’obésité des futures mères est également « préoccupante » : en 2021, 23 % des femmes étaient en surpoids contre 19,9 % en 2016, et plus de 14 % étaient obèses en 2021 contre 11,8 % en 2016. Parmi les autres observations de l’enquête, le niveau d’études continue d’augmenter : la part des femmes enceintes ayant suivi des études au-delà du baccalauréat est passée de 42,8 % en 2003 à 52,1 % en 2010, puis 55,4 % en 2016 et 59,4 % en 2021.

16,7 % des mères présentent des symptômes dépressifs majeurs deux mois après l’accouchement

Concernant les addictions, la situation s’améliore. La proportion de femmes déclarant une consommation de tabac au 3e trimestre de grossesse diminue (12,2 % en 2021, contre 16,3 % en 2016), de même que celle des femmes déclarant consommer du cannabis durant la grossesse (1,1 % versus 2,1 %).

Le taux de césarienne est stable : 21,4 % en 2021 contre 20,3 % en 2016. Le taux d’épisiotomie, déjà en phase décroissante depuis plusieurs décennies, a fortement diminué, passant de 20,1 % en 2016 à 8,3 % en 2021, en accord avec les recommandations nationales. Pour la première fois depuis le début de cette enquête quinquennale, un suivi à deux mois a aussi permis d’évaluer la santé mentale des femmes. Or, elles sont 16,7 % à présenter des symptômes dépressifs majeurs deux mois après l’accouchement. Par ailleurs, 15,5 % des femmes ont vécu difficilement ou très difficilement leur grossesse et 11,7 % ont un mauvais voire très mauvais vécu de leur accouchement. Les résultats de cette nouvelle édition sont issus d’une enquête de terrain réalisée en mars 2021, durant la 3e vague de Covid-19, ayant permis un recueil sur 13 631 naissances auprès de 13 404 femmes.

Par Le Point avec AFP

Canada-Québec: Le long combat d’une jeune femme de la Mauricie dont l’enfant est né d’un viol

août 23, 2022

Les avocats et la tante de la jeune mère ont accepté de s’entretenir avec Radio-Canada.

Une personne vêtu d'un kangouru tourne le dos à la caméra.

L’agresseur réclame la paternité de l’enfant. (Archives) Photo : Radio-Canada

L’histoire de celle qu’on nomme Océane, pour protéger son identité, continue de faire réagir. La jeune femme de la Mauricie poursuit son combat pour protéger son garçon quant à la volonté de son agresseur d’obtenir certains droits sur l’enfant.

Les événements se sont rendu jusqu’aux oreilles de l’avocat Jean-Maxime Lebrun, du cabinet Dunton Rainville.

Me Lebrun a été profondément touché par ce qu’a vécu Océane. C’est pour cette raison qu’il a décidé d’offrir ses services de manière pro bono à la jeune femme.

L’homme est conscient que la bataille d’Océane s’annonce longue, mais a quand même souhaité offrir son aide gratuitement. Il y a de quoi à vous glacer le sang […]. Ça a une tout autre résonance quand on est nous-mêmes parent, a confié l’avocat en entrevue à l’émission En direct.

Sa collègue, l’avocate Marie-Annik Walsh, l’accompagne dans le processus. Les circonstances particulières de ce dossier-là et de ce que Océane a vécu, non, on ne voit pas ça souvent, a-t-elle mentionné au micro de Julie Grenon.

Les avocats n’ont pas dévoilé les stratégies qu’ils utiliseront pour obtenir gain de cause. Me Walsh a toutefois expliqué que des recours existent en ce qui concerne notamment l’autorité parentale et le droit d’accès.

Il y a quand même certains recours dont Océane dispose qui pourrait […] arrêter […] les démarches de monsieur.

Sa tante se confie

La dernière semaine a été difficile pour Océane et ses proches. Ç’a été une semaine lourde en émotions pour la famille également, a déclaré sa tante en entrevue à l’émission En direct.

Celle qui souhaite conserver l’anonymat souhaite toujours que la prise de parole de sa nièce mène à des changements à la loi sur le droit de la famille. J’espérais que ça fasse brasser les choses.

Le tourbillon médiatique concernant la situation d’Océane a été éprouvant. Elle reste forte, comme elle l’a toujours été.

De son côté, l’aide inattendu du cabinet d’avocats Dunton 

Avec Radio-Canada par Charles-Antoine Boulanger

Afghanistan : quelle nationalité pour les bébés nés en vol ?

août 29, 2021

Plusieurs Afghanes enceintes, tentant de fuir leur pays, ont donné naissance à leur bébé dans un avion les transportant en Europe ou aux États-Unis.

Le point aerien entre Kaboul et Paris a permis d'evacuer pres de 3 000 personnes entre l'Afghanistan et la France.
Le point aérien entre Kaboul et Paris a permis d’évacuer près de 3 000 personnes entre l’Afghanistan et la France.© HANDOUT / Etat Major des Armées / AFP

Depuis la prise de pouvoir des talibans à Kaboul, de nombreux Afghans tentent à tout prix de fuir leur pays. L’armée française a mis en place un pont aérien, suspendu ce dimanche 29 août, pour exfiltrer les ressortissants depuis l’aéroport de la capitale. En tout, près de 3 000 personnes ont été évacuées par l’armée française. Durant ces opérations d’évacuation, menées par une cinquantaine de pays en tout, des Afghanes ont mis au monde des bébés, au sein même de l’avion. La question se pose de la nationalité de ces enfants nés dans des circonstances extraordinaires.

Les naissances dans les avions restent un événement très rare. En effet, prendre l’avion au-delà d’un certain stade de grossesse n’est pas conseillé, voire interdit par certaines compagnies aériennes. Cela dit, en cas d’accouchement en vol, la loi de l’État en question prévaut. En France, la nationalité du nouveau-né dépendra de celle de ses parents. Il ne suffit pas d’être né dans un avion français pour obtenir la nationalité française, un des deux parents doit également être Français. Aux États-Unis, le droit du sol prévaut mais la législation prévoit que le bébé ne devient Américain que si l’appareil volait au-dessus du territoire national. Si l’accouchement a eu lieu au-dessus de l’océan, le bébé aura donc la nationalité de ses parents.

La légende des billets gratuits

D’après l’article 3 de la Convention sur la réduction des cas d’apatridie, la nationalité de l’enfant dépend du pays dans lequel l’avion (ou du navire le cas échéant) est enregistré. Comme le rappelle Slate, la France a signé ce texte sans le ratifier. Ces dernières semaines, plusieurs histoires d’accouchement dans les airs ont été rapportés dans la presse. Une petite fille Afghane, née dans un avion en direction de l’Allemagne, a d’ailleurs reçu un prénom bien particulier. Ses parents l’ont prénommée « Reach », du nom de l’avion de l’armée américaine qui les a transportés depuis Kaboul.

Une légende urbaine prétend que les bébés nés dans un avion auront droit à des billets gratuits. En réalité, les compagnies aériennes fonctionnent au cas par cas. Il reste très rare d’obtenir un tel cadeau de naissance ! En 2015, Air France a offert à un bébé né entre Dakar et Paris… une peluche. Deux ans plus tard, un bébé né entre l’Arabie Saoudite et l’Inde a eu plus de chance : Jet Airways lui a offert des voyages illimités et infinis. Malheureusement, la compagnie aérienne a fermé deux ans plus tard. Autre légende urbaine : les commandants de bord ne deviennent pas automatiquement parent d’un bébé né dans leur appareil.

Par Le Point avec AFP

France: Carnet rose chez les aigles royaux dans le Jura

juin 30, 2021

Un aiglon est né en Bourgogne-Franche-Comté début mai, rapporte France 3. La dernière nichée de cette espèce menacée remontait aux années 1850.

Les naissances d'aigles royaux, espece menacee par l'homme, sont de plus en plus rares. (Photo d'illustration)
Les naissances d’aigles royaux, espèce menacée par l’homme, sont de plus en plus rares. (Photo d’illustration)© Guillaume Bonnefont / MAXPPP / IP3 PRESS

Une naissance inespérée. Un aiglon est né aux alentours du 8 mai 2021, dans le secteur de Saint-Claude, en Bourgogne-Franche-Comté. Interrogé par France 3, Pierre Durlet, chargé de la biodiversité au Parc naturel régional du Haut-Jura, s’émerveille de cette découverte. « Il est encore couvert de duvet, tout blanc », raconte-t-il, avant de poursuivre : « Les plumes commencent à pousser : des plumes très noires. » D’après lui, l’aiglon ne quittera pas son nid avant la fin du mois de juillet.

« Il y a très rarement plus de deux éclosions, et souvent un seul oisillon qui arrivera jusqu’à l’envol, du fait des difficultés à nourrir les poussins », se réjouit Pierre Durlet. Les naissances d’aigles royaux, espèce menacée par l’homme, se font de plus en plus rares. « Cette naissance est exceptionnelle pour nous humains. L’aigle royal avait disparu du massif du Jura suite aux persécutions subies pendant le XXe siècle, jusqu’à sa protection dans les années 70. Il avait été éradiqué par l’homme », ajoute le spécialiste. À cette époque-là, les êtres humains s’inquiétaient pour leurs animaux. Aussi, une légende disait que l’aigle royal enlevait les enfants dans leur couffin.

Sept couples d’aigles dans le Jura

Les derniers textes sur les naissances d’aigles royaux dans le Jura datent de 1867, précisent nos confrères. D’après un ouvrage du naturaliste frère Ogérien, ces oiseaux se reproduisaient encore dans les années 1850. Menacés par l’homme, ces rapaces ont finalement fait leur retour dans le pourtour des Alpes. « En 1994, un couple est revenu dans le massif jurassien, il nichait dans la haute chaîne dans le secteur de Bellegarde dans l’Ain. En 2004, un second couple se reproduit toujours dans l’Ain », relate Pierre Durlet, qui décrit une « reconquête des territoires » particulièrement « lente ». En effet, un couple met une dizaine d’années à s’installer, et « ne peut se reproduire qu’à partir de l’âge de cinq ans ». Dans le massif du Jura, seulement sept couples d’aigles royaux sont répertoriés. En France, il y en avait entre 450 et 500 de 2009 à 2012, contre 274-285 entre 1985 et 1989. Dans le Haut-Jura, les habitants sont priés de laisser le petit nouveau tranquille.

Par Le Point avec AFP

Canada-Québec: Une femme accouche dans le stationnement d’un poste de police à Trois-Rivières

mai 21, 2021

«Je ne m’attendais pas à ce que ce soit aussi vite!», s’est exclamée la jeune maman Audrey Matte, qui a donné naissance à son deuxième enfant, un garçon du nom de Malyk, dans sa voiture, directement dans le stationnement de la Sûreté du Québec de Cap-de-la-Madeleine à Trois-Rivières, dans la nuit de mercredi à jeudi.

Audrey Matte a donné naissance au petit Malyk dans sa voiture. Un accouchement dont elle va se souvenir longtemps!

© Courtoisie Audrey Matte a donné naissance au petit Malyk dans sa voiture. Un accouchement dont elle va se souvenir longtemps!

C’est à minuit et quart qu’elle a perdu ses eaux à son domicile. «Je suis allée réveiller mon conjoint, on a appelé les grands-parents pour leur dire qu’on allait leur reconduire notre fille de trois ans. Ils n’habitent vraiment pas loin de chez nous», a raconté la mère.

Malgré la courte distance, ce n’était pas assez rapide pour le bébé qui semblait plus que prêt à sortir de son nid des neuf derniers mois. Quand ils ont quitté le domicile des grands-parents, c’était maintenant ou jamais. «J’avais déjà des super grosses contractions. Je mettais ma main et je sentais déjà sa tête qui sortait et qui rentrait, a-t-elle expliqué. J’ai dit à mon conjoint: ‘‘On ne se rendra jamais à l’hôpital. Arrête, appelle l’ambulance’’.»

C’est à ce moment que le couple s’est stationné à l’endroit le plus près, soit le poste de la Sûreté du Québec. L’adrénaline a alors pris place chez les deux parents, le conjoint a appelé l’ambulance et s’est assuré que la femme se portait bien.

«Il était au téléphone avec la répartitrice qui lui posait des questions pour faire un suivi pendant que les ambulanciers étaient en route. On était sur l’adrénaline vraiment beaucoup, donc par moments, il déposait son téléphone sur le top de l’auto et il s’occupait de moi au lieu de répondre à la personne», a soutenu la jeune mère, le sourire dans la voix.

Un bébé pressé

Dans les neuf minutes qu’a duré l’appel, le nouveau-né a décidé que c’était son moment de gloire. Pas question d’attendre l’ambulance. «Je lui ai dit [au conjoint] que la tête était sortie, il a regardé, et tout de suite, le reste a suivi. Il a attrapé le petit, il me l’a mis dessus. […] Le bébé pleurait déjà, il avait les yeux ouverts, il respirait, tout avait l’air normal de notre côté», a rapporté Audrey Matte, qui se disait rassurée que tout se soit bien déroulé.

La date prévue de l’accouchement était le 19 mai. La maman avait donc eu un suivi le mercredi matin à la clinique de périnatalité, mais sans signe que le bébé allait naître dans les prochaines 24 heures. «On m’a dit que je n’étais pas beaucoup ouverte et que le bébé était encore très haut, donc je ne m’attendais pas à ce que ça arrive à ce moment. On avait prévu un rendez-vous pour me déclencher la semaine d’après.»

Toutefois, sa marche d’après-midi en forêt la même journée pourrait avoir eu une incidence sur le moment de l’accouchement. «J’ai vraiment marché beaucoup, donc j’imagine que ça a aidé à descendre un petit peu et que ça arrive de cette manière», a-t-elle dit avec un brin de rire.

Tout est bien qui finit bien

Le fait que tout le monde se porte bien en conclusion de cet évènement permet aux parents de se dire que c’est une belle histoire à raconter. «Il n’y a pas eu de complications, autant le bébé que moi, ça va bien, et mon chum s’est remis de ses émotions aussi. On a juste hâte d’être tranquille en famille à la maison et de reprendre notre petite routine», a confié la jeune mère.

D’ailleurs, leur jeune fille âgée de trois ans, Olivia, a bien hâte de rencontrer son petit frère. «On l’a appelée en vidéo pour qu’elle puisse le voir et me voir aussi. Elle est bien excitée, ça fait longtemps qu’elle demande quand on va avoir son petit frère et elle a hâte qu’on le ramène à la maison», a conclu Audrey Matte à quelques heures de retourner chez elle avec le nouveau membre de la famille.

Avec Rosie St-André – Le Nouvelliste 

Chine : une femme de 62 ans donne naissance à un garçon

décembre 26, 2019

Une femme de 62 ans a accouché d’un garçon à Xiangtan dans la province du Hunan, en Chine centrale la semaine dernière, selon le China Daily. L’opération par césarienne a duré 40 minutes et un bébé de 2,95 kg est né.

La mère de l’enfant s’était promis d’avoir un autre enfant après la mort de son enfant unique il y a six ans. Avec son mari, elle a eu recours à une fécondation in Vitro.

La mère a été admise à l’hôpital en octobre à Xiangtan. Les médecin lui ont ensuite diagnostiqué un problème cardiaque et un diabète gestationnel. Selon l’anesthésiste, la mère risquait de faire une crise cardiaque pendant la césarienne, mais aujourd’hui, la mère et l’enfant se portent bien.

La naissance d’un bébé sans visage bouleverse le Portugal

octobre 23, 2019

 

Sous pression de l’opinion publique, l’Ordre des médecins du Portugal a suspendu un obstétricien soupçonné de négligence pour n’avoir pas détecté les malformations d’un bébé dont la naissance sans visage bouleverse le Portugal.

Le médecin, suspendu pour six mois mardi soir à l’unanimité par le conseil de discipline de l’Ordre des médecins, était déjà visé par six autres plaintes dont la plus ancienne remonte à 2013. Le conseil de discipline a décidé d’ouvrir une enquête après que cette naissance a fait la une des journaux. La justice enquête également sur cette affaire suite à une plainte déposée par les parents contre le médecin. «Il y a de forts indices» de négligence de la part du docteur Artur Carvalho, qui «pourront conduire à une sanction disciplinaire», a déclaré mercredi Alexandre Valentim Lourenço, président du conseil de l’Ordre des médecins pour la région Sud.

Face à l’impact de cette affaire qui «a des répercussions sur la réputation des médecins» et «pour rassurer les femmes enceintes» cette suspension était nécessaire pour évaluer les plaintes dont certaines «sont longues car très complexes», a-t-il expliqué à la télévision publique RTP. Le 7 octobre dernier, les parents de Rodrigo, un bébé né sans nez, sans yeux et à qui il manque une partie du crâne, découvrent les malformations de leur enfant lors de l’accouchement à l’hôpital Sao Bernardo à Setubal, à une quarantaine de kilomètres au sud de Lisbonne.

Le docteur Artur Caravalho avait suivi la grossesse de la maman du petit Rodrigo dans une clinique privée à Setubal où il a réalisé les trois échographies obligatoires sans déceler le moindre problème. Alerté une première fois sur une possible anomalie du fœtus au sixième mois de la grossesse lors d’une échographie plus poussée, réalisée à l’initiative des parents, l’obstétricien les rassure.

«Il a expliqué que parfois certaines parties du visage ne sont pas visibles» lors des échographies «lorsque le bébé a le visage collé contre le ventre de la mère», a raconté Joana Simao, soeur de la mère, à la chaîne de télévision TVI 24. Le petit Rodrigo est toujours hospitalisé à Setubal dans le service de pédiatrie de l’hôpital où il est né.

Par Le Figaro.fr avec AFP

Mayotte: naissance d’un volcan sous-marin, à l’origine des séismes

mai 16, 2019

 

Une mission scientifique a mis en évidence la naissance d’un nouveau volcan sous-marin, à 50 km à l’est de Mayotte et à 3.500 m de profondeur, ce qui permet d’expliquer les séismes constatés sur l’île depuis un an, ont annoncé ce jeudi dans un communiqué conjoint plusieurs ministères.

Depuis le 10 mai 2018, Mayotte connaît un phénomène de séismes «en essaim», subissant plus de 1.800 secousses de magnitude supérieure ou égale à 3,5, selon le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM). La plus forte jamais recensée dans l’île a été enregistrée à 5,8.

La taille du nouveau volcan «est évaluée à 800 m de hauteur avec une base de 4 à 5 km de diamètre. Le panache de fluides volcaniques de 2 km de hauteur n’atteint pas la surface de l’eau», précise le communiqué des ministères des Outre-mer, de la Transition écologique, de l’Intérieur et de la Recherche, qui évoque un «phénomène géologique exceptionnel».

L’annonce intervient après une mission scientifique menée par le Comité national de la recherche scientifique (CNRS), avec notamment le BRGM, et une campagne océanographique réalisée par le navire Marion Dufresne, rentré à quai à Mayotte mercredi.

Par Le Figaro.fr avec AFP

Adriana Karembeu a accouché d’une petite fille: découvrez le prénom

août 22, 2018

« Pur bonheur »

Adriana Karembeu a accouché d'une petite fille : découvrez son prénom

Après un difficile combat et neuf mois d’une longue attente, Adriana Karembeu est enfin maman. La mannequin dévoile le prénom de sa fille ainsi que son poids.

Adriana Karembeu l’attendait avec impatience. Depuis ce vendredi 17 août, elle est l’heureuse maman d’une petite fille, qui répond au doux prénom de Nina. C’est la principale intéressée qui l’a annoncé à nos confrères de Paris Match. « Notre petite princesse Nina est née le 17 août à 15h19 », annonce-t-elle fièrement, avant de dévoiler qu’elle faisait 3,285 kg à la naissance pour 54 cm. Aux anges, elle confie : « Je ne savais pas qu’on peut aimer autant. Pur bonheur !« .  »On t’attend », lui lançait encore il y a quelques jours celle qui rayonnait de bonheur depuis l’annonce de sa grossesse. Et pour cause, cet enfant était extrêmement désiré. A 46 ans, il s’agit du premier bébé de la sublime mannequin. En revanche, son mari Aram Ohanian a déjà goûté aux joies des couches, biberons et nuits courtes, puisqu’il est déjà le père d’un grand garçon de 29 ans.

Cette grossesse n’a pas été une pure partie de plaisir pour Adriana Karembeu. Tomber enceinte a été un véritable parcours du combattant. Entre des fausses-couches, deux FIV infructueuses et ses doutes quant à son âge, Adriana Karembeu a longtemps cru qu’elle ne pourrait jamais devenir mère. Si bien que le couple a pensé à adopter. Finalement, au bout de la troisième FIV, Adriana Karembeu est tombée enceinte. Mais là encore, elle a eu quelques déconvenues, puisqu’elle a cru perdre son bébé.

Tout est bien qui finit bien pour Adriana Karembeu. L’ex-femme de Christian Karembeu va désormais pouvoir être aux petits soins pour sa jolie petite fille. D’autant qu’elle a pu s’entrainer juste avant d’accoucher. Puisque sa sœur a également donné naissance à son premier bambin quelques semaines avant Adriana Karembeu.

Gala.fr par Elsa Minot | mercredi 22 août 2018 à 17:01

Le Prince Charles « ravi » de la naissance de son troisième petit-enfant

avril 24, 2018

Tirs de coups de canon en l’honneur du nouveau fils du Prince William et de son épouse Kate. Le 24 avril 2018 / © AFP / Adrian DENNIS

Le prince Charles s’est dit mardi « ravi » de la naissance la veille de son troisième petit-enfant, le deuxième fils du Prince William et de son épouse Kate, dont le prénom n’est toujours pas connu.

Le prince Charles, 69 ans, a exprimé sa « grande joie d’avoir un nouveau petit-enfant ». « Nous sommes ravis de la nouvelle », a-t-il dit, associant à ses propos son épouse Camilla.

Des coups de canon ont été tirés mardi en début d’après-midi à Londres pour saluer la naissance du petit prince, cinquième dans l’ordre de succession au trône, et les cloches de Westminster ont sonné en son honneur.

Kate, 36 ans, a accouché lundi à 11H01 heure locale d’un garçon qu’elle a présenté aux admirateurs de la famille royale en sortant de l’hôpital, avant de regagner en fin d’après-midi, avec le prince William, leur résidence du palais de Kensington.

Le duc de Cambridge s’est dit « très heureux » d’avoir un troisième enfant, plaisantant devant les journalistes: « trois fois plus de soucis maintenant ».

Une gamme de vaisselle en porcelaine décorée d’un bébé lion couronne sur la tête, d’une licorne et de rubans d’or, a déjà été lancée, bien que le nom du petit frère du prince George et de la Princesse Charlotte ne soit pas encore connu. « Bienvenue à notre nouveau bébé royal », peut-on lire sur l’assiette en porcelaine vendue 49 livres (56 euros).

Les spéculations vont bon train sur le prénom choisi par le prince William et Kate. En attendant qu’il soit révélé, la préférence des parieurs va à Arthur.

« Arthur est le grand favori du moment », a déclaré Harry Aitkenhead, porte-parole du groupe de paris Coral. « James, Albert et Philip (le prénom du grand-père de l’enfant, ndlr) sont aussi en lice et tout autre prénom serait un choc majeur », selon lui.

Romandie.com avec (©AFP / 24 avril 2018 16h33)