Posts Tagged ‘Père’

Congo-Makélékélé : un père de 45 ans enceinte sa propre fille de 17 ans et dit que les politiciens le font aussi

juin 9, 2023

Un papa incestueux qui ne s’est pas gêné de justifier son acte affirmant que c’est sa propre fille et que personne n’avait le droit de le lui récriminer. La gendarmerie s’est vu incapable d’agir contre ce père de 45 ans dont la fille de 17 ans ne saurait faire face seule à la grossesse. Les relations sexuelles entre père et fille étaient consentantes.

Au quartier Kisito dans le premier arrondissement Makélékélé, un homme âgé de 45 ans a enceinté sa propre fille de 17 ans. Père et fille maintiennent une relation sentimentale depuis deux ans alors qu’elle n’avait que 15 ans. Une relation de consentement mutuel en l’absence de la mère divorcée du père et dans un autre foyer.

C’est la maman ayant eu écho de cette grossesse qui a alerté la gendarmerie. Convoqué, l’homme n’a pas nié les faits et s’est même justifié évoquant une relation normale entre père et fille. « C’est ma propre fille et il est où votre problème ? » a lancé ce père à l’enquêteur qui s’est vite rendu compte être en face d’une personne n’ayant pas toutes ses facultés.

A la question de savoir s’il était conscient de pratiquer l’inceste qui est interdit et satanique, l’homme a répliqué qu’il n’était pas le premier à le faire, que nombreuses sont les autorités du pays qui sortent avec leurs propres filles. Alors pourquoi s’acharner sur lui quand bien même ce n’est pas sa propre fille qui s’est plaint ?

La gendarmerie qui a entendu la fille mineure a pris la décision de laisser à la famille la solution à ce problème. « Tant que la fille avoue être amoureuse de son propre père, on y peut rien, on sait que ce n’est pas normale, mais on n’y peut rien ! » a déclaré l’enquêteur avant de chasser tout ce monde de son bureau.

Sacer-infos par Nancy Oko avec Stany Frank

Société: Ses filles déballent ses conversations WhatsApp avec sa maitresse

novembre 4, 2022
 Ses filles déballent ses conversations WhatsApp avec sa maitresse

Ayant découvert des sextos de leur père avec sa maîtresse des jeunes filles humilient ce dernier en déballant tout lors d’une réunion de famille.

En effet, elles sont tombées sur des conversations WhatsApp de leur père avec une femme et ont décidé de les lire à haute voix en présence d’autres membres de la famille.

De son côté le père, épris d’une grande honte n’a pas daigné apporter de justification. Il assistait à cette scène humiliante, ne sachant pas quoi dire.

Alors que les filles continuaient leur révélation, ce dernier tentait de prendre la parole mais sans succès. Il se faisait interrompre par ses filles très remontées.

« Tu es un tricheur et tu dois écouter ce qu’elles te disent. Tu n’as pas cette figure paternelle et je me fiche de qui tu es pour moi. » a affirmé l’une de ses filles en pleure. Dans le feu de l’action, elle dévoile la conversation du père dans une vidéo qui a été relayée sur les réseaux sociaux. Ainsi l’on peut voir donc les sextos du père avec sa maîtresse. Il échangeait régulièrement avec cette dernière et les sujets abordés étaient plutôt chauds.

Avec Le Congolais.fr

Canada-Québec/Infanticide commis à Laval : le père doit comparaître aujourd’hui

octobre 18, 2022
Une scène de crime est délimitée.

Mardi matin, les policiers de Laval étaient toujours sur les lieux du drame. Photo: Radio-Canada

L’homme arrêté en lien avec l’assassinat lundi de deux enfants dans le quartier de Sainte-Dorothée, à Laval, serait le père, selon les informations de Radio-Canada. Il a été hospitalisé, mais il se trouve dans un état stable mardi matin, a annoncé la police locale.

Le drame s’est produit un peu avant 18 h dans une résidence de la rue Lauzon. Les morts du garçon de 11 ans et de la fille de 13 ans ont été constatées à l’hôpital.

L’homme de 46 ans a été arrêté sur place. Le suspect devrait comparaître au courant de la journée au palais de justice de Laval, a déclaré aux médias Erika Landry, porte-parole du service de police de Laval.

La police a refusé de dévoiler l’identité ou le lien de parenté du suspect, mais selon nos sources, il s’agit du père des enfants.

Mardi matin, les policiers étaient toujours sur place. Un tronçon de la rue Lauzon est encore fermé à la circulation.

Un voisinage ébranlé

Selon des voisins, la famille venait de s’installer dans le quartier. Une famille discrète, disent-ils.

Des voisins, encore ébranlés mardi matin, ont raconté avoir vu des membres de la famille sortir dans la rue, crier et pleurer. J’ai vu la police sortir une arme et administrer des premiers secours (à un homme), mais le gars ne bougeait pas, a raconté un voisin.

Ça se fait derrière les portes fermées, alors on ne peut pas imaginer. La seule chose que je me suis dite, c’est « pauvre lui ». Il aurait dû utiliser les ressources disponibles en santé mentale, a affirmé une autre voisine.

Par Radio-Canada avec des informations de Marie Isabelle Rochon

Bruno Raffara, père, grand-père et prêtre

octobre 27, 2021
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Bruno Raffara

Père, veuf et désormais grand-père, Bruno Raffara est prêtre depuis 2020 dans le diocèse d’Angers. Un singulier cheminement personnel.

Comment voir la main de Dieu dans l’épreuve du veuvage ? Comment peut germer une vocation de prêtre lorsqu’on a été mari et père ? Ces questions, le père Bruno Raffara, 57 ans, a mis du temps à y apporter des réponses. « J’ai repéré des choses et ne fais le lien qu’aujourd’hui », confie-t-il dans un sourire. Des signes ? « Chacun est libre d’y croire ou pas », modère celui qui préfère parler « d’indices ». Et il y en a eu beaucoup dans la vie du père Bruno, ordonné pour le diocèse d’Angers le 28 juin 2020. 

Claire et Bruno ont près de 20 ans quand ils se rencontrent, en 1984, lors d’une réunion de bénévoles de Lourdes. Ils partagent la même foi, un socle qui les soutiendra jusqu’au bout. Ils se marient le 26 juillet 1986 à Cholet, d’où Claire est originaire. 

Elle est institutrice et Bruno enseigne l’économie. Proche de la communauté du « Verbe de Vie » issue du Renouveau charismatique, le couple habite six ans en Corrèze avant de s’installer dans la Sarthe où la vie de famille, le travail et les engagements paroissiaux rythment le quotidien.

Je me suis senti comme dépossédé de ma vocation. Je n’avais plus besoin de m’occuper de Claire, elle était au ciel. D’un seul coup, j’avais les mains vides.

En 1999, la famille arrive à Saumur. Mais la maladie de Claire se déclare peu après. Amis, communautés religieuses… le couple est très entouré. « J’ai su après-coup que beaucoup de gens avaient prié pour elle », se souvient-il. L’évêque d’Angers, Mgr Bruguès, passe la voir une semaine avant son décès et restera « marqué par cette visite ». Claire s’éteint le 25 janvier 2002. Ils ont trois enfants âgés de 13, 11 et 7 ans.

Si le chagrin est immense, Bruno doit gérer le quotidien avec les enfants. Assez vite, il constate un nouvel état intérieur : « Je me suis senti comme dépossédé de ma vocation. Je n’avais plus besoin de m’occuper de Claire, elle était au ciel. D’un seul coup, j’avais les mains vides. » Le père de famille s’adresse au Seigneur : « Je fais quoi ? ». Bien-sûr, la responsabilité des enfants est « une évidence ».

Un appel de l’évêque

Neuf mois après le décès de Claire – « une durée symbolique », assure-t-il – l’idée du sacerdoce commence à mûrir. Peu de temps après, à la sortie d’une messe, Mgr Bruguès interpelle Bruno : « Avez-vous déjà songé à vous mettre au service de l’Église ? », lance-t-il. Engagé dans sa paroisse, le père de famille répond qu’il y est déjà. L’évêque évoque le diaconat. Du tac-au-tac, Bruno Raffara répond qu’il pense à la prêtrise. Or à ce moment-là, la question du remariage reste ouverte. L’évêque conclut :  « Quand vous serez sûr de ne pas être appelé à vous remarier, revenez me voir », et lui conseille de se faire accompagner pour le discernement. Des « indices » comme autant de clins-Dieu qui seront les premiers d’une longue série.

Un été, lors d’un festival des familles à Sainte-Anne-d’Auray, Bruno Raffara tombe sur un passage du Livre de Samuel : « Je susciterai pour moi un prêtre fidèle qui agira selon mon cœur et mon désir ». « Comment ne pas voir un signe ? », s’interroge-t-il. D’autant que sainte Anne est fêtée le 26 juillet, jour de leur mariage.

Les années passent, les enfants grandissent. Dans le cœur de Bruno Raffara, le discernement s’affine doucement. Décembre 2013, il demande à rencontrer l’évêque d’Angers, Mgr Delmas, arrivé quelques années plus tôt. Ce dernier lui dit : « Si vous n’étiez pas venu, c’est moi qui vous en aurais parlé ». 

Le 11 février, fête de Notre-Dame de Lourdes, il lui est proposé d’entrer au séminaire dès septembre. Or la dernière fille de Bruno est encore étudiante. Et puis comment concilier le séminaire et le travail ? Chacun réfléchit de son côté. « Tout s’est dénoué en 8 jours. J’ai vu mon responsable d’établissement le 18 février, fête de sainte Bernadette. J’ai obtenu un congé et la sécurité de l’emploi. »

Sagesse de l’Église

En septembre 2015, Bruno Raffara devient séminariste. Mais, plutôt qu’un cursus classique au séminaire de Nantes, il rejoint la faculté de théologie d’Angers avec une insertion paroissiale permanente. Quant à l’évêque, il l’accompagne, mais « pas trop près ». « C’est là une mesure de sagesse pour laisser la liberté aux séminaristes. Le discernement est confié à d’autres personnes. »

Au début, les enfants se sentent mal à l’aise de voir leur papa devenir « un personnage public ». Mais au fil du temps ils « s’habituent » relit le père Raffara qui est ordonné prêtre le 28 juin 2020, et aujourd’hui curé de paroisse près de Cholet. Les fidèles se réjouissent de sa présence : « Je vis les mêmes choses qu’eux. Ils m’encouragent à prendre des vacances, à me reposer et à voir mes enfants », se réjouit le prêtre. 

À présent, en repensant aux prêtres de sa jeunesse qui l’avaient invité à Lourdes, en songeant à son métier d’enseignant qui l’a rendu à l’aise face au public, le père Raffara rend grâce pour la délicatesse de Dieu sur cette vocation inattendue : « Il m’avait préparé », assure-t-il.

Avec Aleteia par Marthe Taillée

France: un père de famille décède dans un accident de manège près de Lyon

mars 31, 2018

Lyon – Un père de famille a été tué quand la nacelle d’un manège s’est détachée samedi après-midi au cours d’une fête foraine près de Lyon (centre-est de la France), a-t-on appris auprès de la préfecture.

L’accident s’est produit vers 16H30 à Neuville-sur-Saône, à une quinzaine de kilomètres au nord de Lyon, dans un manège composé de quatorze nacelles accrochées à une structure tournante, qui monte et qui descend.

Un enfant de huit ans a par ailleurs été hospitalisé mais son pronostic vital n’est pas engagé, selon la préfecture. Et 12 personnes choquées ont été prises en charge sur place.

Le manège se serait affaissé d’un coup, les nacelles touchant alors le sol et éjectant une personne, un homme d’une quarantaine d’années décédé peu après, a indiqué à l’AFP Laurent Buffard, adjoint au maire de la commune.

La victime était accompagnée de deux de ses enfants qui étaient également sur l’attraction.

Une enquête menée par la gendarmerie devra déterminer les circonstances exactes de l’accident et les éventuelles responsabilités.

La mairie organise cette fête foraine une dizaine de jours chaque année au moment de Pâques, avec les mêmes forains, sans avoir connu aucun incident jusqu’ici, selon l’adjoint au maire.

Face au drame de samedi, qui a suscité une forte émotion dans cette petite commune d’environ 7.000 habitants, la mairie a pris un arrêté pour fermer les attractions.

Les accidents mortels sur des manèges sont rares en France, mais à chaque fois ils relancent la question de la sécurité sur ces structures.

(©AFP / 31 mars 2018 18h09)                                            

Le calvaire d’un père indien pour maintenir sa fille en vie à l’hôpital de Gorakhpur

août 14, 2017

Mohammad Zahid, qui a perdu sa fille de cinq ans Khushi, tient la photographie de celle-ci le 14 août 2017 à Gorakhpur en Inde / © AFP / SANJAY KANOJIA

« Nous ne pouvions pas arrêter »: Mohammad Zahid a jusqu’au bout lutté contre la fatigue pour activer la pompe manuelle permettant à sa fillette de respirer, mais Khushi est morte. Comme des dizaines d’autres enfants dans un hôpital indien à court d’oxygène.

Une énorme polémique a éclaté en Inde suite aux décès de plus de 60 enfants – dont des nourrissons – la semaine dernière dans un hôpital public de l’État d’Uttar Pradesh, dans le nord du pays.

Des victimes parmi lesquelles se trouve Khushi (« joie » en hindi), la fille de Mohammad, âgée de cinq ans. Sa famille l’avait amenée à l’hôpital Baba Raghav de Gorakhpur en raison d’une forte fièvre, qui s’est rapidement aggravée.

« Des choses qui sont survenues là-bas sont passées sous silence », lance son père, en proie à un chagrin mêlé de colère, dans une interview à l’AFP à son domicile dans la campagne de Gorakhpur.

D’après les médias indiens, une trentaine d’enfants ont succombé pour les seules journées de jeudi et vendredi en raison d’un manque d’oxygène dans les services pédiatriques de l’hôpital. Selon eux, la société fournissant les bonbonnes aurait mis fin à ses services, apparemment en raison du non-paiement de factures se montant à plusieurs millions de roupies, certaines remontant à novembre.

Les autorités affirment, elles, que ce nombre inhabituellement élevé de décès est dû à des maladies comme l’encéphalite, endémique dans cette région pauvre, et non à la pénurie d’oxygène.

« Comment peuvent-ils dire que l’interruption de l’approvisionnement n’a pas joué dans ces morts? », s’énerve Mohammad.

– ‘Nos mains souffraient terriblement’ –

Pendant toute la journée de vendredi, lui et un neveu de 17 ans se sont relayés pour presser une pompe manuelle dans une tentative désespérée de maintenir la fillette en vie.

Le personnel soignant « nous a dit de continuer à appuyer pour être sûr que ma fille continue à respirer », témoigne-t-il.

« C’était exténuant. Nos mains souffraient terriblement, mais nous ne pouvions pas arrêter. Nous n’avions pas mangé avant de venir à l’hôpital et nous étions crevés avec tout ce stress et cette attente debout. »

Vivant de petits boulots au marché local, Mohammad dit être resté aux côtés de sa fille tout le temps depuis son admission à l’hôpital jusqu’à son trépas, prononcé le vendredi soir. Khushi a été mise en terre le jour suivant suivant les rites musulmans.

Face aux dénégations des autorités sur les conséquences du manque d’oxygène, son père est formel: « ma fille pouvait toujours bouger son corps jusqu’à ce que l’approvisionnement d’oxygène s’arrête. Son état s’est détérioré alors que nous utilisions les pompes à air manuelles ».

Le ministre en chef d’Uttar Pradesh, Yogi Adityanath, s’est vu confronté à des appels à la démission dans cette affaire.

Le radical hindou, élu de Gorakhpur et allié du Premier ministre Narendra Modi, a blâmé l’encéphalite – transmise par piqûre de moustique – pour cette série de décès. Lors d’un déplacement sur les lieux dimanche, le dirigeant de cet État aux 200 millions d’habitants a cependant promis des sanctions exemplaires si des négligences étaient avérées.

Des étudiants ont maculé de tomates et d’œufs la résidence du ministre de la Santé de l’État. Le parti du Congrès (opposition) a lui estimé que les enfants morts étaient victimes de « meurtres ».

« Bien sûr que j’aimerais savoir ce qui est arrivé à mon enfant. Mais nous le diront-ils? Ils ne le font jamais, et est-ce que ça a de l’importance étant donné que ma fille est morte », se lamente Mohammad.

Romandie.com avec(©AFP / 14 août 2017 12h41

Humour: Dialogue entre une fille et son papa

juin 21, 2017

 La fille: papa, je  suis amoureuse d’un gars qui vit très loin d’ici. Il vit en Angleterre alors que je vis en Afrique. on s’est rencontrés sur meetic, on est devenus amis sur Facebook, on a eu de looongues chats sur whatsapp, il m’a demandé en mariage sur Skype, et la on vit une belle relation depuis 2 mois sur viber. Papa, je l’aime j’ai besoin de ta bénédiction!

Le papa: Ah bon???
Vous n’avez qu’à vous marier sur Twitter, amusez vous bien et partez en lune de miel sur instagram, achetez vos enfants sur E-bay, et envoyez les via Gmail tchiuuupppp
Et quand tu sera fatiguée de ton faux mari là, vends-le sur #Leboncoin!!!

Génération d’idiots… regarde moi ça
Et puis vous allez divorcer sur Yahoo!!!😂😂😂😂😂

France: soupçonné d’avoir égorgé son père et son frère, un homme placé en psychiatrie

mars 17, 2017

Paris – Soupçonné d’avoir égorgé son père et son frère, un homme de 31 ans a été admis en psychiatrie vendredi après avoir été interpellé en bas d’un immeuble parisien, « prostré » près des deux corps maculés de sang.

Les deux victimes, égorgées à l’arme blanche, ont été retrouvées en fin de matinée, l’une gisant dans la cour, l’autre dans le hall de l’immeuble situé dans l’est de la capitale française.

L’auteur présumé des faits, interpellé sur les lieux, est inconnu des services judiciaires mais sa famille l’avait signalé aux autorités pour une « radicalisation possible ». Il était donc fiché mais à ce stade « rien de tangible » ne venait étayer ce signalement, selon des sources proches du dossier.

« Un homme qui tentait de calmer le suspect, particulièrement agité après les faits, lui aurait dit +Allah Akbar+ (Dieu est le plus grand). A ce moment l’agresseur, vêtu d’une djellaba, s’est mis à hurler +Allah Akbar+ », selon une source proche de l’enquête.

« Il s’est ensuite refermé sur lui-même, il a commencé à déclamer des propos pouvant ressembler à une prière avant de rester prostré au sol pour prier, jusqu’à l’arrivée de la police », selon cette même source.

Dans l’après-midi, il a été transféré en psychiatrie au vu de son état déclaré « incompatible avec un placement en garde à vue », pour être placé à l’infirmerie psychiatrique de la préfecture de police.

Thomas, 21 ans, habitant de la résidence, a raconté à l’AFP avoir « entendu un homme crier au secours » peu avant 10H00 GMT.

« J’ai regardé par la fenêtre, j’ai vu un homme par terre, il y avait beaucoup de sang. Il y avait un autre homme debout à côté de lui. Il était habillé en blanc avec une djellaba. Il a lâché son couteau, il s’est mis à genoux et a fait ses prières jusqu’à ce que la police vienne le chercher », a-t-il ajouté.

Romandie.com avec(©AFP / 17 mars 2017 18h49)                   

Togo : Il surprend sa femme et son fils dans le lit conjugal

août 12, 2016

 

Togo : Il surprend sa femme et son fils dans le lit conjugal

 

Le Jeudi 11 août,  un père de famille a surpris sa femme et son fils en train de faire l’amour dans le lit conjugal. Les faits se sont déroulés dans une banlieue de Lomé, au Togo.

Le Jeudi 11 août,  un père de famille a surpris sa femme et son fils en train de faire l’amour dans le lit conjugal. Les faits se sont déroulés dans une banlieue de Lomé, au Togo.

Selon nos confrères d’Afrikmag, le père a surpris les deux amants, ce jeudi dernier à 6heures du matin. Les faits relayés par un média en ligne, rapportent que, des rumeurs et des commérages  sont parvenus aux oreilles du père de famille et que celui-ci a décidé d’effacer tout doute. En réalité, ces rumeurs dénonçaient l’attitude de sa femme envers son fils. Cette femme n’est en réalité pas sa mère, mais plus tôt sa marâtre.

Le Jeudi dernier, le père a mis en action, un plan qu’il mijotait depuis un moment. Il simule un départ et promet revenir en fin de journée. Toujours selon la même source, après deux heures de temps passés où l’on ne sait, le Papa regagne la maison discrètement. Il surprit sa femme et son enfant sont dans le lit en train de faire l’amour. Imaginons tous, l’état dans lequel ce père de famille pouvait se retrouver à cet instant.

Imatin.net

France/Enlèvement : les enfants retrouvés vivants, le père entendu pour assassinat

mai 30, 2016

 

 Le père s'est rendu auprès des gendarmes de Tarare, dans le Rhône.
 Le père s’est rendu auprès des gendarmes de Tarare, dans le Rhône.

Le père s’est rendu et les trois enfants sont sains et saufs. L’alerte enlèvement lancée ce dimanche soir à 19 h 30 par le ministère de la Justice après la disparition de trois enfants dans le Rhône et la découverte du corps de leur mère décédée de «mort violente», a  rapidement connu un épilogue.

L’homme s’est rendu dans la soirée à la brigade de gendarmerie de Tarare (Rhône) où il a été placé en garde à vue pour l’assassinat de la mère. Le couple était «en instance de séparation trés conflictuelle». Les enfants, eux, ont été retrouvés chez un membre de la famille du père, sa soeur, où ils se trouvaient comme ce dernier l’avait indiqué aux gendarmes.

Les trois enfants, deux garçons de 10 et 6 ans ainsi qu’une fille de 5 ans, avaient disparu ce dimanche matin à Pontcharra-sur-Turdine, une commune toute proche de Tarare.

«Un problème autour de la garde des enfants»

Le corps de l’ex-compagne du suspect avait été découvert chez lui dimanche matin, à Pontcharra-sur-Turdine. De nationalité turque, cet homme de 45 ans a été placé en garde à vue pour «homicide volontaire avec préméditation» et le parquet de Villefranche-sur-Saône a ouvert une enquête.

Il y avait, semble t-il, entre le père et la mère «un problème autour de la garde des enfants» selon une source proche de l’enquête, mais «il n’y a pas d’éléments laissant penser à des troubles psychiatriques chez cet homme».

Le dispositif pour retrouver les deux garçons, Joris, 10 ans et Jad, six ans, ainsi que leur soeur Alia, âgée de cinq ans, disparus depuis la mort de leur mère et susceptibles d’être partis en voiture avec leur père, a été lancé vers 19 h 30 et levé peu après 21 heures.

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Le plan Alerte enlèvement a été utilisé pour la dernière fois mi-août dernier. Il avait alors permis de retrouver sain et sauf Rifki, un garçonnet de 4 ans d’origine comorienne.

Jusqu’à présent, ce dispositif s’est révélé efficace dans tous les cas en permettant de retrouver les enfants enlevés. Il est largement inspiré du plan « Amber Alert », créé au Texas en 1996, après l’enlèvement et l’assassinat de la petite Amber Hagerman.

Leparisien.fr