Posts Tagged ‘président des Etats-Unis’

Malia Obama, première apparition sur les réseaux sociaux : scandale en vue ?

janvier 6, 2015
Malia Obama,  une complicité tout sourire!

Malia Obama, une complicité tout sourire!

Voilà ce qui s’appelle faire le buzz ! Un cliché de la fille aînée du président des Etats-Unis posté sur le compte Instagram d’un collectif hip-hop a créé une effervescence folle sur toute la Toile. Scandale ? Affaire d’Etat ? Matière à mème super lol ?  Un peu de tout ça en même temps, certainement.

Si Michelle Obama est très présente sur les réseaux sociaux grâce à son compte Twitter baptisé FLOTUS pour First Lady of the US, on ne peut pas en dire autant de ses deux filles, Malia et Sasha. Les deux adolescentes sont privées de Facebook, Twitter ou Instagram depuis toujours. Hors de question qu’elles postent le moindre cliché qui pourrait être compromettant ou embarrassant pour leur père, le président des États-Unis depuis 2008.

Et c’est justement parce que Malia Obama est totalement absente du Net que le premier cliché d’elle apparue sur un réseau social fait tant de bruit. Hier, 5 janvier 2015, un collectif hip-hop new-yorkais baptisé Pro Era s’est permis de mettre en ligne via son compte Instagram un portait de la jolie Malia, âgée de seulement 16 ans. Sur la photo, la jeune fille apparait les mains derrière la tête, la moue un peu boudeuse et portant un T-shirt aux couleurs du crew Pro Era. En légende, la marque invite ses abonnés à se procurer ce même haut.

Vers un scandale à la Maison Blanche ?

Aussi anodine que puisse sembler cette photo, elle pose tout de même de nombreuses questions et pourrait bien se transformer rapidement en « l’affaire Malia en Pro Era », un véritable scandale. Les détracteurs de la famille présidentielle et surtout de Malia et Sasha sont plutôt virulents sur Internet !

Tout d’abord, on ne sait pas vraiment d’où sort cette photo. D’après la presse américaine, et notamment le site Gawker, elle aurait été envoyée par Malia à un ami, lui-même ami avec des gens de chez Pro Era. L’adolescente a-t-elle donné la permission de publier cette photo à des fins publicitaires ? Impossible à dire !

Voilà donc la preuve, s’il s’avère que la jeune fille en photo est bien la fille de Barack Obama, que la Maison Blanche n’a absolument aucun contrôle sur les informations, photos et autres documents que pourraient divulguer par erreur ou volontairement les filles du président.

Outre cela, ce que nous dit cette photo avant tout, c’est que Malia Obama est une ado comme les autres et qu’elle aime bien se prendre en photo avec sa webcam… A quand les selfies duck face ? Cela ne saurait tarder et en attendant, on surveille l’apparition des éventuels détournements LOL de la photo.

Puretrend.com

Obama condamne le meurtre brutal de l’otage britannique Alan Henning

octobre 3, 2014

Washington – Le président des Etats-Unis Barack Obama a condamné vendredi le meurtre brutal du travailleur humanitaire britannique Alan Henning par le groupe terroriste EI, et promis que justice serait faite.

La Maison Blanche a indiqué n’avoir aucune raison de douter de l’authenticité de cette vidéo réalisée selon le même scénario que lors des exécutions précédentes de deux Américains et d’un Britannique.

A la fin de cette vidéo, qui ne dure qu’une minute et onze secondes, le groupe EI présente un autre otage américain, Peter Kassig, et menace d’en faire sa prochaine victime.

Caitlin Hayden, porte-parole du Conseil de sécurité nationale (NSC), a confirmé, sans autres précisions, que le citoyen américain Peter Kassig était détenu par l’EI.

Nous continuerons à utiliser tous les outils à notre disposition, militaires, diplomatiques, renseignement, pour essayer de ramener Peter chez lui auprès de sa famille, a-t-elle ajouté.

M. Henning travaillait pour améliorer la vie des Syriens, sa mort est une grande perte pour eux, pour sa famille et pour le Royaume-Uni, a souligné M. Obama dans un communiqué.

Nous travaillerons ensemble avec nos alliés et amis du Royaume-Uni pour traduire en justice les auteurs du meurtre d’Alan, ainsi que les auteurs des meurtres de Jim Foley, Steven Sotloff et David Haines, a ajouté le président des Etats-Unis.

Ensemble, avec une large coalition d’alliés et de partenaires, nous continuerons à agir de manière déterminée pour affaiblir et, à terme, détruire l’EI, a-t-il précisé.

Romandie.cm avec(©AFP / 04 octobre 2014 01h38)

L’armée irakienne sera reconstituée et entraînée, affirme Kerry

septembre 10, 2014

Bagdad – Le secrétaire d’État américain, John Kerry, a affirmé mercredi à Bagdad que l’armée irakienne serait reconstruite dans le cadre d’une stratégie globale que doit annoncer le président des États-Unis, Barack Obama, dans les prochaines heures.

Il s’est également dit confiant dans la réussite de la mission de la coalition internationale que les États-Unis cherchent à mettre en place pour venir à bout des jihadistes de l’État Islamique (EI).

L’armée irakienne sera reconstituée et entraînée (…) par le biais de stratégies différentes et avec l’aide non seulement des États-Unis mais d’autres pays également, a dit M. Kerry. Il s’exprimait au cours d’une conférence de presse à l’issue d’une brève visite en Irak.

M. Kerry a lancé mercredi à Bagdad une tournée destinée à mettre en place une coalition internationale contre les jihadistes de l’État islamique (EI), un groupe armé extrémiste sunnite qui sévit en Irak et en Syrie.

L’armée irakienne avait abandonné ses postes et reculé devant l’avancée fulgurante des combattants de l’EI début juin dans le nord de l’Irak.

L’ancienne armée irakienne, qui était forte de 450.000 militaires en 2003, fut dissoute peu après l’invasion américaine ayant mis fin au règne de Saddam Hussein.

Sous la supervision des forces multinationales en Irak, une nouvelle armée a été progressivement reconstituée mais les dirigeants irakiens se sont à plusieurs reprises plaints du manque d’équipements et de l’encadrement. Son effectif actuel est proche de 200.000 hommes.

Les États-Unis ont retiré leurs troupes d’Irak en 2011 après huit ans d’occupation. Les deux côtés avaient alors assuré que l’armée irakienne était capable de maintenir la sécurité dans le pays.

Mais les forces gouvernementales irakiennes n’ont pu stopper une recrudescence des violences depuis l’an dernier, perdant le contrôle total d’une ville et d’une autre partiellement en janvier avant de reculer face à l’offensive fulgurante des jihadistes de l’EI qui ont réussi à s’emparer de pans entiers du territoire depuis juin.

Les États-Unis ont pris ces dernières semaines la tête des efforts internationaux pour contrer la menace grandissante posée par l’EI, qui multiplie les exactions dans les régions conquises en Irak et en Syrie.

Nous savons tous (…) qu’en définitif, notre coalition internationale réussira à éliminer la menace en Irak, dans la région et dans le monde, a affirmé M. Kerry à Bagdad.

M. Obama prononcera une allocution solennelle à la Maison Blanche mercredi soir (01H00 GMT jeudi), soit la veille du 13e anniversaire des attentats du 11-Septembre.

Il s’apprêterait à autoriser des frappes aériennes contre les combattants de l’EI en Syrie, comme les États-Unis le font déjà dans le nord de l’Irak, selon le New York Times et le Washington Post.

Romandie.com avec(©AFP / 10 septembre 2014 17h28)

Obama: le monde a besoin d’une Afrique « forte et autonome »

juillet 28, 2014
 Obama: le monde a besoin d'une Afrique "forte et autonome" © AFP

Obama: le monde a besoin d’une Afrique « forte et autonome » © AFP

Le président des États-Unis Barack Obama a affirmé lundi que le monde avait besoin d’une Afrique « forte et autonome », à une semaine d’un sommet sans précédent rassemblant à Washington près de 50 dirigeants africains.

Évoquant un sommet « véritablement historique », M. Obama a souligné qu’il illustrerait sa conviction que « la sécurité, la prospérité et la justice » dans le monde « ne sont pas possibles sans une Afrique forte, prospère et autonome ».

« Ce sera le plus grand rassemblement de chefs d’État et de gouvernement africain jamais organisé par un président américain », a souligné M. Obama qui s’exprimait devant 500 étudiants africains participant à un programme d’échange (« Washington Fellowship for Young African Leaders ») visant à contribuer au développement économique et au renforcement des institutions démocratiques sur le continent.

« Si nous sommes conscients des réelles difficultés que rencontrent tant d’Africains chaque jour, nous avons le devoir de saisir le potentiel extraordinaire de l’Afrique d’aujourd’hui, qui est le continent le plus jeune et qui connaît la croissance la plus forte », a poursuivi M. Obama.

Interrogé par un étudiant sur les priorités qui devraient, selon lui, être celles de l’Afrique, il a insisté sur la gouvernance.

« Quelles que soient les ressources d’un pays, si vous n’avez un pas un ensemble de lois, le respect pour les droits civiques et les droits de l’homme, si vous n’avez pas de liberté d’expression et de rassemblement (. . . ), il est très rare qu’un pays réussisse dans la durée », a-t-il souligné. « Vous n’éliminerez jamais la corruption à 100% (. . . ) mais l’important est que le respect de la loi soit la norme ».

M. Obama, né aux États-Unis d’une mère américaine et d’un père kényan, avait lancé l’idée d’un sommet USA-Afrique en juin 2013 lors se première grande tournée sur le continent durant laquelle il s’était rendu en Afrique du Sud, au Sénégal et en Tanzanie.

Lors d’un discours au Cap, il avait souhaité « ouvrir un nouveau chapitre dans la relation entre les États-Unis et l’Afrique ».

Jeuneafrique.com avec AFP

Le cadeau un peu fou de Barack Obama au prince George

juillet 28, 2014

prince-george-barack-obama-1_reference_article

Cavalier à un an

Le Président des États-Unis Barack Obama a offert un cadeau exceptionnel au fils du prince William et de Kate Middleton.

Il vient de souffler sa première bougie, et le petit Prince George devrait prochainement apprendre à monter à cheval. Car pour célébrer son anniversaire, Barack Obama, alias Tonton Barack (la classe, quand même), lui a fait fabriquer un cheval à bascule sensationnel, comme le rapporte le magazine Time.

Fabriqué avec le bois d’un chêne planté sur l’une des pelouses de la Maison-Blanche (ben oui, hein, ça n’allait pas être du bois tout simple d’une forêt toute simple de la Nièvre), le petit cheval à bascule a été réalisé sur mesure. Pour accompagner ce présent, le Président des États-Unis a ajouté à son envoi un maillet de polo miniature et une couverture en alpaga.

Des objets qui viendront s’ajouter à la collection déjà bien fournie du bébé de Buckingham Palace. D’autres exemples de cadeaux sont actuellement exposés au siège de la Monarchie. Car l’exposition « Une enfance royale » rassemble photographies, tenues et objets ayant été utilisés par neuf générations d’enfants royaux. Plus de 150 pièces y figurent jusqu’au 28 septembre. Parmi les cadeaux les plus atypiques, les visiteurs pourront découvrir une réplique miniature d’Aston Martin DB5 (la voiture de James Bond), offerte en 1966 au prince Andrew.

Voici.fr par L.M.

Obama va rencontrer Porochenko en Pologne mercredi

mai 30, 2014

Washington – Le président des États-Unis Barack Obama va rencontrer le président élu ukrainien Petro Porochenko mercredi prochain lors d’une visite officielle en Pologne, a annoncé vendredi la Maison Blanche.

Cette rencontre, peu avant l’investiture de M. Porochenko prévue le 7 juin, se déroulera dans le cadre d’une tournée européenne de M. Obama qui le conduira aussi en Belgique et en France, a précisé le conseiller adjoint de sécurité nationale de M. Obama, Ben Rhodes.

Ce déplacement est destiné à assurer les pays de l’Europe de l’Est de l’engagement des États-Unis à défendre la sécurité de leurs alliés après la prise de contrôle de la Crimée par la Russie aux dépens de Kiev.

M. Obama avait appelé M. Porochenko au téléphone mardi dernier pour le féliciter de sa victoire à la présidentielle en Ukraine le dimanche précédent, et la Maison Blanche avait alors évoqué une rencontre prochaine entre les deux hommes.

Romandie.com avec(©AFP / 30 mai 2014 21h41)

Obama est arrivé en Corée du Sud, menace d’un test nucléaire au Nord

avril 24, 2014

Séoul – Le président des Etats-Unis Barack Obama a atterri vendredi matin en Corée du Sud pour une visite de deux jours, dominée par les menaces d’un quatrième test nucléaire conduit par la Corée du Nord.

Le président, qui s’est posé sur la base aérienne américaine d’Osan, au sud de Séoul, arrive aussi dans un pays en deuil, après le naufrage d’un ferry qui a fait plus de 300 morts ou disparus, dont 280 lycéens.

Cette semaine, le gouvernement sud-coréen a signalé un regain d’activités sur le site de Punggye-ri, en Corée du Nord, qui pourrait signifier que des préparatifs sont en cours pour un 4e essai nucléaire.

Vendredi, l’Institut américano-coréen, un centre d’études respecté sur la Corée du Nord, situé aux Etats-Unis, a révélé que l’analyse d’images satellite récentes (deux jours) suggérait un surcroît d’activités.

Les analystes estiment possible que Pyonguang veuille perturber la visite du président des Etats-Unis au Sud, voisin et ennemi du Nord, en procédant à un nouvel essai nucléaire.

Mais d’autres avancent que Pyongyang ne se risquera pas à provoquer la colère de la Chine, son puissant allié et seul soutien économique de poids.

Selon Séoul, il pourrait aussi s’agir de simples manoeuvres destinées à faire croire à un prochain test nucléaire.

La Corée du Nord a procédé à trois essais nucléaires: en octobre 2006, mai 2009 et février 2013, des tests interdits par l’ONU et qui conduisent chaque fois à un alourdissement des sanctions internationales.

Séoul est la deuxième étape, après Tokyo, de la visite d’Obama en Asie, avant un départ pour la Malaisie samedi.

Le séjour du président américain en Corée sera assombri par la mort de centaines d’adolescents, piégés dans un ferry qui a fait naufrage il y dix jours au large de la côte méridionale du pays.

Colère et douleur ont créé une atmosphère électrique dans le pays, où la population exprime sa défiance envers les dirigeants, politiques ou autres.

Romandie.com avec(©AFP / 25 avril 2014 06h05)

Barack Obama rencontre pour la première fois le pape dont il se dit grand admirateur

mars 27, 2014

CITE DU VATICAN – Le pape François a eu une entrevue chaleureuse jeudi avec le président américain Barack Obama, qui s’est défini comme son grand admirateur, pour leur première rencontre depuis l’élection du pontife argentin en mars 2013.

C’est merveilleux de vous rencontrer, a dit le président américain au pape, le répétant à deux reprises. Souriant, le pape lui a répondu en anglais: bienvenue Monsieur le Président.

Première rencontre entre Barack Obama et le… par 20Minutes

La rencontre, en présence de traducteurs, a duré plus longtemps – 50 minutes – que les entretiens habituels avec d’autres chefs d’Etat et de gouvernement.

En l’accueillant, le premier pape des Amériques s’est avancé vers le président des Etats-Unis, qui était souriant mais semblait impressionné, et lui a serré les deux mains avec vigueur.

Le pape était grave, comme chaque fois avant de tels entretiens, mais cordial.

Puis ils ont posé brièvement pour les photographes debout l’un à côté de l’autre, la haute silhouette du président américain dominant celle du pape, avant de s’asseoir de chaque côté d’un bureau et de converser aimablement, M. Obama lui adressant les saluts de sa famille.

La dernière fois, quand je suis venu voir votre prédécesseur (Benoît XVI en 2009), j’avais pu venir avec ma femme et mes filles, a-t-il rappelé.

Les deux hommes ont été rejoints par leurs traducteurs: un prélat pour le pape et une femme portant une mantille noire pour le président.

A la fin de l’entretien, le président américain a offert au pape une boîte en cuir et en bois contenant des semences de fruits et de légumes des jardins de la Maison Blanche destinés à être plantés symboliquement dans les jardins de la résidence estivale des papes à Castel Gandolfo, près de Rome.

Ce don est accompagné d’un important lot de semences destiné aux oeuvres de l’Eglise, et capable de générer plusieurs tonnes de fruits et de légumes.

Si vous avez l’opportunité de venir à la Maison Blanche, vous verrez les jardins, a-t-il dit au pape, qui a simplement répondu en espagnol, pourquoi pas, sans s’engager plus précisément.

De son côté, le pape François a offert deux médailles, ainsi que son Exhortation apostolique Evangelii Gaudium publiée à l’automne dernier, dans lequel il condamne la spéculation financière et l’avortement.

Je la lirai certainement dans le Bureau ovale quand je serai profondément frustré et je suis sûr qu’elle me donnera de la force et me calmera, a réagi le président.

M. Obama, qui est de confession protestante et croyant, a aussi fait au pape une requête personnelle: priez pour moi et ma famille! Ma femme et mes filles doivent me supporter!

Dans une remarque à la fin de l’entretien, adressée à un traducteur, le président a observé en aparté: sa Sainteté est probablement la seule personne qui doit suppporter davantage de protocole que moi.

Le président avait été accueilli dans la cour Saint-Damase par le préfet de la maison pontificale, Mgr Georg Gänswein, en présence d’une rangée de gardes suisses, en grand uniforme.

Puis il avait salué un à un les gentilhommes de Sa Sainteté qui l’avaient escorté jusqu’au deuxième étage du palais pontifical.

Traversant lentement, comme le veut la coutume, les couloirs couverts de fresques, le président américain semblait impressionné, répondant à peine à Mgr Gänswein.

Barack Obama, qui avait été reçu en juillet 2009 par Benoît XVI, a abordé avec François les thèmes de la lutte contre les inégalités, les grandes crises mondiales, et les questions de société aux Etats-Unis.

Romandie.com avec (©AFP / 27 mars 2014 13h12)

Ukraine: plus de 2000 soldats russes dans la capitale de la Crimée

février 28, 2014

Plus de 2000 soldats russes ont été aérotransportés vendredi à Simferopol, capitale de la Crimée, a affirmé le représentant du président ukrainien dans la république autonome. Il a dénoncé une « invasion armée russe » tandis que Washington a lancé une mise en garde à Moscou.

Lors d’une déclaration à la Maison blanche, le président des Etats-Unis Barack Obama a prévenu que toute opération aurait un « coût ».

Affirmant que Washington soutenait la souveraineté et l’intégrité territoriale de l’Ukraine, M. Obama a aussi indiqué que son pays était « profondément inquiet » au sujet d’informations sur des mouvements de troupes russes en Crimée.

Il n’a toutefois pas confirmé les déclarations du président ukrainien par intérim, Olexandre Tourtchinov, qui a demandé au président russe Vladimir Poutine de cesser cette « agression non dissimulée ».
Médiation internationale demandée

Un responsable américain de la Défense a indiqué sous couvert de l’anonymat que la Russie avait déployé « plusieurs centaines de soldats » dans la péninsule ukrainienne. Il a précisé que les Etats-Unis n’envisageaient pas à ce stade de réponse militaire.

L’ambassadrice américaine à l’ONU, Samantha Power, a, elle, appelé à l’organisation urgente d’une médiation internationale, après une réunion extraordinaire du Conseil de sécurité sur le sujet.

La mission aura pour objectif de « commencer à faire baisser la tension et à faciliter un dialogue politique pacifique et productif entre toutes les parties ukrainiennes ». Elle devra être « indépendante et crédible » et être « au service de l’intégrité territoriale de l’Ukraine ».

L’ambassadeur russe Vitali Tchourkine a immédiatement répondu que Moscou avait « pour principe de ne pas accepter les médiations imposées ».
Espace aérien bouclé

A l’aéroport de Simferopol, les vols prévus vendredi soir et samedi matin ont été annulés, en raison des « derniers événements » sur place, où des militaires non identifiés et des civils prorusses patrouillent autour de l’aéroport, a annoncé une porte-parole à Kiev.

Des témoins ont signalé vendredi soir des mouvements de véhicules militaires sur la route entre Sébastopol et Simferopol, à bord de transports blindés non identifiés, ainsi que l’atterrissage de plusieurs avions-cargos militaires dans un aéroport militaire près de Simferopol.

Romandie.com

Beyoncé-Barack Obama : leur liaison sur le point d’être révélée par le Washington Post ?

février 10, 2014
Barack, Beyoncé et Jay-Z

Barack, Beyoncé et Jay-Z

« C’est quelque chose d’énorme ! »

Plus fort que l’affaire Gayet-Hollande ? Sans aucun doute. Selon un célèbre photographe de presse, deux journaux américains devraient dévoiler demain les dessous d’une liaison explosive entre Barack Obama et Beyoncé…

Lorsque Jean-Marc Morandini a reçu ce matin le photographe Pascal Rostain dans le Grand direct des médias sur Europe 1, il ne s’attendait visiblement pas à la bombe que ce grand spécialiste des people a lachée dans son studio. « Vous savez, en ce moment aux Etats-Unis, il y a quelque chose d’énorme qui est en train de se passer et qui va sortir demain dans une édition spéciale du Washington Post », a annoncé ce dernier.

Un « quelque chose d’énorme » qui pourrait en effet faire grand bruit puisque il s’agirait de « la liaison supposée de Barack Obama avec Beyoncé. » Une histoire d’amour qui devrait faire le tour du monde et mettre sérieusement à mal l’image du président des États-Unis si elle était avérée.

Pour Pascal Rostain, en tous les cas, elle ne fait aucun doute et il en veut pour preuve le sérieux des deux journaux qui s’apprêteraient selon lui à balancer ce dossier explosif. « Ça sort demain dans le Financial Times et le Washington Post », confie-t-il, sans qu’on en sache plus sur la manière dont il l’a appris.

Le photographe est un spécialiste des relations sentimentales mêlant politique et showbiz comme il le dévoile dans son livre Voyeur, mémoires indiscrètes du roi des paparazzis. Il y raconte, entre autres anecdotes, comment en 2007 il a prêté son appartement à une copine journaliste à Paris Match, qui souhaitait cacher sa relation passionnée avec le premier secrétaire du PS. C’est en effet chez lui que Valérie Trierweiler et François Hollande ont vécu un temps leur amours clandestines.

Un petit secret pour lequel il confiera avoir été mal payé en échange. À son retour, son appartement était « saccagé, retourné, chamboulé » et « sale », raconte-il dans sa biographie. Hasard du calendrier, le même François Hollande est en ce moment aux Etats-Unis. Nul doute que Barack et lui vont avoir un tas de choses à se raconter si Pascal Rostain dit vrai…

Voici.fr par P.S.B.