Au Père-Lachaise

 

Au cimetière Père-Lachaise

À Paris chacun n’a pas sa chaise

Mais seulement son petit caveau

Et son beau costume de tombeau

 

Adieu de faire-part ou ouvert au public

Le respect de l’intimité est une volonté stricte

Qui n’empêche pas d’accompagner le défunt

Jusqu’aux dernières minutes de son parfum

 

Dans ce monde où se côtoient hommes illustres

Et personnes lambda sans aucun brin de lustre

La terre ou la pierre est le dénominateur commun

Qui enveloppe le salut des âmes des humains

 

Bernard NKOUNKOU

 

Jean­nette Bougrab hospi­ta­li­sée le jour des obsèques de Charb

Jean­nette Bour­gab, convalescente

A l’hôpi­tal, elle n’est sortie que samedi

Jean­nette Bour­gab, ancienne ministre UMP et compagne de Charb, n’a pas pu assis­ter aux funé­railles du dessi­na­teur. Selon Le Pari­sien elle était hospi­ta­li­sée ce jour-là.

Ils étaient nombreux à s’être réunis pour les obsèques de Stéphane Char­bon­nier – dit Charb, vendredi 16 janvier au Père-Lachaise. Pour­tant parmi la foule, Jean­nette Bougrab, compagne de l’artiste était la grande absente. En froid avec la famille du direc­teur de la publi­ca­tion de Char­lie Hebdo, l’ancienne ministre UMP avait annoncé son absence sur son compte Face­book : « Pour mettre un terme à toute polé­mique, je n’irai pas à l’en­ter­re­ment de Stéphane (Charb). Nous avons vécu une belle histoire. »

Selon Le Pari­sien, Jean­nette Bougrab n’aurait de toute façon pas pu être présente. Hospi­ta­li­sée à l’hôpi­tal du Val-de-Grâce à Paris depuis plusieurs jours, elle n’en est sortie que samedi 17 janvier. Dévas­tée par la mort de son « amour », l’ancienne secré­taire d’Etat à la Jeunesse de Nico­las Sarkozy avait évoqué sa romance sur une chaîne de télé­vi­sion améri­caine. Elle expliquait alors qu’elle préfé­re­rait « être morte et que Charb soit toujours en vie ».

Une histoire d’amour contes­tée par la famille de Charb. Le frère du dessi­na­teur avait publié un commu­niqué pour démen­tir la rela­tion. Jeanette Bougrab avait réagi, rétorquant que personne ne pour­rait lui enle­ver cette rela­tion. Elle allait même jusqu’à évoquer que ses convic­tions poli­tiques étaient un frein pour la famille du cari­ca­tu­riste : « Ses proches sont moins tolé­rants et appré­cient peu qu’un homme de gauche et une femme de droite puissent s’ai­­mer. C’était pour­­tant la réalité ».

Voici.fr parC D

L’appartement de Mazarine Pingeot, visité ce week-end

La fille de François Mitterrand a été victime d’un cambriolage

Selon une information RTL, l’appartement de Mazarine Pingeot a été visité ce week-end. L’enquête a été confiée à la police judiciaire parisienne.

Alerte au cambriolage dans le 11ème arrondissement de Paris! L’appartement de Mazarine Pingeot situé dans l’arrondissement du Père Lachaise a, d’après une information RTL, été visité ce week-end. Pour l’instant, le montant du préjudice subi par la fille de François Mitterrand est toujours en cours d’estimation mais l’on apprend que les malfaiteurs sont notamment repartis avec des ordinateurs. L’enquête a, pour l’heure, été confiée à la police judiciaire parisienne.

Le 18 octobre dernier, Mazarine Pingeot publiait, chez Julliard, Bon petit soldat. Dans ce journal, l’écrivaine et professeure agrégée de philosophie évoque le poids de l’héritage moral qu’elle a dû supporter pendant la campagne de François Hollande. «Reprenant le fil de l’histoire qu’elle avait laissée il y a sept ans, concluant Bouche cousue sur l’espoir d’une lendemain meilleur, elle fait de son écriture, vibrante et exutoire, le lieu d’une étonnante introspection collective.», résume le blog bouquinovore.fr.

 «Je lui en veux et je l’aime»

 Si dans son livre, Mazarine Pingeot, 37 ans confie en vouloir à son père de l’avoir cachée, et reconnaît que d’une certaine manière, ce que l’on cache «c’est un trésor», son secret longtemps gardé aura en tout cas donné matière à ses neuf ouvrages.

Gala.fr par Delphine Solanet