Posts Tagged ‘petit village’

Congo/Oyo : Les natifs célébreront bientôt le cinquantenaire de la ville

mars 8, 2013

Les membres du comité d’organisation des festivités du 50ème anniversaire d’Oyo se sont réunis le 6 mars à Brazzaville, pour rendre compte aux ressortissants du district de l’évolution des préparatifs de l’évènement.


carte géographique de la ville d'Oyo

carte géographique de la ville d’Oyo
Au cours de cette cérémonie, tenue au siège du 5ème arrondissement, le sous-préfet d’Oyo, Roger Louzaya Mamingui, a indiqué que plusieurs sous-commissions ont été mises en place en vue de la réussite de la fête.

Il s’agit notamment, des sous commissions santé, sécurité, transport, hébergement, restauration.

«Cet ancien petit village de pêcheurs, où il n’y avait qu’un petit bac pour ceux qui connaissent l’histoire, est devenu une ville propre, moderne, sans parler de la municipalisation induite de 2007 qui a apporté le bonheur et la satisfaction aux populations d’Oyo», a dit Roger Louzaya Mamingui.

Située dans le département de la Cuvette, la localité d’Oyo a été érigée en poste de contrôle administratif le 1er janvier 1963. Elle compte une population de quelque 5000 habitants, selon le recensement de 2010.

La date précise de la commémoration des 50 ans d’Oyo sera communiquée prochainement.

 

Congo-site.com par Messilah Nzoussi

Un prêtre brûle une photo de Benoît XVI

mars 4, 2013
Un prêtre d’un petit village du nord de l’Italie a brûlé hier en pleine messe une photo de Benoît XVI, estimant que le pape avait « abandonné son troupeau » en renonçant à sa charge.

« Ce fut merveilleux », déclare lundi dans les colonnes de La Repubblica le père Andrea Maggi, en évoquant son geste devant les paroissiens de Castel Vittorio, en Ligure.

« Avant de commencer son homélie, le prêtre a pris la photo du pape et a déclaré que ce n’était pas un pape, que ce n’était pas un berger, qu’il abandonnait son troupeau », a raconté le maire du village, Gian Stefano Orango.

La moitié de la congrégation a quitté l’église à la suite de ce geste, a-t-il ajouté, en précisant que l’ecclésiastique traversait une « période fragile » d’un point de vue psychologique.

 
Lefigaro.fr avec Reuters

Cameroun: Dabanga, village sous tension après l’enlèvement des Français

mars 2, 2013
Cameroun: Dabanga, village sous tension après l'enlèvement des Français Cameroun: Dabanga, village sous tension après l’enlèvement des Français © AFP

« Que Dieu fasse qu’ils soient libérés », affirme une habitante de Dabanga, petit village camerounais sur la frontière nigériane où a été enlevée le 19 février la famille de sept Français dont quatre enfants par des éléments se réclamant du groupe islamiste Boko Haram.

« C’est mal. On est inquiet. On espère qu’ils seront retrouvés avec les enfants. On n’aime jamais voir souffrir des enfants », poursuit cette jeune mère de six enfants qui préfère ne pas dévoiler son nom.

Elle est une des rares habitantes à accepter de parler. Les dizaines d’hommes interrogés auparavant préfèrent faire semblant de ne pas comprendre le Français avant de refuser, tête baissée, toute conversation une fois un interprète trouvé.

« Il faut les comprendre, souligne une source sécuritaire sur place. Le Nigeria est là, à l’antenne téléphonique (située de l’autre côté d’un petit cours d’eau à une centaine de mètres à peine). L’année dernière, près d’ici, au Nigeria, 17 personnes ont été tuées (dans une attaque de Boko Haram). Tout le village d’en face a voulu traverser. . . les gens ont peur ».

« Ils savent que Boko Haram est tout près. Certains se faufilent certainement parmi eux », affirme une autre source sécuritaire.

Le petit village de 500 à 1. 000 habitants s’articule autour du poste de douanes et de la barrière érigée sur la route. Les commerces de boissons, d’alimentation, de téléphones ou de pièces détachées sont de chaque côté de la voie. En plus de la douane, le village compte aussi un commissariat et une gendarmerie. .

C’est pourtant à moins de deux kilomètres de là, au nord, sur la route nationale 1 que la famille française a été enlevée par des hommes à moto, qui visiblement les attendaient.

Une petite route en terre. 500 m à peine. Un petit gué et on est au Nigeria. Le gué porte encore les traces aujourd’hui sèches des roues de la voiture de la famille qui s’est embourbée. La voiture, un 4×4 japonais de couleur foncée, est devant la gendarmerie, sous bonne garde.

Son intérieur témoigne de la vie interrompue de la famille. Derrière le conducteur, une casquette et une énorme boite contenant toutes sortes de médicaments et du matériel de premiers soins. La preuve que la famille était responsable et ne s’est pas aventurée au nord du Cameroun sans réfléchir. A l’avant, entre le conducteur et le passager, un livre rouge: les Evangiles. Sur le siège passager, du papier absorbant et des CD de musique africaine. A l’arrière du 4×4, un chapeau de paille et +Le livre de la jungle+, version junior.

Selon les autorités camerounaises, les sept Français, qui visitaient un parc national quand ils ont été kidnappés, auraient été transportés dans le nord-est du Nigeria voisin. Des sources sécuritaires parlent aussi de la zone du lac Tchad aussi bien au Nigeria, au Cameroun qu’au Tchad.

Tanguy Moulin-Fournier, sa femme Albane et leurs quatre fils vivent à Yaoundé, depuis l’automne 2011. Son frère, Cyril Moulin-Fournier, qui les accompagnait, vit à Barcelone.

Depuis l’enlèvement, des hommes du Bataillon d’intervention rapide (BIR), une des forces d’élite du Cameroun, sont déployés dans toute la région. Gendarmes et militaires sillonnent aussi les principales routes et obligent désormais tout étranger à circuler avec une escorte. « La zone est sécurisée », assurent les autorités.

A l’abri des regards indiscrets et la peur dans le regard, un commerçant accepte finalement de parler: « Tout le village est inquiet. Notamment pour les enfants. Nous sommes musulmans mais pas pour Boko Haram. Ce sont des gens méchants », explique-t-il.

« Mais, nous avons peur. Entre nous, on parle souvent de l’enlèvement, de la peur. . . Boko Haram, ce n’est pas Camerounais, c’est Nigérian mais ils sont là, tout près », ajoute-t-il.

Jeuneafrique.com avec AFP

Nicolas Sarkozy et François Hollande seraient cousins

mars 6, 2012

Nicolas Sarkozy et François Hollande ont un ancêtre commun: un certain Claude Labully-Burty, de Saint-Maurice-de-Rotherens, petit village situé à une vingtaine de kilomètres de Chambéry.

 

Les anecdotes agissent toujours comme des exhausteurs de goût, surtout quand elles viennent fleurir une campagne présidentielle. La parenté entre Nicolas Sarkozy et François Hollande, quoique lointaine, amuse la galerie. Les rivaux sont cousins.C’est le généalogiste Jean-Louis Beaucarnot, dans la nouvelle édition de son livre Le Tout-politique publiée cette semaine, qui le révèle.Leur ancêtre commun, ni bling-bling ni gauche caviar, était un modeste paysan du XVIIe siècle, un certain Claude Labully-Burty, originaire de Saint-Maurice-de-Rotherens, un petit village aux confins de l’Isère, de l’Ain et de la Savoie, à une vingtaine de kilomètres de Chambéry.

Héritage gourmand

Dans la première édition de l’ouvrage, parue début novembre, le généalogiste avait déjà découvert que le candidat socialiste et le président sortant avaient des racines savoyardes, par leurs grands-mères maternelles, Jeanne Adrienne Jacquignon et Adèle Bouvier, toutes deux lyonnaises. Il prouve désormais, arbre généalogique à l’appui, que les deux adversaires sont parents.

L’aïeul avait deux fils, Claude et Pierre. Le premier est l’ancêtre de François Hollande, le second celui de Nicolas Sarkozy. Tous deux vivaient, sous le règne de Louis XIII, dans la commune de Saint-Genix-sur-Guiers où leur patronyme, quelques siècles après, est passé à la postérité grâce au «gâteau Labully», grande spécialité gastronomique de la ville.

Le généalogiste apporte tout le détail utile à l’histoire de cet héritage gourmand. Inventé au XIXe siècle par un parent pâtissier des deux candidats à la présidentielle, le gâteau est une brioche fourrée aux pralines et pétrie en forme de… sein. Les raisons sont plus historiques que grivoises: à l’origine, elle était fabriquée pour la fête de Sainte Agathe, jeune martyre chrétienne à qui on avait tranché le sein. Dans les sphères politiques, on entend les rires. Et les digressions sur une réconciliation autour de la brioche… dans une cousinade.

Lefigaro.fr par Delphine de Malevoüe

Ontario: 11 morts dans une collision, le bilan aurait pu être plus lourd

février 7, 2012

La directrice du service ambulancier de la région de Perth, près de Kitchener, dit que c’est un « miracle » que des passagers aient survécu à un accident tragique qui a fait 11 morts lundi.

Linda Rockwood n’a pas voulu toutefois donner de détails sur l’état de santé des trois survivants, qui demeurent hospitalisés.

La plupart des 11 victimes de la collision étaient des travailleurs agricoles migrants.

L’accident s’est produit lundi vers 16 h 45 dans le petit village de Hampstead, à une trentaine de kilomètres à l’ouest de Kitchener.

La fourgonnette, qui avait à son bord 13 passagers, circulait vers l’ouest sur le rang 47 lorsqu’elle a été heurtée par un camion à plateforme qui se dirigeait vers le sud, sur la route 107. Sous la force de l’impact, les deux véhicules ont fait des tonneaux et la fourgonnette a été projetée contre une maison située près du lieu de la collision.

Des experts en reconstitution d’accidents ont passé une bonne partie de la nuit de lundi à mardi sur les lieux de l’accident.

Le conducteur du camion, Christopher Fulton, est un homme de 38 ans de London.

L’identité des autres victimes n’a pas été dévoilée, notamment en raison de la difficulté à joindre leurs proches à l’étranger.

Péruviens

La plupart des passagers tués étaient originaires du Pérou, selon un fermier qui les employait. Certains travaillent au pays depuis une douzaine d’années.

Ils rentraient à leur domicile après leur quart de travail au moment de l’accident.

Les ambulanciers racontent qu’ils ont fait face à une barrière linguistique. Ils ne parlaient pas espagnol, ce qui a compliqué leur travail.

Le ministre ontarien du Travail indique qu’il est en contact avec les ambassades du Pérou et de la Jamaïque à Ottawa.

Par ailleurs, les autorités régionales ont annoncé mardi matin la création d’un fonds d’aide pour les victimes auquel tous les Canadiens pourront contribuer, grâce aux succursales de la Banque CIBC.

La mort de 10 passagers de la fourgonnette et du conducteur du poids lourd a été constatée sur la scène de l’accident.

Trois autres personnes ont été blessées gravement. L’une d’entre elles a été héliportée vers un hôpital de Hamilton. Les deux autres survivants sont hospitalisés à Stratford pour soigner de graves blessures.

Plusieurs victimes portaient leur ceinture de sécurité au moment de l’accident. Les pompiers ont dû couper leurs ceintures pour les sortir de la fourgonnette.

L’inspecteur Steve Porter, de la Police provinciale de l’Ontario, a déclaré qu’il s’agissait de la pire collision depuis trois décennies en Ontario. « Je n’ai jamais vu une telle chose en 28 ans », a-t-il affirmé aux journalistes.

 

Une erreur humaine ?

Un coroner et des enquêteurs en collision ont été dépêchés sur les lieux pour enquêter sur les causes de l’accident.

Le PDG de Speedy Transport, Jared Martin, aurait obtenu la confirmation de la part des policiers que le conducteur de la fourgonnette a omis de s’arrêter à un arrêt obligatoire.

Mais un porte-parole de la Police provinciale s’est refusé à tout commentaire à ce sujet mardi matin.

« Nos pensées et nos prières vont à la famille de notre chauffeur et aux familles des autres victimes de cette horrible tragédie », écrit M. Martin dans un communiqué.

Condoléances du premier ministre

Le premier ministre de l’Ontario Dalton McGuinty a lui aussi présenté ses condoléances aux familles des victimes dans un communiqué publié sur son site internet.

« Au nom des 13 millions d’Ontariennes et d’Ontariens, je souhaite présenter nos condoléances émues à toutes les personnes qui ont perdu un être cher et adresser toutes nos prières les plus sincères aux personnes qui sont hospitalisées.

Nous tenons également à remercier les premiers intervenants qui ont prodigué des soins professionnels avec compassion dans des conditions très difficiles. Je sais que les Ontariennes et les Ontariens se mobiliseront pour aider les familles et les amis des victimes durant une période aussi difficile. »

Il faut remonter à 1999 pour trouver une tragédie routière de la même ampleur en Ontario. Un carambolage impliquant 87 voitures avait fait huit morts près de Windsor, dans le sud de la province.

Le pire accident routier de l’histoire du pays est survenu au Québec le 13 octobre 1997, jour de l’Action de grâce. Ce jour-là, 44 habitants du village de Saint-Bernard, en Beauce, sont morts lorsque l’autobus dans lequel ils voyageaient a plongé dans un profond précipice aux Éboulements, dans Charlevoix, à cause d’une défaillance du système de freinage.

Radio-Canada.ca avec  PC