Une policière lesbienne a été surpris en flagrant délit sexuel avec deux mineures par son voisin qui a alerté toute la ruelle. Elle aurait proposé de l’argent à ces deux filles âgées de 15 et 16 ans pour ce trio qui a mal tourné à cause du songui songui de son voisin.
Jamais les populations de ce secteur de Moungali n’avaient vécu une telle scène ! De nature, ce sont les hommes majeurs qui adorent corrompre sexuellement les filles mineures et personne ne pouvait imaginer qu’une femme le fasse.
Selon des témoignages, la policière de 32 ans aurait persuadé les deux filles de sa rue de s’adonner à une partie de sexe contre une somme d’argent. La relation ne devrait pas seulement s’arrêter et elle allait prendre soin d’elles. Avec la situation financière difficile de leurs parents, ces deux mineures n’ont pas hésité à donner leur accord.
Si la policière lesbienne soutient l’avoir fait pour la première fois, le voisinage n’y croit pas quand bien même les deux mineures ont confirmé la version. Le voisin affirme avoir vu depuis sa fenêtre les deux filles accéder au domicile de la policière sans vraiment avoir des mauvaises idées.
Mais une fois dans la cour, il a remarqué que la porte de sa voisine policière était fermée et a voulu en savoir plus. C’est en guettant à travers la fenêtre, qu’il a vu comment les trois totalement nues se livraient à un trio sexuel. Aussitôt, il a alerté tout le voisinage qui s’est déplacé en masse pour faire le songui songui.
Les parents des deux mineures arrivés sur les lieux ont voulu user de la violence contre la policière qui a été sécurisée par d’autres voisins avant l’arrivée d’une patrouille de police. Une solution à l’amiable a été conseillée entre les victimes et la bourreau après que les policiers se soient rendu compte que les deux mineures n’étaient plus vierges et fréquentaient les hommes.
Une policière municipale a été blessée grièvement au couteau vendredi à La Chapelle-sur-Erdre, près de Nantes, et l’homme soupçonné de cette agression, un schizophrène fiché pour radicalisation et « signalé pour une pratique rigoriste de l’islam », est décédé, a indiqué le ministre de l’Intérieur.
« La policière municipale a été courageuse et a su se protéger avec les moyens qu’elle avait et malgré ses blessures importantes elle va survivre et c’est une très bonne chose », a déclaré Gérald Darmanin lors d’un point presse dans cette commune située au nord de Nantes.
Après l’agression dans les locaux de la police municipale vers 09H45, l’assaillant « a pris la fuite », a expliqué Gérald Darmanin, soulignant que 250 gendarmes ont été mobilisés pour arrêter l’individu, dans un contexte marqué par une hausse des attaques sur les forces de l’ordre.
Une fois retrouvé, cet homme d’une quarantaine d’années « a voulu manifestement s’en prendre de nouveau aux gendarmes », et ce « manifestement » avec l’arme de la policière. Les gendarmes « ont riposté » et l’homme a succombé à ses blessures, a détaillé M. Darmanin.
Selon un photographe de l’AFP présent sur les lieux, une dizaine de détonations ont retenti près de la brigade de gendarmerie, dans une zone d’habitation. Une vingtaine de gendarmes du GIGN armés de boucliers, casqués, tenaient leurs armes en joue derrière des poubelles, dans des buissons…
Radicalisé et schizophrène
« Cet individu Français né en France, (…) est connu des services de police, sortait de prison et en 2016 il avait été signalé pour une pratique rigoriste de l’islam pour radicalisation et ainsi inscrit au fichier FSPRT » (Fichier de traitement des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste), a dit M. Darmanin.
D’après une source proche du dossier, l’homme, écroué en mars 2013, purgeait principalement une peine de huit ans d’emprisonnement prononcée par la cour d’assises du Nord le 7 octobre 2015 pour vol aggravé et séquestration. Il avait été libéré le 22 mars. A sa sortie, le suivi sociojudiciaire auquel il avait été condamné en 2015 a été mis en place immédiatement, notamment l’obligation de soins. Il était diagnostiqué comme schizophrène.
D’après une source proche du dossier, « La radicalisation en prison est fortement liée à la maladie psy. Les moments radicalisés de l’assaillant auraient eu lieu lors d’épisodes de décompensation liés à sa maladie psy ».
Le procureur de la République de Nantes doit tenir une conférence de presse à 20H30. Selon une source proche du dossier, « il n’y a pas à ce stade des investigations de témoins de l’attaque évoquant une éventuelle revendication de l’assaillant qui laisserait penser à un acte à dimension terroriste ».
L’ancien avocat de l’agresseur, Me Vincent de la Morandière, qui l’a défendu dans plusieurs dossiers, a expliqué à l’AFP « avoir vu une dégradation psychologique au fur et à mesure des incarcérations. A un moment donné ça devenait difficile de discuter avec lui ».
A La Chapelle-sur-Erdre, une voisine le décrit comme quelqu’un « de très discret, de poli », sachant qu' »il vivait là depuis deux mois ». Un autre voisin, Gérard, le décrivant comme « gentil », a toutefois remarqué que « hier, il avait l’air énervé ».
D’après un autre voisin du 2e étage, qui lui a vendu une voiture, « il était très calme, mais on l’entendait parler tout seul la nuit ». « J’ai su qu’il avait fait de la prison, il m’avait fait part du fait qu’il avait des problèmes psychologiques. Il vivait seul et n’avait pas de visite, il m’avait dit qu’il avait un enfant ».
Fonctionnaires visés
Cette attaque intervient un peu plus d’un mois après celle de Rambouillet (Yvelines), au cours de laquelle une fonctionnaire de police a été tuée au couteau à la gorge par un homme, abattu par balles par un policier, au sein du commissariat.
De nombreuses personnalités politiques, de différentes sensibilités, ont condamné cette agression, dont le Premier ministre. « Mes premières pensées vont à la policière municipale qui a été grièvement blessée: elle a tout mon soutien et je veux lui faire part de la solidarité de l’ensemble du Gouvernement », a indiqué Jean Castex sur Twitter.
Plusieurs membres des forces de l’ordre ont trouvé la mort depuis 2012 en France dans des attaques, le plus souvent commises au nom du jihad.
Le 3 octobre 2019, un informaticien travaillant à la Direction du renseignement, Mickaël Harpon, converti depuis une dizaine d’années à l’islam, avait poignardé à mort trois policiers et un agent administratif dans l’enceinte de la préfecture de police de Paris avant d’être tué.
Auparavant le groupe Etat islamique (EI) avait revendiqué la mort en mars 2018 du lieutenant-colonel de gendarmerie Arnaud Beltrame, 45 ans, mortellement blessé par le jihadiste Radouane Lakdim dans un supermarché de Trèbes (Aude) et du policier Xavier Jugelé en avril 2017 sur les Champs-Elysées.
En juin 2016, un policier et sa compagne, secrétaire au commissariat de Mantes-la-Jolie, avaient été tués à coups de couteau à Magnanville (Yvelines) par un homme affirmant agir au nom de l’EI.
Début mai, Éric Masson, 36 ans, appelé avec son équipe pour un attroupement sur un point de deal en centre-ville d’Avignon, avait été tué par balles par un homme qui est désormais écroué.
Une policière de 52 ans, major de police, s’est suicidée lundi matin avec son arme de service au commissariat de Saint-Nazaire, a indiqué la Direction départementale de la sécurité publique (DDSP) de Loire-Atlantique.
«Elle était en poste au commissariat de Saint-Nazaire et s’est suicidée avec son arme de service dans le commissariat», a indiqué la DDSP. Dans un communiqué, la procureure de la République de Saint-Nazaire a précisé que la fonctionnaire de police s’était donné la mort à 9H00. «Cette fonctionnaire de police, major affectée à un poste d’encadrement au GSP (groupe de sécurité de proximité, NDLR), n’a laissé aucune lettre expliquant son geste», a indiqué la procureure Sylvie Canovas, précisant qu’une enquête avait été ouverte pour déterminer les causes de la mort et qu’une autopsie sera pratiquée mardi.
Sur twitter, la direction départementale de la police de Loire-Atlantique a rendu hommage à la policière de 52 ans : « Toutes nos pensées vont à ses enfants, ses proches et ses collègues ». Il s’agit du second suicide de policier de l’année. En 2019, 59 agents ont mis fin à leurs jours, selon un décompte de la police, contre 35 en 2018.
Kinshasa – Une policière congolaise a été tuée et quatre grièvement blessées dans la nuit de vendredi à samedi dans l’attaque d’un parquet de Kinshasa, a-t-on appris de source judiciaire.
« Le parquet a été attaqué cette nuit par des hommes armés non identifiés, une policière a été tuée et une autre grièvement blessée », a d’abord déclaré à l’AFP un magistrat du parquet de Matete, un quartier populaire de l’est de Kinshasa.
« Sur les 11 détenus, majoritairement de droit commun, trois manquent à l’appel », a-t-il ajouté, indiquant qu’une autre attaque a simultanément visé un commissariat de police situé non loin du parquet.
« Il y a eu effectivement une attaque armée cette nuit » au parquet de Matete, a ensuite confirmé à l’AFP le colonel Pierrot-Rombaut Mwanamputu, porte-parole de la police congolaise.
Dans un communiqué publié samedi après-midi, la police congolaise a indiqué que « l’État major du commissariat urbain de Mont Amba a fait l’objet d’une attaque par un groupe ».
« Repoussés, ces criminels armés se sont ensuite attaqués aux installations du Parquet de Grande Instance de Matete où il est signalé l’évasion de 3 détenus sur un effectif de 33 », ajoute le texte.
Le document confirme la mort d’une policière « lors des échanges des tirs », indiquant par ailleurs que quatre autres policiers « sont grièvement blessés ».
« Du côté des inciviques, l’on signale que nos forces de police ont réussi à maîtriser l’un d’entre eux, qui malheureusement a succombé de suite à ses blessures », ajoute cette source.
Selon la police, 11 véhicules et 3 motos ont été incendiés et 4 motos ont été emportées par les assaillants.
Cette attaque intervient trois semaines après celle contre la prison de Makala, la grande prison de Kinshasa, qui avait entrainé une évasion massive de détenus le 17 mai et d' »importants dégâts matériels », selon les autorités.
Le 19 mai, plusieurs dizaines de détenus s’étaient également échappés d’une prison située à 40 km au sud-ouest de Kinshasa.
Ces différentes attaques et évasions interviennent alors que la RDC est minée par une crise politique profonde liée au maintien au pouvoir du président Joseph Kabila dont le mandat a échu le 20 décembre dernier.
Âgé de 46 ans, M. Kabila a succédé à son père en janvier 2001. Élu président en 2006, il a été réélu en 2011, lors d’un scrutin entaché de fraudes massives.
Son mandat s’est achevé en décembre et la Constitution lui interdit de se représenter, mais il se maintient à la tête du pays en vertu d’un arrêt controversé de la Cour constitutionnelle, entérinée par un accord signé le 31 décembre 2016 entre la majorité et l’opposition.
Berlin – Un Irakien de 41 ans, suspecté d’islamisme, a été tué par balles par la police à Berlin après avoir grièvement blessé une policière avec un couteau jeudi, a indiqué le parquet allemand, précisant que l’homme avait déjà été condamné pour un projet d’attentat.
L’homme identifié comme Rafik Youssef avait été condamné à huit ans de prison en Allemagne pour avoir projeté un attentat contre le Premier ministre irakien de l’époque Iyad Allaoui lors d’une visite en Allemagne en 2004, selon un porte-parole du parquet interrogé par l’AFP.
Selon l’agence allemande DPA, le procureur Dirk Feuerberg a jugé prématuré de parler d’un acte terroriste et d’un crime prémédité. Son domicile doit encore faire l’objet d’une perquisition.
L’assaillant tué a été identifié. Il s’agit d’un criminel condamné qui était en liberté conditionnelle, a indiqué la police berlinoise sur son compte twitter.
Il avait été condamné pour son appartenance à une organisation terroriste et sa participation à un complot pour assassiner le Premier ministre irakien, poursuit la police.
Jeudi matin, le suspect avait enlevé le bracelet électronique qu’il devait porter depuis sa libération à une date indéterminée, selon DPA.
La police a été appelée à intervenir jeudi dans la matinée dans le quartier de Spandau où un homme menaçait des passants avec un couteau, selon le journal berlinois Berliner Morgenpost. Lorsque les agents sont arrivés, le suspect s’est jeté sur eux, blessant la fonctionnaire.
Un collègue de la victime a ouvert le feu sur Rafik Youssef, selon la police berlinoise. L’homme est mort malgré des tentatives pour le réanimer, a rapporté DPA.
L’état de notre collègue est stable. Elle est toujours en soins intensifs, a dit la police berlinoise.
Le 15 juillet 2008, Rafik Mohammed Youssef avait été condamné, ainsi que deux autres hommes, pour avoir planifié l’assassinat de M. Allaoui, à l’issue de deux ans de procès. Il avait écopé de huit ans de prison.
Le principal accusé Abdoulaziz Rashid et ses deux complices, Mazen Ali Hussein et Rafik Mohamed Youssef, avaient aussi été reconnus coupables d’appartenance à une organisation terroriste étrangère, le groupe sunnite Ansar al-islam lié à Al-Qaïda créé en 2001 au Kurdistan irakien.
La juge Christine Rebsam-Bender avait alors évoqué la personnalité difficile de Rafik qui s’emportait très vite. Il s’était aussi dit très, très fier, lors de l’énoncé du verdict.