Ces militaires qui ont la haine des Bakongo ont reproduit les mêmes actes perpétrés lors de l’agression contre le Pool en 1998 où ils avaient détruit tous les safoutiers et autres arbres fruitiers. Envoyés en renfort suite au sabotage des pylônes électriques par les inciviques aux alentours de la localité de Goma Tsétsé, ils ont détruit un champ de papayer appartenant à un fils du coin en signe de représailles. Ils croient que la société E2C appartient à Oyo.
A chaque fois que les éléments tribalistes du DGSP sont envoyés dans le Pool et le Sud du pays, on dénombre toujours des cas de dérapage contre les civiles et leurs biens. La haine des Bakongo qui coulent dans leur veine les rend insensibles alors que ces derniers sont leurs frères Congolais.
Après que des simples inciviques pour des raisons sans doute commerciales ont volé de la ferraille et câbles des pylônes électriques traversant Goma Tsétsé, le pouvoir a décidé d’envoyer en renfort des militaires de la DGSP en lieu et place de la police ou la gendarmerie.
Une fois sur le terrain, ces militaires haineux et éduqués à détester le Bakongo, ont posé des actes de représailles contre les populations innocentes de cette localité qui ne se reconnaissent pas dans le sabotage des pylônes électriques.
Des biens privés ont été saccagés et un champ de papayer appartenant à un habitant de la localité vivant à Brazzaville a été partiellement détruit par ces militaires tous Mbochis.
Rappelons que la sabotage de ces pylônes électriques est la cause des coupures intempestives de courant à Brazzaville et dans la partie nord du pays. Le barrage d’Imboulou et de Liouesso, à ce stade sont incapables d’électrifier la capitale et le nord.
La photo de famille des ministres Ngouélondélé et Matondo avec des jeunes de Louomo /DR
Au cours d’un séjour de travail à Louomo, dans le département du Pool, le ministre de la Jeunesse et des Sports, de l’Éducation civique, de la Formation qualifiante et de l’Emploi, Hugues Ngouélondélé, a lancé, le 13 mai, la campagne de détection et de formation des jeunes footballeurs dans l’hinterland.
L’initiative gouvernementale vise à découvrir, à valoriser et à promouvoir les nouveaux talents. « La vision de cette démarche consiste à faire une détection des jeunes dans tous les départements du Congo. Notre mission est de faire en sorte que le football congolais retrouve ses lettres de noblesse. Mettez-vous au travail, nous allons vous suivre durant le processus de détection », a lancé le ministre en charge des Sports.
Lors de ce moment de lancement de la campagne, Hugues Ngouélondélé, accompagné de la présidente de la fondation Rosalie-Matondo pour le bien-être de tous, a offert des kits sportifs composé de ballons, de maillots et autres aux différentes équipes des filles et garçons de Louomo.
La ministre de l’Économie forestière, Rosalie Rosalie Matondo, a salué cette initiative de son collègue puisque les jeunes retenus seront formés, suivis et encadrés par les structures étatiques pour leur permettre de s’exprimer dignement et garantir un bel avenir au football congolais.
Notons que cette opération de détection des jeunes talents s’est également déroulée à Boko et à Louingui. Prochainement, elle sera organisée dans tous les départements du Congo.
Le haut-commissaire à la réinsertion des ex-combattants, Euloge Landry Kolélas, a échangé le 30 mars à Brazzaville avec l’ambassadeur de l’Italie au Congo, Diodadi Luigi, sur le financement des projets dans le département du Pool.
Diodadi Luigi et Euloge Landry Kolélas avant l’interview/Adiac
« Nous félicitons le haut-commissaire pour le travail qu’il est en train de faire dans le Pool. Dans ce département, nous allons commencer à financer de très petits projets comme ceux liés au petit commerce et à la coupe couture pour les femmes », a indiqué Diodadi Luigi.
Outre les petits projets d’insertion sociale et économique, l’Italie prévoit également d’autres financements d’émergence pour le département du Pool. « Dans le futur, nous verrons comment mettre des financements un peu plus grand à travers des organisations internationales telle que le PAM dont le siège est à Rome. En 2017-2018, l’ambassadeur de l’Italie au Congo avait facilité les financements de deux cent mille euros pour le Congo au travers du PAM », a expliqué l’ambassadeur de l’Italie au Congo.
Très récemment, le haut-commissaire à la réinsertion des ex-combattants avait organisé, à Brazzaville, une table ronde pour attirer l’attention des bailleurs sur la situation du Pool. Au cours de cette rencontre, le Congo annonçait avoir pu réunir la première tranche de sa quote-part de fonds et appelait la communauté internationale à faire de même, prélude au lancement de l’opération de réinsertion des ex-combattants.
A la sortie de la pandémie de Covid en 2021, les ressortissants du Pool éparpillés à travers le monde ont envoyé au Congo quelques 2 milliards Cfa par transfert à leurs familles alors que des dirigeants politiques de la Cuvette ont caché dans des banques à l’étranger 200 milliards cfa détournés à l’État.
C’est un rapport accablant qui circule en interne établi par des financiers et qui démontre à quel point la fuite des capitaux est loin de stopper au Congo. Une aile du régime de Mpila aurait diligenté cette enquête pour montrer au chef de l’État la différence des priorités de ses collaborateurs de la Cuvette.
Toujours en comparaison avec le département du Pool qu’ils considèrent comme leur véritable contre poids, ces financiers de la Cuvette ont conclu que pour l’année 2021, la diaspora du Pool a transféré au pays 2 milliards Cfa alors que de leur côté, les membres du régime de la Cuvette ont pu mettre à l’abri hors du pays quelques 200 milliards Cfa volés dans les caisses de l’État.
Une réalité qui prouve le paradoxe que le sentiment patriotique de certains Congolais et surtout sur la situation socio-économique.
Alors que la Banque mondiale prédisait une baisse importante des transferts d’argent en 2021, les travailleurs expatriés ont continué à massivement envoyer des fonds vers le continent. Dans certains pays, les effets de la crise sont néanmoins durement ressentis.
Réduction des salaires, suppression des travailleurs étrangers… Les prédictions de la Banque mondiale sur les transferts de fonds de la diaspora en 2020-21 – années marquées par la pandémie de Covid-19 – n’étaient pas optimistes. Pourtant, les Africains expatriés ont envoyé à destination du continent 83,3 milliards de dollars en 2020 contre 86,2 milliards de dollars en 2019, soit une baisse de -3,4 %.
Au Congo par exemple, la diaspora du Pool a battu le record des transferts avec plus de 2 milliards. « A cause de la crise aiguë au Congo, la diaspora se saigne pour continuer d’envoyer de l’argent à leur famille», témoigne un expert financier Gabonais en poste à la BEAC de Brazzaville
L’Europe et les Etats-Unis sont les premières régions depuis lesquels les migrants envoient de l’argent dans les pays à faible revenu. Or c’est aussi là que la pandémie flambe actuellement. Les migrants, en particulier africains, sont davantage exposés à la crise. Malgré tout, la Banque mondiale a révisé le 29 octobre dernier ses estimations sur les transferts d’argent. Lors de la première vague, l’institution basée à Washington craignait que ces transferts chutent de 20% cette année. Elle table désormais sur une baisse de 7% en 2020 et de 7,5% en 2021.
«Enorme pression familiale»
Une relative bonne nouvelle qui n’étonne cet expert. Selon ses recherches, la plupart des fonds servent à couvrir des besoins de première nécessité: nourriture, médicaments, scolarisation ou frais de téléphonie et d’internet… L’argent sert donc à parer au plus urgent, plutôt qu’à favoriser le développement à long terme des pays pauvres.
«La pression familiale sur les migrants est énorme. Après un versement, on trouve un peu de tranquillité psychologique. De très nombreux Africains que j’ai interrogés ont aussi cité des raisons religieuses. Les migrants se sentent redevables envers leur communauté qui a financé et prié pour leur voyage»
Selon la Banque mondiale, les banques sont le canal le plus coûteux pour l’envoi d’argent, avec des commissions de 10,9% en moyenne. Suivent les offices postaux (8,6%), les entreprises comme Western Union (8,6%) et enfin les opérateurs de téléphonie mobile (2,8%). C’est vers l’Afrique qu’il est le plus cher d’envoyer de l’argent.
Tournant numérique?
Mais la pandémie redistribue les cartes. Des entreprises offrant des services de transfert par téléphone portable ont connu un afflux d’utilisateurs. «Je pourrais probablement être d’accord avec la Banque mondiale qui dit que le volume total des transferts d’argent va baisser, estimait récemment Dare Okoudjou, fondateur de l’entreprise MFS Africa, interrogé par l’agence Reuters. Mais quiconque dans le digital dirait qu’il gagne en volume et en parts de marché.»
En 2019, les transferts de la diaspora dans le monde avaient atteint la somme record de 548 milliards de dollars, dont 44 milliards pour l’Afrique. C’était davantage que les investissements étrangers (534 milliards de dollars) et beaucoup plus que l’aide publique au développement (166 milliards de dollars). En plus de la crise économique dans les pays d’immigration, les fermetures des frontières à cause du covid compliquent les déplacements et des migrants sont forcés de rentrer chez eux après avoir perdu leur emploi.
«En plus des considérations humanitaires, il faut soutenir les migrants qui travaillent dans les pays d’accueil en première ligne, dans les hôpitaux, les laboratoires, les fermes ou les usines, plaide Michal Rutkowski, directeur de la protection sociale à la Banque mondiale.
Dans la perspective de la présidentielle du 21 mars, le président du Mouvement congolais pour la démocratie et le développement intégral (Mcddi), Euloge Landry Kolelas a installé, le 10 janvier à Madzia dans le département du Pool, les organes de base de son parti.
Parti de la majorité présidentielle, tout comme d’autres formations politiques affiliées, le Mcddi, qui soutient la candidature du président Denis Sassou N’Guesso, entend œuvrer pour sa victoire au scrutin du 21 mars.
Le président du Mcddi, Euloge Landry Kolelas prenant un bain de foule à Madzia/D
Dans cette optique, Euloge Landry Kolelas, dont le parti tient à jouer sa partition, veut mobiliser les troupes à travers le renouvellement et la redynamisation des instances capables d’atteindre l’objectif que s’est assignée la majorité présidentielle, à savoir: élire dès le premier tour leur candidat.
Pour mener à bien cette mission dans le district de Madzia, le président du Mcddi a installé dans leurs fonctions Sébastien Balembofoua, Louise Massolola et Hervé Lemvo Massamba, respectivement président local du parti, de l’organisation féminine (OFDI) et de la jeunesse (JMCDDI).
Par ailleurs, profitant de cette occasion, la population de Madzia a formulé quelques doléances, à savoir: redonner à ce district sa place d’antan, réhabiliter la route dégradée reliant Madzia à Kinkala, la réhabilitation de la maternité et la dotation de la localité d’une ambulance.
Outre ces préoccupations, les filles et fils de Madzia ont plaidé pour la formation des jeunes aux divers métiers et au paiement des salaires des enseignants vacataires. Ces doléances ont été bien prises en compte par Euloge Landry Kolelas qui s’est engagé à leur payer un semestre des arriérés.
Au sujet de la route Madzia-Kinkala, il a promis rendre compte aux autorités en charge de ce secteur et suggéré que la population ainsi que lui-même s’investissent en y apportant une contribution financière pour faciliter sa réhabilitation.
De leur côté, mue par la volonté de préserver la paix dans ce district et dans le département du Pool, la population de Madzia a pris l’engagement et fait le serment de refuser la violence d’où qu’elle vienne et de quelle que nature qu’elle soit.
Concernant la présidence du 21 mars, le président du Mcddi a invité les sympathisants et militants de son parti a adhéré massivement à l’opération de révision des listes électorales qui a débuté le 7 janvier.
Il s’est tenu dans la communauté urbaine de Boko, dans le département du Pool, la deuxième édition du festival Mukanda. Le thème retenu était «Lire et écrire pour promouvoir le vivre ensemble et l’amitié entre les hommes».
Les organisateurs et participants lors de la clôture de la 2e édition du festival Mukanda/Adiac
Mukanda est un festival qui permet de mettre en vedette un artiste par édition. Pour cette édition, le choix était porté sur l’énigmatique et humaniste Sony Labou Tansi. Un concours littéraire, des conférences et un vernissage sur la vie et les œuvres de Sony Labou Tansi ont jalonné cette activité qui s’est étendue en deux jours.
Le premier jour de l’évènement a été consacré principalement au concours littéraire, qui s’est tenu dans la matinée au lycée de l’enseignement général de Boko. Les élèves du primaire, du collège et du lycée, venus de Mpika, Voka et Boko y ont participé avec passion. Cette journée a été clôturée par l’exposé et débat présenté par l’écrivaine Winner Dimixson Perfection sur le thème général de cette édition « Lire et écrire pour promouvoir le vivre ensemble et l’amitié entre les hommes ». Par son discours et ses réponses, elle a épaté et convaincu son auditoire très complexe composé des intellectuels, des élèves et des officiels.
Le deuxième jour consacré à la journée internationale de l’écrivain africain a commencé avec les discours protocolaire et d’ouverture du chef de cabinet de l’administratrice maire de la communauté urbaine de Boko, représentant l’administratrice maire de Boko qui a rejoint le festival séance tenante avec le sous-préfet de Boko. Ont suivi l’allocution du directeur général des Arts et des Lettres Marcel Ipari qui a encouragé la pérennisation de ce genre d’activités et le discours de remerciements du directeur départemental des Arts et des lettres du Pool. Juste après, venait l’exposé du poète Gaétan Ngoua sur le thème « Sony l’humaniste » et la critique littéraire Winner Dimixson Perfection a clôturé la série des exposés sur le thème « L’apport de l’écrivain africain face aux défis de l’Afrique, l’exemple de Sony Labou Tansi ». Une fois de plus, les deux écrivains ont été à la hauteur des attentes de l’auditoire venu encore plus nombreux que la veille. Une série des questions avait été posée respectivement aux deux exposants qui ont répondu jusqu’à satisfaction des deux parties. Une chose importante est à signaler ; c’est la participation effective et pertinente des élèves aux débats, à la grande stupéfaction de tous.
Ensuite, se sont tenues l’émulation et la remise des prix aux lauréats du concours de la veille. Bernalie Maounga Kianguebeni, élève en seconde A au lycée de Boko, a été l’heureuse récipiendaire du premier prix de cette édition ; deux autres élèves de l’école primaire de Mpika ont été également comptés parmi les lauréats.
La remise des prix a servi de transition pour chuter à l’ultime partie du vernissage présenté par Nicolas Bissi, compagnon de l’illustre Sony. L’exposition a connu un engouement de la part des populations qui s’étaient alignées et tour à tour entraient dans la salle polyvalente de la Bibliothèque Butsiele pour voir et échanger avec Nicolas Bissi. Da ns l’ensemble Mukanda 2e édition a connu un franc succès. Le directeur départemental des Arts et des Lettres du Pool, Shand Bemi, initiateur de ce festival, a donné rendez-vous au public pour l’année prochaine à Kintélé pour la 3e édition de l’événement.
La situation sécuritaire dans le département du Pool et le statut de Frédéric Bintsamou « Pasteur Ntumi » ont été au cœur des échanges, le 16 novembre, entre le haut-commissaire à la réinsertion des ex-combattants, Euloge Landry Kolelas, et le représentant spécial des Nations unies pour l’Afrique centrale, François Louceny Fall.
Euloge Landry Kolelas s’entretenant avec la délégation conduite par François Louceny Fall/Adiac
Conscient du fait que les élections sont souvent sources de conflits dans plusieurs pays africains, le diplomate onusien a voulu se rassurer si la situation du Pool était définitivement réglée ou maîtrisée.
A quelques mois de la présidentielle de l’an prochain, Louceny Fall qui n’a pas fait de déclaration à la presse a également abordé, avec Landry Kolelas, le problème du statut de l’ancien chef rebelle, Frédéric Bintsamou, dont le parti politique, le Conseil national des républicains a été reconnu récemment conforme à la loi par les autorités.
Le haut-commissaire à la réinsertion des ex-combattants a, de son côté, rassuré son interlocuteur que la population du Pool vivait désormais dans la quiétude depuis la signature de l’accord de cessez-le-feu du 23 décembre 2017 à Kinkala, entre l’Etat et les ex-miliciens Ninjas Nsiloulous. Quant au statut du pasteur Ntumi, Euloge Landry Kolelas a indiqué que le processus suivait son cours et que les autorités habilitées se prononceront le moment venu.
Sur instruction du colonel Basile Boka, commandant de la zone militaire de défense n° 8, les officiers, sous officiers et hommes de rang développent, depuis quelque temps, à Kinkala dans le département du Pool, des activités agropastorales visant à contribuer à la sécurité alimentaire de la population.
L’élevage des moutons Crédit photo »DR
Les activités agropastorales ont repris dans la Pool grâce à la paix retrouvée et aussi à la fertilité du sol. A Kinkala comme dans plusieurs autres districts de ce département, les activités agricoles se développent pour le bien de la population. La force publique, en dehors de ses missions régaliennes de défense et de sécurité, accompagne ces initiatives en participant activement aux activités agropastorales.
Sous la houlette du colonel Basile Boka, commandant de la zone militaire de défense n° 8, les activités agropastorales sont conduites par les officiers, sous officiers et hommes de rang à Kinkala, chef lieu du département du Pool prouvant ainsi que le militaire n’est pas seulement un bon défenseur de la patrie mais aussi un bon agent économique. L’élevage des moutons et porcins ainsi que les cultures maraîchères (tomates, choux, poivron, épinard, oseille…) figurent au nombre des activités menées. Ces réalisations ont suscité l’admiration et l’encouragement des responsables hiérarchiques des Forces armées congolaises (FAC).
Ces actions salutaires rappellent le souvenir des CMRC, le magasin économat qui existait à l’époque où on vendait à un prix raisonnable à la populations les denrées alimentaires. La relance des activités agropastorales au sein des FAC dont le porte-étendard est la zone militaire de défense n°1 intègre bien le mot d’ordre du président de la République, à savoir « Un peuple qui ne consomme pas ce qu’il produit n’est pas un peuple libre ».
Signalons que c’est en 1974, lors d’un colloque de l’armée, que l’activité économique avait été décidée comme l’une des missions intégrantes du haut commandement. Elle consistait à pourvoir les garnisons et collectivités militaires en denrées de première nécessité et à moindre coût. Cela permet l’augmentation qualitative et quantitative de la production et aide le pays à la préparation de l’économie de défense.
Département du Pool : Des ossements humains retrouvés dans un champs à 200m de la route nationale 1 (Missafou) . D’après les témoignages, ce corps serait celui d’un sage du village disparu pendant les derniers événements du Pool (Congo). l’identification était effective grâce aux habits du défunt.
Combien de charniers sont dans le Pool et combien de corps ne sont pas identifiés ?
Dans un communiqué publié par le Ministère des Affaires étrangères et des congolais de l’étranger, le 10 octobre à Brazzaville, le gouvernement de la République du Congo réfute l’existence d’un prétendu « génocide lari» dans le département du Pool.Voici le fac-similé dudit communiqué tel que parvenu à notre rédaction.