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Retour de Sarkozy, redouté par son épouse, espéré par Buisson

juin 9, 2013

L’ancienne première dame de France estime que son époux ne reviendra «absolument pas» en politique, tandis que l’un de ses plus proches conseillers en 2012 le présente comme «l’unique recours» de la droite en 2017.

Les proches de Nicolas Sarkozy continuent d’entretenir publiquement le mystère sur son éventuel retour en politique. À quelques heures d’intervalle, son épouse, Carla Bruni-Sarkozy, et l’un de ses plus proches conseillers durant la campagne présidentielle de 2012, Patrick Buisson, ont tour à tour soufflé le chaud et le froid sur les intentions de l’ex-président de la République.

Pour l’ancienne Première dame, c’est entendu: Nicolas Sarkozy «ne reviendra pas». «Absolument pas», affirme-t-elle même au quotidien espagnol El Pais , dans un long entretien accordé à l’occasion de la sortie de son nouvel album. Selon elle, ce choix est préférable «pour des questions de santé et de sérénité, et non pas citoyennes». Mais à l’image d’une interview donnée en octobre dernier au magazine Elle , Carla Bruni-Sarkozy fait montre d’une certaine prudence. «Vous ne pouvez jamais être sûrs de rien dans la vie, [mais] pour l’instant, ce n’est pas du tout à l’ordre du jour», assure-t-elle.

Les propos de Patrick Buisson sont nettement plus résolus. La candidature de Nicolas Sarkozy «s’imposera naturellement comme l’unique recours», tranche son ancien conseiller dans un entretien publié par Le Monde samedi. «Aujourd’hui, il n’y a en France qu’un homme d’État, c’est Nicolas Sarkozy. Face à la dynamique du Front national, toute autre candidature que la sienne exposerait la droite au risque d’une élimination au premier tour», affirme Patrick Buisson. «Il est le seul en capacité de rassembler», ajoute celui qui est présenté comme l’inspirateur de la «droitisation» des thématiques de l’UMP.

Se soumettre à la primaire

Les déclarations de Patrick Buisson interviennent trois jours après que François Fillon, sur France 2, s’est dit prêt à une «confrontation ouverte» avec Nicolas Sarkozy. Dans cette hypothèse, «il y aura un débat et les Français trancheront», a ajouté l’ancien premier ministre, qui a évoqué des divergences de vues avec l’ancien président, et égratigné au passage «la ligne politique d’une droite dure qu’incarne M. Buisson, que je connais assez mal et qui n’est pas élu». «Nicolas Sarkozy a toujours aimé la compétition. Il y aura une confrontation d’idées, une confrontation ouverte», a dit François Fillon.

De son côté, le président de l’UMP Jean-François Copé a déclaré que Nicolas Sarkozy devrait se soumettre à la primaire s’il décidait de briguer un nouveau mandat en 2017.

Lefigaro.fr

Valérie Trierweiler furieuse contre Paris Match : « C’est un journal de merde »

février 20, 2013
 

Valérie Trierweiler en colère contre "Paris Match"

Abaca

Valérie TrierweilerValérie Trierweiler et François HollandeValérie Trierweiler et François Hollande en une de "Paris Match"

Insolite. Quand « Paris Match » consacre un article à sa plus célèbre journaliste, Valérie Trierweiler, cette dernière n’hésite pas à faire savoir à son patron ce qu’elle en pense. Et elle ne fait pas dans la dentelle !

Depuis que Valérie Trierweiler est première dame de France, ses relations avec Paris Match, le journal qui l’emploie, peuvent parfois être tendues. Une hostilité réciproque à en croire certaines rumeurs récentes qui affirmaient qu’Arnaud Lagardère, à la tête du groupe qui possède Paris Match, avait voulu mettre fin au contrat qui le liait à la compagne de François Hollande car « elle ne nous a causé que des ennuis ». Pas franchement appréciée par sa rédaction, Valérie Trierweiler serait en effet dans le viseur de son journal. Et vice versa.

« Je viens de découvrir ton journal de merde ! »

Dernier exemple en date à illustrer ces relations houleuses : la Une de Paris Match, datée du 7 février 2013. On y voit la journaliste-première dame au bras de son compagnon se promenant en amoureux dans le jardin du Luxembourg. « Parenthèse amoureuse », peut-on lire en titre. A l’intérieur, un article de quatre pages consacré au couple présidentiel. Un papier tout ce qu’il y a de plus classique dans Paris Match mais qui a eu le don de mettre Valérie Trierweiler très en colère.  

En effet, à en croire Le Canard enchaîné, en découvrant le pot aux roses, la première dame, furibonde, a immédiatement décroché son téléphone pour incendier la boîte vocale du téléphone portable d’Olivier Royant, le directeur de la rédaction du magazine. « Je viens de découvrir ton journal de merde ! », aurait alors fustigé la journaliste, qui s’en serait également pris à ses « photos de merde » et à Paris Match qui, aussi, « fait de la merde ». « Trois fois le mot merde (au moins) à l’adresse d’un patron de presse et, accessoirement, de son propre patron », relate Le Canard enchaîné.

« Elle a protesté dans des termes courtois »

En découvrant le message de Valérie Trierweiler, Olivier Royant aurait été « choqué », selon ce que raconte un journaliste de Paris Match au journal satirique. Car si le directeur de la rédaction est « habituée aux éruptions de sa salariée de luxe », « le coup de canon n’avait encore jamais été aussi puissant », écrit Le Canard enchaîné.

Si le journal n’a pas pu obtenir de commentaire d’Olivier Royant, le chef de cabinet de Valérie Trierweiler confirme qu’elle a bien téléphoné à son patron pour lui manifester son fort mécontentement. En revanche, Patrice Biancone dément que la première dame ait pu tenir des propos aussi virulents. « Elle n’utilise pas ce genre de mots », explique au Canard enchaîné le chef de cabinet. « Si elle considérait que ‘Paris Match’ était un journal de merde, elle serait partie depuis longtemps. Elle a protesté mais dans des termes courtois », rectifie-t-il.

Jordan Grevet

Carla Bruni critique sévèrement Valérie Trierweiler

juin 28, 2012

« Moi au moins, je n’intervenais pas » 

 
Carla Bruni critique sévèrement Valérie Trierweiler
 
Ce n’est pas auprès de Carla Bruni que Valérie Trierweiler pourra trouver du réconfort. L’ex première dame de France n’apprécie pas les manières de la compagne de François Hollande.

Il devient décidément de plus en plus difficile de trouver des personnes prêtes à soutenir Valérie Trierweiler. On aurait pu penser qu’entre femmes qui ont partagé la même « fonction », les ex et nouvelles premières dames se serraient les coudes. Il n’en est rien.

Carla Bruni, en privé, ne cache pas l’agacement que lui inspire la compagne de François Hollande selon VSD. « On m’a beaucoup critiquée, s’indigne-t-elle auprès de son entourage, mais moi au moins, je n’avais que deux personnes à mon cabinet, et je n’intervenais pas quand un papier me déplaisait ».

Allusion limpide aux tendances interventionnistes de Mme Trierweiler qui n’a pas hésité à plusieurs reprises à prendre son téléphone ou son compte Twitter pour faire passer des messages. Avec les conséquences que l’on sait.

Les deux femmes ont cependant un point commun : elles cherchent encore leur place. Carla Bruni, si discrète pendant le quinquennat de son mari aimerait revenir sur le devant de la scène musicale mais son comeback s’annonce difficile. La chanteuse s’est coupée d’une partie de ses fans et traîne un blues persistant, toujours selon VSD. « Elle ne fait plus rêver », glisse, cruel, un habitué du milieu musical parisien. Valérie Trierweiler, quant à elle, oscille entre coups de sang médiatiques et discrétion forcée.

La journaliste politique et l’ex-super top devrait pourtant le savoir : Il n’y a que sur le papier que célébrité rime avec sérénité.

Voici.fr par P.S.B

Pierre Salviac viré de RTL après s’en être pris à Valérie Trierweiler

mai 10, 2012

Pas touche à la première dame 

Pierre Salviac viré de RTL après s’en être pris à Valérie Trierweiler
 
« On peut rire de tout, mais pas avec n’importe qui », disait Pierre Desproges. Ce n’est pas tout à fait vrai. Quand on s’attaque à la nouvelle première dame, la sanction est immédiate. Pierre Salviac, journaliste de RTL, en a fait les frais hier.

Les plaisanteries de Pierre Salviac sont rarement réputées pour être de bon goût. Parfois un brin raciste (« Dans le 95 jusqu’à son terminus. Depuis Alleray, pas un Black qui est monté n’a payé son ticket. Pourtant, ils ne sont pas champions du monde »), parfois un poil homophobe (« 63% de la population favorable au mariage gay. Il y avait beaucoup d’enc. Dans ce pays. Cela ne va pas s’arranger 😉 »), le spécialiste du rugby de RTL a donné hier dans le machisme. « À toutes mes consœurs, je dis : “Baisez utile, vous avez une chance de vous retrouver première Dame de France” 😉 », a-t-il tweeté dans l’après-midi. Une sortie, voulue humoristique, qui visait bien évidemment Valérie Trierweiler, la compagne de François Hollande.

Les réactions n’ont pas tardé sur la Toile, dénonçant sa « beaufitude » ou son « sexisme ». Jacques Esnous, le directeur de l’info de la station de radio, a immédiatement réagi en s’adressant directement à son chroniqueur : « Ton tweet est absolument intolérable. J’y vois un sexisme vulgaire inqualifiable que je condamne ». Face à un tel acharnement, Pierre Salviac a décidé de faire demi-tour : « En balançant une vanne, j’ai blessé mes consœurs. Je leur présente mes excuses et retire mon tweet ;-( » Cela n’aura pas suffi. Deux heures plus tard, Jacques Esnous annonçait que le journaliste sportif était viré : « Sanction pour non respect de nos consœurs et plus généralement des femmes. Pas de politique, juste la défense de nos valeurs. » Dans la foulée, Pierre Salviac a commenté cette affaire : « J’ai commis un penalty et pris un carton rouge. Qu’on ne compte pas sur moi pour contester l’arbitre. J’ai trop de respect pour RTL ». Avant de conclure : « À tous ceux qui me téléphonent pour une réaction, je dis que toute ma carrière j’ai fait mienne cette devise : “Les faits sont sacrés, le commentaire est libre”. »

Un licenciement express critiqué par certains commentateurs, qui s’étonnent que la station ait attendu que Salviac s’en prenne à la première dame pour découvrir ses blagues plus que douteuses…

Voici.fr par M-A.K.

Bernadette Chirac a voté pour son époux

avril 22, 2012
 
 
Bernadette Chirac, l’épouse de l’ex-chef de l’Etat Jacques Chirac, a voté aujourd’hui à Sarran (Corrèze) pour elle et l’ex-président, qui n’avait pu se déplacer, et assuré qu’il avait regretté d’avoir dit qu’il voterait pour François Hollande.
 
« C’est une élection majeure, qui rappelle des souvenirs d’une grande émotion », a déclaré l’ex-première dame de France à des journalistes, après avoir exprimé son suffrage vers midi dans ce village de quelque 260 habitants où elle est adjointe au maire. Interrogée sur une phrase prononcée le 11 juin 2011 par Jacques Chirac, lorsqu’il avait annoncé qu’il voterait pour le candidat socialiste François Hollande, elle a assuré que c’était « une maladresse ». « C’était regrettable, c’était une maladresse, il a regretté par la suite », a dit Mme Chirac, qui a ouvertement apporté son soutien au président et candidat de l’UMP Nicolas Sarkozy.
Bernadette Chirac, qui est élue au Conseil général de Corrèze, dont François Hollande est le président, a par ailleurs précisé que l’ex-chef de l’Etat âgé de 79 ans, « ne va pas mal, mais il ne pouvait pas supporter huit heures de route pour venir voter ».
Elle a précisé qu’ils passeraient la soirée ensemble à Paris et suivraient les résultats de la présidentielle à la télévision.
 
Lefigaro.fr avec AFP

Carla Bruni-Sarkozy: La polémique autour de sa statue enfle, le maire s’exprime

février 13, 2012

Pas une semaine ne passe sans qu’une nouvelle polémique autour du couple présidentiel ne soit déclenchée ! La dernière en date a éclaté après que le maire UMP de la ville de Nogent-sur-Marne, Jacques J.P. Martin, a décidé d’ériger une statue aux traits de la première dame de France, Carla Bruni-Sarkozy. Face aux virulentes critiques émanant de la droite comme de la gauche, le maire s’est exprimé sur Europe 1, ce matin, lundi 13 février, pour remettre les choses à plat.

Tout commence lorsque le maire décide d’ériger une statue en hommage aux plumassières, qui  travaillaient dans une ancienne fabrique de plumes de la ville. La sculptrice Élisabeth Cibot, en charge de la commande, pense à Carla Bruni, qui a tout de suite été d’accord : la statue représentera donc la première dame en  tenue d’ouvrière !

Face au tollé médiatique que la nouvelle a provoqué, Jacques J.P. Martin s’est exprimé, pour retirer toute étiquette politique à cette statue et clore la polémique. La sculpture en hommage aux immigrées italiennes du 19ème siècle « n’est pas une statue de Carla Bruni ».

Il poursuit : « Nous avons décidé de faire une statue contemporaine qui symboliserait la femme italienne (…) Arrivé à un moment, avec le sculpteur, nous nous sommes dits que ça aurait été bien d’obtenir l’accord de la première dame de France d’origine italienne pour avoir une symbolique un peu plus actuelle. » Il faut ainsi voir, toujours selon le maire, un « signe sympathique donné aux relations d’amitié entre la France et  l’Italie, qui sont un peu, qu’on le veuille ou non, symbolisées par le  fait que la première dame de France soit d’origine italienne. »

Si les traits de l’épouse de Nicolas Sarkozy (qui rappelons-le était mannequin) sont donc utilisés, son nom ne le sera en aucune façon. D’ailleurs, le maire ne songe même pas à l’inviter à l’inauguration en mai prochain !

La plus proche collaboratrice de Carla Bruni s’était elle aussi exprimée au Parisien, rappelant que si Carla Bruni avait accepté que son visage serve de modèle, elle refusait que son nom soit mis en avant et utilisé.

Voilà donc une explication qui pourrait clore la polémique… si nous n’étions pas en période électorale !

Purepeople.com