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Congo-P/Noire : il vole le sac d’une vieille maman de Sibiti et trouve 2 poules noires assis dans son lit

octobre 31, 2022
 P/Noire : il vole le sac d’une vieille maman de Sibiti et trouve 2 poules noires assis dans son lit

C’est le voleur le plus triste de la ville de Pointe-Noire ! Après avoir arraché le sac à main d’une vieille maman au Grand Marché de la ville, il a cru faire une bonne affaire quand il y a trouvé la somme de 15.000 frs et un téléphone dit Anti complexe. Malgré que la vieille le suppliait de tout prendre, mais de lui remettre son livret, le voleur s’en est allé.

En arrivant chez lui au quartier KM4, le voleur s’est rendu d’être tombé sur une mauvaise personne. Il a trouvé deux poules de couleur noire assises dans son lit avec la photo de la vieille maman qu’il venait de voler. Pris de panique, le voleur s’est mis à crier seul, attirant l’attention de ses voisins.

Après avoir expliqué son histoire à ces voisins, il lui a été conseillé de ne pas jeter la carte sim dans le téléphone volé et de contacter la vieille maman. L’un des voisins a appelé le numéro de la fille de la vieille pris dans le répertoire du téléphone.

Le voleur, accompagné de deux amis s’est rendu remettre le sac de la vieille maman au quartier Mouyondzi. Implorant sa miséricorde, le voleur a regretté son acte et s’est dit disposé à payer toute amende qui lui sera taxé. La vieille maman qui a retrouvé son sac avec tout son contenu a juste conseillé au jeune voleur d’abandonner ce métier et de craindre Dieu et les ancêtres.

Elle a fait savoir au jeune voleur que le monde est tellement devenu mauvais que ce n’est pas tout le monde qu’on vole. « Si j’étais vraiment méchante, je t’aurais envoyé dans l’autre monde, mais je t’ai juste donné une leçon pour que tu prennes conscience que t’as encore une vie devant toi à ne pas gâcher ! »

Au Grand Marché et Fond Tié Tié, les deux marchés les plus fréquentés de la ville de Pointe-Noire, des jeunes prennent du plaisir à voler des personnes de sexe féminin. Plusieurs femmes ont perdu leur téléphone et autres objets de valeur devant l’indifférence des riverains.

Avec Le Congolais.fr

Canada-Québec: Le projet pilote de poules urbaines à Trois-Rivières suscite beaucoup d’intérêt

mars 18, 2021

Le projet pilote de poules urbaines à Trois-Rivières suscite beaucoup d’engouement : 265 personnes se sont inscrites à une séance d’information virtuelle prévue mercredi soir à ce sujet.

Archives

© Charles Dharapak/La Presse canadienne Archives

La Ville ne distribuera toutefois que 50 permis au terme de cette rencontre.

Les Trifluviens qui veulent avoir des poules urbaines à la maison cet été devaient obligatoirement participer à la séance d’information.

Après quoi, ceux qui sont toujours intéressés à accueillir des poules dans leur cour auront jusqu’au 29 mars pour soumettre leur candidature.

Un tirage au sort sera ensuite effectué et les gagnants seront avertis du résultat le 2 avril.

En rendant la participation à la séance d’information obligatoire, la Ville voulait s’assurer que les citoyens s’embarquent dans le projet en toute connaissance de cause.

La présentation est donnée par un employé de la Ville, deux représentants de la Société protectrice des animaux (SPA) de la Mauricie ainsi que par une Trifluvenne qui a déjà des poules à la maison puisqu’elle habite dans un secteur plus rural où c’est permis.

Pas plus de 50 permis

Peu de temps après l’annonce d’un projet pilote de 50 permis, une pétition a été lancée pour demander qu’il n’y ait pas de limite à la quantité de permis octroyés.

Malgré le grand nombre de citoyens potentiellement intéressés par les poules urbaines, la Ville de Trois-Rivières affirme ne pas avoir l’intention de distribuer plus de permis dans le cadre de ce projet pilote.

La Ville souhaite accompagner chaque détenteur de permis, ce qui représente une charge de travail qui fait en sorte que délivrer plus de permis est impossible pour l’instant.

Avec La Presse canadienne par Marilyn Marceau 

Canada: Des centaines de milliers de poules abattues en raison de la COVID-19

mai 29, 2020
Pour ralentir temporairement la production d’œufs, des centaines de milliers de poules seront abattues.
© Olivia Laperrière-Roy/Radio-Canada Pour ralentir temporairement la production d’œufs, des centaines de milliers de poules seront abattues.
Après le secteur de la production laitière, ce sont maintenant les producteurs d’œufs du Québec qui doivent prendre des décisions draconiennes pour compenser leurs pertes de revenus. Plus de 300 000 poules pondeuses seront donc abattues plus tôt que prévu.

Avec la fermeture des restaurants en raison de la pandémie de la COVID-19, les producteurs d’œufs accusent des diminutions de revenus de 75 % à 80 % qui ne peuvent être épongés par les hausses de ventes dans le secteur des épiceries, explique Paulin Bouchard, président de la Fédération des producteurs d’œufs du Québec.

Entre 350 000 et 500 000 poules pondeuses seront abattues deux semaines plus tôt que prévu pour diminuer temporairement la production d’œufs et limiter les pertes financières.

«Les coûts et les impacts négatifs vont être répartis à travers tous les producteurs du Québec pour ne pas pénaliser un producteur plus qu’un autre», précise M. Bouchard.

Ainsi, les producteurs seront appelés à coopérer en alternance à ce programme d’abattage.

Cette situation est similaire à celle vécue par les producteurs laitiers qui ont été contraints de jeter des litres de lait.

«Ces poules-là par contre seront envoyées à l’abattoir et la viande sera valorisée quand même», précise toutefois Jean-Philippe Désilets, propriétaire de la Ferme Désilco.

Cette initiative des producteurs d’œufs sera revue chaque semaine jusqu’à ce qu’un rythme de consommation normal soit atteint.

Par CBC/Radio-Canada avec les informations de Maxime Bertrand

Œufs contaminés: les Pays-Bas abattent des poules

août 7, 2017

Analyses d’oeufs dans un laboratoire vétérinaire à Munster, en Allemagne, le 4 août 2017 / © dpa/AFP/Archives / Guido Kirchner

Les éleveurs néerlandais pourraient abattre des millions de poules contaminées par un insecticide, le fipronil, conséquence d’une crise sur laquelle la Belgique a promis lundi « la transparence la plus complète » après avoir tardé à donner l’alerte.

L’ampleur du scandale est apparu au grand jour la semaine dernière aux Pays-Bas, où jusqu’à 180 élevages ont été bloqués et des rappels massifs ordonnés alors que les taux de fipronil –une molécule utilisée pour éradiquer le pou rouge sur les poules– dépassaient parfois largement les seuils autorisés par la réglementation européenne.

En grande quantité, le fipronil est considéré comme « modérément toxique » pour l’homme par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Il est strictement interdit chez les animaux destinés à la consommation humaine.

La crise s’est ensuite propagée en Allemagne, en Suisse et en Suède, où des millions d’oeufs provenant des Pays-Bas –qui comptent près de 50 millions de poules pondeuses– ont été rappelés et détruits.

Certains éleveurs néerlandais ont commencé à détruire leur cheptel. Trois cent mille poules contaminées, qui atteignaient la limite d’âge de 18 à 24 mois pour la ponte, mais étaient de ce fait exclues du circuit de transformation alimentaire habituel, ont déjà été abattues, selon l’organisation agricole néerlandaise LTO.

Un à plusieurs millions de poules pondeuses pourraient connaître le même sort si les éleveurs estiment qu’il n’est plus rentable de les maintenir en vie, faute de débouchés pour les oeufs, a-t-elle prévenu dimanche soir.

– Manifestation –

Ulcérées, des organisations de défense des droits des animaux néerlandaises ont prévu de manifester lundi contre l’abattage, par gazage au CO2, de 60.000 poules prévu dans une ferme de la province de Drenthe (nord-est).

Dans les supermarchés néerlandais, les étals d’oeufs étaient peu garnis voire vides après les retraits massifs des derniers jours. « Nous travaillons d’arrache-pied pour tout remplir à nouveau », a déclaré René Roorda, directeur du Bureau central du commerce des denrées alimentaires (CBL).

Le gouvernement de La Haye a promis un plan d’aide d’urgence alors que le secteur estime déjà les pertes à « plusieurs millions d’euros ».

Des représentants des exploitations touchées aux Pays-Bas, en Belgique ou de Basse-Saxe (ouest de l’Allemagne) ont déjà annoncé qu’ils réclameraient des indemnités, une fois que les responsabilités auront été clairement établies.

Car aux Pays-Bas comme en Belgique, des enquêtes pénales sont en cours sur l’utilisation frauduleuse du fipronil. Dans le collimateur des enquêteurs, la société néerlandaise spécialisée dans la désinfection d’élevages ChickFriend, et son fournisseur belge Poultry-Vision, selon les médias.

En Belgique, 57 sociétés, représentant 86 poulaillers, sont suspectées d’être contaminées, soit un quart des 210 élevages de poules pondeuses du pays.

Elles font toutes l’objet de vérifications sur leurs contacts ou contrats avec ChickFriend depuis le 1er janvier 2017, a précisé à l’AFP Danny Coulier, président de l’organisation belge regroupant les éleveurs de poules et lapins. A ce jour, le taux de fipronil détecté dans leurs oeufs est très faible, en moyenne « dix fois inférieur » au seuil maximal autorisé.

– ‘Problème’ –

Samedi, l’Agence fédérale belge pour la sécurité de la chaîne alimentaire (Afsca) a reconnu qu’elle avait connaissance depuis juin d’un « problème de fipronil dans le secteur avicole », mais elle n’en a informé les pays voisins, par un système d’alerte européen, que le 20 juillet.

L’Afsca explique cette discrétion, qui ne l’a apparemment pas empêchée de faire retirer des oeufs de certains supermarchés en juillet, par le fait qu’elle était tenue de respecter le « secret de l’instruction ».

Mais « ce n’est pas un argument: c’est la protection du consommateur qui doit prévaloir, et le principe de précaution », a tonné lundi matin le ministre belge de l’Agriculture Denis Ducarme sur la radio publique La Première.

Face aux critiques de l’opposition et aux demandes d’éclaircissements de son homologue allemand, il a commandé un « rapport circonstancié » sous 48 heures à l’Afsca et promis de « faire la transparence la plus complète ».

En France, le ministère de l’Agriculture a affirmé samedi que le pays n’était pas « concerné », même si un élevage du Pas-de-Calais (nord) est bloqué préventivement depuis le 28 juillet.

Romandie.com avec(©AFP / 07 août 2017 15h12)                

Plusieurs défis attendent la filière française des poules pondeuses

mai 3, 2017

L’interprofession de l’oeuf (CNPO) estime à 500 millions d’euros le montant des investissements nécessaires en cinq ans pour moderniser les élevages et tenir son objectif / © AFP/Archives / PHILIPPE HUGUEN

L’engagement de la filière française des poules pondeuses de faire baisser l’élevage en cage en atteignant 50% d’élevage bio ou en plein air d’ici 2022 la confronte à plusieurs défis: la collaboration des grandes surfaces, mais aussi la capacité à faire évoluer le reste de la filière.

L’interprofession de l’oeuf (CNPO) estime à 500 millions d’euros le montant des investissements nécessaires en cinq ans pour moderniser les élevages et tenir son objectif, dont une participation de 100 millions d’euros demandée à ses clients, la grande distribution, a indiqué le président du CNPO Philippe Juven, lors d’une conférence de presse mercredi.

Car depuis l’automne dernier, plusieurs distributeurs à commencer par Système U, Lidl, Monoprix ou encore Intermarché ont unilatéralement annoncé qu’ils n’utiliseraient plus d’oeufs issus de poules élevées en cage d’ici 2020, à la grande stupéfaction des producteurs, qui au même moment mettaient en place des procédures pour passer à 50% d’oeufs alternatifs en 2022.

L’interprofession française estime qu’elle ne peut pas en trois ans changer totalement de système de production. Aujourd’hui, la France est totalement autosuffisante en oeufs. En conséquence, les grandes enseignes devront peut-être demain se fournir à l’étranger pour pouvoir tenir les promesses qu’elles ont faites aux consommateurs.

Sur les 14,3 milliards d’oeufs produits en France en 2016, 68% provenaient de poules en cage et 32% de poules élevées en systèmes alternatifs: 13% en plein air, 8% en bio, 5% en Label Rouge (avec un cahier des charges prédéfini) et 6% au sol dans un poulailler dans lequel elles disposent de perchoirs, de nids et de l’alimentation dont elles ont besoin.

Pour atteindre 50% de poules en élevages alternatifs d’ici 2022 et maintenir le potentiel de production de la filière, il s’agit de modifier le système d’élevage de 10 millions de poules.

Pour trouver une partie des 500 millions d’euros nécessaires pour financer ce changement, il suffirait d’augmenter le prix de la boîte de dix oeufs de 3 centimes d’euros, selon le CNPO. Or selon une étude commandé par le CNPO, 87% des Français se disent « prêts à payer 10 centimes de plus par boite de six oeufs pour accompagner la transition ».

Médiateur des relations commerciales

L’enjeu pour l’interprofession est maintenant que la grande distribution accepte cette hausse des prix et surtout la reverse à la profession.

« Les discussions ne sont pas faciles avec nos partenaires commerciaux et le ministère de l’Agriculture nous a engagé à travailler avec le médiateur des relations commerciales », explique M. Juven.

Ce sont les grandes surfaces qui vendent 82% des oeufs achetés chaque année par les Français, loin devant la vente directe et les marchés.

D’après IRI, les achats d’oeufs des ménages en GMS sont restés stables en volume, à -0,7% en 2016 par rapport à 2015. Sur ce marché, on note une importante progression des oeufs biologiques, dont les ventes ont augmenté de 12,9% sur un an, ainsi que des oeufs de plein air (hors Label Rouge), en hausse de +9,1%. Quant aux oeufs standard, qui représentent plus d’un oeuf acheté sur deux, ils ont enregistré un recul de 6,5% sur un an.

Reste une question importante pour la profession: quel destin pour les producteurs d’oeufs en batterie restants?

« Nous menons un travail de réflexion avec nos clients, les associations de consommateurs et des ONG comme Wellfarm et CIWF pour faire évoluer cette production », indique M. Juven.

En effet, il faut continuer à répondre à la demande du consommateur, qui veut également des premiers prix, mais aussi donner des perspectives aux producteurs d’oeufs en cage grâce à une solution négociée avec toutes les parties prenantes, comme l’installation de volières par exemple.

Romandie.com avec(©AFP / 03 mai 2017 20h32)