Double démenti de Buckingham dans une affaire d' »esclavage sexuel »

Le palais de Buckingham a démenti par deux fois ce week-end les accusations d’une femme. Dans une plainte déposée en Floride, elle affirme avoir été contrainte à des rapports sexuels avec le prince Andrew alors qu’elle était mineure, rapporte la presse britannique dimanche.

« Les allégations sont fausses et sans fondement. » Dans un nouveau communiqué en réponse aux salves de la presse dominicale, Buckingham « nie catégoriquement que le duc d’York ait eu une quelconque forme de contact ou relation sexuelle » avec la femme , alias « Jane Doe #3 », ayant cité le prince Andrew dans le cadre de cette plainte.

Buckingham avait déjà fait savoir vendredi que « toute allégation selon laquelle des actes inconvenants ont été commis avec une mineure » était « catégoriquement fausse ».

Menace potentielle
Deux démentis coup sur coup est chose rarissime de la part du Palais de Buckingham qui garde généralement le silence dans de telles circonstances. « C’est assez remarquable », note le correspondant royal de la BBC, Peter Hunt, en soulignant que la situation « pouvait potentiellement nuire sérieusement au prince Andrew et à l’institution qu’il représente ».

La plaignante, dite « Jane Doe #3″ pour préserver son anonymat, affirme qu’un homme d’affaires du nom de Jeffrey Epstein l’a contrainte à avoir des rapports sexuels avec le Duc d’York, deuxième fils de la reine Elizabeth II, en trois occasions, à Londres, à New York et sur une île privée des Caraïbes. Les faits se seraient déroulés, à une date non précisée, lors d' »une orgie avec un certain nombre d’autres jeunes filles mineures ».

Ancienne photo
La plainte de « Jane Doe #3 » s’inscrit dans le cadre d’une affaire civile contre l’Etat américain qui remonte à 2008. Elle concerne les droits de plusieurs femmes disant avoir été victimes de Jeffrey Epstein. Ce dernier a été reconnu coupable dans plusieurs affaires d’agressions sexuelles sur personnes mineures aux Etats-Unis.

Samedi, certains journaux britanniques ont publié une ancienne photographie du prince Andrew, aujourd’hui âgé de 54 ans, tenant la jeune femme par la taille alors qu’elle était âgée de 17 ans.

Romandie.com

Beyoncé rate son duo avec la princesse Eugénie

La chanteuse coupe le souffle d’une invitée royale

 

Elle faisait escale à Paris la semaine dernière, Beyoncé est maintenant à Londres pour achever une série de concert au stade O2. Et pour son étape anglaise, la femme de Jay-Z a d’ores et déjà marqué les esprits. Alors qu’elle entonnait le début de Irreplaceable, elle a eu la bonne idée de tendre son micro à la princesse Eugénie, petite fille de la reine, qui en est restée bouche bée.

On savait que le Prince Charles était fan des Spice Girls, on vient d’apprendre que la Princesse Eugénie est une inconditionnelle de Beyoncé. La bombe, à Paris les 24 et 25 avril derniers, est passée pour quelques jours dans la capitale britannique pour donner une série de concerts explosifs. Et sans l’avoir cherché, Bey a rencontré la fille cadette du Prince Andrew et de Sarah Ferguson: Eugénie. La jeune fille de 23 ans a été prise de court au beau milieu du concert, alors que la superstar lui tendait le micro.

«To the left, to the left» chante Beyoncé dans Irreplaceable. Pour chauffer un public de 80000 personnes, la tigresse connaît son boulot. Sur quelques chansons populaires, elle les laisse chanter avec elle. Une interactivité qui rend le premier rang complètement Crazy in Love. Mardi soir, c’est vêtue d’une combinaison violette pailletée, que Mrs Carter a fait le tour de la scène pour aller à la rencontre de ses fans londoniens. Dont Eugénie d’York qui, selon le quotidien Daily Mirror assistait au show en compagnie d’un groupe d’amis. Entre autres, le designer Matthew Williamson, la présentatrice télé Donna Air, ainsi que James Middleton, le frère de la duchesse de Cambridge, Kate.

Et au moment où Beyoncé a tendu le micro au hasard pour répondre à ses mélodies, la cousine du Prince William est restée muette, complètement tétanisée. D’après les sources, «tous ses amis ses sont moqués de son trac pendant des heures».

Quoiqu’il en soit, Eugénie d’York gardera sans doute un souvenir indélébile de sa rencontre fortuite avec Beyoncé. Au cours de cette soirée survoltée, la jeune femme «filmait tout le spectacle sur son téléphone, comme n’importe quel autre fan», raconte le Mirror.

 Gala.fr par Fanny Abouaf

Inquiétudes autour de la santé d’Elisabeth II

La reine annule une nouvelle fois ses apparitions publiques

Un communiqué du palais précise que la souveraine «espère» pouvoir reprendre le cours normal de ses activités la semaine prochaine.

Buckingham insiste sur le fait qu’Elisabeth II «continue de se rétablir» après les problèmes de santé qui l’ont conduite à être brièvement hospitalisée le 3 mars. Hier, elle a remis, comme prévu, la «Médaille d’or royale de Poésie» à l’auteur John Agard et honoré l’ensemble de ses audiences. Mais en fin d’après-midi, le palais a annoncé qu’«à son grand regret» elle ne pourrait effectuer la visite de Tech City prévue aujourd’hui, 13 mars – son fils, le prince Andrew, la remplacera au pied levé.

«Ils [les médecins] ont l’air de ne pas trop savoir ce que j’ai»… C’est, en substance, ce qu’aurait confié la souveraine à Kamalesh Sharma, le Secrétaire général du Commonwealth, révèle le quotidien britannique Daily Express. Depuis deux semaines, Sa Majesté souffrirait de symptômes évoquant une gastroentérite. Les chroniqueurs royaux britanniques relèvent qu’en soixante ans de règne, jamais elle n’a à ce point bouleversé son programme pour raisons de santé. 

Dotée d’une constitution robuste – et surtout peu encline à «s’écouter» –, Elisabeth II est fermement décidée à revenir au plus vite au meilleur de sa forme. Si elle limite au maximum ses apparitions publiques, elle devrait, jusqu’à la fin de la semaine, assurer l’intégralité des engagements officiels qui se tiendront au palais-même, notamment la réunion de son Conseil Privé prévue dans la journée. Mais demain, son époux, le prince Philip, se rendra seul à un service religieux en la chapelle des Gardes…

Gala.fr par