Posts Tagged ‘point de presse’

RDC-Vie politique : Franck Diongo quitte l’Union sacrée de la nation

juillet 21, 2022

Le président national du Mouvement lumumbiste progressiste (MLP) et l’une des figures de proue de l’opposition à Kabila s’érige désormais en obstacle contre le deuxième mandat de l’actuel chef de l’Etat congolais.

Franck Diongo lors du point de presse

Désormais, les proches de Félix Tshisekedi quitte un à un le bateau Union sacrée de la nation (USN). Après Jean-Marc Kabund, c’est le président du MLP, Franck Diongo, qui rend public, à l’issue de sa conférence de presse tenue le 20 juillet au Centre interdiocésain, dans la commune de la Gombe, son désaveu à l’actuel chef de l’Etat congolais et son renoncement à son régime. Cette vague de désaveux jette ainsi l’opprobre sur le régime Tshisekedi et sa gouvernance.

Dans sa défection officielle, Franck Diongo s’en est pris ouvertement à Félix-Antoine Tshisekedi qu’il accuse de « s’être écarté de la ligne du combat » tracé par le sphinx de Limete, Etienne Tshisekedi wa Mulumba. Au regard de cette gestion calamiteuse qui caractérise le pouvoir Tshisekedi, Diongo et son parti ont donc levé l’option de se « désolidariser, à la demande du peuple, du régime au pouvoir ».

Ayant pris ses distances avec le régime Tshisekedi, Franck Diongo pense également que lui et son parti n’endosseront jamais la responsabilité du bilan négatif de ce régime car n’ayant pas géré avec lui. Le leader du MLP s’engage, par ailleurs, à combattre farouchement Félix Tshisekedi et son pouvoir « aux côtés du peuple souverain, par des voies démocratiques, afin d’obtenir le changement réel au pays tel que longtemps souhaité » par ce peuple et ses pères fondateurs.

Ayant désormais rejoint l’opposition, Franck Diongo s’est déclaré candidat à la présidentielle attendue dans près d’une année au pays. Il sera le porte-étendard de son parti à la présidentielle de 2023. Le leader du MLP a, par conséquent, annoncé que son parti « alignera les candidats à tous les niveaux aux élections prochaines » qu’il souhaite être libres, justes, honnêtes, sincères, crédibles, transparentes et inclusives, dans le strict respect du délai constitutionnel.

Avec Adiac-Congo par Lucien Dianzenza

Canada/COVID-19: François Legault a fait le point sur la pandémie le 27 mars

mars 27, 2020

Le bilan d’hier faisait état de 1629 cas confirmés et de 8 décès liés au coronavirus.

Le premier ministre du Québec, François Legault, sa ministre de la Santé et des Services sociaux, Danielle McCann, et le directeur national de la santé publique, Horacio Arruda, s’adressent à la population pour faire état des derniers développements dans la lutte contre le coronavirus.

François Legault indique qu’on compte maintenant 2021 cas confirmés de coronavirus, une hausse de 392, et 18 décès au Québec.

De plus, on dénombre 141 personnes hospitalisées, un bond de 35 par rapport à hier.

Le premier ministre a souligné que les régions de Montréal et de l’Estrie demeurent les plus touchées par la pandémie. Il invite la population à éviter de s’y rendre.

François Legault demande au ministre des Finances du Québec de mettre en place des mesures financières compensatoires pour les travailleurs essentiels qui gagnent moins de 2000 $ par mois.

On comptait jeudi 1629 cas de coronavirus (une hausse de 290 personnes infectées) et 8 décès au Québec, le dernier ayant été recensé dans les Laurentides. Parmi les cas confirmés, 106 personnes étaient hospitalisées, dont 43 aux soins intensifs.

Jeudi, François Legault a lancé un appel au bénévolat qui a vraisemblablement été entendu.

Le nouveau portail qui permet à ceux qui en ont la capacité de s’impliquer bénévolement pour aider la province à traverser la crise du coronavirus a été pris d’assaut par des milliers de Québécois.

Le site web en question – jebenevole.ca – a été créé pour jumeler les organismes en manque de ressources aux gens qui ont du temps à offrir. Vendredi matin, 9000 jumelages avaient été créés. L’important trafic sur le site l’a même rendu inaccessible.

Avec Radio-Canada

Point de presse de l’avocat d’André Okombi Salissa

mars 7, 2017

 

Maître Bouncounta Diallo a donné un point de presse sur la situation de son client le député de Lékana André Okombi Salissa arbitrairement détenu en prison à la DGST.

 

Congo: Point de presse des plateformes IDC-FROCAD du 19 février 2016

février 26, 2016
Auteur: Charles Zacharie BOWAO

Avec Zenga-mambu.com

Congo: Mise au point de Jacques MAHOUKA sur les 8 milliards versés par Sassou à certains cadres du MCDDI

octobre 24, 2014
 
Article publié le : 24/10/2014
 

Je réagis directement au message paru dans ZENGA-MAMBU me concernant : En effet, j’ai accordé un point de presse à DRTV et au journal « les dépêches de Brazzaville » au sujet de mon éjection de la course aux élections sénatoriales tenues le 12 octobre 2014.

J’ai dénoncé le fait que je ne sois pas sensibilisé de l’éventuel retrait de ma candidature bien avant le jour du scrutin. Ceci se fait la veille, en me faisant comprendre que le Parti présente un autre candidat en lieu et place du Vénérable MAHOUKA sortant.

J’ai ajouté ceci : « Le retrait de ma candidature remonte à un complot ourdi mis en place par le Parti, avec l’affaire des 8 milliards placée sur les dos de certains cadres du MCDDI dont moi-même, montée à tort dans le but de faire que la base désavoue leurs responsables que nous sommes.

J’en parle parce qu’il existe un document signé par deux militants du MCDDI, adressé à la CNDS pour qu’elle entendre TCHIBAMBELELA B, KOLELAS Landry, LOUTOUNOU Noel, KOLELAS MIA KONGO Théodorine, MALONGA Philibert et MAHOUKA Jacques.
Les signataires ont promis donner les preuves sur cette affaire, séance tenante. La lettre date de mai 2014.

J’ai conclu au cours de ce point de presse en disant que « j’ai maintenant compris que l’objectif de ce complot visait la marginalisation de certains cadres ».

C’est bien ce que les DÉPÊCHES DE BRAZZAVILLE ont voulu rapporter en mettant en exergue le complot, dans lequel les cadres cités auraient perçu 8 milliards, afin que ces derniers rallient les militants du MCDDI derrière le projet de constitution du Président SASSOU.

IL s’agit d’un complot et non d’un fait réel. MAHOUKA n’affirme pas avoir perçu les 8 milliards, mais MAHOUKA dénonce ces manœuvres politiciennes. D’ailleurs, complot …… et auraient……. suffisent pour ne pas penser à une affirmation.

Zenga-mambu.com par Jacques MAHOUKA

Droits de scolarité – Line Beauchamp démissionne

mai 14, 2012
 
 

La ministre de l'Éducation, Line Beauchamp, démissionne. Elle vient d'en faire l'annonce lors d'un point de presse avec le premier ministre du Québec, Jean Charest
  • La ministre de l’Éducation, Line Beauchamp, démissionne. Elle vient d’en faire l’annonce …

La ministre de l’Éducation, Line Beauchamp, démissionne. Elle vient d’en faire l’annonce lors d’un point de presse avec le premier ministre du Québec, Jean Charest.

Elle quitte aussi ses fonctions de députée. Line Beauchamp est entrée en politique en 1998.

Jean Charest a salué celle qui a travaillé à ses côtés pendant plusieurs années. « J’ai tenté de te retenir », a-t-il dit.

En matinée, la ministre Beauchamp avait participé à une conférence téléphonique avec les leaders des quatre associations étudiantes (FEUQ, FECQ, CLASSE et TaCEQ).

Plus de détails suivront.

La journée marque le début d’une 14e semaine de grève étudiante au Québec. Alors que des étudiants ont repris les cours, des établissements ont tenté avec difficulté de faire respecter les injonctions pour permettre aux étudiants d’assister à leurs cours. De leur côté, des étudiants ont repris leurs actions de protestation, après un certain ralentissement des moyens de pression pendant les consultations sur l’entente de principe.

Radio-Canada.ca

Guinée-Bissau: la junte dit accepter « toutes les exigences » sauf le retour de Pereira

mai 1, 2012

La junte bissau-guinéenne a affirmé mardi qu’elle acceptait « toutes les exigences » de l’Afrique de l’Ouest sur le retour du pouvoir aux civils, à l’exception du rétablissement dans ses fonctions du président intérimaire Raimundo Pereira, renversé par le coup d’Etat du 12 avril.

« Nous nous sommes entendus sur tous les points avec la Cédéao (Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest), sauf un: la question du retour de Raimundo Pereira », a déclaré lors d’un point de presse le porte-parole de la junte. La Cédéao avait accusé lundi son chef, le général Antonio Indjai, d’avoir « refusé » les décisions ouest-africaines concernant la transition et l’envoi d’une force régionale, et annoncé des sanctions immédiates.

« Si Raimundo Pereira revenait, il serait le chef suprême des armées. Quelles troupes irait-il commander sachant que ce sont ces mêmes troupes qui l’ont arrêté le 12 avril? », s’est interrogé le porte-parole des militaires, le lieutenant-colonel Daba Na Walna.

Le président intérimaire avait été arrêté le jour du coup d’Etat par l’armée, en compagnie de l’ex-Premier ministre Carlos Gomes Junior. Les deux hommes avaient été libérés le 27 avril et évacués sur Abidjan.

« Nous avons demandé à la Cédéao de nous accorder un peu plus de temps. Nous pensons que son cas mérite une discussion interne », a-t-il dit.

Concernant la force ouest-africaine dont l’arrivée des premiers éléments a été retardée, le porte-parole a affirmé que « le commandant de cette force est en place » (à Bissau). « Nous sommes en train de travailler avec une équipe d’experts pour trouver un futur lieu d’installation », a-t-il dit.

Evoquant la question du choix du président de transition, le lieutenant-colonel Na Walna a affirmé que c’est l’ex-parti au pouvoir, « le PAIGC qui a rejeté la candidature de Manuel Serifo Nhamadjo », dont le nom avait été avancé la semaine dernière par la junte et les partis de l’ex opposition.

M. Nhamadjo, un dissident de l’ex-parti au pouvoir, était président par intérim du parlement avant le coup d’Etat. Il avait refusé sa nomination, considérant qu’elle sortait de la « légalité ».

Des représentants du Parti africain pour l’indépendance de la Guinée-Bissau et du Cap Vert (PAIGC) doivent se rencontrer, pour la première fois depuis le putsch, mardi en fin d’après-midi à Bissau.

Selon des sources du parti, les discussions porteront sur le cas de M. Nhamadjo, qui avait présenté une candidature dissidente face à l’ex-Premier ministre Gomes Junior au premier tour de la présidentielle du 18 mars. Il faisait partie des cinq candidats qui avaient contesté la victoire de M. Gomes Junior au premier tour et refusé de participer au second, prévu le 29 mars mais empêché par le coup d’Etat.

Selon le porte-parole de la junte, sa nomination permettrait d' »appliquer la Constitution qui prévoit que le président de l’Assemblée nationale doit assumer la transition ».

Jeuneafrique.com avec AFP