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Élisabeth II et son royaume ont fait leurs adieux au prince Philippe

avril 17, 2021

La famille royale britannique a fait ses adieux au prince Philippe, qui aura été aux côtés de la reine Élisabeth II pendant 73 ans. Venus se recueillir au sein de la chapelle Saint-Georges, ses proches, réunis en comité restreint, l’ont conduit dans son dernier repos.

Des membres de la Marine royale ont transporté le cercueil du prince Philippe jusqu’à l’intérieur de la chapelle Saint-Georges.

© KIRSTY WIGGLESWORTH/Getty Images Des membres de la Marine royale ont transporté le cercueil du prince Philippe jusqu’à l’intérieur de la chapelle Saint-Georges.

Au terme d’une cérémonie toute en sobriété, le cercueil du prince Philippe a été descendu dans le caveau royal, crypte où il restera jusqu’à ce que la reine l’y rejoigne. Ainsi réunis, les époux auront pour dernière demeure la chapelle du Memorial du roi George VI, père d’Élisabeth II.

Quelques jours avant son 95e anniversaire, la reine a perdu «son roc», celui qui à titre de prince consort détient le record de longévité d’un conjoint de monarque britannique. Il aurait eu 100 ans le 10 juin prochain.

Le doyen de Windsor, le pasteur David Conner, a loué l’«inébranlable loyauté» du prince Philippe envers la reine, son «courage», sa «force d’âme» et sa «foi».

L’archevêque de Canterbury Justin Welby, chef spirituel des anglicans, a donné la bénédiction qui a clos l’office.

La reine Élisabeth II était assise à l'écart du reste de la famille royale, à l'intérieur de la chapelle Saint-Georges.

© WPA Pool/Getty Images La reine Élisabeth II était assise à l’écart du reste de la famille royale, à l’intérieur de la chapelle Saint-Georges.

Tout juste avant que le cercueil soit transporté dans l’enceinte de la chapelle, une minute de silence a été observée à la mémoire du prince.

À sa suite, des membres de la famille royale ont marché solennellement, le silence rompu seulement par les tirs de la Royal Horse Artillery.

Mené par Charles, le prince héritier de la couronne, et sa sœur la princesse royale Anne, le cortège a ainsi suivi le cercueil jusqu’à la chapelle.

Derrière eux ont défilé les enfants de la reine et du prince Philippe, ainsi que leurs petits-fils William et Harry. Entre les deux frères aux relations distendues se trouvait leur cousin Peter Philips, fils de la princesse Anne.

La reine Élisabeth II a pour sa part participé au cortège funéraire à bord de sa Bentley royale.

Des membres de la famille royale composent le cortège funéraire, à la suite du Land Rover transportant le cercueil du prince Philippe.

© WPA Pool/Getty Images Des membres de la famille royale composent le cortège funéraire, à la suite du Land Rover transportant le cercueil du prince Philippe.

Transporté à bord d’un austère Land Rover vert militaire – véhicule que le duc a lui-même contribué à concevoir –, le cercueil, recouvert de l’étendard personnel du prince, de son épée, de sa casquette de la marine et d’une couronne de fleurs, a quitté en fin de matinée le château de Windsor en direction de la chapelle.

À la demande du prince Philippe, la famille royale a délaissé l’idée de tenir des funérailles nationales au profit d’une cérémonie plus intime – plus restreinte encore que le patriarche n’aurait pu l’imaginer, pandémie oblige.

En raison des règles sanitaires en vigueur en Angleterre, seuls 30 proches du duc d’Édimbourg, masqués et distancés, ont pu assister aux obsèques.

Bien que le public a été appelé à ne pas se rassembler devant les résidences royales, de nombreux Britanniques sont venus déposer des gerbes de fleurs aux abords du château de Windsor et faire leurs adieux au prince.

Le Royaume-Uni observe un deuil national depuis la mort du duc d’Édimbourg, le 9 avril dernier.

Les funérailles de prince Philippe n’ont pas manqué de refléter son passé militaire, le cortège étant formé de nombreux membres de la Marine britannique, au sein de laquelle le duc a combattu pendant la Seconde Guerre mondiale.

Des gens se rassemblent à l'entrée du château de Windsor, dans l'espoir d'apercevoir le cortège menant le prince Philippe vers son dernier repos.

© TOLGA AKMEN/Getty Images Des gens se rassemblent à l’entrée du château de Windsor, dans l’espoir d’apercevoir le cortège menant le prince Philippe vers son dernier repos.

Une première rencontre de famille

Pour les Windsor, ces funérailles sont aussi l’occasion de se réunir après les crises récentes.

C’est la première fois depuis sa mise en retrait tonitruante de la monarchie et son départ outre-Atlantique que le prince Harry retrouve en public la famille royale, marquée par l’ombre des accusations de racisme et d’indifférence que son épouse et lui-même ont portées lors d’une interview retentissante accordée à Oprah Winfrey.

Enceinte de leur deuxième enfant, l’épouse de Harry, Meghan Markle, est restée aux États-Unis sur les conseils de son médecin.

Les princes William et Harry se tenaient près du cercueil du duc d'Édimbourg, séparés par Peter Philipps, fils de la princesse Anne.

© VICTORIA JONES/Getty Images Les princes William et Harry se tenaient près du cercueil du duc d’Édimbourg, séparés par Peter Philipps, fils de la princesse Anne.

Sur le plan vestimentaire néanmoins, la famille royale britannique va présenter un front uni. Tous sont en tenue civile, une manière d’éviter de distinguer les princes Andrew et Harry, tous deux très attachés à l’armée mais en retrait de la monarchie.

L’apparition en uniforme du prince Andrew, deuxième fils de la reine et ex-pilote d’hélicoptère, aurait fait mauvais genre vu son amitié avec le défunt financier Jeffrey Epstein, poursuivi pour trafic de mineures.

Avec CBC/Radio-Canada

Royaume-Uni: Le prince Philippe, partenaire indéfectible de la reine Élisabeth II, n’est plus

avril 9, 2021

Le prince Philippe, duc d’Édimbourg, s’est éteint à l’âge de 99 ans, a annoncé vendredi le palais de Buckingham. Il aura été aux côtés de la reine Élisabeth II pendant 73 ans.

Le prince Philippe a rendu son dernier souffle vendredi matin, au château de Windsor.

© Samir Hussein/ Samir Hussein/WireImage/Getty Images Le prince Philippe a rendu son dernier souffle vendredi matin, au château de Windsor.

«C’est avec un profond chagrin que Sa Majesté la reine annonce le décès de son mari bien-aimé, Son Altesse Royale le Prince Philippe, le duc d’Édimbourg», peut-on lire sur le site du palais de Buckingham.

Le prince a rendu son dernier souffle vendredi matin, au château de Windsor. Il est «décédé paisiblement» indique-t-on encore.

«Nous sommes en deuil avec Sa Majesté la reine et nous lui présentons nos condoléances, à elle et sa famille», a réagi le premier ministre britannique, Boris Johnson, depuis Downing Street.

Le prince aura « gagné l’affectation de plusieurs générations, au Royaume-Uni, au sein du Commonwealth comme dans le reste du monde », a-t-il ajouté.

Pour souligner le départ du duc, le palais de Buckingham a mis en berne son drapeau britannique.

Plus tôt cette année, il avait passé un long séjour d’un mois à l’hôpital pour une infection. L’annonce de son transfert pour traiter des problèmes cardiaques avait ensuite instillé la crainte que son état de santé ne se détériore davantage. Il avait toutefois obtenu son congé de l’hôpital à la mi-mars.

Partenaire de tous les instants de la reine, le prince Philippe aurait célébré en juin prochain son 100e anniversaire; le mois de novembre aurait marqué ses 74 ans de mariage avec Élisabeth II.

Une note annonçant le décès du duc d'Édimbourg a été affichée sur les grilles du palais de Buckingham.

© Matt Dunham/Associated Press Une note annonçant le décès du duc d’Édimbourg a été affichée sur les grilles du palais de Buckingham.

Grandir dans une famille dispersée

Le mari de la reine Élisabeth II est né prince Philippe de Grèce et de Danemark, le 10 juin 1921, sur l’île de Corfou, en Grèce. Sa famille en sera expulsée l’année suivante avec le renversement de la monarchie et de son oncle, le roi Constantin 1er.

Exilée, la famille de Philippe s’installe d’abord en France, en banlieue de Paris. Sa mère, souffrant de dépression, est internée. Son père s’établit dans le sud de la France et garde peu de liens avec son fils. Les quatre sœurs aînées de Philippe épousent des nobles et s’installent en Allemagne.

Le prince Philippe (en haut à gauche), à l’école MacJannet American School à Saint-Cloud, en France.

© – Le prince Philippe (en haut à gauche), à l’école MacJannet American School à Saint-Cloud, en France.

Philippe est envoyé au Royaume-Uni, où il est pris en charge par la famille de sa mère. Il fréquente des pensionnats britanniques, où il est reconnu comme un « leader né ». Il passe une courte période dans une école allemande.

Il est ensuite formé, comme le veut la tradition, dans la Marine royale britannique, où il sert pendant la Seconde Guerre mondiale. Il participe notamment au débarquement des Alliés en Sicile, en 1943.

Épouser une future reine

Après la guerre, Il épouse la princesse Élisabeth – sa cousine au troisième degré –, qu’il a rencontrée alors qu’elle avait 13 ans et avec qui il correspond depuis plusieurs années. Selon les médias britanniques, le prince a séduit la princesse par son attitude indépendante, sa noble prestance et son visage de jeune premier.

La princesse Élisabeth et le prince Philippe, le jour de leur mariage, en 1947.

© /AFP La princesse Élisabeth et le prince Philippe, le jour de leur mariage, en 1947.

Pour pouvoir épouser Élisabeth, il renonce à ses titres royaux grec et danois, obtient la naturalisation britannique, passe d’orthodoxe grec à anglican, et adopte le nom de famille Mountbatten, celui de ses grands-parents maternels (Battenberg) en version anglicisée.

Le couple se marie en 1947 à l’abbaye de Westminster. Philippe reçoit alors les titres de duc d’Édimbourg, comte de Merioneth et baron de Greenwich.

La princesse Élisabeth et le prince Philippe pendant leur lune de miel, en 1947, au Hampshire.

© /AFP La princesse Élisabeth et le prince Philippe pendant leur lune de miel, en 1947, au Hampshire.

Élisabeth tombe rapidement enceinte. Leur premier enfant, le prince Charles, naît le 14 novembre 1948, suivi de la princesse Anne, le 15 août 1950, du prince Andrew, le 19 février 1960, et du prince Edouard, le 10 mars 1964.

Après le mariage, Philippe poursuit sa carrière navale. Le couple s’installe à Malte, où Philippe vient d’être muté. Cependant, l’état de santé du roi George VI se détériore, et il se décharge de plus en plus de ses obligations sur Élisabeth et son mari. Les engagements royaux et les tournées se multipliant, Philippe décide en 1951 de quitter temporairement ses activités militaires.

La mort de George VI, le 6 février 1952, change Élisabeth en reine. Philippe se voit obligé d’abandonner sa carrière navale pour adopter celle de prince consort, un rôle qui consiste à rester en retrait, bien qu’à deux pas derrière la souveraine.

La reine Élisabeth et le prince Philippe saluent la foule du balcon du palais de Buckingham, tout de suite après le couronnement de la reine, qui a eu lieu à l'abbaye de Westminster, le 2 juin 1953.

© Leslie Priest/AP Photo/La Presse canadienne La reine Élisabeth et le prince Philippe saluent la foule du balcon du palais de Buckingham, tout de suite après le couronnement de la reine, qui a eu lieu à l’abbaye de Westminster, le 2 juin 1953.

De nouvelles responsabilités

Devenu prince de Grande-Bretagne, Philippe prend en main la gestion des propriétés royales, telles que Sandringham et Balmoral.

En plus de suivre la reine dans ses déplacements, il participe à des engagements royaux indépendants, tant au Royaume-Uni qu’ailleurs dans le monde.

Le couple royal en visite au Canada, en 1978.

© /La Presse canadienne Le couple royal en visite au Canada, en 1978.

Il se consacre également à des activités de mécène et de philanthrope, et parraine plus de 800 organismes à travers le monde. Une quarantaine sont situés au Canada, dont l’Institut aéronautique et spatial du Canada et l’Association canadienne de curling.

Ses engagements témoignent généralement de ses champs d’intérêt, soit le bien-être des jeunes, l’environnement, les sports, le domaine militaire et la technologie.

La plus célèbre de ses œuvres philanthropiques est la création du programme du Prix du Duc d’Édimbourg. Créé en 1956, son but est d’encourager les jeunes de 14 à 24 ans à mettre sur pied des initiatives leur permettant de se dépasser et de prendre part à la vie de leur collectivité. Il est implanté dans plus de 140 pays.

La reine Élisabeth et le prince Philippe regardent le lancement du relais du bâton de la reine des Jeux du Commonwealth, au palais de Buckingham, le 9 octobre 2013.

© Lefteris Pitarakis/pool/Reuters La reine Élisabeth et le prince Philippe regardent le lancement du relais du bâton de la reine des Jeux du Commonwealth, au palais de Buckingham, le 9 octobre 2013.

Un prince moderne au langage peu protocolaire

Dès le début du règne d’Élisabeth II, Philippe se forge une réputation de moderniste. Sa volonté de tenir les médias au courant des activités royales afin qu’elles aient plus de visibilité y contribue. Il regrettera plus tard d’avoir trop laissé la presse entrer dans la vie de la famille royale.

Lui-même a plus d’une fois retenu l’attention des médias britanniques et internationaux, en raison de son tempérament fougueux et de ses gaffes.

Ses commentaires lui vaudront parfois des critiques, comme lorsqu’il demande en 2002 à des aborigènes australiens s’ils se lancent encore des flèches, ou lorsqu’il prévient un groupe de Britanniques qui visitent la Chine en 1986 qu’ils risquent de « développer des yeux bridés » s’ils restent trop longtemps dans ce pays.

Selon la BBC, le prince Philippe n’a jamais véritablement conquis le peuple britannique, étant trop « brusque » et « intransigeant ». Mais il a néanmoins gagné leur respect en faisant son devoir de prince consort pendant près de 70 ans.

Un agenda moins rempli depuis peu

Ces dernières années, le duc d’Édimbourg avait ralenti le rythme de ses obligations, qui étaient encore de 300 événements par année en 2005. Il en a délégué plusieurs à la duchesse de Cambridge, Kate Middleton, épouse de son petit-fils William.

Néanmoins, Philippe a participé aux célébrations entourant le jubilé de diamant de la reine en 2012, qui a marqué le 60e anniversaire de l’accession au trône d’Élisabeth II.

Le prince Philipe donne des indications à son petit-fils, le prince Harry, lors du Jubilé de la reine, en 2012.

© John Stillwell/AFP Le prince Philipe donne des indications à son petit-fils, le prince Harry, lors du Jubilé de la reine, en 2012.

Il est celui qui a occupé le plus longtemps le rôle de prince consort au Royaume-Uni et il est le conjoint le plus longtemps marié à un monarque britannique régnant.

D’ailleurs, la reine Élisabeth II a elle-même plus d’une fois témoigné du soutien et de la loyauté dont il a toujours fait preuve dans l’exercice de ses fonctions.

La reine Élizabeth accompagnée de son mari prononce un discours lors de l'ouverture du Parlement, à Londres, le 18 mai 2016.

© Justin Tallis/Pool via AP/La Presse canadienne La reine Élizabeth accompagnée de son mari prononce un discours lors de l’ouverture du Parlement, à Londres, le 18 mai 2016.

Avec CBC/Radio-Canada

ALERTE – Le roi des Belges, Albert II, annonce sa décision d’abdiquer

juillet 3, 2013

BRUXELLES – Le roi des Belges, Albert II, a annoncé mercredi, dans une allocution à la nation, son intention d’abdiquer le 21 juillet, jour de la fête nationale, en faveur de son fils aîné, le prince Philippe.

C’est avec sérénité et confiance que je vous fais part de mon intention d’abdiquer ce 21 juilet 2013, jour de notre fête nationale, a déclaré le roi Albert, en justifiant sa décision par son âge (79 ans) et ses problèmes de santé après vingt ans sur le trône.

Romandie.com avec (©AFP / 03 juillet 2013 18h09)

Albert II de Belgique attaqué en justice pour reconnaissance de paternité

juin 18, 2013

Delphine Boël veut prouver qu’elle est la fille légitime du roi

ALBERT II DE BELGIQUE

La famille royale de Belgique est en pleine tourmente. Le roi Albert II, le prince Philippe et la princesse Astrid sont cités à comparaitre devant la justice belge par Delphine Boël qui demande à être reconnue comme la fille légitime du souverain.

«Je suis sa chair, son sang, comment peut-on imaginer que j’ai pu avoir envie de lui faire du mal!». Ces mots, recueillis par Gala en 2008, étaient ceux de Delphine Boël, fille illégitime d’Albert II qui déplorait à l’époque que celui qu’elle affirme être son père la rejette. Aujourd’hui, elle brise le silence, change de tactique et saisit la justice. Cette femme de 45 ans cite à comparaître le roi, le prince Philippe, 53 ans, et la princesse Astrid, 51 ans, pour prouver qu’elle est la fille naturelle d’Albert II.

Bruno Nève de Mévergnies, porte-parole du Palais, a déclaré que la famille royale «ne se prononcerait pas» puisque cette action en justice relève «de la vie privée» mais glisse malgré tout qu’«on peut deviner l’objet de cette démarche».

Si les enfants d’Albert II sont cités, c’est parce que le roi ne peut faire l’objet d’un test ADN. Delphine Boël veut donc se servir du sang du prince Philippe et de celui de la princesse Astrid pour prouver qu’elle est bien leur sœur et donc que le monarque est son père. Le constitutionnaliste Marc Uyttendael explique à la RTBF qu‘«en droit constitutionnel belge, c’est radicalement impossible» de viser directement le roi «alors peut-être est-il possible de contourner cet écueil en faisant référence à certaines dispositions de droit international…», en l’occurrence la convention européenne des droits de l’homme qui place au même niveau enfants naturels et légitimes.

Delphine Boël a récemment été déshéritée par son père, celui dont elle porte le nom légal, Jacques Boël. Sa mère est la baronne Sybille de Selys Longchamps qui aurait eu une longue liaison dans les années 60 avec Albert II, alors qu’il n’était que prince de Liège. L’existence de Delphine, née de cette histoire, n’a été révélée qu’en 1999 et celui qui n’était pas encore roi l’avait alors à peine reconnue.

Aujourd’hui, Delphine Boël a bien l’intention de faire éclater la vérité et s’interroge, faussement naïve: «Je ne comprends pas ce silence et cette façon de gérer l’histoire. Je pense que la situation serait beaucoup plus facile si mon père et moi on se voyait tout à fait normalement». La justice tranchera, l’affaire est pour l’instant reportée au 25 juin.

Gala.fr par Jean-Christian Hay