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Vatican: un faux évêque s’immisce dans la réunion pré-conclave des cardinaux

mars 4, 2013
Photo Par Vincenzo Pinto - Un Italien déguisé en évêque a tenté de s'immiscer lundi parmi les cardinaux réunis en "congrégations générales" pour préparer le prochain conclave, avant d'être conduit hors du Vatican, ont constaté des journalistes de l'AFP
  • AFP/AFP – Photo Par Vincenzo Pinto – Un Italien déguisé en évêque a tenté de s’immiscer lundi parmi les cardinaux réunis en « congrégations générales » pour préparer le prochain conclave, avant d’être conduit …plus  hors du Vatican, ont constaté des journalistes de l’AFP  moins 

Un Italien déguisé en évêque a tenté de s’immiscer lundi parmi les cardinaux réunis en « congrégations générales » pour préparer le prochain conclave, avant d’être conduit hors du Vatican, ont constaté des journalistes de l’AFP.

L’homme, portant une soutane noire un peu courte aux jambes ceinte à la taille d’une écharpe violette d’évêque, mais aussi un étrange chapeau mou, a posé pour des photos avec des cardinaux ignorant sa farce.

Il a serré des mains et discuté avec un certain nombre de prélats arrivés pour ces réunions, avant d’être reconduit à la sortie par des gardes suisses.

L’homme, identifié comme Ralph Napierski sur son propre blog, a dit être membre de « l’Eglise orthodoxe italienne » qui n’existe pas et s’appeler « Basilius » (Basile en latin).

Avant que le pot aux roses ne soit découvert, le faux prélat a critiqué les évêques catholiques pour avoir « commis une erreur en déplaçant les prêtres » accusés de pédophilie d’une paroisse à une autre.

Sur son blog, Ralph Napierski dit avoir fondé l’ordre catholique du « Corpus Dei » et promouvoir « le Yoga de Jésus ». Il affirme aussi avoir inventé un « système qui permet aux personnes de contrôler des ordinateurs avec le pouvoir de la pensée ».

AFP

Valérie Trierweiler furieuse contre Paris Match : « C’est un journal de merde »

février 20, 2013
 

Valérie Trierweiler en colère contre "Paris Match"

Abaca

Valérie TrierweilerValérie Trierweiler et François HollandeValérie Trierweiler et François Hollande en une de "Paris Match"

Insolite. Quand « Paris Match » consacre un article à sa plus célèbre journaliste, Valérie Trierweiler, cette dernière n’hésite pas à faire savoir à son patron ce qu’elle en pense. Et elle ne fait pas dans la dentelle !

Depuis que Valérie Trierweiler est première dame de France, ses relations avec Paris Match, le journal qui l’emploie, peuvent parfois être tendues. Une hostilité réciproque à en croire certaines rumeurs récentes qui affirmaient qu’Arnaud Lagardère, à la tête du groupe qui possède Paris Match, avait voulu mettre fin au contrat qui le liait à la compagne de François Hollande car « elle ne nous a causé que des ennuis ». Pas franchement appréciée par sa rédaction, Valérie Trierweiler serait en effet dans le viseur de son journal. Et vice versa.

« Je viens de découvrir ton journal de merde ! »

Dernier exemple en date à illustrer ces relations houleuses : la Une de Paris Match, datée du 7 février 2013. On y voit la journaliste-première dame au bras de son compagnon se promenant en amoureux dans le jardin du Luxembourg. « Parenthèse amoureuse », peut-on lire en titre. A l’intérieur, un article de quatre pages consacré au couple présidentiel. Un papier tout ce qu’il y a de plus classique dans Paris Match mais qui a eu le don de mettre Valérie Trierweiler très en colère.  

En effet, à en croire Le Canard enchaîné, en découvrant le pot aux roses, la première dame, furibonde, a immédiatement décroché son téléphone pour incendier la boîte vocale du téléphone portable d’Olivier Royant, le directeur de la rédaction du magazine. « Je viens de découvrir ton journal de merde ! », aurait alors fustigé la journaliste, qui s’en serait également pris à ses « photos de merde » et à Paris Match qui, aussi, « fait de la merde ». « Trois fois le mot merde (au moins) à l’adresse d’un patron de presse et, accessoirement, de son propre patron », relate Le Canard enchaîné.

« Elle a protesté dans des termes courtois »

En découvrant le message de Valérie Trierweiler, Olivier Royant aurait été « choqué », selon ce que raconte un journaliste de Paris Match au journal satirique. Car si le directeur de la rédaction est « habituée aux éruptions de sa salariée de luxe », « le coup de canon n’avait encore jamais été aussi puissant », écrit Le Canard enchaîné.

Si le journal n’a pas pu obtenir de commentaire d’Olivier Royant, le chef de cabinet de Valérie Trierweiler confirme qu’elle a bien téléphoné à son patron pour lui manifester son fort mécontentement. En revanche, Patrice Biancone dément que la première dame ait pu tenir des propos aussi virulents. « Elle n’utilise pas ce genre de mots », explique au Canard enchaîné le chef de cabinet. « Si elle considérait que ‘Paris Match’ était un journal de merde, elle serait partie depuis longtemps. Elle a protesté mais dans des termes courtois », rectifie-t-il.

Jordan Grevet

Licenciée car « irrésistible » à son patron

décembre 26, 2012

Une assistante dentaire de l’Iowa (centre) apparemment « irrésistible », qui avait été licenciée pour avoir mis en danger le mariage de son patron bien qu’elle eût repoussé ses avances, a vu sa plainte pour discrimination rejetée par la Cour suprême de l’Etat. Jeune épouse et mère de famille, Melissa Nelson a travaillé pendant dix ans dans le cabinet dentaire de James Knight avant que la femme de ce dernier ne se plaigne de la passion grandissante qu’il éprouvait pour elle.

Mme Nelson a indiqué devant les tribunaux qu’elle considérait son patron comme un père et un homme « d’intégrité » qui la traitait avec respect. Mais après neuf années de collaboration, James Knight a commencé à critiquer ses habits, estimant qu’ils le « déconcentraient » trop parce qu’ils « accentuaient les formes de son corps », et lui a demandé à plusieurs reprises de porter une blouse blanche. Un jour, il lui dit même que si elle « voyait son pantalon se bomber, elle saurait que ses habits étaient trop aguicheurs », révèlent les documents du tribunal. Melissa Nelson a bien tenté de lui indiquer que son attitude à son égard n’était pas juste, mais en vain.

La Cour Suprême reconnaît un licenciement injuste

Le dentiste aurait même fait allusion à la rareté des relations sexuelles de son employée, estimant que c’était « comme avoir une Lamborghini dans son garage et de ne jamais la conduire ».

La femme du dr Knight, qui travaille également au cabinet dentaire, a découvert le pot aux roses en tombant sur des SMS échangés entre son mari et Melissa Nelson. Après maintes discussions avec son épouse et son pasteur, le dentiste a accepté de licencier son assistante, considérant qu’elle était une « grande menace » pour son mariage.

Melissa Nelson a essayé de se défendre devant les tribunaux en assurant que ses vêtements n’étaient pas provocateurs. Si la loi en Iowa interdit la discrimination contre des employés en fonction du sexe, la Cour suprême de l’Etat, constituée uniquement d’hommes, a néanmoins estimé que bien que le licenciement de la jeune femme n’était « pas juste » il « ne constituait pas une discrimination interdite par la loi ». L’avocat de Knight a déclaré sur la chaîne CNN que cette décision était un précédent qui allait « permettre aux employeurs de licencier les employées cherchant à à exciter la jalousie de leurs épouses ».

Lefigaro.fr avec AFP