Posts Tagged ‘Palais présidentiel’

Côte d’Ivoire: Les propos de Laurent Gbagbo lors de son entretien avec Alassane Ouatarra au palais présidentiel

juillet 27, 2021

Avec Ivoir Net TV

Liberia: George Weah et le manoir hanté

février 2, 2018

 

George Weah ©

Le nouveau président du Liberia a décidé de ne pas s’installer dans le palais présidentiel. Il faut dire qu’une superstition veut que le lieu soit hanté…

Investi à la tête du Liberia le 22 janvier, George Weah ne s’est pas installé au palais présidentiel. Il partagera son temps entre sa résidence privée de Rehab Junction, où il a fait construire une annexe, et le ministère des Affaires étrangères, où Ellen Johnson-Sirleaf, son prédécesseur, avait déjà installé son bureau. Il a d’ailleurs engagé plusieurs milliers de dollars de frais de rénovation.

Le nouveau chef de l’État n’est pas insensible à la superstition qui veut qu’Executive Mansion soit hanté. Tous les présidents y ayant élu domicile ont connu une fin tragique. William Tubman y a succombé à une maladie (attribuée à une prophétie macabre). L’idée de malédiction s’est enracinée avec l’assassinat de William Tolbert, éventré par les soldats de Samuel Doe. Ce dernier y est mort en 1990, torturé par Prince Johnson. Et si Charles Taylor est toujours en vie, il a été condamné à cinquante ans de prison.

À son arrivée au pouvoir, en 2006, Ellen Johnson-Sirleaf a travaillé quelques mois à Mansion avant de profiter d’un incendie pour fuir les lieux. Depuis, une rénovation est en cours. Elle a été retirée au chinois CNQC en 2014 après que 10,5 millions de dollars se sont évaporés. L’italien Cesaf a pris le relais.

Jeuneafrique.com

Somalie: un mort après des tirs de mortier sur le palais présidentiel

février 26, 2015

Somalie: un mort après des tirs de mortier sur le palais présidentiel
Somalie: un mort après des tirs de mortier sur le palais présidentiel © AFP

Un garde a été tué jeudi par des tirs d’obus de mortier dans l’enceinte ultra-sécurisée du palais présidentiel somalien de Mogadiscio, ont annoncé des responsables de la sécurité.

« Au moins quatre obus de mortier ont frappé la zone du parking et un garde a été tué dans l’attaque », a déclaré un de ces responsables, Abdirahman Mohamed, à l’AFP.

Selon un témoin, Mohamud Hassan, plusieurs véhicules garés là ont été endommagés. « Des éclats ont détruit les vitres de plusieurs voitures dans le parking, et j’ai vu une personne qui a été légèrement blessée », a-t-il dit.

L’attaque n’a pas été revendiquée pour le moment. Par le passé et récemment encore, les insurgés islamistes shebab somaliens, liés à Al-Qaïda, ont mené une série d’attaques contre des bâtiments officiels, dont le palais présidentiel, pour tenter de renverser le faible gouvernement central, tenu à bout de bras par la communauté internationale (UE et Etats-Unis essentiellement) qui le soutient à coup de milliards de dollars.

D’autres groupes armés sévissent également à Mogadiscio et dans le reste de ce pays d’Afrique de l’Est, privé de réelle autorité centrale depuis la chute du régime autoritaire du président Siad Barre en 1991. Il est depuis en état permanent de guerre civile, livré aux milices de chefs de guerre, aux gangs criminels et aux groupes islamistes.

La semaine dernière, deux kamikazes shebab avaient tué au moins 25 personnes en se faisant détonner dans un hôtel luxueux de la capitale, tout près du palais présidentiel, où se trouvaient réunis des responsables politiques somaliens. Deux parlementaires, le maire adjoint de Mogadiscio, le secrétaire privé du Premier ministre et le chef de cabinet du vice-Premier ministre y avaient péri. Cet attentat, rapidement revendiqué par les islamistes, était le plus meurtrier en Somalie depuis près de deux ans.

Les islamistes shebab ont essuyé depuis août 2011 une série ininterrompue de revers militaires. Délaissant les opérations militaires dans lesquelles ils sont largement surpassés par une force militaire de l’Union Africaine (22. 000 hommes, soutenus par une aviation), ils multiplient aujourd’hui les actions de guérilla et les attentats, notamment à Mogadiscio.

Jeuneafrique.com avec AFP

Yémen: Le palais présidentiel tombe, un coup d’Etat se profile

janvier 20, 2015

Miliciens chiites à Sanaa le 20 janvier 2015. - Hani Mohammed/AP/SIPA

Miliciens chiites à Sanaa le 20 janvier 2015. – Hani Mohammed/AP/SIPA

Comme une ambiance de coup d’Etat. La puissante milice chiite au Yémen s’est emparée mardi du palais présidentiel à Sanaa et encerclait la résidence du chef de l’Etat, un ministre l’accusant de tentative de coup d’Etat dans ce pays au bord du chaos.

Les combats entre miliciens et soldats se poursuivaient à Sanaa, ont indiqué des témoins alors qu’il n’était pas possible dans l’immédiat de connaître le sort du chef de l’Etat Abd Rabbo Mansour Hadi. Le patron de l’ONU Ban Ki-moon a appelé à un arrêt immédiat des combats, tandis que le Conseil de sécurité était réuni à huis clos pour évoquer l’interminable crise dans ce pays meurtri par de multiples conflits et où est basée l’une des branches les plus dangereuses du réseau Al-Qaïda.

Appelés houthis, les combattants de la milice Ansaruallah, qui contrôlent depuis septembre une grande partie de la capitale, se sont emparés du palais présidentiel dans le sud de Sanaa, a annoncé un responsable militaire.

«Les houthis sont entrés dans le complexe et pillent des armes dans les dépôts», a-t-il dit à l’AFP. Un cadre houthi, Ali Al-Bukhaiti, a confirmé sur son compte Facebook «la prise du complexe présidentiel». Parallèlement, de violents affrontements avaient lieu près de la résidence d’Abd Rabbo Mansour Hadi (ouest), entre soldats et combattants d’Ansaruallah. Au moins deux soldats ont été tués, selon des sources médicales.

Objectif: «Renverser le régime»

Les miliciens chiites d’Ansaruallah «veulent renverser le régime», a affirmé la ministre de l’Information Nadia Sakkaf sur son compte Twitter. «Le président du Yémen est la cible d’une attaque de miliciens armés», a-t-elle ajouté. Les combats qui ont poussé plusieurs ambassades occidentales dont celle de France à fermer leurs portes, avaient repris après une brève trêve lundi, journée durant laquelle neuf personnes ont été tuées et 67 blessées.

Cette dernière bataille, la plus dangereuse depuis le début du conflit avec les houthis, a été provoquée par le refus des miliciens chiites d’entériner un projet de Constitution sur une structure fédérale qui les priverait notamment d’un accès à la mer.

Ces miliciens, qui n’ont cessé de monter en puissance depuis leur entrée à Sanaa le 21 septembre, semblent bénéficier du soutien de l’ex-président Ali Abdallah Saleh qui garde une forte influence et des réseaux qu’il a soigneusement tissés dans l’armée et parmi des tribus durant ses 33 ans de présidence.

20minutes.fr

Gambie: le palais présidentiel attaqué en l’absence du chef de l’Etat Jammeh

décembre 30, 2014

Banjul (Gambie) – Des soldats gambiens ont attaqué tôt mardi matin le palais présidentiel à Banjul et ont été repoussés, en l’absence du président Yahya Jammeh, en visite à l’étranger, a appris l’AFP de sources diplomatique, militaire et auprès d’habitants.

A Banjul, des militaires et des policiers ont été déployés dans les rues, vidées des habitants. Des patrouilles militaires invitaient les populations au calme et à rester chez elles, a constaté le correspondant de l’AFP.

La radio nationale a été coupée pendant quelques heures mais émettait de nouveau mardi peu avant 11H00 locales (et GMT), diffusant ses programmes habituels.

La police et l’armée contrôlent (actuellement) entièrement la situation, a assuré à l’AFP un officier de l’armée, sans plus de détails.

Le bilan de ces violences reste pour le moment inconnu, mais des membres au sein de la diaspora gambienne dans la région faisaient état de morts et blessés.

Des membres des forces armées gambiennes ont été impliqués dans d’importants échanges de tirs aux alentours de 03H00, a indiqué à l’AFP une source militaire, sans préciser leur nombre ou les unités concernées.

Selon cette source, les assaillants voulaient renverser le régime de Yahya Jammeh, lui-même arrivé au pouvoir par un coup d’Etat en 1994 puis réélu plusieurs fois et qui, depuis, dirige le pays d’une main de fer.

Un diplomate gambien habituellement en poste dans un pays africain et qui était mardi à Banjul, a confirmé l’attaque.

Le palais présidentiel a été attaqué très tôt ce matin, aux environs de 3H00, par des individus armés dont certains sont de la garde présidentielle même. Mais au moment où je vous parle, la situation est sous contrôle. D’ailleurs, je suis en route pour mon poste, a dit ce diplomate.

Selon nos informations, il y a une tentative de coup d’Etat cette nuit, à laquelle auraient pris part des éléments de la garde présidentielle, a également expliqué à l’AFP une source occidentale dans la région.

La tentative de putsch aurait été mise en échec, les militaires favorables au président auraient pris le dessus, a-t-elle indiqué, affirmant suivre de près l’évolution de la situation.

Ces évènements se sont déroulés en l’absence du pays du président Jammeh qui, selon une source officielle gambienne, effectue depuis le week-end dernier une visite privée à Qatar, d’une durée non indiquée. D’après d’autres sources non gambiennes, le chef de l’Etat serait en visite privée en France.

Romandie.com avec(©AFP / 30 décembre 2014 12h23)

Burkina Faso: les forces de sécurité tirent sur des manifestants

octobre 30, 2014

Les forces de sécurité chargées de protéger le secteur près du palais présidentiel burkinabé ont tiré des coups de feu et des gaz lacrymogènes à l’approche de manifestants, apprend-on de source diplomatique et auprès des services de sécurité. Trois corps sont restés au sol.

La foule a marché sur le palais présidentiel situé dans le secteur Ouaga 20 de la capitale Ouagadougou après avoir auparavant pris d’assaut le bâtiment de l’Assemblée nationale et la télévision d’Etat. Certains manifestants ont mis le feu à des parties du Parlement.

Les forces du sécurité qui gardaient la maison du frère du président Blaise Compaoré ont ouvert le feu alors que les manifestants tentaient de s’emparer de la propriété, laissant trois corps gisant sans mouvement sur le sol, a rapporté un témoin.

Réforme retirée
Au milieu de ces violences, le gouvernement a appelé la population « au calme » et annulé le vote prévu d’une révision constitutionnelle très controversée devant permettre le maintien au pouvoir du président Compaoré.

« Le gouvernement a annulé le vote de la loi », a déclaré Alain Edouard Traoré, porte-parole du gouvernement et ministre de la Communication. Dans un communiqué, le gouvernement a également « appelé les populations au calme et à la retenue », après le saccage de l’Assemblée par des manifestants.

Depuis trois jours, les manifestants protestent contre une réforme de la constitution ouvrant la voie au maintien au pouvoir de Blaise Compaoré. Le mandat du président, au pouvoir depuis le coup d’Etat de 1987, expire l’année prochaine. En l’état actuel, après deux septennats et deux quinquennats, la Constitution ne lui permet pas de briguer un nouveau mandat.

Romandie.com

Yémen: heurts entre rebelles et armée près du palais présidentiel

septembre 27, 2014

Sanaa – Des heurts ont opposé des rebelles chiites à des forces gouvernementales yéménites près du palais présidentiel, dans le sud de Sanaa, où les rebelles ont pris position en nombre samedi.

Ces affrontements ont éclaté après que les rebelles d’Ansaruallah eurent tenté de reprendre d’assaut la résidence du chef de la sécurité nationale, Ali Ahmadi, située près du palais présidentiel et qu’ils avaient déjà brièvement occupée la semaine dernière, selon des témoins.

Vendredi, le président Abd Rabbo Mansour Hadi avait appelé les rebelles à se retirer de la capitale, les accusant implicitement de ne pas respecter l’accord de paix qu’ils avaient signé dimanche sous l’égide de l’ONU après s’être emparés d’une grande partie de la capitale.

Les rebelles ont indiqué que les heurts, qui ont duré trois heures dans la nuit de vendredi à samedi, ont fait deux morts et 15 blessés dans leurs rangs.

Après ces affrontements, les rebelles armés ont nettement renforcé leur présence dans ce secteur du sud de la capitale, selon un correspondant de l’AFP.

La rébellion se concentrait jusqu’alors dans le nord de Sanaa, où se trouvent l’essentiel des ministères et édifices gouvernementaux qu’ils occupent depuis dimanche et leur percée à l’intérieur de la capitale.

La chaîne de télévision Al-Masirah, proche des rebelles, a par ailleurs annoncé samedi que ces derniers avaient finalement signé une annexe à l’accord de paix, alors qu’ils s’y étaient jusque-là opposés.

Ce texte prévoit leur retrait des bâtiments gouvernementaux occupés et le démantèlement des camps installés depuis un mois dans la banlieue de Sanaa dès que le nouveau Premier ministre sera nommé.

Dans le cadre de l’accord, le président Hadi s’est en effet engagé à nommer un nouveau chef du gouvernement, chose qu’il n’a pas encore faite.

La relative facilité avec laquelle les miliciens d’Ansaruallah ont pris la capitale il y a une semaine a engendré nombre d’interrogations.

Les rebelles avaient eu des affrontements violents avec leurs adversaires sunnites du parti Al-Islah mais n’avaient pas rencontré de résistance des forces gouvernementales, le ministre de l’Intérieur Abdo Hussein al-Tirb demandant aux troupes de ne pas affronter les miliciens chiites.

Des sources proches de M. Hadi soulignent ainsi que l’ancien chef de l’Etat Ali Abdallah Saleh, qui a démissionné sous la pression en 2012, utiliserait ses relations parmi les forces armées pour faciliter la progression des rebelles chiites afin d’entraîner la chute M. Hadi.

Le président Hadi y avait fait allusion vendredi en discutant de la chute sans résistance de la capitale. Nous avons été lâchés par ceux dont les intérêts personnels priment sur la patrie (…), qui ont renié leurs responsabilités et leurs engagements, avait-il suggéré.

Outre la rébellion chiite, le Yémen –pays le plus pauvre de la péninsule arabique– fait face à des séparatistes dans le Sud et à des violences endémiques provoquées par Al-Qaïda.

Dans la province de Chabwa, dans le sud du pays, trois soldats ont été tués samedi lorsque leur véhicule a été pris en embuscade par des membres présumés d’Al-Qaïda qui ont ensuite pris la fuite, a rapporté un responsable militaire.

Al-Qaïda dans la Péninsule arabique (Aqpa) a profité de l’affaiblissement du pouvoir central en 2011, à la faveur de l’insurrection populaire contre l’ancien président Ali Abdallah Saleh, pour renforcer son emprise dans le pays, notamment dans l’est et le sud du Yémen.

Romandie.com avec(©AFP / 27 septembre 2014 17h56)

Somalie : les insurgés islamistes shebab affirment contrôler le palais présidentiel à Mogadiscio

juillet 8, 2014

Les insurgés islamistes shebab ont pris d’assaut, mardi, le palais présidentiel à Mogadiscio, et affirment désormais le contrôler. Le président somalien, Hassan Cheikh Mohamoud, serait, quant à lui, en sécurité.

Des hommes lourdement armés ont pris d’assaut, mardi 8 juillet, le palais présidentiel somalien à Mogadiscio. « Nos combattants sont à l’intérieur du soi-disant palais présidentiel, a déclaré le porte-parole militaire des shebab, Abdulaziz Abu Musab. Nous contrôlons le quartier général du régime apostat. »

Les insurgés ont pu pénétrer dans l’enceinte fortifiée au cœur de la capitale, connue sous le nom de Villa Somalia. Selon des sources sécuritaires, le président somalien, Hassan Cheikh Mohamoud, n’était pas au palais et se trouverait en sécurité.

Le palais présidentiel avait subi, en février, un assaut du même genre, perpétré par les Shebab. En mai, ces derniers avaient récidivé, contre le Parlement cette fois-ci.

Expulsés de la capitale en 2011 par la force africaine Amisom, qui compte 22 000 hommes aujourd’hui, puis de la quasi-totalité de leurs bastions du sud et du centre de la Somalie, les Shebab contrôlent toujours de larges zones rurales. Ils privilégient désormais les actions de guérilla et les attentats, visant notamment la capitale et les institutions de la Somalie, plongée dans la guerre civile en 1991.

Jeuneafrique.com avec AFP

Le Président du Conseil constitutionnel a prêté serment devant le Président de la République jeudi 4 août au Palais présidentiel

août 4, 2011

Les quatre disparus du Novotel d’Abidjan « achevés » par un policier(ministre)

juin 21, 2011

ABIDJAN – Les quatre personnes, dont deux Français, enlevées début avril au Novotel d`Abidjan, ont été « achevées par un commissaire de police » après avoir été torturées dans le palais présidentiel transformé en « mouroir », a affirmé mardi le ministre ivoirien de la Justice.

Après leur rapt le 4 avril dans Abidjan livrée aux combats, les quatre hommes ont été « conduits au palais présidentiel », alors tenu par les forces de l`ex-président Laurent Gbagbo, a confirmé Jeannot Kouadio Ahoussou au cours d`une conférence de presse.

Dans le palais qui était alors « un mouroir », « ils ont été (…) torturés, battus », et « un commissaire de police a achevé ces personnes », a poursuivi le ministre du nouveau président Alassane Ouattara.

Les victimes ont ensuite été « jetées derrière la clôture de la présidence, emballées dans des sacs en plastique noir avec lesquels on emballe des bananes », puis « jetées dans la lagune », a-t-il dit.

« Les ossements qui ont été retrouvés du côté de (la base navale de) Locodjro (à Abidjan), ce sont ces personnes », a affirmé M. Ahoussou.

« Sur ce dossier, le week-end dernier, on a arrêté deux autres officiers des FDS (Forces de défense et de sécurité, loyales à M. Gbagbo) qui ont participé » à ces meurtres, a-t-il souligné.

Selon le ministère, en plus du commissaire de police, quatre miliciens pro-Gbagbo, un commandant et deux colonels de la Garde républicaine (GR) ont été inculpés et placés en détention préventive.

Les quatre kidnappés étaient Stéphane Frantz di Rippel, directeur du Novotel, et un autre Français, Yves Lambelin, président de Sifca, première entreprise privée de Côte d`Ivoire, son assistant béninois Raoul Adeossi, et le Malaisien Chelliah Pandian, directeur général de Sania, filiale de Sifca.

Abidjan était alors en proie aux combats entre forces de M. Ouattara et celles (notamment la GR) fidèles à M. Gbagbo, arrêté le 11 avril.

Le 10 juin, l`avocat de la famille de M. di Rippel avait indiqué, après des expertises médico-légales, que le corps d`Yves Lambelin avait été formellement identifié et non celui du directeur de l`hôtel, dont la mort a été établie sur la base de témoignages et d`indices.
AFP